80% des journalistes veulent encore plus de politiquement correct, mais appelons cela par son vrai nom : censure. Ils ajoutent chaque jour de nouvelles règles, de nouveaux mots incorrects, et des idées dont il interdit de débattre.
Et dans le même temps, 80 % des Américains pensent que la rectitude politique est un problème national, contrairement au discours commun dispensé par la presse qui ne veut pas que la vérité se sache.
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80%, cela veut dire que la majorité des Américains de tous âges, de tous les niveaux de revenu et de toutes les origines raciales s’opposent fortement au politiquement correct (PC).
- 80% des Américains affirment que “le politiquement correct est un problème dans notre pays“, selon un sondage national qui s’appuie sur 8 000 répondants, 30 entrevues d’une heure et 6 groupes témoins.
- Certaines de ces données, compilées avec l’aide de YouGov, ont été publiées dans un rapport intitulé “Les tribus cachées”.
Ce qui surprend le plus dans l’étude :
- Les objections au politiquement correct sont encore plus fortes chez les minorités raciales et celles qui n’ont jamais fréquenté l’université.
- Les diplômés des universités, qui ont des revenus élevés, en particulier ceux qui ont un diplôme d’études supérieures, sont les plus nombreux à penser que le politiquement correct n’est pas un problème.
- Les groupes qui se disent athées ou agnostiques, qui s’identifient comme politiquement gauchistes, sont les moins dérangés par le PC.
- Contrairement au discours culturel publié dans les médias, le sondage révèle qu’une grande majorité d’Américains de tous âges, de tous niveaux de revenu et de toutes origines raciales s’opposent au politiquement correct, même si 82 % pensent également que le “discours haineux” est un problème.
Par ce retentissant chiffre de 80%, les Américains considèrent que la censure de la pensée et de la parole n’est pas la meilleure façon de s’attaquer aux comportements grossiers et discriminatoires, contrairement à la gauche, adepte de la censure par le PC.
- Là où l’opposition au politiquement correct est la plus forte :
- chez les Asiatiques (82 %),
- les Hispaniques (87 %)
- les Amérindiens (88 %)
En revanche, chez les Américains blancs : 79 %.
En fait, à peu près tous les groupes démographiques étudiés s’opposent massivement au politiquement correct, à l’exception des “activistes progressistes”.
Et le vice éclate lorsque l’étude révèle que ces activistes progressistes ont l’écoute des médias, et “ont un rôle surdimensionné dans le discours politique, même s’ils représentent une petite partie de la population totale (environ un Américain sur 12)”.
À propos des 8 % de personnes qui aiment le PC
“Les activistes progressistes sont le seul groupe qui soutient fortement le politiquement correct : Seulement 30 pour cent y voient un problème“, écrit Yascha Mounk, conférencier à l’Université Harvard, en commentaire des résultats du sondage.
Cela indique que le titulaire d’un diplôme supérieur est le genre de personne qui satisfera le mieux aux normes de base du travail : se présenter à l’heure, travailler régulièrement, être conforme. En d’autres termes, cette étude renforce le fait que l’enseignement supérieur américain crée ou augmente un alignement idéologique avec la gauche politique.
Et le Parti démocrate se comporte de plus en plus comme si les normes culturelles des 8% d’Américains “activistes progressistes” devaient être enfoncées dans la gorge du reste du pays.
Le politiquement correct et la “majorité exténuée”
La peur de graves sanctions sociales
Alors que l’étude se contente d’utiliser le terme “politiquement correct” pour interroger les personnes interrogées, “les participants ont clairement indiqué qu’ils étaient préoccupés par le danger quotidien qu’ils ressentent à s’exprimer : Ils craignent que par manque de connaissance avec un sujet, ou un choix de mots maladroit ou irréfléchi, ne mène à de graves sanctions sociales pour eux”, a dit Mounk.
“J’ai des opinions de gauche, mais je pense que le politiquement correct est allé trop loin, absolument “, a déclaré une femme de 28 ans de la Caroline du Nord aux auteurs de l’étude. “Nous en sommes arrivés à un point où tout le monde est offensé par la moindre chose.”
