Discours du Premier ministre Viktor Orbán à l’occasion du 62e anniversaire de la Révolution et Lutte pour la Liberté de 1956
Budapest, 23 octobre 2018
Chers participants, mesdames et messieurs,
Selon un règle mathématique, si l’on multiplie deux nombres négatifs, leur produit est toujours un nombre positif. C’est une réalité difficile à saisir. Si l’on traduit cette étrange vérité en langage historique, les contours de l’Histoire hongroise se dessinent à nos yeux. Pratiquement chacune de nos révolutions et luttes d’indépendance ont eu une issue négative ; défaite, sacrifice, répression. Et pourtant, de tout cela est ressorti un résultat positif : la survie, la patrie et la liberté. C’est un vrai mystère, évoqué par chacune de nos fêtes nationales.
Mesdames et messieurs,
En 1955, les troupes soviétiques quittaient l’Autriche. Cela faisait alors 10 ans que nous vivions sous l’occupation soviétique. En Hongrie, la terreur, la tyrannie et la déportation, rythmaient nos vies. Chacun ressentait que si les choses devaient continuer ainsi, notre culture hongroise chrétienne qui pendant mille ans a produit les générations les unes après les autres, risquait de se désintégrer, de s’effondrer et d’être atomisée par la barbarie communiste. Cette terrible situation semblait catastrophique. En un demi-siècle, nous avions perdu par deux fois les deux tiers du territoire hongrois et les millions de Hongrois y vivant, et là, voilà que pointait le danger d’anéantissement de ce qui restait de la Hongrie, cœur de la Hongrie historique. Le Hongrois n’est pas un joueur, il ne joue pas au hasard avec sa patrie, et ne s’engage pas volontiers dans une aventure douteuse. S’il le faut, il peut se battre sans espoir, mais préfère si l’héroïsme et le bon sens sont de son côté. Les combattants de liberté de 56 ont apporté une sage décision. Les Soviétiques s’étaient retirés d’Autriche, les communistes hongrois se combattaient les uns les autres, et le monde libre occidental nous enjoignait de passer à l’action et nous assurait de son soutien. Pile, le désespoir de l’annihilation, face, une opportunité unique, qui ne se répétera pas. Il fallait essayer. Et ils ont essayé, d’une manière propre aux Hongrois. Avec un courage méprisant la mort, mettant derrière nous nos querelles, dans une unité totale et le cœur pur. Avec une unité digne de celle dont nous avons fait preuve lors de la conquête de notre patrie, avec un courage méprisant la mort tel que celui de la bataille de Belgrade contre les Ottomans, et avec un cœur pur comme en mars 1848. Gloire aux héros !
Mesdames et messieurs,
Au fur et à mesure que nous nous éloignons de 1956, nous avons parmi nous de moins en moins d’acteurs et de témoins de ces jours de révolte. Nous avons du dire adieu à beaucoup de vétérans avec qui nous avons célébré ces événements l’an dernier. Les Gars de Pest sont devenus des grands-pères, et les rangées d’arbres de Corvin köz [un des lieux emblématique des combats de 56, ndlt] dont les feuilles avaient alors absorbé la fumée de la poudre sont maintenant bien larges. Mais tous les ans nous nous réunissons, qu’il pleuve ou qu’il vente, et il en sera ainsi tous les 23 octobre, tant que des Hongrois vivront sur terre. Faludy l’a bien dit : 1956 pour nous n’est pas un souvenir ou de l’Histoire, c’est notre cœur et notre colonne vertébrale. 34 ans de dictature communiste ont suivi 56 en Hongrie. Il faut bien vivre. Nous vécûmes, comme nous le pouvions. Ce n’était il y a pas si longtemps, nous nous en souvenons encore : chape de plomb, mauvais compromis, faux-semblants, dissimulations, regards anxieux, cœurs fermés et manque de confiance. Le rude quotidien des dictatures dégrade en général la dignité humaine, et même après leur échec, il reste souvent un vide, un manque de vitalité et de la médiocrité. C’est de cela que nous avons été sauvés, nous autres Hongrois. C’est de cela que les combattants de la liberté de 56 nous ont sauvé. Nous sommes reconnaissants que notre sort n’ait pas été d’avoir comme souvenir 50 ans de brouillard. Nous n’avons pas reçu en exemple, pour suivre notre voie, la faiblesse humaine et la discorde, mais le courage, l’héroïsme et la grandeur. C’est ainsi que nous, Hongrois, avons pu être fiers de notre patrie même sous l’oppression communiste.
