Selon nos informations, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris ce samedi 8 décembre étaient secrètement équipés d’une réserve de liquide incapacitant. Un dispositif radical qui ne devait servir qu’en dernier recours.
C’est dire si le pouvoir a eu peur. Samedi 8 décembre, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris étaient secrètement équipés d’un dispositif radical, qui n’aurait été utilisé « qu’en dernier recours » : une réserve de liquide incapacitant. Selon nos sources, la pulvérisation de ce liquide sur une foule de gilets jaunes aurait été capable de « les arrêter net, mettant les gens à terre, même avec des masques ». Chaque engin aurait pu « neutraliser » une surface de plusieurs terrains de football… « Heureusement, que l’on n’en est pas arrivé là », ajoute cette source haut placée dans le dispositif policier. « L’autorité politique », comme le disent les fonctionnaires, aurait approuvé l’éventuel emploi d’un tel produit, qui n’aurait été utilisé qu’en cas de « débordement ultime ». Une sorte de « dernier rempart », utilisable sur décision politique… Interrogée, la préfecture de police de Paris renvoie au ministère de l’Intérieur.
Les précisions de la gendarmerie, le 11.12.2018 à 17h30
A la suite de la parution de notre article, la gendarmerie nationale a souhaité préciser que le dispositif dont nous vous rapportons l’existence n’est pas un liquide mais une « poudre »… Certains blindés déployés à Paris samedi étaient bien équipés d’un dispositif de « pulvérisation » d’un produit « incapacitant », de type « lacrymogène à dose forte », qui n’aurait été utilisé que sur « ordre d’une autorité ». Chacun des blindés équipés de ce dispositif de pulvérisation (visible en haut à droite face à l’engin) contient trois bouteilles de plongée dont deux sont chargées de la fameuse poudre sous pression. « Cela n’a jamais été utilisé en métropole », confie à Marianne le Sirpa gendarmerie, qui reconnaît qu’en « configuration normale », un blindé peut « pulvériser » sous forme d’épandage sur l’équivalent d’une surface de « un à deux terrains de football ». Marianne maintient que lors des réunions de crise au plus haut niveau, préparatoires à la manifestation du 8 décembre, il a bien été question de ce dispositif comme d’un « dernier rempart »… et qu’il aurait été capable « d’arrêter net une foule, mettant les gens à terre, même avec des masques ».
L.V.
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C’est le premier enseignement de la journée du 8 décembre : le préfet de police de Paris a perdu son leadership sur le maintien de l’ordre dans la capitale. La semaine dernière, le ministère de l’Intérieur, sous la double commande de Christophe Castaner et Laurent Nuñez, a pris les choses en main, largement épaulé en ce sens par les syndicats policiers. Cette mainmise du ministère de l’Intérieur ne s’est pas faite sans friction avec la préfecture de police de Paris, où le préfet Michel Delpuech a grincé à plusieurs reprises devant la mise en place d’un dispositif mobile et décentralisé, contraire aux pratiques antérieures. Selon nos informations, le préfet a d’ailleurs réclamé en fin de semaine dernière « des instructions écrites », ce qui, en mœurs préfectoraux, consiste à « se couvrir » à l’approche d’une situation controversée. « D’un point de vue policier, le maintien de l’ordre de samedi à Paris a finalement été un succès, ces frictions ne sont plus d’actualité », sourit une source à la préfecture de police. Bilan en six points.
1 – Un nettoyage sans précédent. De mémoire de policier, aucune manifestation parisienne contemporaine n’avait mobilisé autant de préparatifs en amont. Quasiment toute la rive droite avait tiré les stores, barricadé ses vitrines et rangé ses voitures. Le mobilier urbain avait été démonté et la plupart des chantiers de voirie vidés sur un large périmètre, pas seulement autour de la place de l’Etoile. Lors de la première manifestation sur les Champs-Elysées, celle du 24 novembre, un seul chantier sur l’avenue avait servi de combustible aux barricades. Lors de la deuxième manifestation, ce sont tous les chantiers autour de l’Etoile qui ont joué le même rôle… Samedi 8 décembre, pour ne pas fournir « armes et combustibles aux manifestants », la majeure partie de la rive droite ressemblait à une ville morte.
