L’Éducation Nationale prend l’eau de toute part mais a fait sienne la tactique : « Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal »
Ceux qui sont impliqués dans l’Éducation Nationale connaissent le ras-le-bol des enseignants, surtout dans les établissements classés « sensibles ». Mais aujourd’hui, l’Education Nationale, ce système hypertrophié et sacralisé, est fissuré. Il aura suffi d’un petit film posté sur des réseaux sociaux et faisant le tour de la planète pour mettre au jour une réalité que l’on voulait tant cacher : nos établissements scolaires sont envahis de petits monstres qui crachent sur tout ce qui représente l’autorité, et dont les parents vont parfois jusqu’à casser la g … des enseignants qui ont osé reprendre verbalement leur cher bambin, même quand celui-ci a dépassé de loin la limite du tolérable.
La bien-pensance gauchiste a couvert ces exactions en tout genre au nom de la tolérance et de la liberté pour l’enfant de faire ce qui lui plaît. Il l’a transformé en « intouchable » au détriment de l’enfant lui-même, au détriment des autres élèves, et au détriment des enseignants contraints à accepter l’inacceptable.
Le système, niant les évidentes différences sociales et culturelles, est devenu si pervers qu’il fabrique à la pelle des enfants incontrôlables, quasi illettrés pour une part, ce qui pénalise fortement les enfants « normaux » qui, eux, voudraient travailler et avancer.
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Le milieu gauchiste est génétiquement opposé à l’esprit d’entreprise, à l’initiative, à la réussite personnelle quand celle-ci est le fruit du travail, de l’intelligence, des compétences et de la persévérance. Il a toujours été et sera toujours pour le nivellement par le bas, au nom de « l’égalité ». Curieuse égalité qui creuse davantage le fossé entre les enfants pouvant financièrement être mis en collèges privés ou dans des collèges et lycées huppés, et les enfants issus des « bas-quartiers »
Il y a une cause visible et évidente à ce fossé culturel : les enfants issus de zones de non-droit amènent dans leurs établissements scolaires leur haine de la France, leur refus même d’apprendre le français. Ils crachent sur les valeurs judéo-chrétiennes : ils les entendent dénigrer à longueur de temps dans leur famille et dans la rue. Quelquefois, à trois ou quatre ans, ce sont déjà de vrais démons dont les parents, eux-mêmes imprégnés de la haine de la France, savent que les éducateurs, les instituteurs, les enseignants, sont juridiquement privés de tout moyen efficace de discipline, puisque leur hiérarchie ne donne qu’une consigne : « Pas de vagues ». Face à l’impunité ambiante, les autres enfants sont vite contaminés, même ceux qui sont dans des familles saines, dont les parents, sauf à avoir le moyen d’inscrire leurs propres enfants dans des écoles privées, voient, impuissants, leurs progéniture progressivement gangrenée par l’incivilité, l’insolence, la rébellion, la violence et un langage ordurier.
Autour de moi je vois des exemples révoltants. Des femmes qui arrêtent leur travail pour faire l’école à la maison, afin de protéger leurs enfants. Mais les familles sont de plus en plus sous la menace de se voir enlever leurs enfants si elle choisissent un modèle d’éducation et d’enseignement qui dévie un tant soit peu du modèle imposé par l’Establishment scolaire. D’autres sont contraintes de déménager pour que les enfants puissent être rattachés à des établissements scolaires moins gangrenés. Pour tous, cela représente des sacrifices souvent très lourds.
Peu importe ce qui se déroule derrière les murs de ces établissements. La réputation de l’Éducation Nationale doit être préservée coûte que coûte. Il faut laver le linge sale, en interne et sans bruit. Ça, c’est encore un des cadeaux empoisonnés de la Gauche, qui se croit bonne pour ces rebelles qui deviennent vite des délinquants en sachant qu’ils seront relâchés par les juges si la police les arrête. Les mêmes, plus tard, alimenteront les rangs des gangs des banlieues, et seront toujours prêts à caillasser toute figure d’autorité, fussent-ce des pompiers, des médecins, des infirmiers, des ambulanciers… Ne parlons pas des policiers, leur cible d’autant mieux préférée que les médias se rangent toujours du côté de ces pauvres petits malheureux que l’on doit considérer comme devenant des anges dès lors qu’ils franchissent les portes de leur collège.