L’étude a constaté que sur le sujet, les Américains ne sont pas divisés selon les lignes raciales, de revenu ou de classe, mais entre les tendances politiques en sept tribus que l’étude a regroupées le long du spectre politique, qui va “d’activistes progressistes” à “conservateurs pieux”.
“La recherche montre à maintes reprises que la tribu [politique] d’une personne prédit ses opinions mieux que son appartenance à n’importe quel groupe démographique, ou ses traits visibles.”
L’étude a également placé les deux tiers des Américains dans une “majorité exténuée” entre ces deux extrêmes.
“Le paysage politique américain est beaucoup plus compliqué que le clivage binaire entre libéraux et conservateurs souvent décrit dans la conversation nationale”, dit l’étude.
“…La majorité exténuée contient des groupes distincts de personnes ayant des degrés divers de compréhension politique et d’activisme. Mais ils partagent un sentiment de lassitude face à notre conversation nationale polarisée, une volonté de faire preuve de souplesse dans leurs points de vue politiques et un manque de voix dans la conversation nationale.”
- L’étude a révélé que les deux tiers de cette “majorité exténuée” veulent que “les personnes avec lesquelles on est d’accord politiquement […] soient disposées à écouter les autres et à faire des compromis”.
“Pourtant, ce serait une erreur de considérer que la majorité exténuée est un groupe de centristes politiques. Ils ne représentent pas simplement un point médian entre les “tribus belligérantes” de gauche et de droite. Ils sont frustrés par le statu quo, la conduite de la politique américaine et le débat public. Ils croient massivement que le gouvernement américain est piégé pour servir les riches et les influents, et ils veulent que les choses changent.”
Les Américains indécis méritent également la dignité d’être écoutés, constate l’étude, celle de recevoir des réponses plutôt que d’être contraints de faire partie du programme de la droite ou de la gauche, même s’ils sont certains d’avoir la bonne réponse à toutes les questions politiques (“Libre-échange !” “Choix scolaire !” “Abroger Obamacare !”, “Supprimer les frontières !” “L’immigration est une bonne chose !” “Interdiction des armes !” “Avortement illimité et gratuit !”…)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
(1) Hidden Tribes
L’islam a normalisé la censure dans les sociétés occidentales.
Ce sont SOS Racisme et le CRIF qui l’ont normalisée et l’islam, d’ailleurs encouragé par eux, n’a fait que profiter de l’ouverture.
Une étude similaire faite sur la France risquerait bien de nous tirer des larmes, non ?
En France c’est clair, nous sommes ” Républicain – Démocrate ” .
Qu’elle est la différence aux USA entre Républicain et Démocrate ?
@ Mimi Bulle
Abyssale, depuis que la majorité des démocrates, ayant succombé au lavage de cerveau massif déclenché depuis Staline, ont renoncé à la démocratie et se sont mutés en islamo-socialistes utilisant les mêmes tactiques que celles employées en Europe dans les années 1930 par un autre groupe de fascistes socialistes nationaux.
Ça donne le vertige quand on pense que le parti démocrate était celui des Sudistes au temps de la guerre de Sécession.
Le reste de la population, qu’ils soient inscrits ou non au parti républicain, ce sont les ‘bandes de déplorables’ ayant résisté au lavage de cerveau qui constituent la majorité des Américains.
Cette étude correspond bien au comportement que je constate chez les 20-40 ans dans mon entourage à Montréal: refus de se dire de droite ou de gauche qui va jusqu’à la négation de ces catégories; positions de gauche sur certaines choses (antiracisme) et de droite sur d’autres (contre l’avortement); refus des taxes et de l’augmentation des impôts mais souhait que le gouvernement règle les problèmes (garderies, soins des «aînés» (qu’on ne doit pas appeler «vieux»), éducation, recyclage des déchets, entretien des routes, etc.
Les militants de gauche demeurent une minorité criarde que la plupart regardent de travers ou tolèrent («il faut bien que jeunesse se passe»).
