Il y a de ces évènements, qui non seulement marquent leur époque, mais qui provoquent également une prise de conscience de la trajectoire aberrante dans laquelle la société s’est engagée.
La confirmation par le Sénat de la candidature du juge Brett Kavanaugh à la cour suprême des États Unis ne devait en principe susciter aucune controverse. L’opposition déclarée des sénateurs Démocrates, à peine vingt minutes après sa nomination officielle par le Président des États Unis, avait tous les traits d’un combat d’arrière-garde ; résistance en apparence futile, tant la qualité du candidat et son parcours impeccable le mettait à l’abri de toute critique.
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Le facteur déclenchant de la crise
La crainte à l’effet que la confirmation d’un nouveau candidat allait rompre l’équilibre en faveur des juges conservateurs à la cour suprême a, bien avant la nomination du juge Kavanaugh, déclenché l’opposition de la gauche américaine. La démission du juge Kennedy, réputé pour son “centrisme”, a été pour le président Trump l’occasion à ne pas manquer pour rendre à la Cour Suprême sa mission originale, celle de produire des jugements conformes à la lettre et à l’esprit de la Constitution. La gauche a immédiatement perçu le “danger” que constitue la présence d’une majorité de juges constitutionalistes, à savoir l’impossibilité de contourner la constitution ou de l’interpréter au goût du jour. En effet, les enjeux sont de taille, ils concernent des points aussi fondamentaux que la liberté d’expression, la liberté religieuse, le droit de posséder des armes, la confusion des genres, l’avortement etc. Du coup le projet de transformation radicale de la société américaine prôné par la gauche s’est trouvé sérieusement compromis.
La gauche, c’est bien connu, ne cherche pas à convaincre. Forte de son “bon droit” et de sa “supériorité morale”, elle se donne le droit de juger, de condamner et d’exécuter ses sentences. Dès l’annonce de la nomination du juge Kavanaugh, le leader des Démocrates au Sénat a fait vœu publiquement de bloquer sa confirmation par “tous les moyens nécessaires”. Des sénateurs Démocrates ont déchiré leur tunique sous l’œil des caméras, affirmant que ceux qui appuient la candidature de Kavanaugh propagent le “mal”, que son éventuelle confirmation fera en sorte que “des milliers de gens vont mourir”. Le cri de ralliement a été lancé dès le début : cette candidature ne passera pas, elle doit être par tous les moyens bloquée ou à tout le moins retardée jusqu’aux élections de mi-mandat en novembre, espérant par là qu’une éventuelle majorité Démocrate au sénat bloquera, non seulement le juge Kavanaugh, mais toute candidature idéologiquement non-conforme.
Brett Kavanaugh est un citoyen américain exemplaire, il est l’incarnation du rêve américain : éducation religieuse, jeunesse studieuse et réfléchie, richesse intellectuelle, succès professionnel, engagement dans la communauté, éthique irréprochable, excellentes relations sociales et humaines, équilibre émotif et hygiène de vie, chrétien pratiquant, mari et père affectueux, etc. Il représente en fait tout ce que la gauche déteste d’autant plus qu’il est blanc de peau, il n’est donc pas étonnant qu’elle fasse tout pour le détruire.
Une crise savamment organisée avec les médias
En agissant comme ils l’ont fait, les sénateurs Démocrates se sont écartés du rôle que la constitution assigne au Sénat, celui de donner son avis et de consentir à la candidature. En principe le Sénat n’a pas le droit de s’objecter pour des raisons idéologiques, seules la compétence et l’intégrité personnelle sont l’objet d’examen. Le processus doit être rigoureux et objectif, aucune place n’est accordée aux considérations idéologiques ou aux manœuvres partisanes. Mais les sénateurs Démocrates ont choisi de transformer les séances publiques en autant de spectacles de boulevard, où la partisannerie a occupé le devant de la scène, où on a laissé des manifestants interrompre et perturber les débats, où l’agressivité et la grossièreté des militants gauchistes se sont donné libre cours.
