Il n’y a pas plus de salafisme djihadiste que de salafisme quiétiste, ou de wahhabisme que d’islamisme, quatre mots pour définir la même réalité doctrinaire.
Il s’agit de la même cellule souche cancéreuse qui est en train de métastaser le corps musulman qui plutôt que s’en immuniser et le combattre semble non seulement s’en accommoder parfaitement mais il se réjouit de ses performances morbides.
Sans Mohamed Abdelwahab, le salafisme aurait vécu. Le wahhabisme dont il est le père- fondateur n’est rien d’autre que l’exhumation de la pensée salafiste qu’on croyait disparue des radars musulmans depuis 5 siècles. “C’est l’école de pensée hanbalite, fondée par l’imam Ahmed ibn Hanbal (780-855) au IXe siècle, qui a forgé les racines de l’idéologie salafiste. Deux disciples de cette doctrine, l’imam ibn Taymiya (1263-1328) et Mohamed ibn Abdelwahab (1703-1792), en deviendront ensuite les deux principales références idéologiques.” (1)
Qu’il soit djihadiste, quiétiste ou wahhabite le salafisme est hostile à l’innovation, bida’a, qu’elle soit matérielle ou immatérielle, afin de préserver l’islam des perversions.
Pour le salafisme, le changement est l’ennemi de la religion et pour la garder intacte il préconise à la conserver dans le formol pour lui conserver son aspect originel. Pour lutter contre les effets induits du changement le salafisme prône veut enfermer l’islam dans un bunker doté de parois hermétiques en verrouillant tous les accès de peur certainement qu’il ne soit renvoyé à ses faiblesses et ses limites. Car c’est en ayant d’autres sources de références politiques, intellectuelles et culturelles, et en étant instruits des sciences sociales, dotés d’esprit critique, et imprégnés de philosophie et d’humanisme que les musulmans peuvent prendre conscience de la fausseté et de la vacuité du message mahométan.
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De peur qu’un vent novateur ne balaye l’islam, le salafisme veut s’ériger en rempart contre le vent du changement. Sous prétexte que le ré-immersion dans le passé de Mahomet et ses compagnons est la seule planche de salut pour les musulmans devenue le cauchemar de l’humanité depuis les attentats du 11 septembre 2001 où ses auteurs portent la marque de fabrique du salafisme wahhabite saoudien.
Nul doute que le salafisme n’aurait jamais connu la puissance de feu qui est la sienne aujourd’hui si l’Arabie Saoudite n’en avait pas fait son virus diplomatique qu’elle propage à coup de milliards de dollars aux quatre coins du monde à travers un réseau de prédicateurs formés à l’université de Médine ainsi que les associations “caritatives” des Frères musulmans. Réislamiser et islamiser.
Ce qui aurait pu être déclaré comme crime contre l’humanité à cause des organisations terroristes nourries par l’idéologie salafiste comme la Qaïda, Daech, Boko Haram, les talibans, Ansar al-Charia, on en fait un allié en Syrie, en Irak, en Algérie, en Tunisie, en Afghanistan, en Afrique noire, et on le laisse prospérer impunément en Occident même dans les cités-ghettos islamisées. Comme si l’on ne veut pas se fâcher avec son chef-marionnettiste et bailleur de fonds saoudien.
Rarement une nébuleuse aussi toxique que le salafisme n’a bénéficié d’autant de bienveillance de la part des gouvernants occidentaux au mépris de la sécurité de leurs citoyens.
Après avoir promu les salafistes résistants en Afghanistan, rebelles en Syrie, il est à craindre que la politique irresponsable et suicidaire des Etats occidentaux ne soit en train de leur baliser le chemin du pouvoir entamé par l’élection des deux voilées musulmanes au Congrès américain.
Son idéologie porte en elle toutes les stigmates de la barbarie humaine. Aussi immonde et inhumaine que la barbarie nazie à laquelle elle s’est ralliée en 39-45 sous l’impulsion du Mufti al-Husseïni, conseiller notoire d’Adolphe Hitler et artisan du premier grand pogrom anti-juif en 1929 en Palestine sous mandat britannique. (2)
Il n’est en rien un islam déviant et sectaire. Il est son clone le plus abouti et ce visage épouvantable et hideux de l’islam que les musulmans complet-cravate-lunettes Ray Ban veulent soustraire du regard du reste du monde. Un islam fasciste, totalitaire, messianique, hégémonique, raciste, antisémite, christianophobe, terroriste, ulltra-réactionnaire, ultraconservateur, suprémaciste, négationniste, altérophobe, binaire et discriminatoire, pour qui un non-musulman est un chien d’infidèle. Il prêche le mépris et la violence envers les minorités religieuses et légitime leur anéantissement. Plusieurs visages dont le but est d’unifier les musulmans sous la bannière de l’islam. (3)
Le salafisme est l’islam du retour aux sources originelles, l’hérésie est de condamner ce qu’il n’est pas. S’il séduit les musulmans, tout simplement parce qu’ils s’y reconnaissent et s’y identifient et qu’il ne trahit en rien les préceptes coraniques. I
Il est l’exutoire de leurs frustrations contre l’Occident. Leur marqueur identitaire et une utopie pour digérer l’amertume de leur présent en exaltant la splendeur passée de l’islam.
