L’idée d’un jihâd qui se bornerait en une lutte spirituelle contre ses désirs charnels a envahi toutes les discussions contemporaines sur l’islam. Ses irénistes et fanatiques partisans se fondent immanquablement sur l’étymologie de la racine arabe jhd, la liant à la lutte et non à la guerre.
Jacqueline Chabbi, “Lire le Coran autrement”,
“Une lecture anthropologique et historique du livre saint de l’islam est-elle possible et souhaitable ? Jacqueline Chabbi défie nombre des lieux communs attribués au Coran pour proposer une autre vision de ce que serait l’islam “premier”, revendiqué et capté par les djihadistes. Entretien.”
Cette vidéo YouTube de 37 min (ajoutée le 25 oct. 2016, par Mediapart) fait la promotion du livre de Jacqueline Chabbi fort complaisante avec un islam fantasmé reconstruit de toute pièce (Les trois piliers de l’islam – Lecture anthropologique du Coran*. Seuil, 2016). Outre que l’auteure occulte la triste vérité du jihad pour mettre en évidence une hypothétique humanité de l’islam des origines, à la fin de la vidéo propagandiste on apprend le plus grave. Le livre à peine publié est conseillé par les “experts” du ministère de l’Éducation nationale français à l’agrégation d’histoire/d’arabe et au CAPES (certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré) d’histoire-géographie/d’arabe. Cette apologie abusive d’un “islam de tolérance et de paix” est également proposée en support aux programmes d’histoire dans les manuels scolaires des élèves et aux étudiants d’histoire à l’université. C’est un procédé particulièrement pervers et sournois de manipulation et d’endoctrinement des jeunes générations de modifier leur perception du réel historique bâti sur des légendes qu’on leur impose [NDLR FS].
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D’autres inconditionnels de la RATP (religion d’amour, de tolérance et de paix) essaient de montrer que l’islam, à ses origines, était un mouvement pacifique. Karen Armstrong, dans son livre Muhammad, cite la tradition du “grand jihâd” et insiste sur le fait que les combats n’étaient “qu’une partie mineure de tout le jihâd”.
L’universitaire très “courant dominant” Jacqueline Chabbi [1] [2] talonnée de ses pales répétiteurs, entre autres, Rachid Benzine [3], démentent tout lien entre la paisible “société tribale d’origine” et la violence. Cette tribu isolée d’Arabie aurait sacralisé la vie à un degré inégalé. En effet, selon l’auteure, la violence n’est que pur effet de style littéraire hyperbolique, elle serait l’œuvre de lectures obvies tardives qui auraient corrompu la tendresse du message initial lors de sa “sortie d’Arabie”. Pourtant, la tradition islamique médiévale reprend à son compte ce thème du combat spirituel et verbal. Le prophète de l’islam Mahomet aurait dit (dans un hadith) à ses compagnons après leur retour de la bataille : “Vous venez du petit jihâd, allez au plus grand jihâd – la lutte d’un serviteur [de Allah] contre ses désirs.”
Quelle est la vérité dans ces études récentes sur les motivations des premiers musulmans, plus spirituelles que matérielles ? Quel bilan sur 1400 ans se demande Aldo Sterone ? [4] Examinons cet argumentaire postulant un berceau initial pacifique et d’un chamelier épris de lutte spirituelle, argumentaire qui révèle les fantasmes des uns et les lacunes des autres, voire d’une mauvaise foi évidente sur les réalités historiques.
Une grille de lecture chaotique emplie de lacunes et d’anachronismes
De prime abord, il est surprenant de voir, à l’aune de cette tendresse présupposée du chamelier Mecquois Mahomet “soucieux d’allier sa tribu à la divinité Allah”, la célébration continue et grandiloquente des conquêtes islamiques. Ces dernières, dans le film islamique Constantinople Fetih 1453 [5] ne sont jamais déplorées, aucun remords n’est audible concernant les meurtres et les asservissements. Les grands combattants des conquêtes sont toujours mis sur un piédestal. Les meneurs de celles-ci sont chéris comme des figures saintes, du moins par l’islam sunnite. En outre, ces adeptes de l’étymologie devraient dire que l’expression coranique exacte et complète est jihâd fi sabil Allah, “combat dans le sentier d’Allah”, un effort pour la cause d’Allah et celle de la charia. Seule la mort dans le jihâd assure l’entrée au paradis. En effet, selon le Coran, l’application rigoureuse des cinq piliers de la foi musulmane n’assure aucunement une place au paradis. Mais la seule manière d’y assurer son entrée, c’est de mourir dans le jihâd (d’où la profusion des candidats au martyre de nos délinquants arabo-musulmans modernes).
