On sait que l’islam n’est compatible avec rien, sauf avec la folie meurtrière des siens en Syrie, en Irak, au Yémen, en Algérie hier, en Afghanistan, au Pakistan, au Nigéria et partout dans le monde.
Aux yeux de ceux qui s’affublent du masque de l’islam “modéré”, un oxymore, les détracteurs de l’islam n’ont toujours rien compris au vrai sens du mot islam, la soumission faite culte, car trop aveuglé par leur jalousie maladive, paraît-il, et de leur haine de cette religion d’amour, de paix et de tolérance. Alors qu’ils ne font que de donner l’alerte sur le péril musulman.
Mais plutôt que de les écouter et surtout respecter leur droit à la liberté d’expression on les criminalise et diabolise sans raison sauf celle qui consiste à mettre à nu l’hydre musulmane.
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L’islam est tout sauf ce que les siens veulent faire croire. Il est à l’amour ce que le Coran est à la poésie romantique, à la tolérance ce que le vivre-ensemble est aux musulmans et à la paix ce que l’épée est au salut des âmes.
Briser le mythe de l’islam est plus que jamais une oeuvre de salubrité publique, une priorité absolue car il y va de la pérennité de l’humanité tout entière. C’est un combat à tout instant tant ses ravages hautement toxiques et contagieux font rage là où son engeance prend racine.
Selon les agents de la cinquième colonne et leurs collabos, l’islam est une blanche colombe qu’il est lui-même la première victime du terrorisme islamiste, comme si l’islamisme et l’islam n’ont pas les mêmes racines et ne sont pas les deux faces du miroir musulman.
La dichotomie islam/islamisme est un subterfuge pour les besoins du film où le même acteur joue le rôle de deux personnages ô combien différents l’un de l’autre au point que les spectateurs ne voient que du vent et sont convaincus que les deux font la paire comme si Dr Jeckyll et Mr Hyde étaient deux personnalités distinctes.
Deux facettes de la même personne qui sont en réalité aussi hideuse et abominable l’une que l’autre mais que par le jeu des effets spéciaux l’on arrive à faire passer le bourreau pour la victime au détriment des vraies victimes.
Un tour de passe-passe ignominieux qui donne du bourreau une image de sainte- nitouche, tel l’imam de Carcassonne qui affirmait sans honte que les attentats terroristes étaient des coups de poignard plantés dans le dos de l’islam.
L’islam martyrisé, l’islam défiguré, l’islam offensé, l’islam pansant ses blessures, l’islam blessé dans sa chair et son âme. Les morts et les blessés qui sont pourtant réels deviennent des quantités négligeables, comme s’ils n’existaient pas ; personne ne doit en parler.
Un sacrilège, un scandale même que d’en faire la une de l’actualité, le tortionnaire devient ainsi l’objet de toutes les attentions, tout le monde ou presque vole à son secours, défend son intégrité morale, dénonce les attaques insidieuses visant à le confondre avec ceux tuent au nom de son dieu.
Pas d’amalgame crient en choeur et en boucle ses thuriféraires, il faut sauver le valeureux soldat musulman de l’infamie qui l’accable et qui déshonore les “imprécateurs” qui soufflent sur la braise des divisions entre les Français. Un crime que d’accuser ce pauvre et innocent islam incapable de faire du mal à une mouche.
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C’est lui et les siens qui sont la cible de l’islamisme. Affligés et peinés par le drame qui les frappe il ne faut pas ajouter à leur malheur plus qu’ils ne peuvent en supporter. Quant aux douleurs et souffrances des familles et des proches des morts et blessés des attentats commis au nom d’Allah akbar qui n’ont rien à voir comme chacun sait avec l’islam. Elles ne sont qu’un non-événement, elles ne méritent pas que l’on compatisse pour leur chagrin. Un petit détail superfétatoire qui vient gâcher la cérémonie de deuil et de recueillement en hommage à la mémoire de l’islam. Une péripétie dans ces moments tragiques un cheveu dans la soupe aux larmes musulmanes, des larmes de crocodiles à l’acidité mortelle.
Même la Marine Le Pen, que ses électeurs présentent comme une chance pour la France, y va de son plaidoyer en faveur de l’islam inoffensif et de ses compatriotes musulmans au-dessus de tous soupçons, “Nos compatriotes musulmans sont victimes de la classe politique française“, a estimé sur i-Télé Marine Le Pen. “C’est la classe politique qui est responsable de l’amalgame entre l’islam et le fondamentalisme“, a-t-elle asséné. “Depuis des années, j’ai indiqué que je luttais contre le fondamentalisme et on m’a répondu à ça ‘islamophobe’“, a poursuivi la présidente du FN. Et d’insister : “Je tiens UMP et PS responsables de l’amalgame.”