Comme prévu les médias ont servi de caisse de résonnance au service de l’opposition. Tout ce tapage avait pour objectif de mobiliser les forces progressistes dans des manœuvres visant à influencer l’opinion publique et, par la même occasion, à intimider les sénateurs Républicains. Objectif atteint en partie, les élus Républicains ont dans l’ensemble fait preuve de retenue pour ne pas dire de réserve, ils se sont timidement indignés des menées des Démocrates, mais se sont abstenu de contrattaquer, confiants que le processus d’examen et de validation ne devait pas révéler de surprise, partant il n’était pas de mise de hausser le ton. Les Démocrates en ont profité pour “mener le bal” jusqu’à la fin des auditions, histoire de monopoliser l’attention des médias et paver le terrain au scandale qu’ils comptaient déclencher et qu’ils avaient réservé pour la fin. On connaît la suite : tel un coup de massue, les accusations d’agression à caractère sexuel se sont abattues sur le juge Kavanaugh et sur sa famille, les observateurs impartiaux de la scène politique américaine ont vite compris que les Démocrates avaient décidé de jouer le tout pour le tout, sans égard aux conséquences potentiellement négatives non seulement sur leur formation politique mais sur le pays tout entier.
Il n’est pas nécessaire de relater les évènements des trois dernières semaines, ils sont connus et ont été abondamment commentés. Mais il est utile de souligner le fait que les Démocrates ont pris le risque de déclencher un scandale à partir d’accusations non-fondées, pari qu’ils savaient périlleux mais qu’ils croyaient pouvoir gagner avec l’aide des médias et des militants gauchistes. La vague qu’ils ont soulevée devait se muer en tsunami qui emporterait sur son passage, et le juge Kavanaugh et les élections de mi-mandat. Pour alimenter le brasier, ils ont fait éclore d’autres accusations, les unes plus farfelues que les autres, dans le but de submerger l’adversaire et l’amener à abandonner la partie.
Pour mener à bien leur entreprise de destruction, les Démocrates n’avaient d’autres choix que de balancer par dessus bord les notions de présomption d’innocence et de neutralité. En affirmant haut et fort qu’ils croyaient sans preuve l’accusatrice, ils cherchaient à susciter un mouvement populaire en sa faveur afin de faire échec au juge Kavanaugh. Ce faisant ils mettaient leur propre crédibilité en balance. Leurs manœuvres n’avaient de chance de réussir que dans la mesure où le peuple américain, renonçant au bon sens le plus élémentaire, se laisserait emporter dans cette vague de folie.
La tiédeur initiale des Républicains et leur décision de jouer unilatéralement selon les règles, a permis aux Démocrates de garder l’initiative. Du moment que l’adversaire se laissait intimider, tous les coups devenaient permis. C’est ainsi que l’audace s’est muée en effronterie et le mensonge est devenu vérité, non seulement pour ceux qui l’ont gobé dès le début, mais davantage pour ceux qui l’ont monté de toutes pièces. Le mensonge s’est transformé en article de foi, en fait d’une foi aveugle et imperméable à toute démonstration rationnelle. C’est un peu comme si les Démocrates et avec eux l’ensemble de la gauche s’étaient laissé aspirer dans une spirale faite de surréalité.
La folie et son antidote
La gauche américaine ne se remettra jamais de l’élection de Donald Trump. Pour elle le choc a été terrible au point de perturber gravement son jugement. Le choc a aussi pour effet de mettre en évidence le peu d’emprise de la réalité sur l’esprit des gauchistes ; c’est l’endoctrinement systématique qui en est la cause. La blessure a également engendré la haine et la rage, une haine inextinguible et une rage impuissante, propre à diviser la société et à perturber profondément les relations entre citoyens.
