Un ex-chef de la direction de surveillance du territoire raconte dans un documentaire comment il a été décidé de négocier avec ceux qui venaient d’attaquer la rue du quartier juif
Yves Bonnet, ancien directeur de la DST, explique comment il a négocié avec le groupe terroriste Abou Nidal (Crédit: capture d’écran France 2)
En 1982, la France a donné carte blanche au groupe terroriste palestinien Abou Nidal qui venait de commettre l’attentat dans la rue des Rosiers pour qu’il évolue librement sur son territoire contre l’assurance qu’il ne frapperait plus le pays.
C’est ce que dévoile le documentaire-choc de Patrick Rotman et Vincent Nouzille intitulé Histoire secrète de l’anti-terrorisme diffusé sur France 2 le 13 novembre et disponible sur le site en rediffusion.
En 2011, le général Philippe Rondot avait déjà évoqué ce sombre aspect de l’anti-terrorisme français. Il avait fait partie des membres de la direction de surveillance du territoire (DST) à négocier avec Abou Nidal- mais c’est la première fois que le directeur de la DST de l’époque, Yves Bonnet, nommé par le président de l’époque François Mitterrand, en charge de cette négociation dévoile officiellement cette opération.
Nous sommes en 1982 au lendemain de l’attentat de la rue des Rosiers qui a visé le restaurant de Jo Rosenberg et qui a fait 6 morts et 22 blessés. L’appareil judiciaire et policier français épargné jusqu’alors par ce genre d’attaques terroristes n’est pas encore prêt à affronter ce genre de menaces d’un genre nouveau.
« La France ne pouvait pas s’imaginer alors être attaquée par un autre Etat sur son propre territoire, » explique le journaliste Vincent Nouzille. Devant cette menace, le président français François Mitterrand choisit la voie de la « négociation ».
Suite à l’attentat, la police suit dans un premier temps la piste du groupe dit des Irlandais de Vincennes, puis celle d’un groupuscule néo-nazi, puis ses soupçons la portent sur le groupe terroriste palestinien.
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« Nous avons pu établir à peu près d’une façon certaine qu’il s’agissait du groupe Abou Nidal, explique Jean-Louis Bruguières, juge anti-terroriste chargé de l’affaire de la rue des Rosiers dans le documentaire. L’arme retrouvée – un fusil mitrailleur WZ 63- à proximité de la scène de crime était la même que celle utilisée dans d’autres affaires similaires dans des pays voisins qui étaient imputées au groupe Abou Nidal, » se souvient-il. Mais si le commanditaire est bien identifié, les exécutants eux jouiront – et pour certains jouissent – encore d’une certaine impunité. C’est en 2015 seulement, soit 33 ans après les faits que la France, via le juge Marc Trévidic émettra des mandats d’arrêt contre trois membres de l’organisation.
Sabri Khalil al banna dit Abou Nidal, mort le 16 août 2002 à Bagdad, est le fondateur du Fatah-Conseil révolutionnaire, un mouvement terroriste palestinien dissident du Fatah de Yasser Arafat. Il est responsable de plusieurs attaques meurtrières dans les années 1970-1980 qui ont tué plus de 300 personnes.
Abou Nidal est à la tête d’un groupe de terroristes palestiniens, mais c’est « avant tout un mercenaire au service de la Syrie [pays alors dirigé par Hafez al-Assad] qui ne supporte la présence française au Liban, » racontent les journalistes. Il décide alors de lui faire payer.
A cette époque, la lutte contre le terrorisme est encore balbutiante, chaque service travaille dans son coin. Et la DST le fera sans aucune coordination avec l’enquête judiciaire du juge Bruguières.
Nommé par François Mitterrand, le préfet Yves Bonnet prend la direction de la DST fin 1982 soit quelques semaines après le drame. Il adapte le service et crée la première division antiterroriste de la DST. Il en donne la direction à Jean-François Clair, ce dernier confiant à Louis Caprioli les « affaires moyen-orientales » incluant le cas du groupe Abou Nidal.