Des compatriotes que si un jour où l’on donne le choix entre l’islam et la France seront à 100% pour l’islam. Des compatriotes mus par un seul dessein faire de la France une vassale de l’islam. La notion de compatriote n’existe pas dans la lexicographie coranique, incompatible avec l’Oumma islamique à laquelle doivent oeuvrer les musulmans du monde entier.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
merci salem de faire piqure de rappel sur piqure de rappel!
lisez le coran, plume en main pour vous en assurer
En France, la Démocratie est en danger. Non seulement à cause de la présence musulmane qui ne tolère pas l’autre, mais parce que les oppositions des deux bords s’unissent pour détruire le Gouvernement.
En cela, les oppositions des deux bords font le jeu de l’ennemi intérieur, l’Islam qui ne respecte pas l’autre.
On assiste au spectacle baroque de Marine le Pen donnant la main à Mélanchon, son symétrique extrême. Pendant que Faure et Wauquiez les bénissent tacitement.
Nous avons un remake du « Tout sauf Sarkozy » de 2012 , ce magnifique mot d’ordre politicien qui nous a valu les 5 années de dégringolade économique, politique et morale sous la Présidence Hollande.
Tout ceci pour dire que la Démocratie est fragile. Et il semble que ceux qui tirent sans cesse à boulets rouge sur le Gouvernement, veuillent en fait, détruire la Démocratie.
On aura beau se convaincre de cette incompatibilité, les ÉLITES qui nous gouvernent ont un autre AGENDA. J’irais jusqu’a affirmer que toute cette collaboration avec cette sous civilisation est débattue au sein meme des organisations comme L’ONU et L’UE et en haut lieu entre chefs d’états qui se mettent d’accord entre eux pour ce SUICIDE COLLECTIF de notre propre civilisation occidentale.
Dire que l’islam est le problème suscite des réactions hargneuses, du genre insultes d’islamophobie et autre invectives délirantes, colonialistes, fascistes, nazis etc.
Evoquer le problème que représente l’islam, c’est s’assurer le rejet des biens pensants.
La schizophrénie islamique qui oscille entre les versets d’amour et de haine n’est pas très différente des socialistes qui prônent la liberté d’expression et veulent censurer tout avis différent du leur. Entre collectivistes qui prétendent défendre la liberté et qui agissent comme un seul homme pour le chef du parti, la soumission semble un point commun. Le peuple infantilisé a besoin d’obéir à un chef, que ce soit allah, momo, marx ou lénine…
Dans certains diocèses il y a une messe particulière pour Louis 9, le 25 août. l’épitre fait référence aux “Maccabés”, rappelant qu’un certains Judas a envoyé dans les flammes tous les adorateurs institutionnalisés de l’immonde, ce qui a mis en colère beaucoup de rois dont on peut imaginer qu’ils étaient du service du prince du monde.
On a l’impression que les héritiers de ces familles royales qui se sont passé des générations en générations leurs connaissances occultes on trouvé dans l’islam le moyen du retour institutionnalisé des agents de l’immonde avec pour devises l’amour, la paix, la dilapidation dans les terres lointaines de l’argent public des nations occidentales qui empruntent pour cela jusqu’à la faillite.
Merci M. Ben Ammar pour vos articles qui sont toujours un plaisir à lire.
Indiquer que l’Islam n’est pas compatible avec la démocratie, ne livre pas de solution.
On pouvait avantageusement plutôt énoncer, que la démocratie n’est pas compatible avec l’islam, pour d’évidentes raisons inhérentes à sa définition.
Gouverner par le peuple, n’est pas possible avec des hommes souhaitant être gouvernés par leur religion.
Notre seul problème est donc un défaut de courage de notre peuple et de ses représentants, qui ne défendent plus leur démocratie, pourtant gagnée de haute lutte.
Défaut de courage, qui se paye comptant, quand il ne faudrait donner le moindre crédit à une religion qui ne veut voir naître la moindre démocratie, et ne cesse de nous démontrer sa parfaite efficacité.
Aveuglement sur un « islam modéré », qui est un oxymore pour l’immense majorité des imams et autres guides spirituels.
Les fous d’Allah ne sont pas fous, c’est nous qui le sommes.
Il ne peut en être autrement.
Pour s’en convaincre il suffit de lire le Coran (parole divine pour TOUS les musulmans) et voir l’immoralité et la brutalité sanguinaire de Mahomet (considéré par TOUS les musulmans comme le “beau modèle” qu’il faut suivre).