L’arrogant Barack Obama, contrairement à la bienséance des présidents précédents, qui se sont toujours abstenus de critiquer leurs successeurs, a vicieusement attaqué le président Trump lors d’un discours public bourré de mensonges – à son habitude*.
Evacuons rapidement un premier mensonge du discours pleurnichard prononcé le 7 septembre dans une université de l’Illinois par l’ancien président (j’ai noté qu’Obama n’a pas dit un mot sur les 2000 noirs qui ont été tués ou blessés par d’autres noirs à Chicago, la ville du président, cette année. Black Lives don’t matter, Mr President ?)
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Premier mensonge : la sympathie de Trump pour les nazis
Obama, faisant référence aux accusations de la gauche selon lesquelles le président Trump n’aurait pas dénoncé assez fort le dirigeant du Ku Klux Klan qui lui a apporté son soutien, a déclaré :
« C’est si dur que ça de déclarer que les nazis représentent le mal ? »
- Réalité : le président Trump a expulsé le nazi Jakiw Palij de New York, et forcé les Allemands, qui ont refusé de le reprendre après qu’il fut dénoncé comme criminel de guerre il y a près de 20 ans, et qu’un juge ait décidé de son expulsion en 2005. Plusieurs présidents américains, y compris Obama, lui avaient permis de rester sur le sol américain.
- Réalité : Obama a longtemps été membre de la communauté religieuse du « nazi noir », Louis Farrakhan, qui a déclaré qu’Hitler était quelqu’un de très bien.
Les médias ont d’ailleurs coupé la photo où Farrakhan apparaît avec Bill Clinton – qui n’a pas été dérangé par sa présence – lors des funérailles de la reine du Blues Aretha Franklin.
- Réalité : la politique est une chose, mais Obama est allé très loin dans la trahison morale. Sans la moindre gêne, il a assisté à un match de Baseball avec le criminel communiste Raul Castro à Cuba, où il est pris en photo en train de lui sourire et converser amicalement avec lui.
- Les Cubains torturés dans les geôles communistes ont sans le moindre doute souri avec lui :
Second mensonge : l’économie…
Dans son discours, Obama a eu l’indécence de s’attribuer le mérite des bons résultats économique de Trump.
Rappelons-lui quelques vérités :
- Sous Barack Obama, 95 millions d’Américains se sont retrouvés en dehors du monde du travail.
- Le taux de participation à l’emploi a été le plus faible depuis les années 70. Sous Trump, c’est le taux le plus élevé jamais enregistré.
- Avec Obama, le nombre de propriétaires de leurs résidences a baissé au chiffre le plus bas depuis 51 ans.
- Après 8 années de présidence Obama, 30 millions d’Américains de plus ont vécu de bons alimentaires. Ils sont 4 millions de moins depuis que Trump est élu.
- 8 millions d’Américains de plus se sont retrouvés sous le seuil de pauvreté, sous la présidence Obama.
- Obama a accumulé plus de dettes que la totalité des présidents américains qui l’ont précédé.
- Le taux de confiance des ménages a plongé sous Obama – il est, avec Trump, à son plus haut niveau depuis 18 ans.
- 4 millions d’emplois nouveaux ont été créés depuis que Trump est président.
Concernant la croissance, faut-il rappeler qu’Obama est le seul président de l’histoire qui n’a jamais obtenu une seule année de croissance du PIB à 3% ? (En raison des baisses d’impôts et des dérégulations décidées par Trump, la croissance vient d’être révisée à 4,7%). Même les plus mauvais présidents américains ont réussi à faire croître le PIB d’au moins 3% en une année. Et Obama a eu deux mandats pour y arriver.
Et si les bons résultats de Trump sont à mettre sur le compte de son prédécesseur, il faudra m’expliquer pourquoi la croissance était à 2,8% quand Obama a quitté son poste, et qu’elle a immédiatement bondi quand Trump a commencé à appliquer ses premières réformes.
Je connais la réponse. Et avec la meilleure bonne foi, ni les journalistes, ni les politiciens ne peuvent la connaître, car le monde de l’entreprise leur est étranger. Je viens du monde des affaires, je suis un ancien chef d’entreprise, et comme tout chef d’entreprise, je comprends à quel point le contexte économique créé par Trump permet aux petites sociétés – premiers employeurs du pays, de s’épanouir, d’embaucher et de se développer, et aux grandes, d’investir et de développer la recherche et l’innovation.