Mesdames et messieurs,
Nous autres Hongrois sommes les meilleurs quand il s’agit de geindre, personne ne nous bat lorsqu’il s’agit de se plaindre, et nous, Hongrois, savons le plus sincèrement du monde nous lamenter sur nous même. Nous sommes de grands maîtres lorsqu’il s’agit de mettre en chanson le désespoir et le désarroi, même notre hymne dit “La liberté ne fleurit point, hélas ! dans le sang des victimes !”. Et pourtant nous voilà, mil cent ans après la conquête de notre patrie, mil ans après la fondation de notre État chrétien, une des plus vieilles nations d’Europe, ayant survécu invasions et envahisseurs. Les empereurs de l’énorme empire romain germanique, les khans de l’immense empire mongol, les sultans de l’encore plus immense empire ottoman, et plus tard, les secrétaires généraux des Soviets du plus immense des empires, voulaient tous notre fin. Nous avons pourtant tenu, au milieu de cette mer sans fin de Germains et de Slaves. N’est-ce pas là un succès historique ? Mesdames et messieurs, voilà la mathématique de l’Histoire hongroise : la multiplication de nombreux moins a au final donné du positif.
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Mesdames et messieurs,
Le mystère de la survie des Hongrois est inexplicable. La source des miracles reste en général inaccessible aux curieux esprits humains, mais les cœurs peuvent ressentir quelques-unes des causes. Une des raisons de la survie des Hongrois doit se trouver dans l’éternel héroïsme hongrois. Lors de la défense du château de Eger face aux Ottomans, le commandant Dobó a réagi aux menaces de sièges en accrochant son cercueil noir sur les créneaux ; Szondy s’est battu comme un lion jusqu’au dernier souffle ; Zrínyi a endossé sa plus belle tenue pour sa dernière sortie du château assiégé de Szigetvár ; “Longue vie à la patrie !” fut le dernier cri du premier Premier ministre de Hongrie, alors qu’il faisait face au peloton d’exécution. Et voilà les combattants de la liberté de 56. Nés dans les années 30, adolescents ou dans leur vingtaine, ces Gars de Pest qui ont reçu de la vie guerre, fenêtres obscurcies, terreur, pleurs nocturnes, chevaux morts dans les rues, abris souterrains et le Siège de Budapest. Puis, après la guerre, l’occupant soviétique, les ruines de villes criblées de balles et bombardées. Un pays, leur patrie, qui ne leur avait encore rien donné. Une Nation qui ne leur a jamais rien donné d’autre que de partager les souffrances. Mais quand la première lueur d’espoir fit son apparition, quand le recouvrement de la liberté pour leur patrie sembla être possible, lorsqu’une chance est apparue pour arracher leur nation à sa camisole, lorsqu’une maigre espérance que la Hongrie redevienne un pays hongrois s’est dessinée, ils ont su ce qu’ils avaient à faire, et y sont allé sans réfléchir. Les Gars de Pest, qui jamais rien n’avaient reçu de leur patrie étaient prêts à tout lui donner. Ils ont bien leur place dans le panthéon de l’héroïsme hongrois.
Mesdames et messieurs,
Quand après un demi-siècle d’occupation soviétique et d’oppression communiste, nous avons récupéré notre liberté, et que nous avons pu souffler hors de nos poumons l’air rance des camarades, nous pensions que nous étions rentrés chez nous. La Hongrie appartient depuis 1.000 ans à l’Europe chrétienne. Nous sommes l’Europe. Car nous sommes restés européens même lorsqu’à Yalta, nous avons été vendus, ou qu’en 56 nous avons été abandonnés. Après le départ des Soviétiques, nous avons ressenti le retour du calme et que, finalement, notre Histoire, notre culture et notre situation politique à l’échelle mondiale rentraient en ordre. Nous pensions pouvoir retrouver notre place en Europe. Dans cette famille des Nations libres, qui repose sur la culture chrétienne, la conscience nationale et les fondamentaux de la dignité humaine. Tout semblait si bien rentré dans l’ordre. Nous n’aurions jamais cru, même en rêve, que 29 ans après la libération des Nations enchaînées, l’effondrement du mur de Berlin, et la réunion du continent européen déchiré en deux, les peuples européens, et parmi eux, nous-mêmes, auraient à prendre part à une épreuve de force comme nous n’en avons pas connu depuis longtemps. Nous n’aurions jamais, même en rêve, imaginé que l’Europe ne serait pas menacée par une force militaire extérieure, que ce ne seraient pas les États-Unis ou la Russie qui la menaceraient, mais bien elle-même. Qui aurait cru que sur le plus petit continent du globe, riche de la culture la plus florissante, des techniques les plus modernes, des meilleures écoles du monde, du niveau de vie le plus élevé que l’humanité n’ait jamais atteint, puissent en quelques années être en déclin et se traîner au bord du précipice ?
