“Le pasteur Andrew Brunson, libéré par la Turquie, sera avec moi dans le Bureau ovale à 14h30 (cet après-midi). C’est un formidable chrétien qui a vécu une expérience si difficile” a tweeté il y a quelques instants le président Trump, après avoir fait libérer ce pasteur détenu par le dictateur Erdogan.
Le premier arrêt d’Andrew Brunson avant de rentrer chez lui aux États-Unis, après avoir été libéré de Turquie, était sur la base aérienne de Ramstein en Allemagne. Il a été accueilli par l’ambassadeur américain Richard Grenell et un drapeau américain plié en triangle, dont il s’est saisi pour l’embrasser.
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Brunson était en prison ou, comme disent les Turcs, “en résidence surveillée” en Turquie depuis plus de deux ans. Il a été arrêté en octobre 2016 et accusé d’avoir aidé des terroristes par l’intermédiaire d’une petite église chrétienne dont lui et son épouse, Norine Brunson, s’occupaient dans la ville côtière d’Izmir.
Les Brunson travaillaient en Turquie depuis 23 ans sans incident, jusqu’à l’arrestation d’Andrew Brunson par Erdogan sous de faux prétextes, car la vraie raison est que l’islam ne tolère pas la chrétienté sur son sol, qu’il est interdit de construire une église en Turquie – ce qui n’empêche jamais le dictateur turc de se mettre dans une colère folle et de lancer les pires menaces lorsqu’un pays occidental refuse la construction d’une mosquée.
Andrew Brunson a finalement été libéré à la suite d’efforts sous haute pression supervisés directement par le président Donald Trump, le vice-président Mike Pence et le secrétaire d’État Mike Pompeo.
En juillet, M. Trump croyait qu’il avait un accord solide avec le président turc Recep Tayyip Erdogan pour libérer Andrew Brunson, dont on disait qu’il était en mauvaise santé alors qu’il était en prison. Après qu’Erdogan ait renié l’accord, l’administration Trump a immédiatement réagi par une série de sanctions économiques qui a fait trembler le gouvernement turc.
Lors d’un simulacre d’audience d’Andrew Brunson, vendredi, pour sauver la face, quatre témoins du gouvernement ont rétracté leur témoignage selon lequel Andrew Brunson aidait des organisations terroristes. Sans l’accord d’Erdogan, ces quatre témoins ne seraient jamais revenus sur leurs témoignages – ils auraient eu la tête tranchée avant de pouvoir ouvrir la bouche.
Le juge qui présidait l’affaire a apparemment sauvé la face en condamnant Andrew Brunson et en lui infligeant une peine de trois ans d’emprisonnement correspondant au temps passé en prison. Le juge a également levé une interdiction de voyager contre Andrew Brunson, lui permettant de quitter la Turquie.
Par contraste, en janvier 2016 le président Obama avait envoyé un avion chargé de quatre cents millions de dollars en petites coupures pour la libération d’otages retenus par l’Iran.
Plus tôt cette année, Trump a fait libérer un otage détenu par la Corée du Nord, là encore sans rien payer pour sa libération, conformément à une longue tradition américaine que la mauviette Obama avait rompue.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
C’est à des victoires de ce genre que cela sert aussi de rendre à l’Amérique sa grandeur.
Bravo, Trump!
Ainsi donc, Andrew Brunson est de retour a la maison, pourquoi ne sommes-nous pas etonnes?
“You will be tired of winning!” nous avait-il prevenu, pas encore M. President, nous ne sommes pas encore fatigues de gagner, not yet, mais il est vrai que l’on commencerait presque a s’habituer…
Richard Grenell pour remplacer la magnifique Nikki Haley? C’est ce qui se dit…
Enfin, est-ce que quelqu’un sait ou est passe Obama? Il devait faire campagne pour les candidats democrates, puis apres une ou deux apparitions, il a completement disparu de la scene, on entend plus parler de lui, son absence commence a m’inquieter.
A great WE to all.
O.