Troisième mensonge, la liberté de la presse
Obama, faisant allusion à Trump qui attaque les Fake News des médias, sous-entend que ce dernier porte atteinte à la liberté de la presse : « ce n’est ni Démocratique ni Républicain de menacer la liberté de la presse sous prétexte qu’elle rapporte des histoires qu’on n’aime pas ».
Réalité :
- En 2009, Obama a tenté d’exclure Fox News du pool de journalistes officiels d’une conférence de presse avec les officiels de la Maison-Blanche.
- En 2013, le département de la Justice d’Obama accusait un journaliste de Fox News, James Rosen, de co-conspiration de fuite d’information après avoir écouté ses conversations téléphoniques et lu ses emails depuis 2009 pour tenter de trouver la source d’un article qu’il avait publié.
L’affaire fit un énorme scandale. Elle révélait les penchants totalitaires du président Obama. Au point que le plus pro-Démocrates de tous les grands médias, le New York Times, dénonça Obama en des termes très durs dans un éditorial signé par le Comité de rédaction (et non un journaliste isolé) :
« Avec la décision de qualifier un journaliste de la télévision Fox News de possible ‘co-conspirateur’ dans une enquête criminelle sur une fuite d’informations, l’administration Obama est passée de la protection des secrets gouvernementaux à la menace des libertés fondamentales de la presse pour recueillir des informations«
- Le 13 mai 2013, l’agence d’information Associated Press a annoncé que les lignes téléphoniques de 20 de ses journalistes ont été écoutées pendant une période de deux mois en 2012 par l’administration Obama, et qu’ils ont été cités à comparaître par le ministère de la Justice. AP a affirmé que ces actes constituaient une « intrusion massive et sans précédent » dans les opérations des médias d’information.
- Le 12 janvier 2015, et il est important de préciser que cela vient encore du New York Times et non d’un média d’extrême droite, le journaliste Matt Apuzzo écrivait (1) :
« Le ministère de la Justice [d’Obama] a déposé plus de plaintes contre des lanceurs d’alertes que l’ensemble des administrations précédentes« .
Mais sans doute qu’Obama a oublié ces « petits détails », lorsqu’il a accusé Trump de nuire à la liberté de la presse. Il ne fait aucun doute qu’aucun des médias francophones ne les rappellera, lorsqu’ils feront les louanges de ce discours d’Obama.
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Je vous ai fait grâce des attaques d’Obama contre la politique étrangère de Trump, car c’est le sujet sur lequel la majorité des experts Démocrates s’entend pour dénoncer les erreurs, les failles et les échecs de la politique d’Obama, que ce soit la montée d’ISIS par le retrait prématuré d’Irak ; les menaces contre Assad (la ligne rouge) qui n’ont pas été suivies d’action ; les avions bourrés de millions de dollars en petites coupures livrées aux Ayatollahs d’Iran ; les absurdes accords sur le nucléaire iranien sans demander d’inclure les missiles inter-continentaux, ni l’arrêt du terrorisme mondial, ni des appels à un nouvel holocauste contre les juifs ; le rapprochement sans demander en retour une amélioration des droits de l’homme au régime communiste de Cuba ; la dénonciation d’Israël, principal allié des Etats-Unis, à l’ONU juste avant la fin de sa présidence ; ou la complicité avec la Russie de Poutine (dites à Poutine qu’après l’élection, j’aurais les mains beaucoup plus libres)…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
* Pour imposer Obamacare, l’assurance santé obligatoire, Obama a promis à maintes reprises aux Américains que « s’ils aimaient leur contrat d’assurance actuel, ils pourraient le garder, et qu’ils pourraient conserver leurs docteurs habituels ». Il mentait, et cela était d’une gravité sans comparaison avec les fréquentes exagérations de Trump, qui n’ont aucune conséquence concrète.
Hussein était une crevure quand il était au pouvoir maintenant c’est une ordure….
Jean-Patrick, où peut-on trouver le chiffre du « taux de participation à l’emploi » (et son évolution) dont vous parlez ici ?
