Il faut prendre l’écologisme au sérieux car cette idéologie porte des revendications totalitaires et humanicides plus radicales que n’importe laquelle de ses devancières.
Fascinante fécondité de l’esprit humain qui, au fil des siècles, ne cesse d’engendrer des théories et de nouvelles idéologies, plus fantaisistes les unes que les autres.
Fantaisistes, et souvent dangereuses ; l’histoire du XXe siècle d’abondance en témoigne. On l’oublie, mais le marxisme s’offrait à l’origine comme une théorie scientifique ; Marx prétendait décrire le fonctionnement de l’histoire et prédire —non préconiser — la révolution, la dictature du prolétariat puis l’avènement de la société sans classe, et finalement sans État.
Le marxisme en tant que science, cent fois réfuté depuis les travaux du socialiste critique Eduard Bernstein, mille fois réfuté par les faits, n’est plus revendiqué comme tel que par de petites sectes très locales.
La grande idéologie de notre temps est l’écologisme (au sens de l’écologie politique). Oh, rien de bien neuf. Le national-socialisme, également étayé de prétentions scientifiques, se revendiquait de sa proximité avec la nature ; ainsi la « brute aryenne » était-elle réputée plus « naturelle » et plus « saine » que sa nemesis, le marchand, le bourgeois, le Juif. Cette pseudo-science de pacotille fut rapidement balayée par le vent de l’Histoire, grand désinfectant de la raison.
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L’écologie antihumaniste
Dans sa version contemporaine, l’écologisme naît d’une improbable matrice théorique, dans laquelle se mêlent l’hostilité à la technique (Jünger, Heidegger, Habermas), le malthusianisme (Thomas Malthus, auteur anti-humaniste à la charnière des XVIII et XIXe siècles) et ce que l’on appelle la deep ecology, ou écologie profonde (Hans Jonas, Paul Ehrlich), soit la conviction que l’homme est non seulement un danger pour l’homme, mais qu’il s’inscrit dans une relation foncièrement antagoniste avec la nature.
L’écologie contemporaine est un antihumanisme au sens strict. Au mieux, l’homme est perçu comme un danger et une nuisance à contenir ; au pire, comme un virus proliférant qu’il convient d’éradiquer. Ainsi l’écologisme rompt-il de façon radicale avec la tradition judéo-chrétienne, qui fait de l’homme le siège du sens et de la morale. La Torah — le Pentateuque de l’Ancien Testament — enjoignait les hommes à cesser de vénérer des arbres, tels des païens, pour comprendre qu’il n’y a de raison et de sens qu’en l’homme et dans la transcendance. Dès les années 60, s’imposait dans les cercles écologistes américains l’idée que nous ne sortirons de la « crise écologique » qu’en renonçant au postulat judéo-chrétien de la maîtrise de la nature par l’homme (Samuele Furfari retrace la généalogie de cette polémique dans son remarquable ouvrage Dieu, l’homme et la nature.)
Inutile de multiplier les considérations théoriques. Car notre thèse se laisse démontrer, très simplement, par les revendications des écologistes contemporains. Prenons-en deux exemples.
Le problème, c’est l’homme
Lors d’une conférence donnée en septembre 2018, l’astrophysicien Aurélien Barrau, membre du comité de direction du Centre de physique théorique de Grenoble-Alpes et du laboratoire d’excellence ENIGMASS, responsable du master de physique subatomique et de cosmologie de Grenoble, membre du Comité national de la recherche scientifique (CNRS), expliquait que l’homme est une nuisance pour la nature, et que nos comportements destructeurs (pour la « macrofaune ») sont malheureusement inhérents, non seulement à ce que nous faisons, mais à ce que nous sommes.
Le problème est ontologique, selon M. Barrau. L’homme, explique notre physicien, est une créature faible, incapable de raisonner à « l’échelle collective », en somme un être maladif.
Il faut, par conséquent, des mesures politiques concrètes, coercitives, impopulaires, s’opposant à nos libertés individuelles. On ne peut plus faire autrement.