Dans aucune des six collections de hadiths, reconnues par l’islam sunnite, il n’existe la moindre mention d’un “grand jihâd” pacifique ; le jihâd est toujours considéré comme une guerre sainte. Le concept du “grand jihâd” est une fabrication tardive, totalement ignoré par la tradition primitive. Le juriste et savant musulman, fondateur de l’école de droit musulman chaféite, Al-Shafi’i (767-820), est le premier ayant exposé la doctrine selon laquelle le jihâd doit être une guerre permanente contre les non-croyants et non pas seulement lorsque ceux-ci entrent en conflit avec l’islam. L’hanbalite intransigeant théologien et jurisconsulte Ibn Taymiyya (1263-1328), inspirateur du courant wahhabite et salafiste, a proclamé que les musulmans doivent imposer l’islam par la force aux non-musulmans si ceux-ci empiètent sur le dar al-islam, le “territoire de l’islam”, extensible à l’infini et nie toute authenticité au hadith précité.
Il faut noter enfin que pour bon nombre de tendances chiites, le jihâd offensif est interdit jusqu’à l’avènement du Mahdi, le guide et rédempteur eschatologique attendu à la fin du temps, puisque ce dernier est la seule autorité légitime pour déclarer et appeler à la guerre sainte. Fidèle à l’enseignement de la ‟Révélation”, le droit islamique, le fiqh, s’est en effet plu à distinguer radicalement le croyant de l’infidèle, le musulman de l’impie, et à en tirer les conséquences juridiques pratiques découlant du manichéisme coranique et de l’exemple du prophète. Ces normes sont admises par pratiquement tous les exégètes musulmans et l’écrasante majorité des jurisconsultes musulmans classiques.
Alfred Morabia [6] auteur d’une monumentale étude sur le jihad, n’hésite pas à évoquer le fameux verset du sabre (Coran, 9:5), “considéré par les docteurs de l’islam comme venu abroger ces dispositions favorables” et de poursuivre en affirmant que “la règle définitive est qu’il faut mener un combat offensif et permanent contre les impies, même s’ils n’ont pas pris l’initiative des combats”, leur impiété constituant “une atteinte à l’islam et aux droits d’Allâh. Sami Aldeeb a confirmé ces dires par un travail de fond sur les sujets du jihad et un autre sur la violence inhérente à l’islam [7] [8].
L’islamologue Marie-Thérèse Urvoy indique que la conception coranique du jihâd est très liée à l’ensemble des événements violents de fondation et de première expansion de l’islam.[9] “On ne saurait opposer, continue l’auteure, le jihâd au qitâl (combat). Qu’il y ait, dans les 18 occurrences où le sens reste vague, possibilité pour les musulmans de greffer la théorie du jihâd majeur contre soi-même, on peut l’admettre. Mais il est illégitime d’affirmer que le jihâd coranique est uniquement spirituel.” Certains mystiques soufis médiévaux ont minimisé la centralité de la guerre sainte (mais pas tous ; beaucoup parmi les plus éminents étaient eux-mêmes des jihadistes). Dans son ouvrage Muqaddima, les Prolégomènes, le philosophe, théologien et juriste andalou Ibn Rushd (Averroes) classe le jihâd dans quatre catégories, celles qui sont reprises ensuite indéfiniment à ce jour : le jihâd du cœur, le jihâd de la langue, le jihâd de la main et le jihâd de l’épée. Cependant, François Sweydan écrit [10] : “Il est fondamental de comprendre que les deux se confondent, le “petit jihâd” ou “jihâd de l’épée” est une injonction religieuse, commandement par lequel se réalise un “grand jihâd” et vice-versa. La “petite guerre sainte” est une action sacrée de l’ordre du religieux qui exprime et atteste la réalité de la “Grande Guerre sainte.”
Nouveaux paradigmes nébuleux
Le “nouveau paradigme anthropologique” qui permet à Jacqueline Chabbi de dédouaner Mahomet de toute violence, se heurte à l’archéologie, à l’histoire et aux manuscrits des non musulmans de ces époques. En effet, le contexte dans lequel a réellement évolué le “doux” Mahomet était plongé dans une guerre Sassanide-byzantine où les tribus arabes tant Lakhmides que Ghassanides étaient activement impliquées en tant que mercenaires. Jérusalem venait d’être prise en 614 par “les Perses impies”. Les temps étaient ceux “de leur divin carnage”, acte de piété selon Héraclius destiné à purifier la terre. Ces “adorateurs des étoiles et de la lune” selon Georges Pisidès, le panégyrique militaire d’Héraclius, devaient être passés au fil de l’épée. La relation entre ces deux personnages est si étroite que la biographie de l’un semble tirée de celle de l’autre. L’année où Héraclius renversait Phocas et où il lui coupait la main (610) correspond aux premières illuminations de Mahomet. L’année 622 où Héraclius partait en campagne, Mahomet démarrait son hégire (grand départ). Tous deux ceignent le glaive durant cette année : 3 avril 622 pour l’un, 2 juillet 622 pour l’autre. L’année où Mahomet subit la persécution des Quraychites, Héraclius est en proie à la dépression. En 624, Héraclius déjouait en Albanie Sarbar et les généraux perses, trois cents Arabes de Mahomet mettaient en fuite mille infidèles à Badr. En 625, Héraclius manquait de périr à Sarus contre Shahrbaraz. Mahomet, lui, était blessé et vaincu au mont Ohud. En 628, la paix était imposée aux Perses par Héraclius et par Mahomet aux Juifs de Khaïbar. Le pèlerinage de l’Empereur à Jérusalem se fait en 629 et Mahomet regagne la Mecque en 629. Au siège de Constantinople correspond le siège de Médine (626).