Mesdames et messieurs,
Les Européens naissent fils d’une Nation. Lorsqu’il naît, l’Européen est allemand, français, italien, polonais ou hongrois. C’est l’Histoire et l’ordre naturel des choses. Lorsque un bambin prononce ses premiers mots, il les dit en polonais, en croate, en suédois, en anglais ou en hongrois, et c’est pour ça que l’Europe diffère des autres continents. L’Europe est la patrie des Nations, et non pas un creuset. Qui eu cru après cela que les idées impérialistes qui ont déjà ravagé l’Europe tant de fois allaient resurgir ? Qui eu cru que d’autres voudraient nous dire avec qui vivre dans notre propre patrie ? Qui eu cru que sur la base de fausses accusations, la Hongrie et la Pologne seraient attaquées, la Roumanie et la Slovaquie seraient menacées, ainsi que l’Italie ?
Mesdames et messieurs,
La grandeur, la force et la gloire de l’Europe proviennent des Nations à la fois coopérantes et en compétition les unes avec les autres. Les Nations respectaient les droits des unes et des autres, protégeaient les intérêts de leurs citoyens, savaient bien coopérer et travaillaient ensemble sous la bénédiction de la paix, de la prospérité et de la sécurité. La passion dans le cœur des patriotes a donné sacrifices, dons de soi, avancées scientifiques et œuvres d’art. Nous, Hongrois, avons rejoint une telle Europe il y a une décennie et demie, nous avions rejoint une Europe des Nations. Nous avons accepté l’invitation d’Helmut Kohl et de Jacques Chirac, pas celle de Bonaparte ou du IIIe Reich. Nous, Hongrois, avons assez souffert des empires. Chacun a voulu faire de nous de bons sujets. Ils n’ont pas compris que nous avons une patrie, et que la patrie n’a pas des sujets, mais des fils. Ils ont depuis peut-être appris que la Hongrie repère de loin les velléités impérialistes, et rejettent les gouverneurs tôt ou tard – dans le meilleur des cas.
Mesdames et messieurs,
L’Europe n’a pas été menée sur une mauvaise route par les nations conscientes d’elles-mêmes, mais par les velléités impérialistes. Les expériences de construction d’empires et leurs instigateurs sont responsables des horribles guerres du XXe siècle, des océans de douleur et des différents ravages de l’Europe florissante. Le national socialisme et le socialisme international, le fascisme et le communisme, tous ont eu des velléités impérialistes : idéaux supranationaux, création dans des creusets d’hommes nouveaux, profits sans précédents, et une gouvernance mondiale – impériale – pour garantir tout ça. Voilà ce qu’était, et semble être encore, la grande tentation qui pénètre encore et encore les âmes des puissants d’Europe. Aujourd’hui à Bruxelles, ils jouent de nouveau des airs impériaux. Il est vrai que c’est un air différent que ce qui se faisait avant. Ils ne conquièrent plus par les armes aujourd’hui. Nous savons bien que Bruxelles n’est pas Istamboul, ni Moscou, ce n’est pas le Berlin impérial, ni même Vienne. Jamais rien n’a été conquis depuis Bruxelles, ils n’ont qu’administré des colonies. Mais, nous, n’avons jamais été une colonie, ni colonisateur, nous n’avons jamais pris la patrie d’autrui ; et c’est pour cela que nous ne voulons donner la nôtre à personne.
Mesdames et messieurs,
Ceux qui dominent Bruxelles aujourd’hui sont ceux qui en lieu et place de l’alliance des Nations souhaitent un empire européen. Un empire européen dont les dirigeants ne seraient pas choisis par les peuples, mais qui serait dirigé par les bureaucrates bruxellois. Nous en sommes aujourd’hui au point que dans de nombreux pays, les partisans de l’empire européen sont au pouvoir. C’est pourquoi nous savons à quoi ressemblera ce Meilleur des Mondes si cela ne tient qu’à eux. Apparaissent en nombre croissant des hommes en âge de se battre, venus des quatre coins du monde, et qui façonnant à leur image les villes européennes de notre vivant, transformant les Européens autochtones, lentement mais sûrement, en minorité. La terreur devient partie intégrante de la vie des grandes villes. La manipulation politique se basant sur l’État de droit devient quotidienne. La liberté de parole et de presse se limitent à leur opinion.