La DST, tout comme le juge Bruguières remonte rapidement jusqu’à Abou Nidal. Mais au lieu de le traquer, ils prennent contact avec lui à Vienne et Alger.
Souriant, énigmatique, Yves Bonnet raconte face caméra et pour la première fois ce que fut l’attitude officielle de la France : « Nous sommes rentrés en relation avec l’organisation Abou Nidal. A partir de ce moment-là nous avons passé une sorte de marché non-écrit qui voulait que les gens d’Abou Nidal ne commettraient plus d’attentats en France, et en revanche je leur garantissais qu’ils pourraient venir en France ».
Lé général Philippe Rondot a raconté à Giacomo Battiato un scénariste italien les détails de cette histoire, qui sont venus alimenter la trame du film L’Infiltré avec Jacques Gamblin.
Ainsi « par l’intermédiaire d’un officier français des renseignements, un accord est conclu avec le terroriste aux termes duquel il s’engage à ne pas frapper la France ni ses intérêts. En retour, poursuit La Dépêche la France libère des terroristes prisonniers et accueille à ses frais des étudiants dans ses universités »
Confrontés à cette déclaration par les journalistes, Jean-Louis Bruguières, à l’instar des anciens subordonnés de Bonnet apparaissent un peu abasourdis par l’audace de leur ancien collègue et supérieur.
En rigolant, Caprioli répond : « eh bien, le préfet Bonnet vous en a parlé, moins je ne vous le dirai pas ». Et Jean-François Clair : « il s’est exprimé, il a dit ce qu’il a envie de dire. C’était le patron, je n’ai rien à dire sur le sujet ».
Pourtant sur le même ton badin l’ancien préfet Bonnet affirme : « Disons que Clair était très au courant ».
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Louis Caprioli dément en revanche que ces négociations aient pu être à l’initiative seule de Yves Bonnet : « toutes les décisions qui sont prises dans la lutte anti-terroriste sont des décisions politiques, raconte-t-il au début du reportage. Les services ne s’engagent pas dans une opération s’ils n’ont pas le feu vert des autorités. Donc dans ces opérations, puisque le préfet Bonnet vous en a parlé, le président de la République était informé, tout cela était une décision politique ».
Grâce à ces marchandages secrets, le groupe Abou Nidal ne frappera plus la France. Mais le 27 décembre 1985, le groupe terroriste revendique les attentats perpétrés dans les aéroports de Rome et de Vienne dans lesquels des ressortissants israéliens sont visés. A l’aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino quatre hommes armés ouvrent le feu sur le comptoir de la compagnie d’El Al, tuant 16 personnes et en blessant 99 autres. Quelques minutes plus tard, à l’aéroport de Vienne-Schwechat, trois hommes lancent des grenades sur les passagers d’un vol pour Tel Aviv, tuant 4 personnes et en blessant 39 autres.
En 2017, à la veille du 35e anniversaire de l’attentat, des associations ont demandé aux autorités françaises de se mobiliser pour obtenir l’extradition des suspects de l’attentat de la rue des Rosiers.
En 2015, le juge anti-terroriste Marc Trévidic avait délivré quatre mandats d’arrêts contre l’organisateur présumé de l’attentat et trois membres possibles du commando qui avait mené cet assaut.
« Ces demandes n’ont pas été satisfaites. 35 ans après les faits, les victimes restent donc dans l’attente d’un procès », regrettaient dans un communiqué le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et l’Association française des victimes du terrorisme (AFVT).
La justice jordanienne a rejeté la demande d’extradition de ses deux ressortissants d’origine palestinienne, Souhair Mouhamed Hassan Khalid al-Abassi, alias « Amjad Atta », présenté comme le cerveau de cette attaque, et Nizar Tawfiq Mussa Hamada, membre présumé du commando.
La justice française recherche toujours Mahmoud Khader Abed Adra, alias « Hicham Harb », qui vit aujourd’hui en Cisjordanie, et Walid Abdulrahman Abou Zayed, alias« Souhail Othman », qui vit en Norvège.
