Publié par Bernard Martoia le 13 octobre 2018

Sous la houlette du président Donald Trump, qui est un businessman aux idées claires, contrairement à celles fumeuses des deux énarques François Hollande en 2012 et Emmanuel Macron en 2017, élus en jouant du pipeau aux ouailles socialistes, le programme du parti Républicain s’articule autour de quatre axes cohérents :

  1. la sécurité de la frontière avec la construction d’un mur pour arrêter l’invasion migratoire en provenance du Mexique. Macron n’a pas le courage de refuser l’accès aux ports français des bateaux des ONG gauchistes financées par le milliardaire George Soros. Il laisse faire le sale boulot au vaillant ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini et en même temps il n’arrête pas de le fustiger en se posant comme le défenseur de la cause humanitaire. Macron est l’exemple parfait du faux-cul adoubé par les deux tiers des Français qui l’ont élu président.
  2. la poursuite de la libération de l’économie américaine entravée par les taxes et les régulations du gouvernement Obama.  Si Trump était président en France, il aurait encore plus de pain sur la planche mais il y parviendrait en chassant des cabinets ministériels tous ces énarques parasites.
  3. la renégociation de tous les accords commerciaux qui faisaient la part belle à tout le monde sauf aux travailleurs américains.
  4. la rénovation des infrastructures en piteux état. Certes, il est plus valorisant pour sa réélection ou sa postérité d’inaugurer de grands chantiers présidentiels comme la pyramide du Louvre ou la bibliothèque Mitterrand que d’entretenir les infrastructures mais le président Trump n’est pas un démagogue comme les présidents français. Il préfère régler les problèmes des Américains que de laisser son empreinte dans l’histoire. Il a créé un empire dans sa vie d’entrepreneur. Inutile d’en rajouter avec des chantiers à sa gloire avec l’argent du contribuable américain.

Concernant le programme des Démocrates, il se limite à haïr le président Trump depuis son élection il y a deux ans.

Contrairement aux électeurs français lors de l’élection présidentielle de 2017, qui étaient confrontés à un dilemme cornélien entre le choléra (Macron) ou la peste (Le Pen), les électeurs américains ont un choix très clair qui s’offre à eux le 6 novembre prochain.

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