Nous venons d’apprendre que 19 000 messages et SMS échangés par des agents anti-Trump du FBI d’Obama qui ont conspiré pour faire tomber le président Trump à peine élu, ont été “malencontreusement effacés”. Rien dans la presse ou presque parce qu’il convient de protéger Obama à tout prix.
Donald Trump a vertement réagi et a lancé :
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“Wow, 19 000 textes entre Lisa Page et son amant Peter Strzok du FBI, responsable du faux dossier contre la Russie, ont été effacés et ont disparu. Une si grosse histoire qui ne sera jamais couverte par les médias de Fake News. Une vraie chasse aux sorcières !”
Puis :
“Jamais dans l’histoire de notre pays la presse n’a été aussi malhonnête qu’aujourd’hui. Les histoires qui devraient être bonnes, sont mauvaises. Les histoires qui devraient être mauvaises, sont horribles. Beaucoup d’affaires, comme celle de la VRAIE affaire sur la Russie, de Clinton et du parti Démocrate, sont rarement rapportées. C’est très dommage.”
Les journalistes savent tous ce que pense d’eux le public. Ils ont lu les sondages qui montrent que 75% des Français ne leur font plus confiance et pensent qu’ils ne disent pas la vérité. Et pourtant ils continuent, sans aucun signe de remise en question, d’introspection ou d’indication qu’ils cherchent à améliorer leur image ou simplement la qualité de leur travail. Il y a de quoi se poser la question : sont-ils trop imbus d’eux-mêmes pour se remettre en cause ? Sont-ils trop bêtes, trop psycho-rigides ? Trop monolithiques et unidimensionnels ? Ou tout simplement totalement imbibés d’idéologie comme un vieil alcoolique incurable ? Ou un peu de tout ça…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Jean-Patrick vous oubliez
trop volontaires pour garder leurs postes et leurs prébendes dans des journaux littéralement tenus capitalistiquement ou au fil de l’eau par des publicités ou subventions diverses par les tenants du croony capitalisme.
Je re poste la copie d’un article de Ouest-France dimanche dernier, un journaliste se plaignant d’un manque de reconnaissance, journalistes faisant honnêtement leur travail…
Et effectivement, il ne fait aucune connexion, alors que pourtant il écrit : “A l’origine du mal, des arguments solides que la profession doit regarder en face” pour finalement dire que “chaque jour, des milliers de journalistes font leur métier honnêtement. ” Autrement dit, circulez, il n’y a rien à voir, rien à critiquer chez nous.
Soit que dans son lamentable cerveau cela ne connecte pas, où alors qu’il considère complètement comme mal venu (“pauvre population”) les éléments de critique qu’il met pourtant en avant : “Elle se lasse des emballements autour des petites phrases politiciennes et des débats sans fins qui font injure à la rudesse de son quotidien. Elle rit de voir les analystes s’étonner de Brexit, de l’élection de Donald Trump ou de la présence de Marine Le Pen au second tour…”
Disons, pour reprendre une expression de Maurice Clavel, qu’il est resté dans le râtelier là où il a été vêlé, les barreaux faisant oeillière, le rendant incapable de rendre compte de la réalité du monde, au service qu’il est d’un monde qui le bichonne d’avantages sociaux, ce qui ne l’incite pas à bien regarder, préférant le douillet confort du conformisme au risque de véritable investigation susceptible de lui provoquer des ennuies, ce genre d’investigation étant réservé à ceux “risquent leur vie pour donner la parole aux opprimés de régimes brutaux”. La brutalité de l’augmentation de la taxation du diesel déséquilibrant les budgets de famille roulant au diesel et déjà financièrement au taquet ne peut que lui échapper. La violence d’un pouvoir puissamment taxateur lui échappe complètement étant douillettement installé avec les avantages que le pouvoir lui octroie, pouvoir qu’il n’a donc aucun intérêt à critiquer… N’est-ce pas d’ailleurs cette même Presse qui a puissamment contribué à sa mise en place, nous disant pour qui il fallait voter ? Cette Presse est le pendant d’un pouvoir qui nous presse de taxe !
Voici l’article in extenso :
Le n°1087 du 2 décembre 2018 Dimanche Ouest-France titre : « La colère des Gilets jaunes s’enflamment à Paris »
En fin de page 3, rubrique Commentaire, l’article « Insulter les médias, c’est insulter l’avenir » par Philippe Lemoine
« Merdia », « journalopes », collabos »… et autres noms joliment fleuris ont poussé comme de l’herbe folle sur les plates-bandes de la révolte jaune. Certains, plus rarement, ont étayés leurs leur propos de gestes violents : crachats, jets de pierres, oeufs écrasés sur la tête.
Le phénomène n’est hélas pas nouveau. Il s’amplifie et c’est plus inquiétant. On se souvient de la lettre ouverte aux journalistes écrite par quelques zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Elle débutait par ces mots : « Salut à toi, petite merde. » Le reste, tout à l’avenant, vous sera ici épargné.
On ne s’étonnera pas de voir les ultras de tous pois et de tous bords, les agitateurs des drapeaux rouges et de chiffons rouges s’en prendre aux médias qu’ils excrètent et rejetent au même titre que l’ensemble des institutions… Mais la théorie du chaos, mêlée désormais à celle du complot a, depuis longtemps, franchi les terres bordurées des militants de l’anarchie.
Elle se diffuse dans les cafés de la rue du commerce et plus dangereusement chez certaines de nos élites politiques ( le « Pourrisez-les partout où vous pouvez », de Jean-Luc Mélenchon est à ce titre éloquent). Elle explose surtout dans cette terrible chambre d’échos que sont les réseaux sociaux.