Les deux associations appelaient « les autorités françaises à tout mettre en œuvre auprès de leurs homologues norvégiens, jordaniens et palestiniens pour que les suspects soient entendus en France par le juge en charge du dossier et que la justice puisse travailler en toute indépendance et en dehors de toute considération politique. »
« Pendant ce temps, dans le quartier du Marais, les traces de l’attentat s’effacent, note le Crif. Le restaurant de Jo Goldenberg a fermé ses portes en 2006, remplacé par une boutique de vêtements, en 2010. Seule une plaque commémorative, apposée en 2011 en remplacement de la précédente inaugurée en 1983 par François Mitterrand et disparue en 2007, conserve la mémoire de cet événement tragique. Et, 36 ans après les faits, les victimes restent toujours dans l’attente d’un procès ».
Source : Bnvca
Le miteux errant et ses innombrables saloperies…
Cela, nous le savions dans les grandes lignes,
Gaïa Dreuz: Mitterrand n’a rien “négocié”.
Fidèle à son passé, il a collaboré avec l’ennemi.
Ce dernier, appelé, à juste titre, “nazislamiste”
par qqs intellectuels nommant, enfin, les “pales-
tiniens”, a cru qu’il achèterait la paix sur le sol
français. Très logiquement, il n’en a rien été.
Les attentats mahométans se sont poursuivis.
Ce n’était plus le groupe Abu Nidal ( que l’on
faisait mine de rechercher, pour satisfaire les
demandes du Crif, qui, “en même temps” (déjà)
continuait à appeler à voter pour la gauche
capitularde: Hollande, Macron ), c’était , en
1995 Kelkal; les attentats meurtriers dans le
métro parisien; et tous ceux qui ont suivi:
impunis, pour ne pas enflammer les banlieues
que les gauchistes emplissaient de clientèles
mahométanes ( les ouvriers ayant été défini-
tivement sacrifiés).
Il est complètement illusoire d’attendre que
la justice juge les meurtriers.
Il est bon que vos lecteurs sachent que ladite
justice est intraitable avec Romain Espino
( jeune homme courageux et patriote de
Génération identitaire, qui n’a rien d’un
néo, ni d’un archéo-nazi): Romain, pour
avoir occupé les locaux de SOS Méditerra-
née — qui va chercher, comme vous le savez,
des illégaux, potentiellement djihadistes—,
doit pointer à la gendarmerie, chaque semaine.
C’est ce que j’ai appris, samedi, au 4ème Forum
de la dissidence organisé par le site Polémia.
Vous pourrez certainement en lire le compte-
rendu sur le site-même.
Pour finir, je crois que nous serions bien avisés
d’identifier l’ennemi, en France. Vite.
Ça leur colle à la peau, les poètes collabos…
négocier avec des terroristes, ça n’a jamais profité qu’aux assassins
de tous temps des bonnes volontés ont cru pouvoir acheter la paix, à chaque fois ils n’ont fait que renforcer l’adversaire;
puisse israël qui négocie avec le hamas ne commette pas cette erreur
mitterrand a pactisé avec les terroristes, ils se sont régalés ensuite de faire payer cet aveu de faiblesse au petit peuple qui prenait le métro
Jo Goldenberg, pas Jo Rosenberg !
Écœurant !
De Mitterrand à Macron, honte d’être Français.
A cause de ces politiciens qui ont pris la gouvernance de la France, en particulier depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir en 81 par ce salopard.
Et à cause de l’intelligentsia – la mal nommée – française. Ces “Polcos” qui tiennent le pouvoir médiatique (Polcos = partisans du “PC”, le Politiquement Correct)
Macron est tout autant hypocrite. Plus grave, il se surestime et est persuadé de détenir la vérité. Il nous conduit aux désastre en toute bonne conscience. Et tous les matins il se mire dans les yeux de son pigmalion en tailleur Dolce et Gabbana : ” Oh Brigitte ! Ma belle Brigitte ! Ne suis-je pas le meilleur, le plus beau, le plus intelligent ?”
Il faudra s’en débarrasser.
Encore une preuve qui confirme que la pourriture de mitterrand était un assassin !
