S’il restait encore beaucoup d’électeurs indécis avant le 6 novembre, le choix de la sénatrice démocrate du Massachusetts Elizabeth Warren de divulguer qu’elle a une goutte de sang amérindien va peut être les aider à voter mais pas dans le sens qu’elle espére. (1)
Nul ne sait ce qui trotte dans la tête des caciques démocrates qui sont des adeptes de l’hypocrisie maximale mais la révélation de la sénatrice Warren a laissé pantois les Américains et rendu furieux les Amérindiens.
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Cette femme caucasienne de type nordique avec une chevelure blonde et des yeux bleus revendique qu’elle a un peu de sang Cherokee qui coule dans ses veines. En divulguant au public l’analyse de ses empreintes génétiques, on pourrait en déduire que l’intéressée a fait le calcul foireux qu’elle pourrait racoler les voix des Amérindiens qui ne représentent pourtant que 1% de la population. Mais cette hypothèse n’est pas crédible.
Cette révélation semble plutôt indiquer le dérangement mental qui s’est emparé de la gauche américaine. En fait, Elizabeth Warren se sent trop blanche dans un parti démocrate revendiquant essentiellement la défense des minorités et qui est de surcroît racialiste.
La nomination très contestée du juge Brett Kavanaugh a montré que l’hostilité très forte à ce candidat tenait davantage à la couleur de sa peau blanche très claire qu’à toute autre considération morale ou politique. L’homme blanc semble incarner une domination insupportable à une large frange de la gauche américaine mais aussi européenne. Anne Lauvergeon, l’ex-dirigeante de la société Areva, a clairement indiqué son racisme anti-blanc dans le recrutement des cadres de sa société.
Consciente de cette dérive de la gauche américaine dont elle est un épigone, Warren a éprouvé le besoin impérieux de divulguer son ADN pour rester dans la course folle dans laquelle s’est engagé le parti démocrate avant les élections de mi-mandat, mais aussi dans la perspective de l’élection présidentielle de 2020. Avec un taux d’approbation de 8% dans les sondages, elle a voulu jouer à quitte ou double.
Comme plus blanche qu’elle n’existe pas, elle a eu recours à cet artifice qui se retourne contre elle. Non seulement son ADN est contesté, mais elle a rendu furieux les Amérindiens qui ne supportent pas cette récupération à des fins bassement politiques.
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L’effet boomerang ne se limite pas seulement aux Amérindiens mais à tous les Américains qui sont des descendants de colons européens.
Sous la houlette de la gauche radicale, le parti démocrate s’est engagé dans une dérive racialiste qui risque de se retourner contre ses cadres qui sont encore trop blancs au goût de cette mouvance incarnée par la députée noire de Californie Maxine Waters ou encore la sénatrice noire de Californie Kamala Harris qui a étrillé le juge Kavanaugh lors de son audition.
Un raison supplémentaire pour les électeurs indécis de se détourner d’un parti démocrate instrumentalisant la violence par des groupuscules financés par le milliardaire George Soros et en proie à un prurit anti-blanc.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.
Ce qui manque à cet article, c’est de rappeler qu’Elizabeth Warren s’est faussement faite passer pour une “femme de couleur” pour obtenir un poste réservé à l’université de Harvard par le racisme institutionnel d’icelle.
C’est pour cette tricherie, cette imposture éventuellement délictueuse, que Donald Trump n’a cessé de se moquer d’elle en appelant “Pocahontas”.
C’est aussi une folle :
parce que, même si son test ADN sur son appartenance raciale était valide (alors que “la science a prouvé que les races n’existent pas”), elle ne s’est pas rendu compte que sa prétendue part 1/1024° de gènes amérindiens est inférieure à la moyenne nationale et a prétendu que ce test lui donnait raison.
@ Vincent Jappi
Petite rectification, Votre Honneur : c’est Fauxcahontas que nous l’avons surnommée.
Ça prend tout son sens !