Voulant faire de la résurgence d’un passé fantasmagorique un remède à la métastase islamique. Alors qu’il est lui-même le grand mal que Mahomet a inoculé chez les Bédouins avant qu’il ne déferle sur des civilisations en bout de souffle et agonisantes. Celui qui est incarné par l’Arabie Saoudite, le Qatar et les pays du Golfe, ces créatures des Anglo-Saxonnes, sorties du sable comme des scorpions sortant de leurs galeries pour s’attaquer à leurs proies.
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Le salafisme est celui qui a basculé le monde dans une horreur indicible le 11 septembre 2001 et qui a à son actif tous les attentats terroristes en Occident. Des attentats applaudis par la majorité des musulmans dans le monde et accueillis par des salves de joie et des youyous des femmes à Gaza et en Cisjordanie.
Il n’y a pas plus de salafisme soft que d’islamisme assagi ou d’islam modéré, ils sont les 3 têtes de l’hydre mahométane.
On n’a pas à faire un distinguo entre eux, reliés par le même cordon ombilical et possédant les mêmes organes dont la mort de l’un entraîne inéluctablement la mort des deux autres.
Allah est leur dieu, Mahomet est leur modèle, l’islam est leur religion et mode de gouvernance, leur foi et loi, la voie à suivre, le Coran est leur constitution, le djihad armé est leur moyen de conquête du monde, mûs tous les trois par leur folie meurtrière.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
(1) lefigaro.fr
(3) lepoint.fr
Donc, l’islam pour faire bref.
Le problème, c’est que nous sommes trop peu à savoir cela! Tous les gouvernements dits démocratiques devraient interdire cette religion mortifère. Et, malheureusement ce n’est pas la seule!
Nos dirigeants ont inventé le mot islamisme pour éviter de dire islam.
De toutes façon , c’est de l’enfumage.
Partout ou l’islam s’installe, il y a des attentats perpétrés par des adeptes d’Allah, ce “dieu” raciste, antisémite, homophobe et christianophobe.
L’islam est criminogène et possède en lui-même les germes du terrorisme avec le jihad.
Les versets haineux du coran constituent près de la moitié du coran.
Il est temps que les adèptes de cette idéologie regardent la vérité en face et se rendent enfin compte que l’islam n’apporte que misère, violence, dictature, attentats …
En bref, l’islam!
Non la peste.
Vous allez m’dire que j’étais tombé sur la minorité radicale , mais les deux premiers musulmans croisés Place Martin Nadaud XXème , le soir du 11 septembre , se roulaient littéralement des pelles de joie devant une devanture où une télé passait l’évènement en boucle , j’ai vraiment pas d’chance avec les musulmans !
Quand des policiers veulent contrôler une femme burqarisée en France , ils se retrouvent en un clin d’œil entourés de 100 représentants de la minorité radicalisée ,
c’est bizarre ces hasards conjoncturels , non ?
L’islam n’est jamais que du grand banditisme déguisé en religion ; avec tous les attributs du grand banditisme : vol, racket, pillages, viols, assassinats, massacres, esclavage, violence permanente. À quoi les coranistes ont ajouté la polygamie et des rites à marcher sur la tête, comme le ramadan.
Comme tout grand banditisme qui se respecte, il se déchire entre plusieurs clans et de nombreux gangs plus ou moins incontrôlables.
Quand s’y ajoute le déguisement religieux, la promesse de la félicité dans l’au-delà, on est sûr de gagner sur tous les tableaux. Avec, cerise sur le gâteau, le délit d’apostasie, qui verrouille remarquablement l’ensemble… pas étonnant que cette branche du grand banditisme se soit maintenue jusqu’à nos jours.
Sans doute faut-il marteler cette simple
vérité, Monsieur.
Merci de le faire.
Les décideurs, cependant, n’en ont cure.
Je renvoie vos lecteurs au cadeau mons-
trueux que font les démocraties à l’Arabie:
NEOM.
Pour de mirifiques contrats, elles se sont
bousculées pour participer à l’édification
de ce mirage de modernité, sur le sol de
l’un des pays les plus rétrogrades au monde.
A la Mecque, l’on pend les contrevenants
à la charia; l’on coupe des membres…
A qqs encâblures de là, l’on pourrait se
croire à Las vegas. Le désert, n’est-ce pas?
Les mirages…
En fait on devrait encourager le salafisme-wahhabisme comme retour au mode de vie du temps du prophète, c’est à dire abandon de toutes les inventions occidentales : tout ce qui fonctionne à l’électricité, télé, ordinateurs, téléphones, moteur à explosion, armes, médecine e tutti quanti ! Peut-être que les musulmans à qui il reste un petit peu de neurones opérationnels comprendraient enfin…
C’est anormal cette promotion de l’islam dans le monde entier.
Peut-être que c’est l’humanisme de gauche pris à sa propre folie, peut-être que c’est pour une bonne troisième guerre mondiale avec la récompense d’avoir moins de gaz humain à effet de serre.
Il est probable que les forces occultes au sommet de la pyramide sont les gentils organisateurs. Il est probable qu’au nom de la loi d’airain l’occident va prendre possession de l’Afrique et des pays musulmans producteurs de pétrole en faisant chez eux un grand éclaircissement.