– je sais que le taux de chômage officiel, dont on nous rebat sans arrêt les oreilles en nous disant qu’il avait déjà pas mal baissé » sous Obama, ne signifie pas grand-chose et que c’est ce taux de participation à l’emploi qui importe –
D’avance merci.
Et merci pour ce travail de rétablissement de la vérité que vous faites, de sorte que tous ceux qui veulent savoir, sachent ce qu’il en est réellement.
La vérité des chiffres et des preuves est impitoyable et rend fous ceux qui vivent du et dans la boue du mensonge. Merci JPG pour ce travail remarquable.
Le problème, ce sont donc ces bons résultats qu’il faut absolument s’approprier, la manoeuvre en elle-même témoignant que « bons résultats » il y a !
Je me suis efforce de regarder son discours prononce a l’Universite de l’Illinois et j’avais oublie combien cet exercice pouvait etre penible, nombreux sont ceux egalement qui ont du revoir un passe pas si lointant defiler sous leur yeux. Angoissant. Au bout de cinq minutes j’ai du abandonner. Pour avoir subi une telle epreuve jusqu’au bout, Jean-Patrick, vous avez toute ma sympathie.
Bien que je ne le sois pas particulierement, on dit les Republicains inquiets du taux de participation de novembre sur lequel reposera l’issue du scrutin, particulierement pour la chambre des representants, on dit les democrates particulierement motives, je sais aujourd’hui une chose apres avoir revu la tete d’Obama plein ecran vomir ses mensonges: qu’ils ne le soient pas. La meilleure chose qui pouvait nous arriver c’etait le retour d’Obama sur le devant de la scene. Rejet et mobilisation generale garantis. Retrouver le gout de cette potion amere etait sans doute ce qu’il fallait a certains pour les reveiller. Dieu aime vraiment ce pays.
O.
Réalité : la politique est une chose, mais Obama est allé très loin dans la trahison morale. Sans la moindre gêne, il a assisté à un match de Baseball avec le criminel communiste Raul Castro à Cuba, où il est pris en photo en train de lui sourire et converser amicalement avec lui.
Les Cubains torturés dans les geôles communistes ont sans le moindre doute souri avec lui
En plus d’être aller se faire photographier devant la murale du communiste stalinien Guevara
https://1.bp.blogspot.com/-bqJ7ZubeM98/VvMAjByQFpI/AAAAAAAAchw/Kwk64m0c77QWBn0rNan-Uig2OJojfDd4Q/s400/cuba_usa_obama_trip.jpg
Sanctifier de son vivant durant huit ans par les médias démocrates orientés a gauche
Ce sont les mêmes chroniqueurs gauchistes comme Loic Tassé et la chroniqueuse globaliste Denise Bombardier du journal de merde qui écrivent que Trump ..c’est l’ami des dictateurs…lol
L’amour des dictateurs…Loic Tassé
https://www.journaldemontreal.com/2017/05/02/lamour-des-dictateurs
Le nouvel ami de Trump….Denise Bombardier
https://www.journaldemontreal.com/2018/06/04/le-nouvel-ami-de-trump
En résumé on ne pourra pas faire d’un âne comme Obama un cheval.
C’est toujours agréable de lire vos articles toujours percutant.
Quel manque d’honneur !
J’ai rarement vu cela lors d’un changement de pouvoir dans les pays démocratiques.
Non seulement il ne veut pas décoller et aller se faire voir ailleurs que dans les couloirs politiciens, ne serait-ce que pendant quelques petites années, comme tous les précédents,
En plus il vient critiquer le Président en place. Quand cela a été rarement fait pour lui, il s’agissait de racisme.
Maintenant il s’attribue les bons résultats économiques… Bizarre qu’il ait fallu si peu de temps après les actions de Trump, pour qu’elles arrivent…
C’est peut-être lui aussi qui a eu le courage de parler aussi fermement à des dictateurs, qui non seulement l’écoutent, mais le respectent.
Lui, n’a fait qu’encourager le Printemps arabe et l’on sait le sang qui en a été répandu.
Il ne manque pas d’air ! C’est vrai que ceux qui l’appuient sont aussi sordides que lui. Qui se ressemble, s’assemble !
Obama le décivilisateur, le type même de l’escroc.
