Publié par Jean-Patrick Grumberg le 16 octobre 2018

Ce que vous allez lire est systématiquement nié par la presse. Parce que nous présentons des preuves de ce que nous avançons, nous sommes diabolisés par ceux qui n’ont pas de réponse. Comme Le Monde, qui accuse tous ceux qui critiquent Soros d’être antisémites. Je ne risque pas cela, je suis juif, un juif fier, et j’en profite pour rapporter les faits.

George Soros pleurnichait, la semaine passée dans le Washington Post (5) que le président Trump l’empêche de détruire le monde car il n’a pas su voir venir son élection.

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“Tout ce qui pouvait mal tourner a mal tourné”, a-t-il déclaré au Washington Post, ajoutant qu’il “vivait dans [sa] propre bulle” puisqu’il n’avait vu venir l’ascension météorique de Trump.”

Alors il a juré de “redoubler d’efforts” en versant des millions de dollars pour s’opposer à tout ce que le Président fait de bien.

Dans son interview, où l’amertume transpire à chaque ligne, Soros se lamente d’une chose que l’auteur de ces lignes a relevé depuis l’élection de Trump, et c’est que les gauchistes, les journalistes, impuissants, voient devant leurs yeux des années de militantisme progressiste pour la transformation de la société partir en fumée, et le démantèlement du nouvel ordre mondial socialiste que Soros a travaillé pendant des décennies à construire.

Avec quelques tweets et des décisions courageuses qui ont dérouté les observateurs politiques et les diplomates internationaux, Trump a détruit le vieux paradigme des relations transatlantiques selon lesquelles les plus faibles ont toujours raison. Il a permis de retrouver le chemin des valeurs, de l’éthique, des principes, et de la morale judéo-chrétienne de la société américaine, qui sont un anathème pour le milliardaire Soros.

Les actions de déstabilisation de l’extrême gauche remontent à Soros

  • La journaliste Asra Nomani (ex-journaliste au Wall Street Journal qui se décrit comme musulmane de gauche qui a voté Trump) a documenté en 2017 que plus de 50 des associations partenaires de la Marche de femmes “spontanée” anti-Trump relayée pendant plusieurs jours par toutes les télévisions étaient financées à hauteur de 246 millions de dollars par Soros (1) et (2).
  • Auparavant, au moins 33 des 100 groupes de “Femmes de couleur”, qui avaient protesté contre l’élection de Trump, travaillaient dans des organisations qui reçoivent des fonds de Soros, dans le cadre de son activisme “noir-brun”.
  • Soros avait fait le même coup à Tel-Aviv avec la géante manifestation de tentes, que Charles Enderlin avait présentée sur France 2 comme “spontanée”, alors qu’un blogueur venait de démasquer que les quatorze associations représentées dans la manifestation étaient toutes liées à Soros.
  • Vous vous souvenez des dérapages d’Occupy Wall Street, ou des émeutes des Indignados en Espagne. Soros était derrière.

Nomination de Kavanaugh : Soros met les bouchées doubles, et se casse les dents

Samedi 6 octobre, quelque 200 manifestants défilent sur la pelouse du Capitole. À l’intérieur, le Sénat américain est en train de clore son débat, quelques heures avant le vote de samedi après-midi pour confirmer le juge Brett Kavanaugh. La foule est enragée, elle monte les marches à toute allure, déploie des banderoles parfaitement imprimées par des professionnels, et se tient debout en signe de défi en levant les poings en l’air.

Au moment du vote, les groupes d’activistes déménagent de l’autre côté de la rue jusqu’à l’immeuble de la Cour suprême.

Après avoir été informés du résultat du vote, ils se précipitent à nouveau sur le Capitole.

Bien que la plupart des manifestants ne soient pas payés, les décideurs et les leaders des manifestations de samedi au Capitole, et celles qui ont inclus le harcèlement des législateurs à l’intérieur et à l’extérieur de leurs bureaux, sont organisées par des groupes financés par Soros.

“J’ai commencé à suivre l’argent de la ‘résistance’ dès sa naissance, quelques heures après le jour des élections de 2016, explique Asra Nomani dans le WSJ (1). J’ai organisé mes résultats dans un tableau Excel que j’ai rendu public (3).

Au moins 20 des groupes les plus importants qui ont dirigé les manifestations contre Kavanaugh du samedi sont des bénéficiaires de subventions de l’Open Society de Soros.”

La pelouse du Capitole, centre des opérations de déstabilisation

Nomani : “Samedi, j’ai également étudié les logos et signatures des pancartes qu’agitaient les manifestants au Capitole et à la Cour suprême. Ils proviennent d’une liste qui m’est familière. Des groupes qui ont reçu des millions de dollars de M. Soros :

  • The American Civil Liberties Union,
  • The Leadership Conference on Civil and Human Rights,
  • Planned Parenthood,
  • NARAL Pro-Choice America,
  • The Center for Popular Democracy,
  • Human Rights Campaign,
  • et bien entendu, MoveOn.

“Êtes-vous prête à vous faire arrêter par la police?”

Nomani poursuit : “Samedi matin, hors du champ des caméras, sous une tente installée sur la pelouse Est du Capitole, une organisatrice de communauté (dans sa jeunesse, Obama a été organisateur de communauté) du Centre pour la Démocratie Populaire soumet les manifestantes à un “entraînement”.

“Êtes-vous prête à vous faire arrêter ?” demande-t-elle. “Oui !” crie le groupe, bien qu’une femme demande doucement : “Pour quoi faire ?”

“Sinon,” dit la chef, “faites la queue pour la galerie des visiteurs pour entrer et crier.”