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Mesdames et messieurs,
Ceux qui veulent faire de l’Union européenne un empire européen sont tous sans exception partisans de l’immigration. Ils ont fait de l’acceptation de l’immigration l’étalon de l’européanité, et attendent que chaque pays et chaque peuple deviennent sans délai multiculturels. Aujourd’hui nous le voyons, malgré leurs forces policières et militaires considérables, ils n’ont volontairement pas défendu l’Europe des masses migratoires. Si nous en avons été capables, ils auraient pu l’être également. Ce ne sont pas les capacités qui ont manqué, mais la volonté. L’élite bruxelloise et autres dirigeants antinationaux considèrent l’immigration comme une chance et une option, encore aujourd’hui. Une chance pour transformer l’Union européenne des Nations en empire monolithique, multiculturel et aux peuples mélangés. Une Europe sans États-nations, une élite coupée de ses racines nationales, un consortium de multinationales, et une coalition des spéculateurs financiers. Voilà qui serait le paradis de George Soros.
Mesdames et messieurs,
Nous sommes en octobre, mais tout le monde en Europe pense à mai prochain. Les élections du Parlement européen au mois de mai décideront du sort de l’Europe. Les peuples européens vont devoir décider de leur avenir. Nous autres Hongrois ne pouvons rester silencieux. Si le message n’est pas clair, il est alors impossible de se rassembler, même derrière la cause la plus importante et la plus juste. Il faut donc nous élancer en premier, et faire appel à ceux qui croient en l’Europe des Nations. Il faut faire voler haut le drapeau de l’Europe libre et forte. Choisissons l’indépendance et la coopération des Nations face au gouvernement mondial et à son contrôle. Rejetons l’idéologie mondialiste et soutenons à sa place la culture du patriotisme. Si l’univers bariolé des différentes nations peuple le monde, celui-ci en sera plus riche, et l’humanité, peut-être meilleure. Nous croyons que chaque nation est particulière, unique à sa façon, et peut illuminer le coin du monde qui lui a été confié. C’est ce en quoi nous croyons, et c’est d’ailleurs pour cela que nous nous sommes révoltés en 1956. Nous adorons notre culture, qui maintient et protège notre liberté. Nous croyons dans les familles fortes, nous considérons comme exceptionnelles nos traditions et notre Histoire, nous célébrons nos héros, et plus que tout, nous aimons notre patrie. Nous ne voulons et nous n’allons pas y renoncer pour faire plaisir à un quelconque empire ou gouvernement mondial. Nous ne voulons pas effacer nos sentiments patriotiques, mais au contraire, les renforcer, et même, les libérer, afin qu’ils permettent aux Hongrois d’exprimer les capacités et les talents qui sont en eux. L’Histoire nous enseigne que dans les pays souverains, la liberté est préservée, la démocratie dure, et la paix règne.
Mesdames et messieurs,
Pensons aux combattants de la liberté de 56, remémorons-nous les Gars de Pest, choisissons le futur du patriotisme et de la fierté nationale !
En avant la Hongrie, en avant les Hongrois !
Source : Visegradpost
Admirable !!!
LONGUE VIE A LA HONGRIE ET A SON PEUPLE
Quel bel exemple de courage d’un peuple qui se tiens debout dans ses bottes.
Il y en a donc un autre qui est révulsé par cette europe uniquement capable d’engraisser ses adeptes et ses chéris.
L’europe n’aurait jamais dû s’étendre à d’autres pays que ceux qui l’ont fondée.
Formidable ! Rien à ajouter ! Tout est dit !
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@ Michel
Les mafias n’ont jamais eu besoin que qui que ce soit leur ouvre des boulevards. Les mafias font ce qu’elles veulent, quand elles veulent, là où elles veulent, et sont par définition plus fortes que les gouvernements en place, quelle que soit la conjoncture politique, sociale, sécuritaire ou économique.
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Vous croyez vraiment ce que vous dites (et Jacques Attali le socialiste), ou vous faites du second degré ?
La réalité, c’est que les gens comme Attali (manifestement) et Soros veulent un monde sans frontières afin de pouvoir en devenir les souverains, les apparatchiks, gavés de pouvoir (ah, la soif de pouvoir… il y aurait beaucoup à dire) et de tous les avantages qui vont avec ; apparatchiks régnant sur des peuples asservis, divisés, abêtis par la propagande et les programmes TV débiles, bombardés de novlangue mensongère, et bien sûr tenus d’une main de fer ; tous les empires ont toujours fonctionné sur ce schéma, et l’empire mondial que vous appelez de vos vœux pourris ne dérogera pas à la règle.
NON MERCI !