L’Amérique est en crise, une part non-négligeable de ses habitants a sombré dans la folie. Le pays est profondément divisé entre une gauche vindicative et folle et une droite qui n’a pas encore pris la mesure du danger. La sauvegarde de la nation se trouve à présent entre les mains des citoyens qui n’ont pas perdu la tête, ils sont Républicains, indépendants et même Démocrates, ce sont eux qui devront gérer et éventuellement neutraliser la folie de la gauche. Ces citoyens sont heureusement majoritaires et ils peuvent compter sur Donald Trump.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.
Très bon article sur la folie de la Gauche américaine. Elle ne s’est pas remise de l’élection de Donald Trump; et elle croit mordicus aux fake news qu’elle a pourtant machinées pour le déstabiliser.
Cette folie est aussi une rage dont on ne voit pas la fin. Les nouvelles assassines se succèdent les unes après les autres dans les médias.
Mais pour Trump, ce sont de simples péripéties. Elles ne le paralysent pas. Imperturbablement, il réalise son programme pour le redressement de l’Amérique et sa victoire.
Souhaitons que Macron, qui n’a pas de casseroles à traîner, mais simplement des poussières qui s’accrochent à son veston pour prendre la lumière, continue à faire ce qu’il a promis; transformer la mentalité française pour la rendre enfin gagnante.
LOCO est très motivé par les gesticulations de “micron” on matraque la cgt et on gracie un traite communiste … cela s’appelle du sur-place.
Pour sortir de la gabegie Française, il n’y a qu’un seul programme valable celui de monsieur FILLON , CELUI DE REDUCTION DE LA DEPENSE PUBLIQUE.
@ vladimir Orban
Ce qui m’intéresse, c’est ceci : Emmanuel Macron avance malgré les nuages de guêpes qui l’assaillent de toutes parts et qui s’éteignent sous ses pas comme un feu d’épines…avant de revenir à la charge, bien sûr.
N’est-ce pas intéressant? C’est le sujet du Psaume 118.
Loco:
Macron est exactement l’inverse de Trump : c’est le candidat de l’énorme bureaucratie socialiste française, la plus grosse au monde, choisi et élu par la médiacratie d’état pour ne surtout pas toucher aux privilèges et ne rien changer au pillage du pays par le cancer étatique.
Ses “réformes” sont de petits ajustements médiocres ici et là assortis d’une hausse de la fiscalité.
Quant à “En marche” (vers la faillite) et le gouvernement, il suffit de regarder ses caciques ; c’est le parti socialiste relooké avec quelques collabos de “droite”.
Ce n’est pas la “mentalité” qui pèche en France, ouvrez un budget et des rapports de l’état pour une fois dans votre vie, mais le pillage socialiste. Il ne reste que 15 millions d’actifs non-dépendant des impôts des autres pour faire vivre 66 millions de personnes.
La dette réelle de la France est de 260% du PIB selon la Cour des comptes, le dernier budget positif a été signé en … 1974.
Socialisme, game-over, comme partout, comme toujours.
Avez-vous déjà vu la gôchiasse faire une chose intelligente?
Souvenez-vous: Staline, la Russie et son régime en déconfiture/ Mao, un régime de dément,et la suite dans le sang/ Castro, son régime de “bananes” et sa vidange des tolards et opposants vers les USA… Et bien d’autres…. et maintenant, ils espèrent parvenir au pouvoir mondial à l’aide de leurs copains de circonstance, qui ne manqueront pas, dès qu’ils n’en auront plus l’utilité, de leur couper les couilles.
Tout ce qu’ils savent foutre, c’est la merde dès qu’ils bougent un doigt.
nous avons les même en europe occidentale!
des politiciens en perte de vitesse, qui se compromettent avec le milieu (ils se disent du centre!!!) ne croyant qu’à leurs carrière, et des médias aux ordres de la classe mondiale super riche.
le hic c’est qu’en france des électeurs se croient plus malins, plus éduqués, brefs supérieurs aux américains, italiens et autres polonais
Élégance de style et de pensée, pour pointer du doigt la fragilité d’une statue de la liberté, fouettée par tous les mauvais vents.
Cet Oncle Sam qui a jonglé, sa vie durant, avec les différents pouvoirs politiques, financiers, et médiatiques, a justement été déclaré infréquentable.