Terrible sentence ! Un régime qui supprime les libertés individuelles — se déplacer, se chauffer, se vêtir, entreprendre, circuler, créer, fonder une famille — n’est pas seulement « autoritaire ». Un tel régime est totalitaire au sens strict, visant à régenter la vie — la survie — des hommes jusque dans le moindre détail de leurs faits et gestes.
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Renoncer à la démocratie pour le bien de la planète
Dans une interview à Libération datée du 29 juillet 2018, le climatologue François-Marie Bréon du Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (IPSL), auteur au GIEC (organisme politique de l’ONU sur le climat) explique que nous devons impérativement renoncer au chauffage, au tourisme, fermer purement et simplement des pans entiers de nos économies, et finalement renoncer aux libertés individuelles et à la démocratie, toutes réalités incompatibles avec la lutte contre les émissions de CO2.
Encore ces mesures seront-elles insuffisantes, précise ce distingué climatologue. Car la seule mesure apte à préserver l’environnement serait de diviser l’humanité par dix. M. Bréon reste en défaut de préciser comment nous débarrasser des neuf dixièmes de l’humanité. C’est ce que je nomme la tentation humanicide de l’écologisme, parfaitement cohérente avec ses fondations théoriques.
Il faut prendre l’écologisme au sérieux. Non comme science, car l’écologie politique n’est pas plus scientifique que ne l’étaient le marxisme ou le national-socialisme.
Il faut prendre l’écologisme au sérieux car cette idéologie porte des revendications totalitaires et humanicides plus radicales que n’importe laquelle de ses devancières.
Source : Contrepoints
Il y aurait beaucoup à dire sur ce sujet de l’écologie, car le sujet est vaste et quantité de dogmes les accompagnant, se contredisent et sont donc à discuter et étudier sérieusement. Ce que l’on ne peut faire dans un commentaire.
Ce qui est certain en ce qui me concerne, c’est que L’Écologie, comme beaucoup de principes, a été au départ une bonne chose… Et comme beaucoup de doctrines, à force d’exagérer, de se compromettre, etc., etc. C’est devenu un sujet qui peut agacer totalement et c’est mon cas.
Bien entendu il y a des choses à faire et à contrario ne pas faire… La liste serait longue.
En même temps, ceux qui représentent L’Écologie ne sont plus audibles, car vendus à des doctrines éloignées de leur sujet.
Et leurs actions et sentences sont tellement antinomiques. Mais là aussi pour argumenter correctement il faudrait faire une longue liste. Pas difficile, mais qui représenterait un gros travail.
Réduire l’humanité à 500 000 000 d’êtres, en accord avec les Georgia Guidestones.
Ce plan a été établi de longue date pour nous exterminer, donc tous les prétextes sont bons.
J’étais dans le mouvement écologique au Québec au début des années 80. Il n’était question que de mettre fin ou limiter la pollution de l’eau et de l’air particulièrement dans les zones industrielles: déversements des eaux usées dans le fleuve, de déchets toxiques dans des sites d’enfouissement (avec écoulement de déchets chimiques dans les nappes phréatiques) sur lesquels éventuellement des communautés s’établissaient sans savoir que les émanations toxiques allaient leur causer des problèmes de santé; pollution de l’air par les voitures; entassement des ordures dans des sites sans aucune récupération, protection des espèces menacées, etc. Nous avons gagné la plupart de ces batailles. Maintenant le traitement des eaux usées est devenu la norme et le recyclage des déchets aussi. Les sites de déchets chimiques toxiques sont nettoyés et les personnes affectées sont dédommagées (même si ça prend des années) et les pots d’échappement des voitures sont dotés de filtres.
Les problèmes que nous soulignions affectaient la santé des humains et c’était notre principal souci, même si on se faisait traiter d’«oiseaulogues».
Dans les années 90, les gauchistes ont infiltré en douce les groupes écologistes, les ont politisés (création des partis verts aux niveaux fédéral et provincial) et ont amené leur agenda anti-capitaliste et autoritaire. Ainsi le Green Party d’Élizabeth May a décidé d’appuyer le mouvement BDS lors de l’adoption d’une motion qui fait la morale à Israël pour son régime «injuste envers les Palestiniens»! Cela n’a strictement rien à voir avec la pollution! Mais les gauchistes sont toujours pro-palestiniens et anti-Israël, voire antisémites!
