En pleine crise politique après la démission de son ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, Emmanuel Macron a visité ce mercredi le Mondial de l’Auto à Paris. Mais son passage n’a pas fait que des heureux.
Comme pour mieux balayer toute idée de crise politique, le président de la République, Emmanuel Macron, a visité ce mercredi le Mondial de l’Automobile à Paris.
Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’Etat est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia.
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Quand Macron privatise le salon
Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformée en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Elysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité.
Dans ce petit cercle, le président a simplement indiqué, selon l’AFP, qu’ « il y a un cap, des institutions, un gouvernement au travail, au service du pays et du peuple français ». « C’est ce qui compte. Le reste ce sont des péripéties. »
Une heure plus tard, questionné sur ses difficultés politiques, il a répondu : « Si vous voulez, faites votre constat. Moi, je continue à conduire ». « Le volant, ce sont les Français qui le donnent et ils l’ont donné pour cinq ans à une personne. »
Les professionnels peu convaincus
Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures.
Jamais un président de la République n’avait été entouré d’autant de précautions, qui plus est lors de journées professionnelles.
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Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto. « En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français.
Source : Lejsl
Et après avoir pris la pause « suffisant », a-t’il oublié son verre de champagne de luxe?
Sa visite a plu aux dirigeants…………….. Evidemment, ils se trouvent bien où ils sont, et ont la trouille de déplaire à César.
Les français votent et réfléchissent après, puis se plaignent. Chers compatriotes qui ont voté pour lui, et bien fallait pas … ! Vous chantiez, et bien pleurez maintenant.
Vieux bidasse, Carlos Tavares PDG du groupe PSA n’a peur que d’une seule chose : son reflet dans un mirroir. Je suis certain que Macron ne l’impressionne absolument pas.
Les Français ne choisissent rien, l’élection est complètement truquée par la médiacratie payée par la bureaucratie avec l’aide d’un judiciaire tout aussi politisé.
D’une, les médias d’état à 86% de gauche (sondage Marianne) ne vont mentionner que les candidats qui les arrangent, premier tri de la liste des présidentiables.
De deux le candidat qui leur plaît à droit à toutes les attentions flatteuses et les « oublis » salutaire de ses casseroles alors que le candidat d’en face est qualifié de « fasciste raciste vendu à la finance ».
Et de trois, si par hasard il résiste quand même, comme Fillon qui avait un boulevard pour la présidentielle, le judiciaire l’accuse et la campagne de presse diffamatoire qui suit le met hors jeu.
Macron, c’était la bouée de secours de l’appareil d’état le plus gros au monde (57% du PIB) socialiste qui protège ses privilèges et ses pillages.
Ils l’ont construit en partant de rien et ont éliminé brutalement son seul adversaire.
Bien dit !!!!!!
En tous cas il n’y a pas la même proximité que dans nos îles …. là bas pas de barrières et on se prend dans les bras bien collés serrés !
« Jamais un président de la République n’avait été entouré d’autant de précautions, qui plus est lors de journées professionnelles. »
🙂
Visiblement il y en a beaucoup moins – des précautions – lorsqu’il s’agit de rencontrer de jeunes beaux rappeurs issus de la diversité, et de les inviter à l’Élysée :
https://www.youtube.com/watch?v=hwTZOTPPnHY
Des déclarations préparées par son staff de théâtreux pro-islamistes , pitoyable , et la France continue d’avancer vers le gouffre coraniste !
Le fripounet inverti préfère se faire des poutous avec des repris de justice, que de partager sa visite au salon de l’auto avec des gens honnêtes, question de choix.
Emmanuel Macron a l’art de répondre aux circonstances avec justesse et précision tout en restant lui-même, préoccupé du bien commun et du bien particulier de tel ou tel qui l’interpelle.
Au Salon de l’auto le Président a exprimé son refus de se soumettre à « la tyrannie de l’immédiat » et de se focaliser sur les « péripéties » qui vous empêchent d’avancer.
À Colombey les deux églises, il a cité fort à propos le Général de Gaulle qui éduquait ses enfants à parler sans se plaindre.
À Saint Martin, il a donné la moitié de son manteau à un garçon qui par sa mauvaise conduite avait fait pleurer sa mère. Et il rendu le garçon à sa mère.
Chaque fois, c’est l’homme total qui s’exprime.
Mais l’ennemi qui veut sa peau, ne comprend pas, n’entend pas, ne veut pas voir . C est trop haut, ça le vexe car il se compare. Évidemment, si on se compare à Macron, on est humilié. Mais ce n’est pas parce qu’il est arrogant. Il est au contraire étonnamment simple, amical et ouvert. C’est seulement parce qu’il est supérieur.
vous avez raison : demandez vite la canonisation
Ce machin ,(pas un homme ,pas humain ,meme pas les qualites d un animal ,bienveillance pour le troupeau ,la portee (la ca serait dur ,,ce n est pas le genre etalon )donc ce machin ce sont les pleurnicheuses retraites et les cadres qui ont vote pour ca .Bureau des pleurs ferme .
j’attends avec impatience que cette vraie tête à baffes en reçoive une pluie gigantesque qui nous en débarrasserait.
Quand Jupiter est au volant, Saturne pas rond…
Jupiter au volant, la charia au tournant.
Des réponses sybilines comme venant d’une araignée au plafond.
Pour le pays, c’est un cap, c’est une péninsule, et quand le tarin fume on dirait un incendie à Saint Denis pour faire rire les chouchous du pouvoir qui en a peur.
En argot, un champion du volant, c’est un as du macaron.
Dans l’avancée sociétale du mariage pour tous on peut aussi avancer que les plus heureux sont aussi les as du macaron , à moins que ce soient les as des baba au rhum des antilles.
Grace aux projets en cours par les as de la culture c’est aussi les as du macaron que l’on va donner comme enseignants dès la maternelle.
L’avenir est dans le macaron marron fait avec des bouses de vaches à donner généreusement aux grands cons.