L’association Respect Zone qui milite vaillamment contre la cyberviolence, a publié en mai un édifiante enquête. Après avoir analysé les commentaires publiés sur les pages Facebook de vingt quatre grands médias français et recensé durant douze mois les injures ciblant les médias sur les réseaux, l’étude révèle que les journalistes sont devenus la troisième profession la plus visée, juste derrières les femmes et les hommes politiques et les personnalités publiques (artistes, animateurs…).
A l’origine du mal, des arguments solides que la profession doit regarder en face. La France d’en bas se sent absente, voire délibérèment exclue des grands médias accusés de faire l’entre-soi avec les élites politiques et économiques.
Elle se lasse des emballements autour des petites phrases politiciennes et des débats sans fins qui font injure à la rudesse de son quotidien. Elle rit de voir les analystes s’étonner de Brexit, de l’élection de Donald Trump ou de la présence de Marine Le Pen au second tour…
Un fossé s’est creusé dans une nation qui a perdu le sens de la médiation. Première étape avant de vraies révolutions. La colère fédère un temps, elle est toujours récupérée. Les ténors du populisme et de la démagogie l’on bien compris. Ils soufflent sur les braises pour faire danser les flammes jaunes. Que peut-il en sortir de bon ?
Chaque jour, des milliers de journalistes font leur métier honnêtement. Certains, au plus près des territoires, dans les communes rurales, dans les quartiers, captant les colères et le mal-être. D’autres risquent leur vie pour donner la parole aux opprimés de régimes brutaux. Ne l’oublions pas. L’Histoire a bien souvent montré que la critique systématique des médias justifiait ensuite de s’attaquer à la liberté de la presse.
La démocratie repose sur des piliers. Ils ne sont pas inusables. A chacun, dans ces périodes agitées, de mesurer la responsabilité de ses propos et de ses actes.”
Ils ont perdu 19000 email ?
Pas de copie automatique dans le cloud ?
Pas de backup ?
Pas de mirroring ?
Pas d’accès au disque durs ? (on sait lire des fichiers effacés).
Il sont diablement maladroits !
Je pense que si les journaux devraient vivre avec seulement le produit de leur vente, la moitié au moins disparaîtrait.
Journalopes honnêtes….. C’est la plaie au nasme? vite un toubib.
Bonjour ! Ce serait plutôt un ‘oxymore’
95 % de la presse Française se comporte comme des fonctionnaires d’un ministère de la propagande façon goebbels.
Le petit peuple peut faire tomber ces traites à la profession et à la démocratie en boycottant tous leurs journaux écrits, télévisés, et audio. Il est certain qu’un boycott de quelques mois fera tomber les toutous du pouvoir.
boycott boycott ! mais ils s’en foutent comme de l’an 40 avec les grasses subventions qu’ils reçoivent !!! et ce n’est pas le gouvernement qui les tient par le fric qui les supprimera.
on a les même en france
la gamelle est si bonne qu’ils en oublient leur conscience professionnelle;
on sent de la hargne voire de la haine chez les vedettes des télés en france, non seulement envers trump (quel bel atout) mais envers tous les gueux qui ne sont pas de la bienpensance
Ils sont très idéologisés évidemment, sûrs de leur force (leur force étant la garantie de l’emploi, puisque ce dernier est financé par l’État qui renfloue les médias en tant que de besoin), et ils appliquent, peut-être sans s’en douter, peut-être consciemment, cette morale de la fable : “la loi du plus fort est toujours la meilleure”.
Du coup, peu leur importe qu’une minorité de gens les croient.
Leur devise est, pour paraphraser Francis Bacon : “Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose”.
Aux USA, ce n’est pas l’État, c’est Soros and cie qui les financent, et ça revient au même.
Et après ça on hésitera toujours à utiliser le mot interdit “complot” ?
Complot = entreprise en préparation formée secrètement entre deux ou plusieurs personnes contre l’intérêt d’un état, d’un groupe de personnes ou d’une personne.
Synonymes : ruse, coup, conspiration, machination, manigance.
En fait complot est un doux euphémisme puisque plus rien n’est secret ni en préparation mais ouvertement opérationnel et pratiqué aujourd’hui.
On devrait parler de trahison effective.
“75% des Français ne font pas confiance aux journaux car ils pensent qu’ils ne leur disent pas la vérité”. A quand remonte ce sondage ? (apparemment fiable)?
Maintenant qui expliquera aux Français lecteurs de ces journaux, que leur feuille de chou est , de plus, condamné à disparaitre, faute de subventions de l’Etat,en cas de diffusion dans ses colonnes de pensées à connotation xénophobe ou anti-immigrionniste ? (Telle est la recommandation n°.. figurant sur le document de 40 pages du pacte de Marrakech …)
Pourra-t-on encore parler de liberté de la presse en France ?
les journalistes sont payés pour dire ce que leurs patrons de presse leur commandent, comme le font des employés de magasins, sinon ils perdent leur job et se retrouvent au chômage, est-ce une excuse suffisante pour écrire n’importe quoi ?
des montants d’argent ont été donner pour le silence concernant des supposés histoire de sexe ( infidèlité ) et pour cette raison les démocrates au Congrès vont tout faire pour destituer Trump car ainsi les démocrates vont ainsi protéger Obama et le clan Clinton bref ce qui est triste …. c’est que le FBI a choisi son camp … celui des démocrates