Il reste une certaine méfiance envers la droite canadienne considérée comme bigote (évangélistes de l’Ouest canadien) et plutôt anglophone donc pas très branchée sur le Québec (en dépit des efforts de Harper et maintenant de Scheer).
magali, moi aussi, 70 ans je réfute l’appellation droite /gauche !
je me dit populiste, ce qui est beaucoup plus clair!
Il y a surtout les pressions des démocrates soutenus et payés par Sorros qui se croit déjà le maître du monde ,c’ est lui qui paye les femmes et toutes les manif contre Trump pour Obama et Clinton qui sont occupés à faire dans leur froc ; ils ont tellement peur de se retrouver devant la justice avec tout ce que l’ on a à leur reprocher avec leur malhonnêteté ; les morts de l’ Ambassade de Bengasi l’ argent offert à l’ Iran un avion rempli ; la collusion avec les russes dont ils accusent Trump ; l’ encaissement de la vente aux russes de 25 %de l’ uranium US pour la fondation Clinton ; les écoutes téléphoniques de Trump pendant sa campagne électorale etc voilà pourquoi on ne voulait pas de Cavanauh comme juge ; maintenant cela fait 5 républicains et 4 démocrates ; J ‘espère que justice sera rendue et que les coupables payeront .
Bizarrement, j’ai l’impression que ces sondages ont été faits en France. Ras le bol de ce PC
PC vous voulez dire Papier Cul…
Ce que l’on appelle “politiquement correct” n’est rien d’autre que l’intolérance et son cortège de distorsions.
Le problème ne concerne malheureusement pas qu’aux USA: Il est répandu dans tout le monde occidental. En France ,le milieu artistique, universitaire, littéraire (un peu moins), médiatique est très majoritairement controlé par cette minorité. Ceux qui veulent faire carrière et qui ont un minimum d’intelligence savent exactement ce qu’il faut dire ou pas. Celui qui a la mauvaises idée d’afficher des opinions qui ne sont pas de gauche , où qui déplaisent, sont condamnées au chômage. Par exemple dans le milieu du cinéma il est bien vu d’afficher des opinions communistes (Ken Loach) . Malheur à celui qui en fait de même pour l’extrême-droite. On reconnait ceux qui votent à droite parce qu’ils ne disent rien . Luchini est une exception.
Le problème ne concerne malheureusement pas qu’aux USA: Il est répandu dans tout le monde occidental.
Juste ici au Canada plus particulièrement dans belle province de québec dont la devise est je me souviens et si vous demandez a des québécois de quoi ils se souviennent c’est le taux élevé de taxations a tous les niveaux le plus d’Amérique du nord en plus d’etre une province SOCIALISTE.
tant qu’au politiquement correct c’est pareil partout nous l’avons vu avec le parti solidaire socialo communiste qui par la voix de MANON MASSÉ a employé un langage des plus pointu frisant la poésie avec une douceur dans son langage de bisounours de tout le monde il est gentil et tout ca sans taper du poing c’est pour cette raison qu’ils ont obtenu autant de députés au parlement québécois.
«En fait, à peu près tous les groupes démographiques étudiés s’opposent massivement au politiquement correct, à l’exception des « activistes progressistes ».».
Activistes progressistes =gauchistes marxisants alliés de l’extrême droite islamique+collabos islamos gauchistes +les journalistes gauchistes de France Presse+ ceux du journal gauchiste l’Immonde+ ceux du vivre ensemble a tout prix avec l’islamisme de Radio Canada et autre véhicule médiatique de la rectitude politique du gauchisme international
en france, la proportion avoisine les 99% des journalistes, chiffre qui me fait penser à l’urss !
nouveau mot utilisé pour dénigré sans avoir l’air de le faire : “controversé ” sans bien sur qu’ils disent par qui.
“Les groupes ……… qui s’identifient comme politiquement gauchistes, sont les moins dérangés par le PC”
Ça paraît logique.
Je suis même étonnée qu’ils soient quand même un peu dérangés par le pc, vu que c’est leur œuvre.