Aussi le tendre terreau de sables où se seraient déroulées les joutes théologiques du ‟paisible” chamelier demeure utopique et sa biographie – selon la tradition islamique fantasmée – à laquelle se réfère Jacqueline Chabbi est une réécriture tardive de celle du guerrier byzantin. Alors que toutes les découvertes actuelles [11] soulignent le long travail de composition du corpus coranique et de la canonisation très tardive de La Mecque, on peut se demander avec François Sweydan : “Quelle grille de lecture (“historicisante”) serait-elle possible d’un texte coranique qui fut une construction hétéroclite polymorphe a posteriori et deux siècles durant après la mort de Mahomet ?” Cette grille de lecture tribale mecquoise de Chabbi tombe à l’eau du fait que La Mecque n’existait pas et n’était qu’un trou inondable au temps de Mahomet.[12] Donc, comment fonder une analyse du milieu sur une localité inexistante en 622 ?
Non Madame Chabbi “l’islam ne démarre pas à La Mecque” sauf dans la légende dorée des discours islamiques. A aucun moment, cette spécialiste de l’arabe ne fait référence à l’analyse des transformations sémantiques et modulations lexicales opérées par le Coran sur les différents dialectes arabes existant à l’époque ni aux réformes de la langue arabe, ni aux expressions syriaques qui sont pléthore. Elle présuppose une langue arabe déjà formée dès le sixième siècle et universellement partagée par toutes les tribus.
Un contexte fondamentalement marqué par des conquêtes sanglantes
Le jihad reflète une idéologie de la conquête, inscrite au cœur même de la première société islamique. Il est ‟l’A.D.N” de cette idéologie. Robert Hoyland, historien à l’Université de New York, montre dans son œuvre magistrale In the God’s Path [13] que l’histoire de la montée de l’islam est en grande partie une histoire de conquêtes militaires : l’expérience de la communauté islamique est inextricablement liée à ses campagnes militaires contre les non-musulmans. Celles-ci ont débuté dans la péninsule arabique et se sont poursuivies dans toute l’Afrique du Nord et subsahariennes, le Proche et Moyen-Orient, l’Iran et Asie. Le succès des premières conquêtes a suscité les nouvelles et les califes musulmans étaient jaugés à leur succès dans cette lutte sans merci contre les forces non musulmanes. Le dar al-islam, “la maison/territoire de l’islam”, n’a cessé de croître. La primauté de la guerre dans la première communauté islamique se reflète dans la littérature islamique ancienne. Les premières biographies de Mahomet sont simplement appelées, Le livre des raids (Kitab al-maghazi) et beaucoup d’histoires de la dernière période sont connues sous le nom de Les conquêtes (Al-futuhât). Les victoires de l’islam sur le champ de bataille, son triomphe sur les infidèles, sont autant de signes de faveur divine. Dans toutes les directions, les vainqueurs étaient à la recherche sans relâche de nouveaux peuples et territoires à attaquer et à subjuguer. Le plus grand espoir était bien sûr Constantinople. En 674–78 et à nouveau en 717–18, des campagnes massives ont été organisées par les souverains omeyyades à la conquête de la capitale de l’Empire byzantin. Ces campagnes se terminent par un échec.
“Fred Donner a montré que les conquêtes islamiques étaient le fruit de la naissance d’un ‟État islamique” pour la première fois à même d’organiser son expansion et Michael Bonner a lié étroitement cette genèse de l’État musulman et le développement du jihâd” (cf. note 10). Les musulmans devront attendre 1453, année à laquelle les Turcs ottomans vont prendre la ville. François Sweydan souligne “que la basilique Sainte-Sophie de Constantinople fut ‟sacralisée” mosquée en 1453 avec l’appel à la prière, ordonné par le sultan Mehmet II le Conquérant. Après le massacre abominable des prêtres et des fidèles (les femmes prises comme butin, candidates au viol ‟halal”), un imam est monté en chaire pour l’appel à la prière de la victoire et rebaptiser l’édifice. Avant d’entrer dans la basilique, Mehmet II a pris lui-même un prisonnier chrétien, mis à genoux, égorgé comme un mouton. Puis le sultan plonge sa main dans la flaque de sang et apposa sa paume (main de Fatma [14]) à l’un des battants en bronze de la porte de la basilique ; geste symbolique d’un sacrifice à Allah et d’islamisation du lieu en prononçant “bism Allah” (au nom d’Allah), avant d’entrer dans les lieux pour la première prière.”