“Les entreprises en question ne veulent pas régner sur un champ de ruines : elles veulent que le socialisme dont elles rêvent et dont rêvent les Démocrates repose sur une nomenklatura planétaire qu’ils tiendront (avec les dirigeants Démocrates) et qui serait censée gouverner sur des masses asservies, réduites à la précarité. Le modèle soviétique fonctionnait ainsi. Le modèle chinois fonctionne ainsi, et ce n’est pas un hasard si Google coopère activement en ce moment avec la Chine néo-communiste. Les dirigeants de l’Union Européenne voudraient une Europe fonctionnant sur ce mode, et ce n’est pas un hasard s’ils soutiennent les dirigeants Démocrates. Des milliardaires cyniques tels que George Soros veut un monde fonctionnant sur ce mode.”
https://www.dreuz.info/2018/10/04/les-democrates-tentent-de-mener-une-revolution-totalitaire-aux-etats-unis/
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Vous délirez, mon vieux ; et vos idées sont dangereuses.
Les Nations ont vécu depuis l’aube de l’humanité – et vivent encore – sans le besoin de votre Tour de Babel moderne.
Vous prenez prétexte de la lutte contre le crime pour essayer de nous vendre cette idée pourrie qui ne pourra jamais fonctionner, et pour cause : les gens sont attachés, à juste titre, à leurs racines, à leur langue, à leur culture, et ne veulent pas d’une instance supranationale qui supplante leur représentation nationale. Les Européens, de plus en plus eurosceptiques sont en train de prendre conscience de l’arnaque que constitue l’UE, démocratique sur le papier – comme le gouvernement mondial que vous appelez de vos voeux – et en réalité aussi peu démocratique qu’elle est technocratique.
Vous êtes bien un “progressiste”, prompt à promettre monts et merveilles aux gens, pour mieux les rouler dans la farine.
Votre commentaire est un concentré de connerie mensongère. La politesse ? Commencez par ne pas insulter les gens vous-mêmes, avec des propos tels que ” idées d’un autre âge”, ou votre propos outrancier sur le nazisme.
J’affirme au contraire que ce sont les gens comme vous qui ont fait le lit du nazisme : nazisme qui était un projet impérial de domination des peuples sous couvert d’union, de lutte contre le communisme et autres prétextes fallacieux.
Vive Orban, vive Salvini, vive Trump, vive Netanyahu, vivent les hommes et femmes qui aiment leur pays ! (puissiez-vous en faire une jaunisse)
Car ne vous déplaise, on peut aimer son pays, ses racines, sa culture, et vivre en paix avec ses voisins ; l’Histoire fournit beaucoup d’exemples de ce type.
Je constate que dans les périls que vous annoncez, nulle mention de l’islam ni des autres cultures et pays très hostiles à notre culture ; vous pensez les rallier à votre merveilleux projet bigbrotheresque en leur faisant des bisous ?
Excellente réponse au dénommé Michel. Je suis complètement de votre avis. Quand à M. Orban, quel discours et quel homme: phénoménal. Un président que l’on aimerait avoir en France.
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Allez vous faire voir ailleurs, vous et vos sous-entendus insultants : vous n’êtes pas sur le bon site.
Ma hargne, comme vous dites, n’est que réponse à votre morgue, mon vieux.
Quant aux Nations, vous prétendez qu’elles sont nées au 17ème siècle. Vous faites semblant de ne pas comprendre le fond de mon propos – mais de la part d’un enragé du mondialisme marxisant, je ne suis pas étonné : qu’on les ait appelées Royaumes, Duchés, Principautés, pays, Nations ou tout ce que vous voulez, la réalité est dans leur identité propre, leur langue propre, leur culture, le terroir sur lequel elles étaient/sont installées.
Vous essayez de détourner l’attention du vrai sujet, comme tout gauchiste qui se respecte, mais ça ne prend pas.
Ah, et pour la route : ce qui est démocratique, c’est ce qui vient du peuple, des gens, “d’en bas” ; et non d’en haut. Toute personne qui a travaillé en entreprise le sait, et tout citoyen responsable le sait. Or votre chimère, votre lubie, viennent d’en haut : typique d’un projet de dictature. Et cela, les gens lucides, ceux qui n’ont pas le cerveau lavé par votre propagande pourrie, ils N’EN VEULENT PAS.
a Michel,
plus affligeant que vous ….cela n’existe pas, pauvre individu. Vous en êtes pathétique…
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Blablabla, les avant-gardistes comme vous, expérimentateurs de tout poil qui n’ont cure de l’avis des gens mais pensent leur imposer une politique “pour leur bien”, et dont l’Histoire fournit maints exemples, on s’en passera. Et pas que moi, je vous rassure.
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Ben voyons, il n’y a que les gens comme vous qui peuvent débattre d’idées, le populo ignorant n’a donc pas son mot à dire. Continuez, vous vous enfoncez… vous avez raison de parler d’humilité, parce qu’il y a du boulot.