Je dirais que la même infiltration de gauchistes se retrouve dans le mouvement féministe. Récemment une députée gauchiste de Québec Solidaire, récemment élue, a fait beaucoup parler d’elle en prétendant que le port du voile islamique est une question de liberté individuelle. Elle a associé le voile islamique à un accessoire de mode, comme le piercing, à une simple manifestation par les femmes musulmanes de leur «différence» que les Québécois sont trop ignorants et islamophobes pour accepter! Pas un mot n’est venu du mouvement féministe.
“” Ainsi le Green Party d’Élizabeth May a décidé d’appuyer le mouvement BDS lors de l’adoption d’une motion qui fait la morale à Israël pour son régime «injuste envers les Palestiniens»! Cela n’a strictement rien à voir avec la pollution! Mais les gauchistes sont toujours pro-palestiniens et anti-Israël, voire antisémites!””
Tout à fait exact!
Notez que les milliers de pneus enflammés à la frontière de Gaza n’ont pas soulevé le cœur des écolos gauchos; Ni même les quelques milliers d’hectares n’ont soulevé le moindre reproche aux arabes.
Voyez-vous chez moi, tout le monde est d’accord pour dire:
– Écolos égal gauchos crados salops. A bon entendeur!
Lire : ” les quelques milliers d’hectares brulés par les cerfs volants incendiaires “
Le plus paradoxal,c’est que tant de gens n’aient rien d’autre à f…. que de se masturber le cerveau à inventer des raisons de punir l’humanité,de préférence blanche et chrétienne. Caprice de riche que tout ça. L’humble,le modeste,et même l’ambitieux,se contenteraient volontiers de travailler aux moyens d’améliorer,pas de détruire. Quel orgueil que de s’arroger le droit d’accuser les autres.Le parallèle avec le national-socialisme est interessant.
Je partage totalement cette analyse.
Pour paraphraser Ronald Reagan qui disait “J’ai remarqué que tous ceux qui sont en faveur de l’avortement sont déjà nés”, j’ai remarqué que les écologistes imprégnés de cette philosophie humanicide ne montrent jamais l’exemple en se faisant hara-kiri.
Autrement dit, selon ce qu’il faut bien appeler des psychopathes – au nombre desquels je constate que figure l’ineffable François-Marie Bréon – il faudrait supprimer la majorité des êtres humains, sauf eux ; il faudrait instaurer un système politique totalitaire pour atteindre les objectifs qu’ils fixent avec le plus parfait arbitraire, qui s’appliquerait aux autres, mais pas à eux – puisque eux, ces gens si intelligents, si subtils, seraient forcément aux manettes.
L’écologisme est bien pire que le communisme, puisqu’il considère que l’homme est en-dessous de l’animal, ce qui est la porte ouverte à la suppression de vies humaines. Avec le côté quasi-religieux de cette idéologie, on ne peut pas ne pas penser au suicide collectif de 914 adeptes du Temple du Peuple aux USA, en 1978.
Si ces fous dangereux arrivaient au pouvoir, nul doute que l’euthanasie serait mise à l’honneur, de même que la politique de l’enfant unique chinoise au nom de laquelle de nombreux bébés ont été tués au seul motif que leurs parents avaient déjà un enfant, voire la castration/stérilisation de nombreux adultes avec ou sans leur consentement ; voire l’assassinat pur et simple des opposants.
Les nazis n’ont jamais proclamé urbi et orbi qu’ils allaient assassiner des millions de gens (Juifs, Tziganes, handicapés mentaux, mais aussi prisonniers de guerre soviétiques), avant d’arriver au pouvoir. Ce n’est qu’une fois au pouvoir que beaucoup de leurs idées criminelles leur sont venues. Idem pour les communistes. Il n’y a aucune raison pour que ce soit différent avec les adeptes de l’écologisme humanophobe.