2 – Des mesures d’exception aux abords. Autre initiative policière restée cachée jusqu’à samedi matin, les fouilles préventives. Vendredi, les procureurs compétents, notamment aux péages de la région parisienne, avaient pris des réquisitions judiciaires autorisant les contrôles d’identité, invoquant les risques d’infractions liées à la manifestation sur Paris. Ces contrôles ont permis de saisir des objets potentiellement dangereux comme des boules de pétanque, des manches de pioche, ou d’autres signant la participation à un rassemblement, comme des masques de plongée. Résultat, samedi, Paris a battu son record de gardes à vue. Le dispositif initial permettant d’en absorber 800 a même été dépassé. Il y en a finalement eu 974 en région parisienne. Mais « seulement » 278 ont donné lieu à un déferrement judiciaire. Dans la majorité des cas, les gardes à vue étaient levées ou se soldaient par un « rappel à la loi ». Autrement dit une admonestation, la simple possession d’un masque de plongée ou d’une bombe à peinture ne pouvant pas, en tant que tel, constituer un délit.
Les interpellations de Julien Coupat, figure de l’ultragauche, ainsi que d’autres activistes d’extrême droite, dès samedi matin, participent du même « dispositif préventif » inédit et controversé. Henri Leclerc, ancien président de la Lige des droits de l’Homme, dénonce un potentiel usage « liberticide très grave ». En clair, une sorte d’interdiction de manifester qui ne dirait pas son nom.
« On assume, confie une source policière. Au moins, ces gens n’étaient pas dehors. Cela a fait dégonfler les effectifs de durs potentiels ». Autre dispositif en amont, la plupart des gilets jaunes, avant de rejoindre les principaux « spots » de manifestation (Champs-Elysées, Bastille, République), étaient systématiquement fouillés. La plupart y perdaient leurs masques de protection contre les lacrymogènes. Pour parvenir jusqu’au Champs-Elysées, avec toutes les stations de métro bloquées et les barrages de policiers disposés à certains endroits autour du périmètre interdit, la plupart des gilets jaunes ont dû marcher plusieurs heures… Résultat, une grosse partie des manifestants errait d’un point à un autre, sans parvenir à rejoindre aucun « point chaud ». De fait, durant la quasi-totalité de la journée, le rapport de force sur les lieux de friction est toujours resté à l’avantage des policiers.
3 – Un dispositif mobile et décentralisé. C’est la grande nouveauté de cette journée. Les policiers et gendarmes sur Paris étaient « mobiles » et leur commandement largement décentralisé, par secteur. « Bien sûr, il y avait toujours autant de galonnés autour du préfet, dans la salle de commandement de la préfecture de police, se désole un fonctionnaire, mais pour la première fois, c’est vraiment le commissaire de terrain qui menait sa troupe en fonction de ce qu’il voyait sur place ». Avec une efficacité spectaculaire, à l’œuvre sur les Grands Boulevards, où, avançant au milieu de deux canons à eau, des policiers et gendarmes « nettoyaient » au fur et à mesure les feux de poubelles moins de cinq minutes après leur déclenchement. « Comme à l’entraînement ! On avançait vite, sans leur laisser le temps de former une véritable barricade devenant vite un point de fixation », raconte un fonctionnaire. Ce dispositif a permis d’éviter la confrontation générale du 1er décembre, avec une place de l’Etoile occupée par les gilets jaunes et des forces de l’ordre assiégées des heures durant, en direct sous les yeux des caméras du monde entier. « Samedi, dans l’après-midi, il y a eu des moments de grande tension, notamment autour de l’Etoile, mais ils se sont moins vus », admet cette source.