Un organisateur distribue alors des billets pour la galerie des visiteurs du Sénat dans le but exprès de semer le chaos devant les caméras. C’est ce qu’il s’est produit – les délibérations ont été interrompues à maintes reprises par des cris de la tribune.

A un autre endroit de la pelouse, les gens de Megaphone Strategies, une société de relations publiques fondée par Van Jones, ancien conseiller d’Obama, gèrent les demandes d’interviews pour USA Today et d’autres médias. Les lieutenants de la Marche des femmes échangent des T-shirts contre des “feuilles de soutien juridique” remplies avec des informations en cas d’arrestation.

Pris la main dans le sac en train de recevoir de l’argent pour perturber l’audience du Sénat

La Fondation du Daily Caller (4) a réussi à infiltrer un des groupes financés par Soros pour perturber les séances du Sénat lors de l’audition du juge Kavanaugh.

Peter Hasson et Joe Simonson, deux contributeurs du site, ont été témoins de scènes où des militants donnent de l’argent aux manifestants arrêtés pour avoir perturbé les audiences de confirmation de Brett Kavanaugh.

Ils se sont fait expliquer que l’argent était destiné aux manifestants pour qu’ils payent les frais après une arrestation. Les activistes leur ont également expliqué comment des personnes pouvaient être arrêtées et relâchées afin de perturber l’audience plusieurs fois par jour.

Et ils ont été informés qu’au moins un avocat serait présent à l’extérieur du Capitole pour fournir des conseils juridiques gratuits aux personnes accusées.

“Rethink Media”

Rethink Media (repenser les médias) a créé en août dernier une “feuille de stratégie [anti-Kavanaugh] pour les médias sociaux” destinée aux militants.

La consigne était de diffuser un message simple : “Kavanaugh a été choisi par des groupes à l’argent sale et leurs bailleurs de fonds milliardaires.”

Rethink Media bénéficie d’une subvention de Soros. Les protestations qu’il a organisées samedi, ainsi que les perturbations illégales au Sénat, étaient non seulement bien financées, mais orchestrées avec des réservations des bus et des chambres d’hôtel.

Harcèlement des membres modérés du Congrès

Au printemps 2017, MoveOn.org a rédigé un guide intitulé “How to Bird Dog”- comment harceler les officiels en public et pendant les pauses entre-deux cessions du Congrès.

“Au cours de la dernière année, écrit Asra Nomani, j’ai participé aux appels téléphoniques du dimanche soir de MoveOn.org où ils planifient les opérations et disent à leurs “fauteurs de troubles” comment coincer les législateurs. Je reçois toujours les alertes pour leurs séances de planification. Les derniers ont été #stopKavanaugh.”

Opération Soros : Le sénateur Jeff Flake, bloqué dans un ascenseur, demande une enquête du FBI sur Kavanaugh

Jeff Flake harcelé dans un ascenseur du Sénat. A droite de côté, Ana Maria Archila, activiste payée par Soros

Toute l’Amérique a vu les images du sénateur Jeff Flake, coincé dans un ascenseur du Sénat par des activistes juste avant le vote sur Kavanaugh, pendant qu’une femme lui crie dessus “Regardez-moi !”, et l’accuse de fermer les yeux sur les viols de Kavanaugh. Suite à cela, Flake demandera que le vote soit retardé pour permettre au FBI d’enquêter sur les accusations dont le candidat à la Cour suprême est la cible.

Ce que les médias ont caché, c’est que MoveOn.org avait annoncé qu’il allait faire entrer en scène une Colombienne qui a été victime d’une agression sexuelle.

Et c’est ce qui s’est produit. Ana Maria Archila, c’est son nom, est l’activiste qui a coincé le sénateur Jeff Flake dans un ascenseur du Sénat en hurlant “Regardez-moi !”.

Archila est codirectrice exécutive du Centre pour la démocratie populaire financé par Soros. Son salaire s’élève à 156 333 $ avec une prime de 21 378 $, selon les informations disponibles sur les formulaires publics de l’Internal Revenue Service, le fisc américain.

Conclusion

Soros, tout comme les frères Koch, finance des causes qui l’intéressent.

Il n’y a rien d’illégal à cela, mais la démocratie est mieux servie par une totale transparence de la vie publique, et lorsque ce genre d’activisme à la frange est dévoilé au public, parce qu’il donne une surreprésentation d’opinions marginales et fait croire, avec la puissante complicité des médias, qu’elles représentent l’opinion générale.

Soros a donc perdu. Kavanaugh a été confirmé. Les décisions de la Cour suprême ne seront plus les mêmes.

Un procès pour discrimination positive – une monstruosité raciste inventée par les gauchistes – qui implique l’université Harvard et dont les étudiants asiatiques sont victimes, va probablement se terminer devant la Cour suprême. L’issue sera intéressante à suivre. Elle pourrait renverser des décennies de progressisme destiné à détruire ce qui fait qu’un homme est un homme afin de fabriquer “l’homme nouveau” rêvé par le communisme.

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

(1) https://www.wsj.com/articles/george-soross-march-on-washington-1538951025
(2) https://www.washingtontimes.com/news/2017/mar/7/george-soros-gave-246-million-partners-womens-marc/
(3) https://docs.google.com/spreadsheets/d/1zYoQoffWRAHrECq2PDshlPvNpNDSLtdmNjtW-gUuhqw/edit#gid=0?mod=article_inline
(4) https://dailycaller.com/2018/09/18/soros-kavanaugh-protesters/
(5) https://www.zerohedge.com/news/2018-06-21/soros-sorrowful-trumps-revolution-world-affairs-succeeding

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