Dans les racines du mal qui ronge l‘Education Nationale, il n’y a pas que le laxisme face aux enfants violents et grossiers, souvent issus de l’immigration et qui, même si on peut avoir compassion d’eux, devraient être avant tout fermement encadrés. Et pour les pires, résolument écartés et rééduqués dans des établissements spécialisés.
Il y a une autre cause à la dégringolade vertigineuse de l’Éducation Nationale. Car cela dépasse largement les zones « sensibles ». La violence, les incivilités se généralisent sur tout le territoire (et partout ailleurs). Cette cause est cachée et profonde. Elle existe depuis des décennies, mais ce n’est qu’aujourd’hui qu’on en voit les effets ravageurs. En 1980, en France, une assemblée d’élus de droite, composée d’une majorité écrasante d’hommes, a voté une loi permettant aux femmes d’avorter sans en référer à qui que ce soit. Les hommes, dans une forme de lâcheté assez terrifiante, se sont ainsi interdit d’avoir le droit de vie sur leurs propres enfants, tant que ceux-ci n’étaient pas encore mis officiellement au monde. Le corollaire est qu’ils se sont aussitôt servi de cette loi pour mettre sur la femme tout le poids du droit de mort. Du jour au lendemain, des pères, réduits par eux-mêmes au rôle de « géniteurs », pouvaient fuir leurs responsabilité en déclarant : « T’avais qu’à prendre la pilule », « t’avais qu’à avorter »…
On comprend mieux le passage qui clôt l’Ancien Testament et qui parle de la fin des temps et du prophète Élie. Non, il n’y a pas de réincarnation. La Bible parle de l’Esprit qui guidait Elie, l’Esprit de vérité, qui confère à certains une autorité surnaturelle et les moyens de confronter les rois et tous les puissants de ce monde, et, par extension, toutes les figures d’autorité.
Mal 3 :23
Voici : je vous envoie Elie, le prophète, avant que le jour de l’Eternel arrive, ce jour grand et terrible. 24 Il tournera le coeur des pères vers leurs fils, et des fils vers leurs pères, de peur que je ne vienne pour frapper le pays et me le vouer tout entier.
Oui, il y aura un temps d’immense repentance des pères qui ont démissionné … On en est encore bien loin. Pour l’instant, la Parole de Dieu s’exécute et c’est tout le pays qui est frappé. L’effet pervers de la législation pro-avortement est tel que même les pères « normaux » ont souvent du mal à prendre leur place de pères dans leurs familles. Ils ont une sorte de culpabilité larvée qui les empêche de pouvoir guider et « corriger »* de manière juste leurs enfants et ceux-ci n’ont plus de repères. Ne parlons pas des conséquences désastreuses des remariages, concubinages, deux fois, trois fois… Les enfants se retrouvent avec deux ou trois pères (ou mères) qui peuvent leur inculquer des valeurs contradictoires, sans compter les familles monoparentales, sans père du tout, et ce qui va bientôt se multiplier, les familles gays où l’enfant aura droit à deux (fausses) mères ou deux (faux) pères.
• * (Certains mots, pourtant corrects, – corriger, c’est justement rendre correct, amender, améliorer. – ne peuvent déjà plus être prononcés, car considérés comme barbares)
En bref, des familles multiformes qui ne ressemblent en rien à ce que le monde judéo-chrétien, depuis des millénaires, considérait comme une véritable famille. Les familles « normales » sont de plus en plus rares. Les enfants, victimes de l’irresponsabilité parentale, sont formatés dès leur plus jeune âge pour s’adapter aux circonstances, aussi tordues soit-elles. Mais c’est la confusion : qui est le chef de famille dans ce fatras ? Quel est le modèle à suivre ?
Citons Platon :
Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne,
Alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie.
Ou encore :
On peut aisément pardonner à l’enfant qui a peur de l’obscurité. La vraie tragédie de la vie, c’est lorsque les hommes ont peur de la lumière.