Ce que j’ai lu de vous me suffit amplement pour vous connaître car dévoilant beaucoup de votre état d’esprit, ne vous déplaise.
Je n’ai aucun respect pour les gens armés d’une telle suffisance que la vôtre, aucun.
100 pour cent d’accord avec
Jacques Ady 🌿
…lois mondiales, règles mondiales, police mondiale…hahaha… on n’a qu’a voir le fonctionnement de ce cloaque qu’est devenu l’ONU pour être convaincu de l’inanité des ces propos…. peut-être dans mille ans … on verra
Je pense que ceux qui critiquent Orban ne connaissent pas le mots PATRIOTISME, HISTOIRE, FAMILLE c’est dommage car ces mots ont conduits l’Europe pendant des siècles vers la liberté et épanouissement culturel de tous les pays qui la composent- honte a eux
@ Michel
Que voulez-vous dire ?
Il s’est trompé de site, mdr !!!
Merci, Gaïa Dreuz, pour l’envoi de ce discours VIRIL, d’un
vrai chef d’Etat, qui accompagne son discours, d’une ACTION
digne de ce nom.
Oh, oui, nous y pensons, à mai 2019! Européens, nous le
sommes; et nous sommes attachés à notre histoire, à nos
racines; donc pas à l’UE.
La défaite de A. Merkel aux élections récentes du Land de
Hesse, après celui de Bavière, est un signe très encourageant
pour tous les peuples d’Europe qui entendent ne pas se noyer
dans le “multiculturalisme” qui n’est rien d’autre, à terme,
qu’un sinistre magma mahométan qui ne laisserait rien
subsister de notre civilisation.
“Nous croyons que chaque nation est particulière, unique à sa façon, et peut illuminer le coin du monde qui lui a été confié.”
Là, il vire vers le pur utopisme. Il faudrait vraiment m’expliquer en quoi les 57 pays de l’OCI “illuminent le coin du monde qui leur a été confié”. Le monde entier a été confié à allah et à ses adulateurs et la seule illumination possible est celle d’An-Nour, la 24e sourate du coran, “La Lumière”.
Voila un discours que nous aimerions entendre de la part de nos dirigeants !
Orban: un visionnaire
Excellente définition de l’impérialisme des Gauchistes non élus de Bruxelles.
En Australie les verts ont eu le contrôle du parlement dans le passé avec moins de 8% des voix et leur leader rêvait d’un parlement mondial.
Toujours la même musique “playing the system” je ne sais plus comment le traduire!.
Très beau discours, chaque mot a un poids une importance ! Gloire aux Magyars, a ce peuple si particulier et unique en Europe ! Viktor Orban est un chef de Peuple ! j’espère qu’il formera un groupe avec le RN après les Européennes .
J’aime ce discours.
La détermination de ne pas revivre l’oppression est forte et devrait faire mouche parmi le peuple.
Bravo Monsieur Orbán.
Puissiez-vous faire des émules, sinon parmi les dirigeants européens, du moins parmi les peuples.
Migrations : elles sont pensées, planifiées, organisées par l’ONU !
20 févr. 2017 Par victorayoli Blog : Le blog de victorayoli
Vendredi et samedi 16 et 17 février 2017 s’est tenue au siège de l’Onu à New York la quinzième rencontre sur les migrations internationales (« Coordination Meeting on International Migration »).
L’Europe ultralibérale facilite sournoisement les migrations à travers des ONG et des associations soi-disant altruistes qui font tout pour faciliter l’arrivée massive de migrants. lien
Si l’on en croit les me (r) dias 160 000 personnes ont défilé à Barcelone en faveur de l’ouverture des frontières aux migrants aux cris de « Notre pays est votre pays ». Il paraît qu’il en a été de même dans d’autres grandes villes européennes. Ce qui implique une coordination de ces manifs, une organisation et donc une volonté clairement affirmée de favoriser la venue de centaines de milliers voire de millions de migrants. D’où on peut déduire que les circonstances (guerres, famines, instabilités politiques, etc.) qui poussent des populations entières à quitter l’Afrique et le Moyen-Orient pour venir en Europe ne sont pas dues au hasard mais bien le produit d’une volonté sinon occulte du moins bien cachée.
Les patronats européens ainsi que les « zéconomistes distingués » rêvent de cette main-d’œuvre nombreuse, taillable et corvéable à merci, nouveaux clients venant remplacer des populations européennes vieillissantes donc consommant moins, avachies qu’elles sont par des décennies de propagande insidieuse afin de « rendre leurs cerveaux réceptifs à CacaConla ». Il n’est pas venu à l’idée des « zélites » ni à Frau Merkel qu’en Europe, au lieu d’une concurrence sociale généralisée et une précarité organisée, une politique sociale généreuse et rassurante pourrait rendre à nos femmes l’envie de faire des enfants ! Ni que cette mutation ethnique et civilisationelle ne se ferait pas sans soubresauts puisque les « nouveaux Européens » sont pour l’essentiel mahométans.