La prétendante communiste a du sang cherokee. Sur son pare-chocs ?
Oui, elle a du sang sur le pare-chocs de sa Cherokee. Sûrement déséquilibrée, c’est à la mode !
Implacable calendrier pour un compte à rebours, qui sème la panique au sein des démocrates… pris à rebours par des élections qui vont se jouer sur le patriotisme.
Erreur fatale d’avoir voulu concentrer leur tir sur un Oncle Sam, 100% made in USA.
Vouloir le délocaliser est devenu un pari perdu d’avance.
L’étendard cinglant est sur le point de se lever…
Elizabeth Warren …. Un clown du même niveau qu’Erdogan.
@ Taquin
Non. Cette Elisabeth Warren vient d’écrire un nouveau chapitre dans le bréviaire de la “haine de soi” si chère aux socio-démocrates-progressistes.
Mais aussi dangereux radicalisé qu’il soit, Hitlerdogan ne se retourne pas contre sa propre race, ni contre sa couleur de peau, ni contre sa culture, ni contre ses origines.
j’adore cette Amérindienne de 1% d’origine avec ses cheveux blond et ses yeux bleu + j’adore aussi les sénatrices de Californie Maxine Water et Kamala Harris car tout ses folles divise le vote démocrate , les démocrates honnête et respectueux des lois refuse d’être associé a tout ses gauchistes qui sont agressif bref tout ses débiles démocrate aide directement Trump car maintenant tout les républicains qui approuvait pas ses politiques sont avec lui maintenant
Quelle ironie, elle a moins de sans indien que la majorité des blancs !
Comme le note David Friedman dans son blog :
“According to Wikipedia:
in a sample of 187 European Americans from State College, Pennsylvania, there was an average of 0.7% West African genetic contribution and 3.2% Native American genetic contribution … .
If that result is typical, Warren has at most about half as much Native American ancestry as the average European American.
Did that qualify her as a minority law professor?”
Intéressant, merci.
Cette Warren est un clown. Puisse-t-elle se ramasser une gamelle mémorable aux élections.
Barack Obama a bien été élu parce qu’il avait du sang noir!
Elizabeth Warren espère peut-être que sa goutte de sang indien lui permettra d’ accéder à la Présidence.
C’est une question de mode-média . La mode-média mène le monde. Elle balaye les vraies valeurs.
Après Benoît XVI, il fallait à tous prix pour l’Eglise, soit un pape africain, soit un pape sud américain.
Bizarrement, sa fiche Wikipedia (anglais) n’indique pas les origines de ses parents, grands-parents, notamment de quels pays européens ils sont issus… comme c’est pourtant presque toujours le cas. Elle indique juste qu’elle est la fille de Donald et Pauline Warren. Et bien sûr un loooong paragraphe consacré à ses origines amérindiennes.
Ah, Wikipedia…
Effectivement, c’est la haine de la blanchitude qui motive une telle démarche. Car même à supposer qu’elle ait entre 0,1 et 1% de sang amérindien, ourquoi ne clame-t-elle pas qu’elle a entre 99% et 99,9% de sang blanc ?
@Jacques Ady au sujet de
Pourquoi ne clame-t-elle pas qu’elle a entre 99% et 99,9% de sang blanc ?
Parce qu’elle a utilisé sa prétendue origine Cherokee pour prétendre à des postes réservés aux minorités (i.e. que ses compétences propres ne suffisaient pas à lui obtenir).
Le communiqué de la Cherokee Nation :
https://pbs.twimg.com/media/DplVEWfUcAMFAc7.jpg:large
@ Taquin
Non. Cette Elisabeth Warren vient d’écrire un nouveau chapitre dans le bréviaire de la “haine de soi” si chère aux socio-démocrates-progressistes.
Mais aussi dangereux radicalisé qu’il soit, Hitlerdogan ne se retourne pas contre sa propre race, ni contre sa couleur de peau, ni contre sa culture, ni contre ses origines.