L’Éducation Nationale a rajouté sa méga dose de confusion. Les notions de père ou de mère ont disparu au profit de « Parent N°1 » ou « Parent N° 2 »… Bientôt, c’est prévisible, on y rajoutera les beaux pères et les belles mères en N° 3, 4, 5…, à contacter s’il y a défaillance des N°1 et N°2.
Pendant ce temps – c’est récent, cela s’est mis en place cette année (rentrée 2018) – à l’école on a commencé à apprendre aux enfants qu’il n’y avait pas que deux genres, fille ou garçon. Il y a aussi les trans-genres, les bisexués, les neutres, et la possibilité de changer de sexe dès qu’on en a envie, à coup de bistouri et d’hormones. Ils ont droit aussi à des cours d’éducation sexuelle, dès leur plus jeune âge, cours par lesquels on leur apprend, dès la maternelle, que des actes comme la masturbation, c’est normal, c’est une saine pratique, et on les y encourage ! L’étape suivante – elle est déjà en marche avec des propositions de législateurs sans doute pédophiles – ce sera de leur révéler qu’ils doivent participer aux « jeux érotiques d’adultes », car c’est la normalité du temps.
L’Éducation Nationale est aujourd’hui infiltrée par des satanistes qui occupent des postes-clés et qui imposent dans les établissements scolaires leur immoralité nauséabonde.
Nos enfants sont en passe de vivre une désintégration spirituelle et morale monstrueuse, dont les conséquences sont prévisibles puisque des expériences anciennes en ont déjà démontré le résultat : à terme, des suicides. Je peux prédire que si on laisse tel que ce monstre qu’est devenu l’Éducation Nationale, nous connaîtrons bientôt, en sus d’une violence grandissante, des suicides en masse, tant d’élèves que d’enseignants ! Et ce, d’autant plus que les enseignants ne peuvent même pas protester contre les programmes malsains qu’on leur impose. La clause de conscience ? Ils ne sont pas censés avoir une conscience, juste d’être dociles et se taire. Et le pire est que beaucoup d’entre eux ont été eux-mêmes déjà tant imprégnés par la pensée unique gauchiste qu’ils n’en voient ni l’iniquité, ni la dangerosité.
La Bible dit (Proverbes 29:17) :
Corrige ton enfant et tu auras lieu d’être sans inquiétude : il fera les délices de ton coeur.
Corriger les enfants ? Les parents ne le font plus, les enseignants ne le peuvent plus.
Corriger, rappelons-le, cela ne veut pas dire frapper, c’est remettre droit ce qui a été tordu.
La France se situe aujourd’hui au 26ème rang du classement PISA, qui évalue le niveau scolaire des enfants de quinze ans dans quarante pays. Pour un pays qui se prétend la cinquième puissance mondiale, ça fait désordre. Surtout quand on sait que les meilleurs, ceux qui s’en sortent sans trop de dommages, et surtout les cerveaux, une fois leur diplôme en poche, préfèrent souvent aller vivre ailleurs que d’être asphyxiés par le régime totalitaire français qui fait tout pour les faire fuir, entre autres à coup de tracasserie administrative, de taxes et d’impôts.
Jusqu’ici l’Education Nationale, c’était une grande muette, non pas pour protéger des secrets d’État, mais pour camoufler toutes ses déviances. Une tyrannie hiérarchique se déploie contre tous ceux qui oseraient faire savoir l’état lamentable auquel sont parvenus bien des établissements scolaires.
Oui, des milliers d’enseignants se taisent, car parler, c’est aliéner ou briser sa carrière. C’est voir débouler pour vous sanctionner des inspecteurs chargés de vous remettre au pas, et vous réduire au silence.
J’ai été professeur il y a plus de cinquante ans. On avait les moyens de discipliner les enfants qui flanquaient la pagaille. On pouvait punir, exclure pour une seule parole insolente. Les parents nous soutenaient, car ils nous savaient des acteurs irremplaçables dans l’éducation de leurs enfants. Les professeurs d’aujourd’hui se font cracher dessus, insulter, menacer, et ils ne peuvent RIEN FAIRE. Qu’excédés ils lancent une réprimande verbale ou une légère gifle, ils sont parfois cognés par des parents qui ensuite vont porter plainte pour maltraitance de leur marmot, et les voici mis au pilori, vilipendés dans la presse, jusqu’à déclencher parfois un scandale national.