” … on ne peut pas ne pas penser au suicide collectif de 914 adeptes du Temple du Peuple aux USA, en 1978…”
Vous faites erreur. Ce n’est pas aux E.U.A. que l’assassinat de masse, déguisé en suicide collectif, a eu lieu mais au Guyana (ex-Guyane britannique) en Amérique du Sud, le soir tragique du 18 novembre 1978.
C’est un pasteur protestant américain, James Warren Jones, drogué psychopathe, crypto-communiste, pseudo-chrétien mais vrai escroc et débauché fini, qui sous la menace armée de sa milice privée, obligea les adeptes de sa secte protestante évangélique hérétique à avaler une boisson empoisonnée au cyanure de potassium.
Ce n’était qu’un exemple, que j’ai pris à cause du nombre de victimes : j’aurais pu prendre celui de l’Ordre du Temple solaire, ou d’autres.
Obligé de corriger légèrement. En tant que lecteur assidu de Mein Kampf, à des fins analytiques, je vous rassure, l’éradication des juifs est inscrite en toutes lettres, même si le propos est un peu ambigu. La plus grande partie de l’ouvrage est d’ailleurs constitué de la détestation des juifs particulièrement le chapitre XI o, page 239, Hitler revendique l’exclusivité de la nation allemande de sang pur pour constituer le futur Etat.
Bien sûr il faut lire entre les lignes, mais n’est-ce pas pareil chez nos politiques ?
J’avoue que je n’ai pas lu Mein Kampf ; mais j’ai toujours compris (lu) que Hitler, outre sa haine évidente contre les Juifs, se contentait (si on peut dire), en matière de modus operandi, de “suggérer”. D’où l’idée un temps d’exiler les Juifs en Europe de l’Est, ou en Afrique, etc. . De ce que j’ai compris, pour avoir beaucoup lu sur l’histoire de la WWII, il y a eu une succession d’expériences macabres (et criminelles) avec d’abord l’élimination des handicapés mentaux, puis les Einsatzgruppen, qui assassinèrent en masse par armes à feu, puis les camions à gaz, puis la conférence de Wannsee, et donc la réalisation de l’extermination de masse des Juifs. Avant cela les prisonniers de guerre soviétiques avaient été laissé mourir de faim par millions par les nazis.
Le parallèle avec ces ayatollahs verts me paraît évident : la haine de l’humanité, les “principes” de l’action à venir ; et les modalités se préciseront une fois au pouvoir – et elles seront terribles, je n’en doute pas.
Jacques Ady
Tu oublis les plus grands meurtriers de masse LES SOVIETS i.e. RUSSES
L’UKRAINE – 7 août 1932
«Grande famine» et génocide ukrainien
De fortes résistances à la collectivisation subsistent en Ukraine où la paysannerie a développé au fil de l’Histoire des structures comparables à celles que l’on rencontre en Occident : beaucoup de petits propriétaires attachés à leur terre, à leur pope (le curé orthodoxe) et à leur église.
C’est ainsi qu’en 1932, le pouvoir soviétique resserre la pression sur les paysans d’Ukraine, coupables de n’en faire qu’à leur tête et suspects de nationalisme. Les représentants du Parti multiplient les réquisitions forcées, y compris dans les fermes collectives.
Chacun tente de survivre. C’est alors que survient la sinistre «loi des épis» du 7 août. Elle va occasionner la déportation ou la mort de milliers de citoyens pour le vol de quelques grains ou d’une pomme de terre et permettre à l’État de s’approprier la quasi-totalité de la moisson !
Avec l’arrivée de l’hiver, sans surprise, survient la famine. De longues files de malheureux errent le long des routes en quête de subsistance et gagnent les villes en quête de travail et secours. Mais le gouvernement communiste ne reste pas sans réagir : à la fin décembre 1932, il institue un passeport unique pour tout le pays, avec interdiction pour quiconque de quitter son village de résidence sans autorisation du Parti !
Affaiblis, les gens meurent de froid et de faim dans leurs cabanes, le long des routes ou sur les trottoirs des grandes villes d’Ukraine, quand ils ne sont pas déportés sur un ordre arbitraire du Parti.