Jusque-là, le maintien de l’ordre parisien « habituel » privilégiait l’absence de contact avec la foule. « Pour ce genre de manifestation, la mobilité était souhaitable depuis longtemps, il y aura un avant et un après samedi 8 décembre », se réjouit un commissaire parisien, saluant pour sa part l’efficacité du dernier dispositif. « On nous rétorque depuis des années que le contact risque d’augmenter le nombre de blessés, cela n’a pas été le cas », ajoute-t-il. Le bilan de samedi est de 264 blessés dont 39 fonctionnaires. Un manifestant a eu une main arrachée à cause d’une grenade, une femme a perdu un œil sur les Champs-Elysées, vraisemblablement à cause d’un tir de flash-ball. Dès vendredi, après des premiers incidents liés à des flash-ball lors de manifestations lycéennes, 200 personnalités, dont plusieurs députés de gauche, ont appelé à cesser immédiatement l’usage de ces armes.
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4 – Une mobilisation en hausse. Autre constat, malgré les appels incitant à ne pas manifester à Paris, la mobilisation des gilets jaunes a grossi d’une semaine sur l’autre. Le message envoyé par l’Elysée, selon lequel certains « venaient pour tuer », n’est pas parvenu à inverser la tendance. Aucune arme n’a pourtant été saisie lors des contrôles de police. « La dramatisation n’a pas empêché le monde, de l’ordre de 10.000 personnes », admet un fonctionnaire. Ce 8 décembre, les gilets jaunes étaient visibles par grappes de Bastille à l’Etoile en passant par République et les grands Boulevards, quand le week-end précédent, ils n’étaient concentrés que sur l’Etoile. « Raison de plus pour se féliciter de notre dispositif », glisse un syndicaliste qui espère, sans trop y croire, « que la tension va désormais retomber ». « Si ce samedi, on avait fait comme le week-end d’avant, on aurait eu une nouvelle journée de chaos, dit-il. Mais je ne sais pas combien de samedis consécutifs on tient encore comme cela ». Face aux 136.000 gilets jaunes recensés dans toute la France, ce 8 décembre, le ministère de l’Intérieur avait déployé 89.000 policiers. Sans parler des effectifs d’agents municipaux pour ranger et réinstaller le mobilier urbain, et des efforts des commerçants pour barricader et débarricader leurs vitrines.
5 – Un déséquilibre Paris-Province. Autre constat, la province trinque. Saint-Etienne, Toulouse, Bordeaux notamment ont été le théâtre d’affrontements d’une rare violence. « Sur 150 unités, 50 étaient à Paris et cent en province », indique une source au ministère de l’Intérieur. Un tiers, deux tiers… Officiellement, pas question d’avouer que certaines zones avaient été dégarnies faute de troupes. Ce lundi matin, en déplacement à Bordeaux, Laurent Nuñez a estimé que les effectifs (4 unités) y avaient été suffisants. Une affirmation qui fait sourire certains syndicalistes. « Le ministre ne peut pas le dire, mais certains secteurs étaient très dégarnis. Samedi, on était à notre maximum. On ne peut pas plus… Au delà, c’est l’armée qu’il faut appeler », dit un policier. C’est d’ailleurs le paradoxe de ce mouvement. Etant durable, disséminé sur tout le territoire et violent, il met les forces de l’ordre au bord de la rupture. Samedi prochain, en cas d’acte V, Paris sera-t-il délaissé de certaines unités au profit de villes de province ? La décision politique, au ministère de l’Intérieur, ne sera pas facile à prendre.