Mais chut ! Pas touche au système …
Il a pourtant dégringolé au fil du temps dans ses résultats, ce système, à partir de mai 68 où l’on a appris comme un mantra « Il est interdit d’interdire », puis avec l’arrivée de la Gauche qui semble se réjouir que nos écoles fabriquent une nuée de futurs sociopathes, psychopathes et gibiers de prison, parce que le « Il est interdit d’interdire » est devenu pour les Français, dès l’école primaire, voire dès la maternelle, ou même dès la mamelle maternelle : « Fais ce qui te chante ». Il ne faut surtout pas traumatiser ces petits.
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C’est « Mère Nature » qui est censée faire le boulot et transformer des mômes, des petits caïds, en citoyens respectables !
La première vague de 68 avait créé des parents démissionnaires, la deuxième, celle de la Gauche, a engendré des enfants rois, de fait, des voyous. Que va être la troisième vague, celle de la hollando-macronie ? Des délinquants, des caillasseurs, des dealers, des prédateurs, voire des tueurs qui savent que, quoi qu’ils fassent ou presque, eux seront vite relaxés, tandis que ceux qui ont tenté de les éduquer (ou de les arrêter: n’oublions pas que la Police et la Gendarmerie se heurtent à la même folie laxiste) seront sanctionnés ?
On se prépare de bien sombres lendemains. À moins que les scandales qui éclatent partout, maintenant, entraînent un virage à 180 ° d’un système d’éducation qui court au désastre, vers un système qui a fait ses preuves durant des siècles, et qui fabriquait des hommes et femmes responsables, aptes à s’intégrer dans leur pays et dans la vie.
La révolte, le ras-le-bol, grondent partout. En 68, le feu s’est propagé à partir des universités. Cinquante ans plus tard, d’où va partir l’étincelle qui mettra le feu ? D’une classe de mômes ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Michelle d’Astier de la Vigerie pour Dreuz.info.
Adolescent, je ne comptais plus les jeudis où j’étais ‘collé’. C’était la rétribution d’une insuffisance de travail, d’un comportement chahuteur ou d’un exercice non fait. Au lycée, être collé, c’était, en quelque sorte, un acte de résistance (blouse délibérément oubliée, voire non boutonnée). Résistance à une AUTORITÉ, car les enfants et les ados ont besoin d’une autorité et résister permet de construire sa personnalité. Actuellement, les enfants n’ont même plus besoin de résister.
Mon travail m’a conduit jusqu’au Mexique où mes enfants ont été scolarisés. La directrice de leur établissement avait une maxime : “Les enfants ont UN droit : celui d’être guidés”. Tout était dit.
Le mot “Education” est à supprimer puisqu’il n’y a plus d’éducation !
À ce train, l’EN fait carrément penser au Titanic qui non seulement a pris l’eau, mais a coulé corps et biens.
Ça ne peut que mal se terminer…
Petite digression, vous dites : “n’oublions pas que la Police et la Gendarmerie se heurtent à la même folie laxiste”
Un reportage diffusé sur TFX il y a quelques jours illustrait les difficultés auxquelles la police (municipale, pourtant) est confrontée : à un moment, les policiers sont appelés pour maîtriser un individu énervé le soir de la victoire des Bleus en coupe du monde. Alors qu’ils le maîtrisent dans un coin et lui demandent de se calmer, la foule se masse et devient hostile… envers la police !
(replay https://www.tf1.fr/tfx/appels-urgence/videos/appels-d-urgence-rixes-insultes-rebellions-interventions-musclees-a-thionville.html)
Pardon Didier !
Il est interdit d’interdire … slogan mural , que je n’ai jamais vu accomplir en 35 ans de carrière de 1967 à 2002 . J’ai enseigné dans maintes écoles de Paris et Banlieue avec majuscule volontaire car je peux témoigner qu’Aubervilliers était une ville de rêve avant … l’invasion destructrice des lecteurs du coran ( minuscule volontaire ).