La bien-pensance bisounours a glosé sur ce qui a été appelé « le grand remplacement ». J’ai moi-même pouffé de rire et haussé les épaules devant cette énormité.
Et pourtant il apparaît que ce remplacement des populations européennes par des populations venues de zones à forte natalité a été depuis longtemps pensé, théorisé, voire organisé. Et pas par n’importe qui : par… l’ONU !
Le nouveau secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est un défenseur acharné des migrants. Pendant dix ans, il a dirigé le Haut-commissariat aux réfugiés des Nations unies. Sa conviction maintes fois affirmée : « La migration n’est pas le problème, mais la solution. Elle est inévitable et elle ne s’arrêtera pas ». Il estime donc qu’il faut « convaincre que la migration est inévitable et que les sociétés multiethniques, multiculturelles, multireligieuses qui se construisent sont une richesse ». Tout un programme. Que l’ONU, maintenant sous la coupe de ce pittoresque Portugais, va s’efforcer de mettre en œuvre.
Vous n’y croyez pas ? C’était aussi mon cas. Voilà pourtant un document officiel qui a de quoi ébranler les plus solides convictions altruistes :
Communiqué de presse
Nouveau rapport sur les migrations de remplacement publié par
la Division de la population des Nations Unies
La Division de la population du Département des affaires économiques et sociales a publié un nouveau rapport intitulé « Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? ». Le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité.
Les projections des Nations Unies indiquent que, entre 1995 et 2050, la population du Japon ainsi que celles de pratiquement tous les pays d’Europe va probablement diminuer. Dans de nombreux cas, comprenant l’Estonie, la Bulgarie et l’Italie, des pays vont perdre entre un quart et un tiers de leur population. Le vieillissement de la population sera généralisé, élevant l’âge médian de la population à des hauts niveaux sans précédents historiques. Par exemple, en Italie, l’âge médian augmentera de 41 ans en 2 000 à 53 ans en 2 050. Le rapport de support potentiel, c’est-à-dire le nombre de personnes en âge de travailler (15-64 ans) par personne de plus de 65 ans, diminuera souvent de moitié, de 4 ou 5 à 2.
Le rapport se concentre sur ces deux tendances remarquables et cruciales, et examine en détail le cas de huit pays à basse fécondité (Allemagne, États-Unis, Fédération de Russie, France, Italie, Japon, République de Corée et Royaume-Uni) et deux régions (Europe et Union Européenne). Dans chaque cas on considère différents scénarios pour la période 1995-2050, en mettant en relief l’impact que différents niveaux d’immigration auraient sur la taille et le vieillissement de la population.
Les principaux résultats de ce rapport comprennent :
Les projections indiquent que, dans les prochaines 50 années, les populations de presque tous les pays développés deviendront plus petites et plus vieilles, en conséquence de la faible fécondité et de l’accroissement de la longévité. Par contre, la population des États-Unis augmentera de presque un quart. La variante moyenne des projections des Nations Unies indique que, parmi les pays étudiés dans ce rapport, c’est l’Italie qui subira la plus grande perte relative de population, moins 28 pour cent entre 1995 et 2050. La population de l’Union Européenne surpassait celle des États-Unis de 105 millions en 1995, mais sera inférieure de 18 millions en 2 050.Le déclin de la population est inévitable, en l’absence de migration de remplacement. La fécondité peut rebondir dans les décades à venir, mais peu de spécialistes croient qu’elle pourra remonter suffisamment dans la plupart des pays pour atteindre le niveau de remplacement dans un futur prévisible.Tous les pays et régions étudiés dans ce rapport auront besoin d’immigration pour éviter que leur population ne diminue. Cependant le niveau d’immigration, relatif à l’expérience passée, varie beaucoup. Pour l’Union Européenne, une continuation des niveaux d’immigration observés dans les années 1990s suffirait à peu près à éviter une diminution de la population totale, tandis que pour l’Europe dans son ensemble, il faudrait deux fois le niveau d’immigration observé dans les années 1990s. La République de Corée n’aurait besoin que d’un niveau modeste d’immigration, mais c’est cependant un changement majeur pour un pays qui jusqu’ici était un pays d’émigration. L’Italie et le Japon auraient besoin d’une forte augmentation de leur nombre d’immigrants. Par contre, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis pourraient conserver leur nombre d’habitants avec moins d’immigrants que ce qu’ils ont reçu dans le passé récent.Les nombres d’immigrants nécessaires