Publié par Manuel Gomez le 12 novembre 2018

Son existence même est niée. Notre peuple n’est ni peuple, ni français.

Au sein d’une communauté civique il n’y a qu’un seul peuple: le peuple autochtone.

Les non autochtones forment des communautés qui ne sont que des groupes de peuples étrangers. En tant que telles, ces communautés ne sont fondées à revendiquer aucun droit particulier.

Elles doivent se plier à nos valeurs, à notre culture, parce qu’elles sont venues s’installer « chez nous » et ne sont plus « chez elles ».

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Le XXe siècle a été le siècle des idéologies : Le communisme, le fascisme, le socialisme, le nationalisme, le libéralisme, ont semé terreurs et destructions.

L’identité est aux peuples ce que la personnalité est aux individus. L’identité est véritablement la personnalité des peuples et les peuples ne peuvent se réaliser qu’en fonction de cette personnalité.

Dans l’absolu toutes les identités se valent. Aucune identité n’est supérieure à une autre.

Toutes les identités doivent être respectées : il ne faut pas faire supporter aux autres identités ce que je n’accepterais pas que l’on fasse supporter à mon identité.

La république nous propose de vivre nos différences à la maison et de ne pas les afficher dans la sphère sociale.

Il est fondamental de créer une république identitaire afin de sauver la République.

Il n’y a pas de démocratie sans identité. Toute remise en cause identitaire est violente pour celui qui la subit

La démocratie c’est le pouvoir du peuple. Le premier de ces pouvoirs est celui de vivre librement son identité.

Le droit pour le peuple d’organiser le fonctionnement de sa société en fonction de sa propre identité et de ses propres valeurs et donc le premier des droits. Celui qui conditionne tous les autres.

La capacité d’une société à s’organiser et à fonctionner selon des valeurs identitaires est ce qui spécifie les sociétés humaines. C’est la raison pour laquelle nous avons des principes et des valeurs pour justifier nos choix.

Dans une société humaine tout dépend de l’identité et se justifie par l’identité : les relations sociales, la vie publique, l’urbanisme, le travail, l’art, le religieux et tout cela n’est pas exclusif.

Toutes les sociétés humaines se construisent et évoluent en fonction de choix identitaires. C’est pourquoi tous les aspects visibles d’une société se constatent dès le premier coup d’œil.

Nous reconnaissons immédiatement si nous sommes dans un pays africain, asiatique ou arabe.

De nombreux indicateurs identitaires nous le signalent : Ambiance, vêtements, architecture, urbanisme, traditions culinaires et artistiques, même si nous n’apercevons pas le drapeau.

L’identité et l’humanité sont étroitement liées.

Les grandes périodes anarchiques se produisent souvent lorsque sont remises en cause l’identité et la culture.

La perte des valeurs, des mœurs, des coutumes, des repères, aboutissent inévitablement à la violence, après le désenchantement.

Les causes d’un repli identitaire sont toujours politiques. Elles se justifient par la présence au milieu de notre peuple de populations étrangères. Quand plusieurs identités cohabitent il est difficile d’organiser le fonctionnement de la société.

La république a décrété que certaines de nos valeurs étaient universelles et donc acceptable par tous les hommes. Cela est faux.

Quand une minorité identitaire devient trop importante au sein d’une société elle n’accepte plus de s’autodétruire et de se plier à  la prééminence d’une autre identité ?

Les sociétés humaines ne sont pas seulement naturelles, elles sont surtout culturelles.

Nos valeurs fondamentales telles la laïcité, la démocratie ou les droits de l’homme ne sont en aucun cas des valeurs universelles. Il ne s’agit pas de lois naturelles.

Toutes nos valeurs créées ont une histoire, une évolution. Elles sont indissociables de notre culture. Elles sont l’essence même de la civilisation européenne.

La déclaration des droits de l’homme, quand elle n’est pas détournée au profit d’une idéologie, s’inspire du principe de liberté et d’égalité.

Cette déclaration n’est pas universelle et on ne peut obliger un peuple à l’accepter « chez lui », mais il est indispensable de l’obliger à l’accepter « chez nous » !

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C’est très exactement le même cas en ce qui concerne la République ou la Démocratie.

Notre démocratie occidentale n’est pas applicable forcément à d’autres peuples, surtout à ceux dont la religion régit leur existence et leur culture.

Si demain notre peuple n’est plus en mesure de s’identifier, si on l’oblige à admettre qu’il n’existe pas en tant que tel, qu’il n’a jamais existé, dès lors il ne peut que disparaître.

Et il disparaîtra puisqu’on l’accuse de tous les maux : les « Blancs » sont racistes, ils ont colonisé, ils ont exterminé, et de ressortir des tiroirs les « pages noires » de notre histoire.

Nous sommes les seuls à avoir un devoir de mémoire, les seuls à devoir nous repentir pour les crimes que nous sommes censés avoir commis, les génocides, l’esclavage, la colonisation et, bien entendu, avec toujours l’objectif non dissimulé de payer nos dettes, morales bien sûr, mais surtout en espèces sonnantes et trébuchantes, même si nous sommes venus au monde bien après, il nous faut tout de même payer pour « notre passé ».

Mais qui nous paie pour les crimes, l’esclavage, les spoliations, que nous ont fait, et nous font, subir « les autres » ?

Les autres peuples n’ont pas de devoir de mémoire, n’ont pas de repentances à exprimer, n’ont pas des « pages noires » dans leur histoire ?

Dois-je rappeler à Bouteflika et aux Algériens, leurs crimes, leurs atrocités, leur barbarie, leurs viols, leurs vols, pour ne parler que de l’Algérie, puisqu’elle me concerne plus particulièrement, mais également pour bien d’autres pays de notre monde ?

Et c’est la question qui se pose ? Pourquoi, malgré tout ce que l’on nous reproche, toutes ces populations que nous avons assassiné, torturé, colonisé, exploité, et j’en passe, se déversent « chez nous » ? La réponse nous la connaissons, inutile donc de la préciser !

Et nous parvenons à cette absurdité que l’on nous oblige à subir parce que justement nous refusons de subir cette invasion incontrôlée : « Nous sommes les méchants, les racistes, les tueurs et « eux » sont les « bons » ceux qui sont, et seront, « nos chances » !

La France d’aujourd’hui, sa politique d’intégration, la perte de ses valeurs fondamentales, la perte de son identité, n’est plus la France que nous aimons, n’est plus cette « Douce France, ce cher pays de mon enfance ».

Le monde change il est vrai mais il pourrait changer en mieux et non en pire !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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