Jusqu’en 1984 nous maitrisions la multiculturalité , nous en étions à un maximum de 5 ou 6 musulmans par classe , puis ce nombre a augmenté et… j’ai repensé à mon ami pied-noir à qui j’avais dit un jour que les musulmans ne nous posaient aucun problème, il m’avait alors rétorqué :
Attends qu’ils soient plus nombreux !
Pardon Didier , tu avais raison , toi tu savais et j’étais un pauvre con !
Et 1984 , c’est aussi la création de SOS Racisme et de la parabole du mélange pour faire avancer la mobylette , sauf que :
… ce mélange ne s’avérait nécessaire qu’en France , pas en Algérie où l’on constate tous les jours les bienfaits de la monoculture … quelle merde , encore pardon Didier !
Bref , accuser 1968 d’avoir démoli l’école , c’est détourner l’attention du véritable mal , d’ailleurs pourquoi les écoles les plus proches de la Tour Eiffel ou du Jardin du Luxembourg ne connaissent pas cette gabegie , posons-nous la question ?
S’il vous plaît , mon ami Didier savait de quoi il parlait , alors écoutez-moi !
Je me souviens de mon collègue F. qui après avoir découvert le cahier du mercredi
(Cours de coran ) d’un de ses élèves musulmans s’était mis à pleurer en constatant la propreté et la tenue de celui-ci . Et des souvenirs j’en ai … à foison !
1968 n’a rien à voir dans cette gabegie !
“Jusqu’en 1984 nous maitrisions la multiculturalité “…
C’est ce que vous croyiez, en fait vous ne maîtrisiez rien du tout et vous vous faisiez “enfumer” par les muz, les élèves, les parents d’élèves et vos putains de syndicats !
Je confirme.
L’islam, c’est comme les blattes. Les oeufs n’éclosent que quand les conditions de chaleur et d’humidité sont réunies. Et là c’est l’infestation, quasi irréversible.
@hagdik … un autre de mes témoignages
https://www.dreuz.info/2016/08/20/un-prof-parle-pourquoi-jemmerde-sos-racisme/
PS : la faute d’orthographe n’est pas de mon fait .
Ce n’était pas une maîtrise de l’immigration, mais une illusion de maîtrise, simplement parce que le problème était encore invisible. Le feu qui couvait sous la cendre.
Et quand le problème est apparu, on n’a pas voulu le voir, pas voulu comprendre.
Maintenant l’incendie est déclaré et ravage tout. Il faudrait les Canadair pour l’éteindre, sachant qu’après ne resteront malgré tout que les cendres et qu’il faudra tout reconstruire. Ou sinon nous n’aurons plus que des “écoles” coraniques sur tout le territoire où l’on “enseignera” l’ignorance, la bêtise et l’obscurantisme musulmans.
Exact: “IL EST INTERDIT D’INTERDIRE”
Et, maintenant, les pompiers qui ont mis le feu se plaignent qu’ils se font agresser et n’ont plus la loi en classe, par contre, ils voudraient que ce soient les autres qui viennent éteindre l’incendie.
Les Pieds noirs savaient quel cancer représentaient ces gens-là. Mais qui se serait soucié à l’époque de l’avis de ces péquenots venus d’un pays dont on ne savait même pas que c’était la France et qui avaient été chassés parce que l’Algérie devenue prospère était sujet de convoitise ?
Et oui, nous les Pieds-Noirs sommes toujours pris pour (au mieux) des rigolos, très bientôt les Français comprendront…………
Moi, j’étais jeune gamin, mais j’ai compris la nuit où le corps de mon voisin, rappelé, a été enterré de NUIT, c’était en 56 ou 57…
Il est vrai que pendant les premières années, certains gochiottes ont voulu tout mettre sur le dos des pieds noirs, mais, ensuite, certains habitants ont appris à lire.
Ne vous excusez pas pour ne pas mettre de majuscule, il n’y en a pas en arabe !
La majorité des enseignants et toute la hiérarchie au dessus sont de gauche, ceux qui concoctent les programmes scolaires, qui revisitent l’histoire de France, etc.. etc…, sont aussi de gauche et tous ceux qui ont voté les lois pour arriver où nous en sommes, sont aussi de gauche, nous récoltons ce que la gauche a semé, des mauvaises graines. A à tous les échelons de l’administration, malheur à celui qui se dit de droite.