pour éviter un déclin de la population totale sont beaucoup plus grands que ceux qui ont été envisagés dans les projections des Nations Unies. La seule exception concerne les États-Unis.Les nombres d’immigrants nécessaires pour éviter les déclins de la population en âge de travailler sont plus grands que ceux nécessaires pour éviter les déclins de la population totale. Dans quelques cas, comme ceux de la République de Corée, de la France, du Royaume-Uni ou des États-Unis, ils sont de deux à quatre fois plus grands. Si de tels flux d’immigrants se produisaient, les immigrants d’après 1995 et leurs descendants constitueraient une fraction impressionnante de la population totale en 2 050 – entre 30 et 39 pour cent dans le cas du Japon, de l’Allemagne et de l’Italie.Relativement à la taille de leur population, l’Italie et l’Allemagne auraient besoin du plus grand nombre d’immigrants pour conserver la taille de leurs populations d’âge actif. L’Italie aurait besoin en moyenne chaque année de 6 500 immigrants par million d’habitants et l’Allemagne de 6 000. Les États-Unis auraient besoin du plus petit nombre – 1 300 immigrants annuellement par million d’habitants.Les niveaux d’immigration nécessaires pour éviter le vieillissement de la population sont beaucoup de fois plus élevés que ceux qui sont nécessaires pour éviter le déclin de la population. Maintenir à leurs niveaux les rapports de support potentiel demanderait dans tous les cas des volumes d’immigration sans aucune commune mesure avec l’expérience passée et avec ce que l’on peut raisonnablement attendre.En l’absence d’immigration, on pourrait maintenir à leurs niveaux actuels les rapports de support potentiel en augmentant la limite supérieure de l’âge actif à environ 75 ans.Les nouveaux défis posés par des populations en déclin et vieillissantes exigeront le réexamen fondamental de beaucoup de politiques et de programmes établis, avec une perspective à long terme. Les questions cruciales qu’il faut examiner comprennent : (a) les ages appropriés pour la retraite ; (b) les niveaux, types et natures des prestations de retraite et de soins de santé pour les personnes âgées ; (c) la participation à l’activité économique ; (d) les montants des contributions des travailleurs et des employeurs pour financer les retraites et soins de santé des retraités ; et (d) les politiques et programmes ayant trait aux migrations internationales, en particulier aux migrations de remplacement et à l’intégration de grand nombre d’immigrants récents et de leurs descendants.
On peut accéder à ce rapport sur le site internet de la Division de la population
(http://www.un.org/esa/population/unpop.htm). Pour plus d’information, s’adresser au bureau de Mme. Hania Zlotnik, Directeur de la Division de la Population, Nations Unies, New York 10017, USA ; tel : +1-212-963-3179, fax +1-212-963-2147.
Autres liens :
http://www.un.org/esa/population/publications/migration/pressfr.htm
http://www.un.org/en/development/desa/population/migration/publications/migrationreport/docs/MigrationReport2015.pdf#page = 7
http://www.un.org/en/development/desa/population/migration/publications/migrationreport/migreport.shtml
http://www.un.org/esa/population/unpop.htm
http://webtv.un.org/meetings-events/watch/part-3-fifteenth-coordination-meeting-on-international-migration-organized-by-the-population-division-department-of-economic-and-social-affairs-desa/5327605123001
Serge : dans votre long exposé il faut relever un mot clef : ACTIF c’est à dire capable de travailler et en plus avec la volonté de travailler .
j’envie les USA d’avoir une population d’immigrés latinos n’ayant qu’un but : travailler pour bénéficier du rêve américain , envoyer leurs enfants à l’université et en un mot réussir par le travail .
De notre coté , pas de problème pour la natalité puisque nous nous africanisons : tout va bien .
patito
Espérons que ce sera pour le meilleur et non le pire
Quel magnifique discours ! Merci Mr ORBAN et merci au peuple hongrois!
Je me sens Hongrois!
Pour ceux qui veulent découvrir le magnifique courage des Hongrois je conseille de lire le livre de JANOS KEMENCEI dont le titre un peu racoleur: Legionnaire en avant !
nous fait surtout découvrir en première partie du livre la Bataille de Budapest et l’héroïsme des hongrois contre les soviets.
Quand à ce pauvre Michel élevé dans le gauchisme mai soianthuitard puis gavé par des journaleux issus de Science-po ……….. je le plains!!!
[Commentaire supprimé, troll vulgaire sans la moindre trace d’éducation]
Espérons que Vctor Orban fera des émules en Europe, pour l’instant on voit lui et Matteoli.
L’Autriche, la Pologne, la Serbie et les autres devraient suivre.
Make Europe great again !