
Dans un document publié mercredi, la Cour des comptes critique la qualité des études d’impact, qui normalement devraient éclairer les parlementaires sur les conséquences des réformes.
Des études alibi, servant à justifier des décisions déjà prises. La Cour des comptes ne le dit pas aussi brutalement, mais elle dresse, dans un référé publié mercredi, un constat cinglant sur la qualité des «études d’impact». Instaurées par une loi organique de 2009, ces dernières évaluent les conséquences économiques, financières, sociales et environnementales, ainsi que les bénéfices des projets de loi. Elles sont censées éclairer les parlementaires avant qu’ils ne votent les textes.
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La Cour s’est penchée sur celles liées à quatre dispositifs lancés par les ministères sociaux: les emplois d’avenir (emplois aidés), la garantie-jeunes (aide aux jeunes en grande difficulté), la prime d’activité (aide aux travailleurs pauvres) et les transferts de compétence au profit des régions en matière de formation professionnelle.
Le calendrier politique prime
Verdict? Les études d’impact liées sont «apparues globalement peu éclairantes». De fait, elles sont «souvent rédigées en fin de processus décisionnel (…) sans association des tiers concernés par l’objet de la décision», et notamment les collectivités locales.
Bref, en France, le pouvoir politique n’a pas l’habitude d’étudier sérieusement en amont les conséquences d’une éventuelle réforme avant de décider de la mettre en œuvre. Ni de faire des évaluations une fois qu’elle est en place. Et les magistrats de citer un cas frappant: la garantie-jeunes a été généralisée à tout le territoire avant l’évaluation de son expérimentation.
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Le calendrier politique prime ou plus précisément, celui de l’exécutif. Les parlementaires, eux, sont lésés par la faible qualité des études d’impact.
Source : Lefigaro
Le problème avec les études d’impact, c’est qu’on ne sait jamais avec certitude si elles sont suffisamment précises. De sorte qu’on ne peut jamais commencer les réformes. On les remet donc aux calendes grecques car la France est irréformable et les Gaulois batailleurs. Cocorico!
Tout ce que fait Tartufe, c’est pomper le pognon de ceux qui ont travaillé pour le distribuer gratos aux bras retournés, qui réclament toujours plus.
La fin de la civilisation et le retour aux cavernes sont là…
L’avenir de ce pays, c’est: FOUTRE LE CAMP.
Vieux bidasse : OUI tout à fait d’accord , je pense qu’il faut commencer à s’expatrier en Tchékoslovaquie OU AILLEURS !
il ne fait plus bon de vivre en France…
Si l’on veut que nos enfants et petits enfants vivent décemment .
Il est temps de quitter la Françarabia .
Avec cette bande d’incapable qui sont entrain de laisser islamiser la France , les Français sont trés mal .
@Le Templier
La TCHECOSLOVAQUIE ?
Vous n’êtes pas à jour.
Je vous taquine.
les réformes, quelles réformes ???
Pour les politiques il s’agit en fait de modifications :
la retraite, la constitution, la loi travail, le chomage, etc….
et tout cela bien sûr au détriment des salariés, retraités….
Et maintenant, Castaner veut alourdir les droits de succession.
Les gènes communistes sont décidément bien en place chez ces gens-là
c’est qui castaner ? le mec à barbe avec une mocheté à côté de lui
les parlementaires godillots! …..depuis 1958
qu’attendre de ces majorités de députés qui ne viennent pas faire leur boulot mais touchent leur salaire!
La nouvelle république islamique de France est en route. Il faut que les droites dites « populistes » remportent les élections et mettent le holà à cette terrible perspective.
et vite, la droite, les droites doivent s’unir parce que le navire coule
« Le calendrier politique prime ou plus précisément, celui de l’exécutif. Les parlementaires, eux, sont lésés par la faible qualité des études d’impact. »
Sachant que parmi les parlementaires députés se trouvent une majorité de sujets dévoués au monarque, ça ne change pas grand-chose.
Bah, encore et encore des reformes, les coûts de toute cette gabegie, c’est nos impôts et encore, ils ne servent qu’a rembourser l’intérêt de la dette, alors pour le principal on empruntera à gogo chez les pétrodollars dont notre pays appartient de plus en plus, la Françarabia arrive à grand pas.
Je n’ai pas vu l’ombre d’une seule véritable réforme dans l’activité de Macron. Juste des changements dans des pratiques et surtout, surtout… des augmentations de taxes et des réductions drastiques de budgets dans les postes régaliens. Mais de véritables réformes au sens sémantique du terme… aucune. Et encore moins de changement de paradigme : le « Nouveau Monde » de Macron n’est qu’un maquillage posé sur le « Vieux Monde », un maquillage qui se fissure de plus en plus au fil des dernières semaines. La politique de Macron est la continuité (en pire) de la politique de Hollande assortie d’un pseudo-libéralisme qui a attiré des personnalités du Centre-Droit comme la merde attire les mouches.
Il n’y a pas eu de véritables réformes au sens exact du terme dans l’activité de la première année de Macron. Que des manipulations financières paralysant de plus en plus l’activité économique de la Nation.
Et beaucoup de com’… et beaucoup d’affaires sulfureuses.
Exactement, Macron est un produit de communication. Il est le pantin placé là par les loobies au pouvoir, pour garantir que rien ne change.
J’ai tenu ce discours au moment des élections, étrangement, ça n’avait pas l’air clair pour tout le monde.
Pourtant, tout était déjà en place et bien visible.