@ Osceola
M. Obama est déjà absent depuis un bon bout de temps de la vie des nombreux Américains qui se sont empressés de l’oublier depuis son départ de la Maison Blanche (où il n’aurait d’ailleurs jamais dû résider). Franchement, qu’il soit encore sur terre ou non, nous sommes beaucoup qui nous en soucions comme de colin tampon.
Atikva,
You know it was just a jest, right? Comme le chien des Baskerville n’a pas aboye, Obama n’a pas fait campagne et ce silence mediatique a fini par etre suffisament audible pour qu’il finisse par attirer mon attention. Dans la recherche de l’indice qui puisse donner une indication sur l’issue du scrutin du 6 novembre prochain, j’ai trouve sa disparition des radars plutot instructive, ou revelatrice.
Attendu comme le messie par les Dems pour combler leur absence de programme, sa seule presence allait terrasser Donald Trump. Ce que nous avons vu en fait, ce sont des reunions plutot confidentielles de 750 personnes comme il en a tenu en septembre en Californie, a comparer a celles de Donald Trump, il ne pouvait continuer a prendre le risque de comparaisons humiliantes. L’effet galvanisateur qu’il devait avoir sur les minorites, noires en particulier, n’a pas eu lieu, au contraire, ce sont des mouvements comme #WalkAway qui ont vu le jour.
Obama a vu l’ecriture sur les murs, son ego narcissique a fait qu’il ne pouvait etre associe a ce qu’il voit se profiler dans ce futur immediat, preferant ainsi s’estomper puis disparaitre mediatiquement et se faire oublier, abandonnant les Dems a leur destin. Je ne suis pas persuade que ces derniers soient plus mecontent que cela.
Les memes causes produisant les memes effets, nous nous retrouvons dans la meme configuration que nous avons connus en 2016 avec des democrates de plus en plus nerveux commencant a avoir cet indefinissable sentiment de deja vu d’imminente catastrophe. Et ils ont raison.
Ce qui ne repond toujours pas a la question, mais ou est donc Barak ?
O.
https://dailycaller.com/2018/10/10/walkaway-founder-democrats-are-jumping-ship-over-kavanaugh-smear-video/
https://www.mcclatchydc.com/news/politics-government/election/midterms/article219746670.html
@ Osceola
From your mouth to God’s ear!
He knows Atikva, He knows…
Be well,
O.
En France, les média sont toujours inféodés à Hollande et nous disent à point nommé où est passé Hollande.
Il y a une heure, France Info nous apprenait que « Le chef de l’Etat » est passé à la Réunion où il a prononcé quelques mots. Et la radio d’Etat toujours à sa botte, nous a retransmis pieusement son salmigondis.
tranquillises toi ! il se fait “dorer” la tronche grâce aux millions de dollars qu il a empoché. il a d abord essayer de mettre des batons ds les roues de d trump puis n y arrivant pas il chante ” je m suis fait tout ptit devant…….
O”Bama il doit être planqué dans un mosquée a Jakarta il est né la bas normal et en plus avec Clinton il est sous enquête
Et un point de plus pour Trump et bravo à lui. Les démocrates doivent avoir la bave aux lèvres, les yeux injectés de sang, les mimiques haineuses sachant qu’une fois de plus ils passent pour des corniauds, des baltringues. Go Trump, Go.
Comme un toutou HER DOGAN est revenu tout mielleux la tête basse
et la que entre les jambes.
La mauviette obama, c’est bien le bon terme
Pas d’inquiétude hussein a dû toucher sa part sur la somme versée aux iraniens pour libérer des prisonniers, une petite mise en scène pour stocker des royalties, que voulez vous , le paradis ne dure pas toute la vie et il faut bien prévoir le lendemain….
Je ne vois pas Obama toucher des pots de vin.
Ce type de mec comme Erdogan il faut savoir leur parler c’et un art comme Poutine, Trump bon sur ce coup on va envoyer Pédale Douce menacer les Islamique (Macron et la nuit de la pédale noire)
Erdogan a testé Trump mais ce fut à ses dépens. Il sait à présent que Trump l’a à l’œil et qu’il ferait mieux de ne pas jouer au plus fin avec lui.