Le militantisme de la première société islamique est à l’image des autres sociétés de l’époque. Les califes s’appuyaient souvent sur les négociations stratégiques pour gagner la soumission des villes sans combat. Quand les opposants résistaient, ils étaient massacrés sans pitié. Hoyland raconte l’histoire des sept mille Byzantins tués par le premier calife omeyyade Muawiya à Césarée en 641 et des quarante mille habitants des villes iraniennes de Jur et Istakhr massacrés en 650. Il décrit les exécutions de masse accompagnant la conquête islamique de l’Espagne, à ce propos un chroniqueur chrétien déplore qu’un dirigeant musulman “condamne les seigneurs et les hommes puissants à la croix et les jeunes abattus et les nourrissons avec l’épée.” Ainsi ce qui distingue les conquêtes des Arabes des conquêtes des autres n’était pas la morale, mais plutôt le succès. Les Arabes ont sauvagement vaincu leurs ennemis.
Un jihad estampillé islamique au IXème siècle
Les sources islamiques suggèrent que les Arabes se sont soudainement réunis sous la bannière de l’islam et ont lancé une campagne militaire sans fin. Cependant un large éventail de sources – principalement chrétiennes – en syriaque, grec, latin, arménien font mention de conquêtes bien avant l’apparition de documents islamiques. Ces sources changent considérablement l’image des conquêtes. Les tribus arabes, avec d’autres peuples, tels que les Turcs et les Avars, avaient déjà commencé à faire des raids à la fois sur l’Empire byzantin et l’empire sassanide bien avant l’islam.
Selon Hoyland “Les conquêtes arabes n’ont pas été initiées par Mahomet seul, mais ont commencé avant lui.” L’analyse des sources non islamiques associée à un examen des inscriptions et des pièces de monnaie montre que l’islam n’existait pas au moment des premières conquêtes. Hoyland note qu’il n’existe “aucune preuve de l’islam” avant le règne du calife omeyyade Abd al-Malik (685–705). Le christianisme se répandait parmi les Arabes à l’aube de l’islam. Cela est attesté par une inscription arabe-grecque datée 567 dans le sud de la Syrie sur un martyrion chrétien. Ce graffito (doc 2) du cinquième siècle prouve que l’arabe était utilisé pour la diffusion du christianisme. Hoyland montre que l’arabe – comme l’araméen/syriaque – était avant tout une langue chrétienne. C’était la situation culturelle idéale pour l’arrivée d’une figure prophétique qui aurait prétendu recevoir la parole d’Allah en arabe d’un ange.
Au début, les conquêtes étaient “arabes” et pas encore “islamiques”. Les conquérants arabes s’installaient généralement dans les villes de garnison et évitent de se mêler aux populations conquises (par exemple pour ce qui est de la conquête de l’Égypte en 640). Pendant longtemps, les postulants à l’islam avaient besoin de s’associer à une famille arabe. Quand l’islam s’est finalisé au début du VIIIe siècle, la guerre était naturellement traitée comme un élément central de la foi. Le développement doctrinal de l’islam a donc impliqué l’incorporation d’une culture militante de la conquête. Les doctrines islamiques sur le jihâd, ont été façonnées et canonisées seulement durant cette période.
Entre désir et obligation
La violence de l’islam sacralisée par le jihâd est donc une notion qui recouvre à la fois une réalité historique continue, celle de la conquête de nombreux territoires et de l’établissement d’un empire musulman, mais également une obligation coranique religieuse qui fait l’objet d’une élaboration juridique. Le site oumma.com déclare [15] : “l’Islam non seulement peut, mais doit conquérir les corps à la pointe de l’épée, l’esprit suivra. La religion qui sut conquérir les cœurs devint une religion de conquérants, l’épée dégainée pouvait suppléer à la “Parole” révélée.” L’idéal porté par le jihâd demeure une sorte de désir inassouvi de paradis perdu, de regret mélancolique d’un passé glorifié et mythifié sur lequel on soupire et pour lequel aspire, à voir ressusciter cet âge d’or où régneront, souverainement, dans l’univers entier, la Parole et l’Ordre d’Allah et de Sa Faction.
Il semble que nos différents auteurs irénistes n’aient pas eu l’occasion d’analyser les différents corpus canoniques de la religion musulmane et n’aient jamais eu ne serait-ce qu’une maîtrise élémentaire du sujet. Ni l’exégèse coranique, ni la Tradition islamique au sens large, ni la position juridique des différentes écoles musulmanes ne leur sont familières. Les découvertes archéologiques et numismatiques leur semblent inconnues. Il est évidemment insensé de traiter de la question de la violence de l’islam et de la douceur originelle du chamelier Mahomet retranché dans le fond de l’Arabie, loin des guerres ambiantes, en faisant l’impasse de pareilles données [16] rigoureusement indispensables pour comprendre le cœur de cette idéologie pétrie de violence et de conquêtes territoriales.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Leila Qadr pour Dreuz.info.