Le politiquement correct c’est en d’autres termes “le Marxisme culturel” créer par l’école de Francfort en 1923 par les hommes de la propagande de Lénine et de Staline : Munsenberg et Luckas”, voir cet article qui le résume assez bien :
http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-le-marxisme-culturel-ou-le-politiquement-correct-d-ou-vient-il-1-3-80622314.html
JFD
Il faut se poser la question : d’où proviennent ces journalistes ?
D’une seule et unique école de journalisme ?
Qui en sont les profs ?
Sont-ils teintés idéologiquement ?
Par quelles idéologies ?
et aussi qui détient les médias ?
Le champion toutes catégories du “politiquement correct”, au point d’être alarmant et de subodorer une psychose (comme Néron) c’est Émanuel Macron en Algérie, en Arabie, au Danemark, à l’ONU bref partout où il ouvre le bec du Président Français.
On dirait un “exalté” peut-être un possédé…
“le titulaire d’un diplôme supérieur est le genre de personne qui satisfera le mieux aux normes de base du travail : se présenter à l’heure, travailler régulièrement, être conforme.”
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C’est le problème n°1 de notre société actuelle avec l’inflation du rôle des “élites”. Comme beaucoup ici, j’ai moi même fait des études supérieures et j’ai pu observer de près ce péril. J’ai eu l’impression d’être entouré de clones de la pensée parfaitement endoctrinés plus je montait en niveau et plus l’écrémage se faisait.
Dans les études supérieures, même s’il est nécessaire d’avoir une très bonne intelligence moyenne pour réussir, ce ne sont pas les plus intelligents qui réussissent le mieux, mais ce sont les plus soumis ! Travailler ses cours et conformer sans cesse son esprit à tout ce qu’on nous demande d’apprendre et de maitriser, c’est d’abord un immense effort de soumission, d’endoctrinement et de conformation de l’esprit, le tout en temps et en heur avant chaque évaluation notée. C’est très souvent incompatible avec un esprit à la fois intelligent et libre, c’est très difficile à accomplir pour une esprit doté d’un naturel de pensée libre et indépendante. Les gens indépendants, comme pense l’être (ça parait toujours prétentieux d’affirmer cela sur soi même) étaient très peu nombreux, et on en a chier. Des gens indépendants d’esprit je me souvient qu’il y en avait en plus forte proportion au niveau du lycée, avec des niveaux d’intelligence variés, mais la plupart d’entre eux avaient de mauvais résultats scolaires et n’ont pas réussi à monter bien haut.
Ce que ja viens de dire plus haut concerne les deux sexes, mais je remarque aussi que les filles sont en moyenne de meilleures élèves. Elles ont une sorte d'”instinct scolaire” plus développé, dès la petite enfance à l’école où ça saute aux yeux, puis dans le supérieur, malgré une intelligence et une rationalité en moyenne (j’insiste bien ici sur l’idée de moyenne, c’est loin d’être le cas de toutes les filles puis femmes) légèrement moindre que les garçons, surtout une audace d’esprit plus faible, car elles sont souvent plus soumises au cadre scolaire et sociale, elles sont souvent plus “fayottes” avec les profs et les parents en travaillant bien mieux et en faisant tout ce qu’il faut pour leur plaire. Alors que les garçons sont, en moyenne, plus indépendants, plus rebelles, quelque soit leur niveau d’intelligence, donc ils sont forcément moins bons élèves puis étudiants, ils rentrent moins bien dans le moule social extrêmement conformiste de l’école puis des études supérieures. Aujourd’hui on en arrive à la situation aussi catastrophique que paradoxale que les filles réussissent bien mieux dans les études supérieures que les garçons dans beaucoup de domaines, mais que même dans les domaines où les chercheuses femmes sont désormais nettement dominantes en nombre sur les chercheurs hommes (comme en biologie, en chimie, en médecine, etc), ce sont encore les hommes, en minorité, qui font le plus de découvertes majeures…
A priori même profil que rainette et même analyse avec une soumission totale des jeunes diplômés que je suis maintenant amené à fréquenter professionnellement.