Un enseignant la semaine dernière, sur RTL, précisait qu’il maitrisait parfaitement sa classe, qu’il avait su s’imposer et qu’il avait le respect de ses élèves. Le problème c’est que ses collègues gauchistes voyaient en lui, dans façon d’enseigner et de se faire respecter, un fasciste.
Voilà ce que donne l’idéologie gauchiotte et les conséquences sont graves pour toute la société.
Comment tous ces imbéciles ont pu croire dans leurs certitudes funestes et débiles…..
Rien que le nom est une hérésie : l’Education nationale. L’état n’a pas la mission d’éduquer (sauf dans les pays totalitaire), c’est le rôle exclusif des parents dont ils doivent être tenus pour responsables légalement et pénalement. L’Instruction publique, terme certes un peu désuet, avait au moins le mérite d’annoncer le menu. Mais cette tentacule étant noyauté par la gauche (qui se prétend avec prétention “intellectuelle”) ne se complet que dans la facilité. Elle flatte la médiocrité (c’est son fonds de commerce) comme elle se flatte elle-même. Après le naufrage de 68 (piloté par l’ex URSS) Mitterrand (“Tonton”, comme dans la mafia) a porté un second coup en abaissant à nouveau le niveau intellectuel des élèves et par conséquent des futurs professeurs, ceux qui pleurnichent actuellement. L’institution ne se remettant JAMAIS en cause cherche de nouvelles solutions, toujours plus coûteuses dans la fuite en avant. Elle commet des observatoires, des laboratoires, des comités qui réfléchissent. C’est dire ! Mais elle ne se réforme pas -refonde pas – de peur de perdre ses privilèges et révéler ses incapacités. Un état de fonctionnaires dans l’Etat. Brighelli a l’honnêteté d’en faire le constat. La perte d’autorité de l’enseignant est tout simplement le fruit de son laxisme naïf (pour les acteurs directs du terrain) orchestré et encouragé par les échelons successifs. Il faut produire en quantité des esprits mal informés, abreuvés en permanence de sous-entendu politiques, coupés de leurs racines. On n’apprend pas l’histoire de France (déjà un quasi mensonge total dans les manuels républicains) mais des morceaux choisis et repeints pour canaliser les jeunes énergies vers le dogme gauchiste. La discipline, intellectuelle et sociale n’ont plus leur place dans cette “Fabrique du Crétin “(J-P.B. ). Les enseignants pleurent aujourd’hui et s’indignent du laxisme dont ils sont les auteurs et qu’ils ont appelé de leurs vœux il y a quelques décennies. Je ne suis ni scandalisé (lassitude sans doute) ni compatissant : ce serait les décharger de leur responsabilité et il me semble du plus élémentaire des bon sens qu’ils nettoient eux-mêmes le fruit de leur inconduite. J’ai observé de l’intérieur six ans durant, le fonctionnement d’un établissement scolaire. Comment peux-t- dire que l’autorité supérieure ne dit rien (ce qui est absolument exact et scandaleux) quand chaque petit agent de la fonction publique – je parle bien des enseignants – s’octroie le droit d’appliquer strictement le programme ou pas, laisser pour compte les élèves fragiles, pactiser avec les fortes têtes pour acheter la paix, et, d’une manière générale, n’avoir aucunement l’attitude d’un enseignant convaincu non pas de son métier, mais de sa vocation ? Nous avions des Maîtres que nous respections pour leurs connaissances (et non leur savoir), et même les plus usants des élèves leurs étaient gré des efforts – méthodes- déployées pour accéder à cette connaissance. La nouvelle génération plus tournée vers un éveil pluridisciplinaire-permettant-un-meilleur-vivre-ensemble-citoyen-dans-un-esprit-d’intégration-et-de-non-discrimination-de-cette-diversité-qui-nous-enrichi (??!!?) ferait mieux, au frais du contribuable, de se mettre enfin au boulot, son boulot et uniquement celui-ci. Rendons à César…
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Au donneur de leçons :
Baisse du niveau en maths des jeunes français :