Ce collabo notoire a oeuvré pour la destruction de la France, aujourd’hui il est honnête de constater qu’il a réussi.
Dès lors que la France a permis la présence de terroristes sur son territoire en sachant sciemment qu’elle servirait de base d’attaques en Europe et que celle-ci ont bien eu lieu, elle s’est rendue COMPLICE de terrorisme à l’encontre de ses alliés européens : voilà l’Europe d’aujourd’hui dans toute la splendeur de ses compromissions avec le diable assassin, l’Europe des eunuques racolant un électorat létal aux civilisations policées et évoluées.
Voilà les fondements de l’Europe de Macron, Makrel et Drunker.
Belle entente!
Beurk – Ce Mitterrand gauchiste qui s’est comporté comme un Roi. Il pouvait se le permettre, il avait sa Cour, nombreuse.
Je ne m’étonne pas de cet arrangement honteux avec des assassins de juifs.
Et malheureusement cette Cour, composée de quelques Juifs (jamais ils n’ont été aussi nombreux dans la politique du Gouvernement, qu’à ce moment là).
C’est ainsi que je comprends que les Juifs politiques, le sont par égo. Se pavaner avec Mitterrand et ensuite avec les autres gauchistes, c’est comme dire : Moi, je suis dans le camp du bien.
Je tiens ici à faire un mea-culpa auprès de Renaud le Chanteur, qui à l’époque, dans une émission d’Ardisson, avait dit (entrainé par le provocateur qu’est Ardisson), la phrase suivante :
– “Les Juifs, ces valets du Pouvoir”.
Il est vrai aussi qu’il était jeune et comme tous, même intelligents, embrigadés par la propagande anti-israélienne.
Je ne m’en rendais pas compte, mais c’est vrai, quand il s’agit de gouvernement socialistes. Sauf que Renaud, ne voyait que les Juifs, qui même s’ils étaient quelques uns, n’étaient pas les seuls, et les autres bien plus nombreux, entouraient Mitterrand.
Mais c’est ainsi, on ne voit toujours que les Juifs.
Cependant, il y avait à ce moment là une part de vérité qui m’avait choquée, et je trouve honnête de reconnaître qu’en effet, à l’époque de Mitterrand, ce n’était pas tout à fait faux.
De fait aujourd’hui, je doute de l’intelligence des Juifs. Depuis que j’ai entendu BHL, répondre à une question lui demandant dans quel bord politique, il se situait, il a répondu, fier comme Artaban :
– ” Mais de gauche, toute ma famille a toujours été de gauche”.
J’avais de l’estime pour lui, et cette phrase imbécile, a fait envoler toute cette estime.
Comment un homme intelligent, peut dire une telle phrase qui laisse entendre, que dans le temps, quoi qu’il se passe, on restera borné idéologiquement sans changer d’avis sur la Doctrine qu’on affectionne.
Au moins Michel Onfray, qui se dit encore gauchiste, n’hésite pas néanmoins à critiquer le dogme, quand il en voit les déviances. Bravo à Onfray, qui ne craint pas de revenir sur des positions et qui le proclame. C’est très sain.
D’ailleurs, je me disais ces derniers temps, que dans notre communauté, depuis quelques décennies, du génie juif, en dehors d’Israël, devenait de plus en plus rare, alors que les siècles précédents, malgré les persécutions…Et justement un article communautaire (je ne sais plus où), à fait cette constatation.
Ce serait le fait, que nous ne sommes plus le Juif décrit par Sartre, c’est à dire, celui qui en permanence étudie (surtout le Talmud). Ce qui était vrai, et qui même physiquement faisait de nos hommes des êtres frêles et petits, car plus érudits que physiques.
Il faudrait que nous rectifions le tir, pour un juste milieu.
J’ai pas pu lire jusqu’au bout tellement c’est déprimant. A l’époque c’était le crépuscule du communisme laissant la place à l’islamisme (miroir aux alouettes pour l’Occident).
Il est plus fort Allahtombe.