Et des plumes le sultan néo-ottoman en a perdu, les sanctions économiques qui ont frappé sa garde rapprochée l’ont atteint là où ça fait mal, c’est à dire au portefeuille. Désormais les milliards amassés, ceux du trafic frauduleux de pétrole avec l’État islamique, dont lui et ses proches ont largement profité, ces milliards à présent ne lui servent à rien puisqu’il ne peut ni les toucher, ni les dépenser, ni les investir, ni les déplacer. Et les droits de douane imposés à l’acier turc ont fait dégringoler la lire et donner un sérieux coup de frein à l’économie de la Turquie.
De son côté le Congrès a bloqué la livraison des F35 à la Turquie et pour cause: elle n’est plus considérée comme un allié et ce même si elle est encore membre de l’OTAN.
La morgue d’Erdogan en a pris un coup, Trump, sans fanfare et en un simple trait de plume, l’a remis à sa place. Imaginez Le Sultan qui se prend pour le prochain calife des musulmans, contraint de lâcher la carte maîtresse qu’il détenait et dont il faisait une monnaie d’échange; la transaction consistait à échanger le pasteur Brunson contre la livraison de Gülen l’ennemi juré d’Erdogan, lequel réside sur sol américain.
Dans ce match inégal où la grenouille Erdogan se croyait aussi grosse que le bœuf, Trump a gagné trois à zéro. En libérant enfin le pasteur Brunson, le Sultan d’Istanbul a choisi de limiter ses pertes; une chose est sûre cependant, désormais devant Trump il devra marcher les fesses serrées.
Merci M. le président Trump … encore une fois vous prouver que vous êtes un grand Homme d’état qui fait sont possible pour ses citoyens … surtout ceux accuser avec des fausses accusation de crime
Je crois qu’un tel homme était indispensable suite à l’installation de cette catastrophe de huit ans pour le monde.
D’ailleurs, dès le premier jour, j’ai compris quelle a été la raison principale de sa victoire.
trump et la guerre nucléaire par la corée du nord
trump et la guerre mondiale économique (la chine, le canada et le mexique ont signé)
trump et la déconfiture de l’économie aux usa (relocalisations, chomage en baisse, croissance etc)
les journalistes doivent avoir des crises de bile!
la turquie a plié c’est déjà ça, on attend la même démarche pour les chrétiens du pakistan bibi et autres emprisonnés, le pakistan comme la turquie et l’arabie saoudite, fidèles alliés de l’amérique
Je suis de vos lecteurs assidus et vous dit merci pour votre perspective juste des faits.
A l’instar de nombreux chroniqueurs, journalistes et éditorialistes, américains et internationaux, vous semblez accorder beaucoup d’importance au fait qu’obama a obtenu la libération d’otages en échange d’un paiement de sommes importantes et vous le faites à répétition.
Avec respect, c’est une erreur que de lier obama strictement au retour d’otages.
Ce n’est rien d’autre qu’une « coïncidence », une justification factice au versement d’une telle somme.
D’abord, il a payé pcq, prétend la gauche, c’était une somme dûe depuis longtemps suite à un engagement des USA à l’egard de l’Iran.
Mais, à mon avis, la véritable raison est qu’obama, comme trudeau, version vanille d’obama, désirait par dessus tout encourager la promotion de l’islam et sa propagation sournoise.
Ces traîtres à leur nation ont, en plus, la volonté de faciliter l’armement nucléaire de l’iran et son avancement comme puissance mondiale.
Accorder à cet homme le crédit d’une libération d’otages constitue, à mon avis et en dépit de toute bonne foi des auteurs, un détournement du geste vicieux, traître, dangereux de cet ex président des USA qui ne semble d’ailleurs pas avoir compris le sens du « ex »…
P.s.: notez que je ne mets de majuscule qu’aux noms d’individus que je respecte; j’ai aussi mes vices…
Je crois qu’un tel homme était indispensable suite à l’installation de cette catastrophe de huit ans pour le monde.
D’ailleurs, dès le premier jour, j’ai compris quelle a été la raison principale de sa victoire.