https://www.lesechos.fr/17/01/2017/lesechos.fr/0211699919778_les-inquietantes-consequences-pour-la-france-de-la-baisse-du-niveau-en-mathematiques.htm (enquête TIMSS 2015)
Baisse du niveau en maths : les grandes écoles s’adaptent https://www.lemonde.fr/campus/article/2017/01/17baisse-du-niveau-en-maths-les-grandes-ecoles-s-adaptent_5063819_4401467.html
Baisse du niveau en orthographe : la même dictée à 28 ans d’intervalle http://www.rfi.fr/france/20161110-france-une-etude-alerte-baisse-niveau-orthographe-ecoliers
Le niveau en lecture baisse dangereusement : https://www.nouvelobs.com/education/20171205.OBS8676/ecole-le-niveau-de-lecture-des-eleves-francais-baisse-dangereusement.html
Une baisse sensible également en histoire-géographie : http://www.lavoixdesparents.com/?p=3310
Article récapitulatif : “Niveau scolaire, ces cinq études qui inquiètent” http://www.europe1.fr/societe/niveau-scolaire-en-france-ces-cinq-etudes-qui-inquietent-3511721
Vous vous cachez derrière l’enquête OCDE (PISA) qui classe les USA derrière la France en 2015 pour les mathématiques pour nier la réalité de la baisse très nette du niveau des élèves français dans beaucoup de domaines, baisse qui nous a fait passer de niveaux naguère excellents à tout juste la moyenne. Et vous osez dire que Dreuz déforme la réalité…
Les gauchistes comme vous sont les spécialistes de la désinformation, au moins par omission ; ainsi que de l’inversion des rôles : le menteur et le haineux ici, c’est vous.
Et puis tant qu’à faire, retournez donc à l’école : “placeNT” et “QuanT”, c’est tout de même mieux.
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Compréhension de l’écrit seulement, il manque juste tout le reste, que j’ai balayé dans mon commentaire précédent ; vous avez un problème de compréhension de l’écrit, mon vieux.
Tenez, pour votre gouverne, quand on ne sait pas, on demande, mais d’abord on n’écrit pas n’importe quoi !!
Livre paru en 1999 : ” L’horreur pédagogique ”
quand vous aurez lu ce livre, ramenez-là !!!
Et voilà !!! Nous allons avoir un nouveau “coran saignant” et grâce à qui ? à notre gauche chiotte…
L’enseignement obligatoire de l’évolution a fait croire que l’on n’a pas de créateur.
La Bible dit que “l’insensé dit en son cœur que Dieu n’existe pas”. L’éducation nationale fabrique donc une majorité d’insensés et il y a d’autres insensés pour les élire…
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Ce commentaire et les deux précédents ne concerne que la compréhension de l’écrit :
1. voir ma réponse plus haut
2. vous radotez.
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Que nous apprend ce commentaire par rapport à la problématique abordée dans l’article – i.e. la baisse du niveau de l’enseignement en France ?
– réponse : rien.
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Ce que je retiens de cet extrait, c’est que :
1. les immigrés (issus de l’immigration) ont des performance en sciences significativement moins élevées que les élèves autochtones, quelle que soit la façon de les évaluer, même en tordant un peu l’échantillon pour se rapprocher,
2. cet extrait ne montre en rien que le niveau en France suit une tendance lourde à la baisse : si le niveau moyen des pays de l’OCDE baisse de la même façon que baisse le niveau en France, la France conservera forcément son rang, peu ou prou, dans le classement, c’est mathématique.
Votre conclusion ne vaut donc rien du tout. En maths, je vous collerais un zéro.
Quant à la sempiternelle mise en cause du “niveau social” d’origine, vieille lune de gauchistes visant à excuser d’avance la non-réussite pour cause de laxisme, de médiocrité des responsables pédagogiques et de refus de s’intégrer à la France d’un nombre beaucoup trop important de jeunes, en particulier d’origine immigrée, on connaît le refrain. C’est ce discours pourri et mensonger que Dreuz dénonce justement avec raison, en s’appuyant sur des FAITS, non sur des fantasmes et autres expérimentations vaseuses.
