Publié par Gaia - Dreuz le 17 décembre 2018

L’ancien collaborateur de l’Élysée est mis en examen pour de nouvelles violences commises le 1er mai, cette fois-ci au Jardin des Plantes, à Paris.

Alexandre Benalla n’en a pas fini avec les ennuis judiciaires. Déjà mis en examen pour des violences exercées à l’encontre de manifestants place de la Contrescarpe, à Paris, il l’a de nouveau été le 29 novembre pour des violences commises au Jardin des Plantes, en marge du défilé du 1er mai.

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Un interrogatoire « parfois tendu »

Les nouvelles charges concernent des délits d’ « immixtion dans l’exercice d’une fonction publique » en ayant « participé activement » à une interpellation et des « violences volontaires en réunion ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à 8 jours », précise BFM TV, s’appuyant sur une source proche du dossier relayée par l’AFP.

De son côté, Le Parisien mentionne le « ton parfois agacé » de l’ancien chargé de mission à l’Élysée, le 29 novembre dans le bureau des juges d’instruction en charge de l’affaire. « Plus de 8 heures d’interrogatoire, parfois tendues », mentionne le quotidien, précisant que l’ex-collaborateur du palais présidentiel a échappé aux poursuites concernant le selfie où il pointe une arme sur une femme. Il aurait affirmé qu’il s’agissait d’un pistolet à eau.

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Source : Valeursactuelles

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