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Notes :
[1] Jacqueline Chabbi : Coran & Anthropologie Historique (20 juil. 2016).
[2] Jacqueline Chabbi, Les trois piliers de l’islam – Lecture anthropologique du Coran*. Seuil, 2016.
[3] Rachid Benzine. L’islam et son histoire d’hier à aujourd’hui (9 oct. 2015).
[4] Aldo Sterone, Le mensonge du “Djihad Spirituel” (28 mai 2017).
[5] Un film sur la conquête de Constantinople galvanise les Turcs, mais pas les historiens (9 mars 2012).
[6] Alfred Morabia, Le jihad dans l’Islam médiéval*, Albin Michel, Paris, 1993.
[7] Sami Aldeeb Abu-Sahlieh, La violence dans l’islam*, Createspace (Amazon), 2018.
[8] Sami Aldeeb Abu-Sahlieh, Le jihad dans l’islam: Interprétation des versets coraniques relatifs au jihad à travers les siècles*, Createspace (Amazon), Charleston, 2016.
[9] Marie-Thérèse Urvoy, “Guerre et Paix”, Dictionnaire du Coran*, sous dir. Mohammad Ali Amir-Moezzi, Paris, Robert Laffont, 2007.
[10] François Sweydan, Dreuz.info, 14 sept. 2015, “Le jihad n’est pas l’islam ?”.
[11] Florence Mraizika, Le Coran décréé*, Ed. Docteur Angélique, 2018.
[12] Dan Gibson, “La ville sacrée”. La Mecque est-elle le lieu des origines ? (7 oct. 2017) : Dan Gibson, historien Canadien spécialiste des Nabatéens, affirme d’après ses recherches que les musulmans prieraient en fait dans la mauvaise direction. Selon lui, la ville des origines de l’islam ne serait pas La Mecque, mais Pétra, en Jordanie.
[13] Robert G. Hoyland, In God’s Path: The Arab Conquests and the Creation of an Islamic Empire*, 2014 ; 2016 (MP3 CD éditions) ; Oxford University Press, Reprint edition, 2017.
[14] ou khamsa, symbole de la protection d’Allah. Cette main serait un rappel du nombre des prières à pratiquer quotidiennement, chacune de ces prières étant selon eux plus ou moins liée à l’un de ces cinq noms fondateurs (Mahomet, Ali, Fatima, Hassan et Hussein).
[15] Oumma.com, 18 juin 2010, Que dit vraiment le Coran : Guerre & paix, violence, terrorisme (fin).
[16] Odon Lafontaine (Olaf), jesusoumohamed.com, 14 sept. 2017, Le silence des fouilles de La Mecque.
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La version Mediapart est la norme ,normal ,avec sa population ,la France adoptera la charia .cela desengorgera les tribunaux !
C’est donc bien ce que je pensais: cette merde est bien sortie de cervelles malades.
Les idiots utiles ont fort à faire pour dédouaner les musulmans de leur agressivité et leur sauvagerie, sachant que tous ne sont pas agressifs ou sauvages
Concernant ces idiots “utiles”, qu’adviendra-t-il d’eux, quand après avoir servi comme un papier Q ils ne serviront plus et deviendront encombrants ?
Leur “utilité” est temporaire, mais ça ils ne le conçoivent même pas, car leur idiotie est permanente.
lisez le coran!
LE CORAN EST IL REFORMABLE,
Sourate 10 Verset 16 ce n’est pas à moi de le changer de ma propre autorité, je ne fais que suivre ce qui m’est révélé
10:38 le coran n’est pas tel que quelqu’un d’autre qu’allah aurait pu l’avoir conçu, il émane du seigneur de tous les monde
15:92 nous enverrons le chatiment sur ceux qui diviseront le coran en morceaux
LE CORAN EST IL INTERPRETABLE?