Escroc : personne qui même prise la main dans le sac, à la différence du simple voleur, ne reconnaîtra JAMAIS ses torts, aura toujours une bonne excuse pour justifier son forfait. Autrement dit : personne à fuir à toute jambe, à surtout ne pas laissez rentrer dans un pays, dans nos maisons, personne cause de la décivilisation.
Il ressemble de plus en plus à un zombie en putréfaction l’idole des islamogauchistes.
Pour avoir le teint aussi cireux il doit se laver en permanence pour ne pas puer au bout de cinq minutes et étonner les dégénérés qui le badent.
Merci JPG.
je suis mort de rire car les Noirs ont fini de croire ses mensonges donc que obama affirme que si tout va super bien en économie .. que c’est grace a lui alors que les gens de la rue savent que c’est complètement faux donc tout ses mensonges vont ce tourner contre les démocrates ….. je demande a obama de continuer a raconter les pires stupidité et ainsi aider Trump
le seul fait qu’obama ait fait un discours aussi virulent contre trump et aussi autosatisfaction envers lui, prouve que les démocrates doivent avoir peur des élections de novembre!
j’espère que les américains donneront une sacrée gifle à tous ces raconteurs de fakeniouzes sans preuves!
L’intrusion d’Obama dans les élections de mi-mandat a quelque chose de scandaleux en ceci qu’elle lui permet d´inverser avec l’aura de l’autorité présidentielle TOUTES les causes et leurs effets à son crédit ; un exercice de taqiya coutumier du satanisme musulman, toujours à l’affut d’argent facile.
Obama n’a jamais quitter la scène politique américaine ; il n’a même jamais transmis les rènes du pouvoir à Donald J. Trump, juste prêtés, le temps de camoufler autant de preuves que possible des exactions de son administration traitresse et de lui barrer la route incessament : c’est Obama et son gang de ripoux qui divisent l’Amérique en ne respectant pas les règles de réserve protocolaires si pertinentes.
En agissant ainsi, Obama est la honte de tous les Présidents américains : un Démocrate anti-démocratique : DANGER!
C’est comme les fascistes anti-fascistes!
L`ordure n`a ni honte ni decence, c`est pas ecrite dans son Holly Quran
Oblabla s’inscrit dans la pure lignée de ses ancêtres musulmans qui ont toujours repris à leur compte les exploits des autres ! Quelques mensonges supplémentaires ne vont pas accabler ce mytho dans l’âme !
Monsieur GRUMBERG,
J’espère que les quelques lignes qui suivent seront jugées,par la censure de Dreuz Info, dignes d’être portées à votre connaissance car récemment j’ai constaté que mes interventions (« commentaires ») se trouvaient systématiquement rayées de l’écran dès leur émission…(?) Je me demande bien pourquoi…! et aimerais être éclairée. Merci.
Aujourd’hui je tiens à vous remercier très vivement et à vous féliciter mille fois pour vos positions de soutien à l’égard de la politique du Pdt TRUMP. Il est exact qu’en matière de gestion du pays il a démontré une efficacité inédite et incontestable. Mais aussi et surtout pour nous, Juifs de la diaspora, son action en faveur d’Israel et sa vigilance à l’encontre des ennemis d’Israel, le désignent comme le maschiah envoyé de D’. Merci encore de reconnaitre ses mérites. Chana Tova à vous. Gisèle Marçu
Bof, il peut toujours essayer de revendiquer. S’il n’a pas compris le soulagement qu’a provoquer sa disparition, c’est que vraiment il est consternant.
Allez Obama, casses-toi, comme dirait des français, t’en a assez fait et cela sent encore vraiment très mauvais. T’es qui toi le maître du monde par intérim, sinon un looser made in islam ?????
Désolé, mais j’arrive pas à accepter de le voir encore, ce fumier traître à l’Amérique.
Il pue la taqiya cadeau d’allah. Américain, lui, vous avez du raté son acte de naissance !
Bon, pour la grammaire je m’incline, c’est déplorable, la fatigue…
Trump est un idiot,un crétin, un abruti et j’en passe mais bon dieu trouvez nous le même pour la France, qu’elle décolle enfin.
Ça fait quarante ans ou plus que les surdoués qui nous gouvernent nous rapprochent du mur . C’est juré aux prochaines élections je vote pour le plus couillon de tous…..Je sais ,je sais le choix sera très cornélien, ce sera peu d’appelés et beaucoup d’élus.