Après le dernier des mohicans, il a choisi le camp de ne vouloir être le dernier des américains. Retour aux sources, vers un ensemble fédéral mosaïque, qui voulait transformer ses états en étoiles, pour établir l’american way of life…
Le mondialisme a été le migrant de trop.
Donald Trump, n’avait pour seul programme que sa mémoire d’une Amérique disparue.
En bon démolisseur il découvre dans ses chantiers ses vestiges, les entoure de ses soins, et les expose aux yeux de tous. D’abord surpris, les américains retrouvent peu à peu, un patriotisme d’antan, qui n’est plus de mise nulle part sur notre planète.
Après cela, sa mémoire d’homme d’affaires fait le reste : elle est capable de s’affranchir de toutes les tergiversations politiques, pour proposer jour après jour de nouvelles lignes d’horizons au peuple américain.
Il était temps, car l’américain des villes était en train d’oublier son Amérique…
Ce très bon article de Deroy Murdock paru sur le site de Fox News (merci michel_m) retrace remarquablement la chronologie de cette affaire surréaliste, et nomme sans détours la véritable responsable : Dianne Feinstein.
L’auteur de l’article, Deroy Murdock, un Noir, pourra difficilement être accusé d’être un sale raciste ou un suprémaciste blanc…
Quant à Dianne Feinstein, sénatrice Démocrate de 85 ans (la vieillesse semble être doublement un naufrage chez les démocrates, elle est l’ancienne maire de San Francisco : tout est dit.
La Ford semble finalement avoir été instrumentalisée par Feinstein et les Démocrates ; je ne serais pas étonné que ces derniers la lâchent en rase campagne si elle devait être accusée de parjure et de dénonciation mensongère.
https://www.foxnews.com/opinion/feinstein-v-kavanaugh-anatomy-of-a-character-assassination
C’est tout à l’honneur des sénateurs républicains véléitaires d’être restés coits et de ne pas marcher dans les subterfuges désespérés des démocrates : attitude exemplaire pour tous les américains encore pourvus de raison.
Notez le caractère hystériques des interventions et des manifestants démocrates et l’audace “100%” mensonger de l’accusatrice d’occasion, Ford.
Que le Ciel ait pitié de nous!
Vous voulez dire : restés cois. Parce que le coït, ils n’ont pas de quoi pour l’atteindre.
En effet, le féminin de “coi” (coite) m’a fait commettre ce couac…
Democratie Americaine? La gauche qui n`est plus “regime politique” plutot une maladie, Dementia, folie dangereuse qui soufre les democretins, et avec eux tout l`amerique, memoire restee d`Obamuz-Clinton, aide par le mal Soros. Trump va netoyee le marecage, mais c`est pas facile quand la folie prone
J’ai l’impression que c’était la stratégie des Républicains depuis le début de laisser les Démocrates et leurs alliés gauchistes s’exciter le poil des jambes au point de se ridiculiser complètement.
La rage contre Kavanaugh (et Trump) va coûter cher aux Démocrates. Les Républicains, même les NeverTrump, ont fait en sorte qu’on voit clairement que les Dems se fichent pas mal de la constitution et que tous les moyens sont bons pour abattre Trump.
À mon avis, les électeurs américains n’oublieront pas de sitôt cette leçon.
Bonjour Magali,
Il est difficile de dire s’il s’agissait vraiment de stratégie de la part des sénateurs républicains, après tout ils ont été pris par surprise par le coup de théâtre que les démocrates leur réservaient. Mais vous avez raison en ce sens qu’ils se sont montrés “low profile” tout au long du processus de confirmation, laissant les démocrates poursuivre leur “cirque” et se discréditer aux yeux du public.