39:29 le coran, un livre récité en arabe, langue claire et éloquente et sans tortuosité afin qu’ils deviennent pieux
CORAN AMOUR:
deux fois seulement le mot amour est employé (dans 610 pages, 114 sourates)
74:8 amour de ton seigneur
76:9 et pour l’amour de Lui
CORAN AMITIE
4:90 ne prenez pas d’amis parmi les mécréants, s’ils tournent le dos, alors tuez les
3:150 si vous obéissez aux mécréants, vous serez perdants
4:90 ne prenez pas d’amis parmi les mécréants, s’ils tournent le dos, tuez les où que vous les trouviez
4:102 ne choisissez pas d’amis parmi les mécréants
4:77 les croyants combattent pour la cause d’allah, les mécréants pour la cause du malin, combattez les amis de satan
CORAN A INTERPRETER SELON SA BONNE OU MAUVAISE FOI
52:25 (au paradis) des adolescents tels des perles bien gardées circuleront parmi eux pour servir les vertueux
76:20 les jeunes circuleront pour servir les vertueux
78: 32/33/34 pour les pieux jardins enclos et des jeunes filles d’age égal
LE CORAN ET LES FEMMES
2:224 vos femmes sont pour vous un champ labouré, approchez vous d’elles comme vous voudrez
2 : 229 les femmes ont des droits semblables à ceux des hommes mais les hommes ont un degré de prééminence sur elles
2 : 228 à 238 (divorce; droits pour l’homme de répudier mais rien sur les droits de la femme de divorcer)
3 : 16 ceux qui craignent allah se trouvent auprès de leur seigneur des jardins … ils y demeureront éternellement; il s’y trouvera aussi des conjointes purifiées
4 : 4 épousez 2, 3 ou 4 femmes (rien sur la polyandrie!)
4 : 35 les hommes sont les gardiens des femmes parce qu’allah a fait que les uns surpassent les autres
4 : 177 un homme aura en héritage autant que la part de deux femmes
7 : 190 c’est lui qui vous a créé d’un seul être, la femelle et qui a tiré son autre moitié afin que le mâle put trouver la tranquillité en elle
27 : 32 dites aux croyantes qu ‘elles restreignent leurs yeux et veillent sur leurs parties intimes; elles ne doivent pas exposer leur beauté naturelle et qu’elles tirent sur leurs poitrines les voiles dont-elles se couvrent la tête
30 : 22 allah a créé des épouses pour vous
33 : 34 restez avec dignité dans vos maisons et ne vous embellissez pas dans le style de l’embellissement des jours de l’ignorance d’autrefois
33 : 60 dis à tes épouses et à tes filles et aux femmes des croyants qu’elles doivent ramener sur elles une parte de leurs vêtements extérieurs de la tête par-dessus le visage; il est plus probable qu’elles puissent ainsi être distinguées et ne soient pas importunées
78 : 34 (pour les pieux) des jeunes filles aux seins bien formées
CORAN SADIQUE
dans pratiquement chaque sourate, le feu de l’enfer est promis aux mécréants, mais certaines contiennent des précisions quelque peu sadiques:
14:17 et 18 il boira l’eau purulente à petites gorgées, contre son gré
14:51 leurs vêtement seront de goudron et le feu enveloppera leurs visages
18 : 30 les injustes seront abreuvés d’une eau telle le cuivre fondu qui leur brulera le visage
22:20 des vêtement de feu seront taillés pour les mécréants, et de l’eau bouillante sera versée sur leurs têtes
23:105 le feu leur brulera le visage et ils grimaceront de douleur
24:3 l’adultère fouettez la de 200 coups de fouet et qu’un groupe de croyants assiste à la punition
38:58 un fluide bouillant et une boisson purulente et glaciale
88:7 ils (les mécréants, pas les chameaux) n’auront comme nourriture qu’une herbe sèche amère et épineuse
LE CORAN ASSASSIN
2:192 en ces temps de guerre, tuez les (les mécréants) tous
2: 194 combattez les … jusqu’à ce que la religion puisse être préférée par Allah
4:34 ceux qui feront la guerre à Allah seront tués ou crucifiés ou amputés
8:13 frappez les en haut du cou (i.e. égorgez les)
8: 15 pour les mécréants il y a le châtiment du feu (cf: le pilote jordanien brulé vif dans une cage)
8: 18 aussi ça n’est pas vous qui les avez tué mais Allah (auto absolution a priori)
9:14 combattez les afin que par vos mains Allah puisse les châtier
9: 39 si vous ne partez pas au combat pour la cause d’Allah, il vous infligera un châtiment douloureux
47:5 et lorsque vous rencontrez des mécréants, frappez les tous, si Allah l’avait voulu il aurait pu les châtier, mais il éprouve certains d’entre vous pour le moyen des autres
En conclusion je propose la sourate 59 verset 2 : ils pensaient que leurs forteresses les défendraient contre Allah…. Tirez en une leçon ô vous qui êtes doués de clairvoyance.
A la base, ce concept de “petit djihâd” n’est que de la takyia pour amener les fidèles au “grand djihâd”, celui de l’épée ! Car l’idée sous-jacente de l’islam a toujours été la conquête des territoires, les butins et la soumission des peuples !