Dans “Carnets intimes de la DST”, Raymond Nart, adjoint d’Yves Bonnet à la tête de ce service, affirme que c’est Bonnet lui-même qui a organisé l’exfiltration des assassins de la bande d’Abou Nidal. Après son éviction, il sera récompensé de ses déloyaux services par un nombre impressionnant de fructueuses prébendes dans les conseils d’administration de sociétés publiques de plusieurs pays arabes (recueilli dans Who’s Who”).
La récompense ,la france Devient un pays arabe.
J ai toujours entendu que les Juifs sont partout ,maintenant ……
“Wiesel contre Mitterrand
Par Barbier Christophe,
publié le 03/10/1996 à 00:00
Dans le tome II de ses Mémoires, Et la mer n’est pas remplie, le prix Nobel de la paix revient sur son amitié de quinze ans avec l’ancien président et sur leur rupture, à cause de «ce salaud de Bousquet». Une grande blessure”.
Mitterand avait séduit bon nombre d’intellectuels dont des Juifs de cour, souvent plus courtisans que Juifs, et d’autres beaucoup plus honorables, tel Elie Wiesel.
Il y eut aussi son Beauf R. Hanin qui se fit chrétien pour épouser la sœur et qui ne se priva pas sur les plateaux de réduire les Juifs et le Judaïsme à de la basse marchandise.
Il y eut aussi Badinter cet homme si valeureux qui eut la honte de sa vie lorsque Mitterand se fit huer par des manifestants Juifs.
Il y eut tous ceux qui comme moi lurent ses écrits et furent subjugués par la finesse de son intelligence et la beauté de sa prose.
Le problème est effectivement que dans toutes les sphères et dans toutes les situations, l’origine des personnes n’est retenue que lorsqu’elles sont Juives, peu ou prou.
L’intelligence juive hors ligne verte s’est toujours bien portée. En tout cas, gageons que le contraire aura échappé à beaucoup.
Et l’ordure au pouvoir est allé ensuite jouer au terroriste en Nouvelle-Zélande !
Au regard de ces informations, les pays européens qui ont subit les attentats de ces terroriste arabes, devraient porter plainte contre la France pour intelligence avec l’ennemi et demander réparations de tous les dégâts occasionnés. Plus on en apprend sur la France et ses Présidents et plus on s’aperçoit que nos dirigeants, gauche et droite, mais surtout à gauche ont toujours collaboré avec l’ennemi et Macron avec tous les discours dénigrant la France, les Français, sa culture, son histoire ne doit pas être en reste non plus.
J’ai vu , par hasard , une partie de cette émission et si je ne m’étonne pas que le coquin de Mitterand ait demandé aux gens de la DST de négocier avec ceux d’Abou Nidal le prix de leur retrait de la scène française , ce n’est pas une raison pour les croire quand ils placent Abou Nidal aux côtés des Syriens
Ils ne le font que pour masquer les liens étroits de La France avec l’Irak de l’époque gros contrats militaires , prêt d’avions Super Etendard de la marine française à l’armée de Saddam Hussein , pourtant gazeur de Kurdes et de Chiites ). Car le tyran de Bagdad payait rubis sur l’ongle et les Français fermaient les yeux sur ses crimes tandis que la politiquede Mitterand face à Israel était hautaine , paternaliste , injuste sinon perverse.
Et maintenant les officiels militaires qui savent qu’on peut diaboliser encore plus la Syrie , n’hésitent pas à mentir davantage : Abou Nidal , opposant transfuge du Fatah , avait attenté à la vie de Mahmoud Abbas , était le protégé non des Syriens mais des Irakiens et pouvait accomplir certaines basses besognes de ses barbouzes .
Donc la France de Mittérand a été plus l’ami de l’infâme S. Kussein que celui de Hafez El Assad et les vicieux caciques P.S. ont d’ailleurs déserté les obsèques du leader socialiste (rappelons le) B A A S lequel n’avait rien à acheter aux Français contrairement à Saddam Hussein
L’Etat , ce monstre toujours froid , (Nietsche , le Gai Savoir ) !!!
Jo Goldenberg et pas rosenberg !!!!
Rectifiez l’article !