L’affaire Kavanaugh a tout d’un coup monté et personnellement je ne crois pas à la “sincérité” de C. Blaisey-Ford, je crois qu’elle est dans le coup jusqu’aux oreilles et qu’elle ment quand elle dit qu’elle voulait que sa lettre reste confidentielle. L’analyse méthodique et objective de l’affaire révèle que son histoire a été maintes fois modifiée, elle a dit à son thérapeute que l’agression a eu lieu alors qu’elle avait 18 ou 19 ans (in her late teens), la chronologie a part la suite été changée pour situer l’agression plus tôt, sans toutefois désigner une année précise. Ce n’est qu’après qu’elle a discuté avec son avocate qu’elle a fini par situer ladite agression à l’été de 1982 alors qu’elle était âgée de 15 ans. La raison en est que toute date ultérieure aurait ôté tout crédit à l’histoire, attendu qu’elle et Kavanaugh vivaient dans des lieux différents et ne fréquentaient pas les mêmes milieux.
À bien y penser elle aurait eu intérêt à situer l’agression en 1983 ou 1984, alors que Kavanaugh avait plus de 18 ans, donc adulte. L’impact de son histoire aurait été plus fort; si elle ne l’a pas fait, c’est parce qu’elle était certaine que son histoire ne tiendrait pas debout et qu’elle aurait été réfutée aussitôt que racontée.
Je suis d’accord avec vous quand vous dites que “les électeurs américains n’oublieront pas de sitôt cette leçon.” et que cela coûtera cher aux démocrates. Il est fort possible que le scénario de novembre 2016 se répète en 2018 et pour cause: la rage des gauchistes est telle que bon nombre d’indépendants et de démocrates traditionnels choisissent de ne pas parler de leur intention de vote. D’ailleurs le même phénomène s’est produit lors des dernières élections provinciales au Québec: une part importante des électeurs libéraux a choisi de ne pas voter, et une autre a choisi de voter pour la CAQ.
Chose certaine, le verbiage et le tapage de la gauche et des médias ne servent qu’à accroître la masse de la majorité silencieuse, d’où la surprise la soirée des élections.
@Magali Marc
Bien vu. L’ironie dans tout ce brouhaha est que c’est Trump qui est le maître du jeu 😀
@Magali Marc : Trump est un très bon stratège, j’ai pensé la même chose que vous. Ça a révélé la veulerie des libtards et jusqu’où ils sont capables d’aller pour reprendre le pouvoir… Ils ont eu un retour de flamme du tonnerre de Dieu, espérons qu’ils soient KO pour un bon moment !
http://www.europe1.fr/international/le-senat-americain-confirme-le-juge-brett-kavanaugh-a-la-cour-supreme-3772727
Et si le noeud de l’affaire était là ? : ” Il travaille notamment sur l’enquête sur le suicide de Vince Foster, ami de Bill Clinton et collaborateur de la Maison-Blanche. L’enquête fait partie du scandale du Whitewater portant sur des investissements du couple Clinton dans les années 1980-1990. Kavanaugh participe aussi à la rédaction du rapport du procureur Kenneth Starr dans l’affaire Monica Lewinsky” (Wikipedia)
Il a été bloqué pendant 3 ans par les sénateurs démocrates plus tôt dans sa carrière, il a donc l’habitude…
Cette affaire tombait trop à point et semblait bien une diffamation et calomnie. Je regrette seulement la teneur de la majorité des défenseurs du juge : amnésies impossibles, traumatisme trop long, pourquoi faire des histoires pour une agression vue comme simple chahutage étudiant, tout le monde fait cela (parlez pour vous !), le comble de l’abject étant atteint avec le commentaire “femme mal baisée”.
C’est bien à cause de cette mentalité (et pas besoin d’aller chercher des musulmans, cette mentalité imprègne aussi des gens bien de chez nous ; ce qui complique les choses avec les musulmans étant qu’on est en plus taxé de racisme si on se plaint) que les victimes de harcèlement, agression et viol hésitent à porter plainte : poids de la honte, traumatisme, et commentaires du genre : “c’est parce que vous l’avez provoqué” ou “vous n’allez pas mettre en péril l’avenir (pour un jeune), l’emploi ou la carrière (pour un moins jeune) pour “si peu”…
et oui, le traumatisme est à vie, et d’autant plus fort quand il est nié, dénié.