6 – Des pillages du soir en hausse. Le dernier constat concerne ce que certains policiers appellent la troisième mi-temps des manifestations de gilets jaunes : les pillages. Samedi soir à Paris, ils ont été « deux fois plus nombreux encore que ceux du 1er décembre », selon un policier de terrain. « Ce sont des petits groupes, pour la plupart de jeunes de banlieue, qui attendent la fin de la journée et la tombée de la nuit pour cibler des boutiques et se servir », se désole-t-il. De fait, les 90 mineurs arrêtés samedi à Paris l’ont tous été en flagrant délit de pillage, ainsi que bon nombre de « jeunes majeurs ». « Un gérant de bijouterie a tiré au flash-ball… Si ces pillages continuent, cela peut dégénérer », prévient ce policier, qui craint un « sérieux risque de bavure » de ce coté-là. « De toute façon, maintenant, on marche sur le bord d’un volcan », conclut-il. Jusqu’à quand ?
Source : Marianne
Est-ce intelligent de publier ce genre de choses ????
ça m’étonne de Dreuz
Désolée d’être d’1 avis contraire . Actuellement, nous sommes dans 1 situation critique pour notre pays et recevoir des informations réelles n’évitera pas le danger et permettra à tout le monde de comprendre la situation . Nous ne sommes pas dans le monde des bisounours où tout le monde est beau tout le monde est gentil . Dreuz ainsi que quelques sites étrangers ont au moins le mérite de nous informer réellement de ce qui se passe . pas le cas des médias et journalistes Français qui étant muselés par le pouvoir ( j’ajouterai bien arrosés avec baisses d’impôts). depuis 6ans nous ne regardons plus les chaînes françaises qui ne servent qu’à endoctriner ceux qui les regardent.
merci à DREUZ de continuer avec honnêteté votre travail de journaliste
Si c’est la vérité, il faut la dire !
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sinif%C3%A9ratoxine
vidéo mise par Jean-paul MINISCLOUX:
https://www.youtube.com/watch?v=B-nh4iLCMWw
L’Homme des six élu avec 66;06 % des voix (666)
ainsiq ue celle de Amandine Roy médium diffusée 50 minutes avant l’ attentat de Strasbourg ( çà fait froid dans le dos ) :
https://www.youtube.com/watch?v=r4m62hyeMcY&t=1056s
il semblerait que tout s’accélère .
Que Dieu et tout ses saints protègent Notre pays et ses habitants .
Des blindés, équipés d’armes chimiques, contre les opposants a macron. Ca ne gêne personne? Dans une logique d’escalade, bientôt des manifestants avec des lrac?
C’est a ce genrres de choses, armes chimiques, arrestations arbitraires des oposants, violences policieres gratuites (pas contre des casseurs, des agresseurs, contre des personnes âgés ou des manifestants pacifiques et désarmés) les preuves filmes de ces exactions circulent partout…
C’est a ce genrres de choses, que l’on vois que ce qui est “en marche” c’est une epouventable dictature.
C’est “TRES” grave ce qui se passe en France avec Macron ……….La France est entrain de devenir une “dictature”…………
Hollande a mis la France à genoux ; Macron l’achève ……………
La première des chose “qu’il” se devait de faire , s’était de dissoudre l’assemblée nationale …………
La grogne des Français n’est pas éteinte , bien au contraire ……….
il n’a fait que jeter des miettes aux Français , et bien entendu RIEN pour les retraités ….
Je pense sincèrement que la prochaine foi tout va s’intensifier et les manifestations ne pourrons plus être contenues.
Quand on sème le vent on récolte la tempête ………
Je fais exactement le même pronostic/
Tartufe à pensé être une génie de venir nous jouer l’air du joueur de pipeau d’Hamelin, mais il est très mauvais musicien, et les rats ne sont pas allés se noyer mais sont retournés au gîte.
Dans peu de temps, lorsqu’ils auront compris que le grain était avarié, sa majesté va pouvoir jouer un nouvel air.
Cet article, que vous relevez, sur Marianne,
Gaïa Dreuz, montre que quand la police veut
AGIR, elle le peut.
Elle s’équipe, s’organise.