Vous perdez votre temps ici, mon vieux.
correction : “cet extrait ne montre en rien que le niveau en France ne suit pas une tendance lourde à la baisse”
Quel magma infame ,indigeste et absurde qui mélange les problèmes de l’éducation nationale, le droit à l’avortement , la religion , la sexualité. …
Comment DREUZ qui est un site de réinformation , peut laisser passer des articles aussi debiles…. quelle déception !!!!
@ Anne, votre hôte est chrétien, ne vous en déplaise.
Vous avez des enfants ?
Anne, à votre langage, on perçoit tout de suite la mentalité gauchiste. C’est eux, les haineux qui traitent toujours tous ceux qui pensent autrement de haineux !
J’ai lu les commentaires de « Michel » (merci à Dreux Info de les avoir supprimés !). Il croyait faire un étalage d’érudition pour « clouer le bec » à ses contradicteurs. Un vrai intellectuel de Gauche. Mais il commençait par des grossieretés et des insultes, cela puait l’arrogance et l’incapacité d’entendre les autres.
Vous faites pareil. Tous les gauchistes font pareil. Ils traitent toujours les autres de ceux qu’ils sont.
Pourquoi ? parce que la vérité les agresse. Elle met crument en lumière leur incapacité de penser par eux-mêmes, et de discerner les mensonges que ceux qui les tiennent en laisse leur servent à longueur de temps.
Vous voyez du magma infame là où les gens éclairés voient d’inéluctables interactions spirituelles, avec leurs conséquences directes, selon ce que la Bible démontre. Mais forcément vous êtes tellement plus intelligente que le Dieu qui a créé l’univers !
Je reprends la question de Pat:
Vous avez des enfants ?
Si vous en avez, et que vous adhérez au performant système de notre EN, vous risquez d’avoir des réveils douloureux.
Mais vous verrez peut-être un jour – je vous le souhaite – de quel côté est l’infamie, la propagande indigeste et la pensée absurde. C’est assez asphyxiant.
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
“Résultats fondés sur les déclarations des chefs d’établissement” : vachement fiable, en effet, quand on sait que le niveau de confiance entre les profs et leur hiérarchie laisse souvent sérieusement à désirer… et quand on sait à quel point nombre de chefs d’établissement ont à coeur de présenter une image favorable de leur établissement, pour des raisons évidentes – sans parler des différences culturelles parfois profondes entre pays, lesquelles peuvent affecter sérieusement l’objectivité… hum.
Par ailleurs, encore une fois, si le niveau baisse dans tous les pays de l’OCDE, il est parfaitement logique que la France conserve son rang au sein de l’OCDE ; cela n’excuse en rien la baisse de niveau, ni en France, ni ailleurs.
Enfin, votre conclusion n’engage que vous. Ce n’est pas parce que les parents ont une responsabilité dans le comportement de leurs enfants à l’école (absentéisme, consommation de drogues, violence…) que le système éducatif n’est pas en cause. En réalité, les deux sont responsables de la dégradation de la situation. Soit vous avez des problèmes de comprenette, soit (et je penche pour cette hypothèse, encore que) vous le faites exprès, par idéologie.
A lire les derniers commentaires, cet article dérange.
Merci Dreuz pour le courage éditorial.
On peut retourner les statistiques dans tous les sens, histoire de prouver son propre point de vue; vient un moment où il faut recourir aussi à un minimum de réflexion personnelle. Et force est de constater que l’artiste doit s’élancer sans filet…
Cher Michel, vous aurez beau vous accrocher à vos stats, le minimum serait de reconnaître l’effondrement de l’enseignement en France du à cette gauche donneuse de leçon qui détruit tout ce qu’elle touche avec la conviction de bien faire, tout en rejetant toute critique…
L’enfant roi poussé vers le néant par des parents cons, parangons de la connerie universelle de gauche, font de la qualité de l’enseignement une denrée périmée.
L’enseignement est par nature élitiste et le nier est nier la noblesse de l’apprentissage.
Le nivellement par le bas, c’est l’enseignement qui n’encourage pas les meilleurs à progresser, mais qui au contraire les freinent pour que la masse des cancres puisse se sentir égale… Voeux pieux dénué de bon sens. L’excellence n’est certainement pas de gauche, la médiocrité par contre…
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