Et cette mentalité perdure car l’expérience montre que les personnes qui sont indulgentes envers ce comportement vu comme erreurs de jeunesse ou autre ont elles-mêmes des choses à se reprocher et se dédouanent par ce moyen de ce qu’elles ont pu dire ou faire.
Une expérience avait été faite concernant la pornographie : un groupe de magistrats (étudiants, je crois) avait été soumis à des images pornographiques pendant quelque temps, et un autre groupe non.
Le groupe qui avait vu ces images était beaucoup plus indulgent envers le viol que l’autre.
J’ai été effarée de lire les commentaires sur dreuz (même ici !) et remercie Mme Marc pour ses interventions.
S’il est avéré que cette histoire est montée de toutes pièces, c’est odieux pour les véritables victimes, qui ont de vraies amnésies (partielles ou totales, plus ou moins longues) et de vrais traumatismes, longtemps.
Et la gauche qui ne prône pas précisément la maîtrise de soi, pleurniche sur les conséquences de ce qu’elle prône ?? (enfin, ça dépend des victimes, car on n’a pas entendu celles de M. Clinton)
En tout cas, les commentaires lus ici, de la part d’adultes, vont dans le même sens que ceux de responsables ou de parents dans les établissements scolaires : tant pis pour les victimes !
Quand on voit et entend de tels adultes parents, on ne s’étonne pas du comportement et de la mentalité de leur progéniture . Pauvres filles qui trouvent rarement un adulte pour vraiment les défendre !
Julie dit : “J’ai été effarée de lire les commentaires sur dreuz”
Avant d’être “effarée” de quoi que ce soit, la moindre des choses est de s’informer, sinon ça veut dire que vos émotions gouvernent votre intelligence.
En l’occurrence, cette affaire est lamentable, la manœuvre est grossière et pitoyable, elle a menti comme une arracheuse de dents, mêmes ses amis la flinguent et ne corroborent pas ses allégations, rien ne colle dans le dossier, sauf de nombreux éléments qui pointent vers un cynisme et une totale absence d’empathie assez monstrueuse.
Même de nombreux démocrates ont fait part de leur écœurement face à cette pitoyable manipulation.
Vous n’avez pas compris mon commentaire, ni lu l’intégralité des commentaires aux articles concernant cette affaire. Alors abstenez-vous de faire une critique méprisante.
Quant à être informée, j’ai dreuz pour ça, non ? je sais lire un article, merci.
Voilà, la page est tournée, retour au bon sens, à la justice et à la décence : Judge Brett Kavanaugh a été confirmé cet après midi et a prêté serment ce soir.
La prochaine bataille aura lieu le 4 novembre, et puis il y en aura d’autres. Mais les pseudo-démocrates transformés en islamo-socialistes depuis plusieurs décennies ne vont pas renoncer à établir leur paradis utopique – ils sont désormais incapables d’absorber la réalité. Mais ils auront désormais du mal, la population américaine a finalement été écœurée de leurs tactiques fascistes.
On se rappelle le motif qu’a donné clint Eastwood pour voter Trump. Il a dit qu’avec Obamanus il y avait trop de pots de yaourt et autres remarquables obsédés par les enfants en bas âge à former à la religion du pot de yaourt comme unique but dans la vie avec ce qui va avec, le halal..
Faut croire que l’essentiel du cap de la culture de gauche pour l’avenir de l’intelligence vient du yaourt dans le pot.
D’abord l’avilissement, ensuite les cultures dues à l’avilissement et c’est toujours les mêmes celles de Sodome et Gomorre.
La “rage impuissante” est effectivement ce qui caractérise le mieux les mauvais perdants que sont les prétendus “démocrates” américains…
Ils ont mis en route LEUR NEURONE, et ils ne cherchent surtout pas à en emprunter un second, car ils ont peur que ça les rende moins cons.