Sauf que sa cible est la cible de Macron: le
peuple français, excédé d’impôts confiscatoires,
déclassé sur la scène mondiale, mis à mal par
les règlements absurdes de l’UE, et livré aux
hordes africaines, désormais, sans limites,
sans contrôles.
La MEME POLICE, ainsi équipée pour reprendre
les zones-de-non-droit, autrement dit zones
de charia -en-France, seraient certainement de
la plus belle efficacité.
oui georg47 ces même très intelligent de savoir ce que le bouffon et castagnette son capable de faire contre le peuple français des gaz interdit dans la guerre interdit par la convention de LA HAIE des gaz très nocif pour les poumons et provoquant une agonie particulièrement sévère mais ( pourquoi pas ) les même gaz que les bosch utilisais contre nos poilues
Les forces de l’ordre diront ce n’est pas nous, NOUS OBÉISSONS AUX ORDRES.
CHERS CONS CITOYENS LA FRANCE NE VOUS APPARTIENS PAS, ELLE
APPARTIENT AUX ÉLITES QUI GOUVERNENT. EUX SAVENT CE QUI EST BON POUR VOUS ET LA FRANCE.
Les Français ont la mémoire courte des vœux dixit De Gaulles
Il nous faudrait vérifier que les mêmes systèmes incapacitants seront déployés pour les fêtes de fin d’année, dans les banlieues où des centaines de véhicules sont incendiés tous les ans.
Si on pulvérisait ce liquide au Sénat ou à la Cour des Comptes, personne ne remarquerait la différence avant et après. 😷
Je crois que l’expérience a été menée dès la création du CESE.
Messmer était trop cher…
Je ne suis pas un “iste” , je ne suis ni complotiste, ni terroriste, ni extrémiste, ni populiste, un de ces termes qu’on vous balance à la figure dès que vous êtes un peu critique envers le pouvoir.
Il faut donc reconnaître que quand on veut on peut … alors quid des émeutes de banlieues après l’affaire Théo ? quid de cette montée de l’islamisme partout en France ? Aurait-on affaire à des politiques collabos?
En tout état de cause, l’attentat d’hier à Strasbourg va bien arranger les affaires de Macron. Gageons qu’il va savoir en profiter …
Qu’est-ce qui vous dit que cet attentat n’a pas été VOLONTAIREMENT ignoré – sur ordre direct du macron – pour pouvoir justement, ensuite, justifier de mesures LIBERTICIDES…sur le peuple français, donc sur les Gilets Jaunes ?
Je me suis fait la même réflexion que
vous, Bobby. En tout cas, il y a, en France,
un réservoir de chances-pour-Macron(ou
Hollande, ou n’importe quel boulet de leur
genre) qui déclenchent, fort à propos, une
diversion censée réunir, à nouveau les
Français autour du chef de l’Etat qui était
lamentablement en panne— et pas seule-
ment dans les sondages qui maintiennent
ce dernier, en chute depuis des mois, com-
me son prédécesseur, à 23%.
Le djihadiste assassin satisfait donc sa propre
haine de la France, celle de Macron: pensez
donc, un marché de Noël interdit! à Strasbourg,
symbole européen. Et il sert Macron, dans sa
volonté d’interdire les manifestations de GJ,
vu que les forces de police, épuisées, vont
devoir se consacrer à la traque du djihadiste
qui aurait dû être bouclé, vu le nombre im-
pressionnant de méfaits commis — ou plutôt
renvoyé en Algérie.
Arrêtez de raconter des bêtises.
Dreuz mérite mieux.
Le seul produit qui est utilisé à bord des VBRG est un diffuseur lacry, assez concentré, il est vrai. Mais rien de plus…. et je sais de quoi je parle !!!!
cet incapacitant a été essayé sur les députes en marche et on a la preuve qu’il fonctionne parfaitement
Strasbourg le Muzz gilet Jaune a des armes anti blindé ils y ont pensé ?????????????