Islam pacifiste à l’origine? … voici les génocides et guerres perpétrés en son nom depuis sa création .. et ce n’est pas fini! …
If faut arrêter de se masturber l’esprit à la recherche de circonstances atténuantes au fléau que nous prépare la propagation de l’islam en Europe … http://www.troisiemeguerremondiale.net/2015/05/islam-1400-ans-de-crimes-et-de-massacres-page-1-sur-5.html
Islam pacifiste à l’origine? … voici les génocides et guerres perpétrés en son nom depuis sa création .. et ce n’est pas fini! …
If faut arrêter de se masturber l’esprit à la recherche de circonstances atténuantes au fléau que nous prépare la propagation de l’islam en Europe … http://www.troisiemeguerremondiale.net/2015/05/islam-1400-ans-de-crimes-et-de-massacres-page-1-sur-5.html
…. la violence n’est que pur effet de style littéraire hyperbolique…. mais bien sûr!
Par exemple :
sourate 5 verset 33 : “la récompense de ceux qui font la guerre à Allah (…) c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupés leurs mains ou leurs pieds (…)”
Et il y en a des tas d’autres de style littéraire hyperbolique….. pour sûr on est dans l’hyperbole… mais je ne voudrais pas incommoder le lecteur par une longue liste…
…comme quoi un statut d’universitaire n’immunise pas de la connerie….
De par son statut elle devrait s’obliger à actualiser ses connaissances. La connaissance des origines de l’islam est en pleine révolution. Il est urgent d’aider le monde arabo-musulman à sortir de cette idéologie mortifère et c’est de la responsabilité des universitaires surtout lorsqu’ils sont arabisants et influents de le faire. De nombreux universitaires du monde arabe s’orientent vers l’athéisme actuellement, ils doivent pouvoir s’appuyer sur des recherches occidentales dignes de ce nom . Il est inutile voire nuisible de dire encore que le Coran a été mal compris depuis les origines. Au lieu de se cantonner dans le politiquement correct, ces universitaires derniers devraient proposer d’ouvrir un “chantier intellectuel” international comme le fait le professeur Sami Aldeeb. Les vrais islamologues comme M.T Urvoy ne sont jamais invités.
Excellente contribution au site de Dreuz. Qui est l’auteur Leila Qadr?
Parfois quand on est en supermarché en attente à la caisse et qu’une voilée approche rapidement derrière en poussant le caddy on a l’impression qu’elle voudrait s’attaquer aux jambes.
A la découverte de la sourate 5 verset 33 on comprend le pourquoi de ce comportement.
Au commencement était la prédation, ensuite vint l’idéologie qui l’a sacralisée et en a fait une obligation. La prédation devenue sacrée a alors répandu l’idéologie, contaminant ainsi d’autres prédateurs, ces derniers ont à leur tour répandu davantage l’idéologie. C’est de cette façon que le monde islamique a été constitué.
Mais du fait de son caractère sacré l’idéologie prédatrice s’est figée dans le temps. Elle n’avait rien d’autre que la prédation à offrir à ses adeptes. Vaincus et à cours de proies, ces derniers se sont trouvés fort démunis face à leur ennemi séculaire, jusqu’au jour où un flot incessant d’argent a ravivé leur instinct de prédateurs et leur a ouvert la porte de leur ennemi.
L’islam c’est la prédation sacralisée et rien d’autre. C’est tellement simple à comprendre et pourtant si difficile à admettre.
Chers Hélios et Leila,
Oui, tellement simple à comprendre, Hélios ! Mais nos « spécialistes » en islamologie adeptes des plateaux télé et des vidéos YouTube ne cherchent pas du tout à comprendre ; ces irénistes ont déjà compris à leur façon de prédateurs. Ils cherchent plutôt à convertir à leur idéologie politico-religieuse islamique et multiplier les adeptes. Alors ils adoptent la stratégie du prédateur tapi et caché, comme s’ils n’existaient pas ou ne présentant pas de danger.
Pourquoi aller imposer à nos élèves dans les écoles et à nos étudiants à l’université une version édulcorée et fausse de cette prédation si ce n’est pour anesthésier les jeunes générations, les flouer et les pacifier en attendant le grand festin du jihad ultime ?
Quant aux autres, ils ne cherchent pas à comprendre parce qu’il ne veulent pas comprendre, refusent de voir la vérité en face. On pense naïvement que cela pourrait se passer autrement qu’en Orient musulman. Ils rêvent et fantasment sur un islam de tolérance et de paix qui n’a jamais existé !
Leila, ce sont des mots bien gentils à l’égard de la majorité des universitaires français et européens qui s’occupent d’islam. À mon sens leurs « grilles de lectures » sont, là aussi, pour droguer les néophytes et les détourner de la vérité, subterfuge d’une monumentale escroquerie.
Il faut appeler un chat par son nom. Il faudrait plutôt les qualifier de menteurs, de manipulateurs, foncièrement pervers, sinon d’ignorants ou animés de complaisance malsaine ; bref, des collabos. Le projet est de manipuler et de modifier les repères, détruire au passage l’héritage et les racines de l’ancien monde.
Au final, la stratégie est celle de la taqiya pure et simple ; c’est là la seule grille de lecture pour arriver aux fins de l’ultime prédation, celle qui a systématiquement prévalu pendant quatorze siècles.
N’ont-ils pas des yeux pour voir ce qui se passe de grave en Orient musulman, et des oreilles pour entendre correctement ce qui se dit sans aucune ambiguïté ? Tenter de voir Daesh, al-Qaeda, al-Nosra, Boko Haram, AQMI… et j’en passe d’organisations jihadistes, comme si c’était des accidents furtifs de l’histoire ?… Lorsque cette terreur a fait parti de l’islam depuis ses origines et durant des siècles à ce jour. C’est cette terreur qui a fondé le monde musulman aujourd’hui en plein chaos exponentiel.
Reconnaissons qu’il faut être d’une grande malhonnêteté intellectuelle et de mauvaise foi, comme ces islamologues du courant dominant iréniste, pour tordre le réel à ce point.
Mais malheureusement ce réel va tantôt nous rattraper en Europe et en France.
Et ils seront les premiers à retourner leur veste.
FS
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Oui Hélios vous avez raison, l’islam c’est la prédation sacrée imposée comme ligne “spirituelle” à ses adeptes; les textes eux-mêmes sont des butins des textes des autres, mis bout à bout à la façon dont les colonnes du sanctuaire de La Mecque furent érigées. Une colonne à l’endroit, une autre à l’envers (colonnes arrachées à la cathédrale de San’a).
Oui c’est bien un instinct de prédation ravivé par l’argent du pétrole mais les universitaires occidentaux devraient cesser de chercher des grilles de lecture puisque dans le monde arabo-musulman on ne lit presque pas.
Merci Helios et Leila. Je suppose Leila que c’est vous l’auteur de cet article. J’aimerais en savoir plus sur vous. Je ne trouve pas sur internet en raison des nombreux homonymes.
Bonsoir Jam, je suis islamologue. Bien sûr Leila c’est un pseudonyme pour me protéger. Je travaille sur les relations Bible-Coran et aussi sur les codex de Sana’a qui dévoilent un corpus au contenu beaucoup plus “juif” qu’islamique; la glose des Califes n’est pas encore présente. Bien à vous.
J’ai apprécié la page d’histoire que vous avez écrite ici. J’aimerais vous demander si vous êtes de culture islamique. En fait, j’aimerais que vous le soyez, j’espère tant que le monde musulman se connaisse, s’analyse, se critique… afin qu’il puisse se réformer!
Jam. Non je suis de culture occidentale mais ma belle-famille l’est. Les universitaires du monde arabo-musulman en terre d’islam s’orientent massivement vers l’athéisme mais il faut les aider.
Merci de votre réponse. Au plaisir de vous lire!
Merci Leila pour cet excellent article historique.
C’est encore “l’islam de (F) france”, quelle arrogance! Oui les musulmans ne lisent pas, même pas le coran (sinon par bribe au travers de leur imam et savants islamiques)…
Le dar el islam, c’est ce que nomme les pays muzz leur pays (selon le pourcentage de muzz -majoritaires). Les autres c’est dar el harb ou nouvellement dar el dawa ou prosélytisme car ils ne sont encore nombreux. Tout cela est bien ancré dans la culture-traditionnaliste islamique à la racine. Vu que les muzz ne lisent pas et non pas le DROIT DE RÉFLÉCHIR… Toutes ces tentatives intellectuelles sont vouées à l’échec et finiront par installer l’islam bédouin.
Les termes “fi sabil illah” = Pour allah et non le sentier d’allah!
Et pour “le jihad du QUITAL = Combat pour TUER pas de survivant, ni de prisonnier.
Seule issue l’interdiction de la charia sous toute ses formes en Occident. Elle n’est pas dilluable. Elle comporte les germes mortifères à plus ou moins long terme.
Il faut aider les athées et les apostats, comme le dit si bien Leila en pays muzz et non absoudre le dogme en Occident. On ne peut PAS créer d’autres adeptes soit-disant doux-SOFT.
Très bon article, très éclairant !
Merci.
Concernant : Dan Gibson, historien Canadien spécialiste des Nabatéens… Selon lui, la ville des origines de l’islam ne serait pas La Mecque, mais Pétra, en Jordanie
Je pense qu’il se trompe et pour plusieurs raisons :
le Coran a certainement été écrit en araméen ou même hébreu puis traduit en arabe
voit https://en.wikipedia.org/wiki/Christoph_Luxenberg
L’histoire de l’Islam selon Olaf place la ville sainte à Jérusalem, les 1er musulmans étant des arabes dissidents du christianisme :
voir
https://actubible.wordpress.com/2016/11/30/lhistoire-incroyable-du-coran/
L’Islam est en fait un retour vers la religion ancestrale des peuplades de la région
voir
https://actubible.wordpress.com/2016/12/02/allah-dieu-de-la-lune/
On peut dire que le mal est derrière cela, faire croire que le coran est pacifique!