Beaucoup de désespérés se suicident. Un nombre non négligeable se livrent au cannibalisme, enlevant les enfants des voisins ou tuant parfois leur propre enfant pour se nourrir de leur chair. Le phénomène est si peu rare que le gouvernement fait imprimer une affiche qui proclame : «Manger son enfant est un acte barbare !»
La famine ne relâche son étreinte qu’au mois de mai 1933 avec le retour des fruits et des légumes dans les jardins privés.
Le génocide occulté
À l’étranger, où filtrent malgré tout des informations sur la famine et les excès de la «dékoulakisation», les communistes trouvent des gens complaisants, cyniques ou naïfs pour relayer leurs mensonges sur la prospérité de l’Union soviétique et de ses habitants.
Le cas le plus notable est celui d’Édouard Herriot, maire de Lyon et chef du parti radical français, qui se rend en URSS à l’été 1933. Il aspire à un rapprochement entre la France et l’URSS pour contenir l’Allemagne, qui vient de tomber aux mains des nazis.
De ce fait, après avoir parcouru l’Ukraine en compagnie des officiels soviétiques, il déclare, péremptoire : «J’ai traversé l’Ukraine. Eh bien ! je vous affirme que je l’ai vue tel un jardin en plein rendement.» Il est vrai que les communistes ont fait ce qu’il fallait pour cela, maquillant les villages où devait passer le leader occidental.
La famine et son aspect intentionnel ne font plus guère débat parmi les historiens. Quant aux députés ukrainiens, ils ont voté le 28 novembre 2006 une loi affirmant que «la famine provoquée par les Soviétiques est un génocide contre le peuple ukrainien».
L’article semble employer indifféremment les termes “écologie” et “écologisme”, comme si c’était la même chose.
En réalité, l’écologie est cette partie de la biologie qui étudie la relation entre les êtres vivants et leur habitat, tandis que l’écologisme est une idéologie politique qui tente de se fonder sur l’écologie pour se justifier. Dans les faits, aucun livre d’écologie ne fait la promotion de l’écologisme, car les sciences physiques et naturelles existent uniquement pour étudier le monde physique et la nature, pas pour dire aux êtres humains quoi faire ou penser. Malheureusement, les scientifiques spécialistes de l’écologie sont souvent appelés écologistes (même si on devrait plutôt dire écologues), au même titre que les idéologues qui font de l’écologisme, ce qui crée une énorme confusion.
Dans l’article, on parle d’un astrophysicien, cosmologiste et physicien des particules sub-atomiques qui utilise sa position de scientifique pour donner du poids à des positions écologistes extrêmes (pour ne pas nuire à la planète, il faudrait cesser de se chauffer, de voyager d’un pays à l’autre, etc.). Mais la physique et la biologie sont deux sciences bien distinctes. On peut être un grand spécialiste en astrophysique sans rien connaître de l’écologie. Autrement dit, le fait d’être aussi physicien ne rend pas plus crédible un activiste de l’écologisme, bien au contraire. Il pourrait tout aussi bien être soudeur ou chauffeur de taxi.
L’autre scientifique cité dans l’article est un climatologue. La climatologie fait partie de la géologie, elle-même beaucoup plus proche de la physique que de la biologie. Encore une fois, le fait d’être climatologue n’ajoute aucune crédibilité à un extrémiste écologiste.
L’article parle aussi du GIEC. Je ne sais pas pourquoi au juste cet organisme hybride qui mêle science et politique a été créé. De mon temps, la science officielle était complètement apolitique, mais il semble que ce soit en train de changer, ce qui n’est pas du tout une bonne nouvelle à mon sens.
Bonjour,
Vous questionnez sur la création du GIEC. Cet article en parle assez bien. https://blogs.mediapart.fr/antoine-calandra/blog/100116/le-rechauffement-climatique-anthropique-un-mensonge-qui-arrange
J’ai 55 ans. J’ai très peur pour nos enfants de la montée de cette idéologie qui rappelle des périodes bien sombres de l’histoire. Le parallèle avec le fascisme, ou la religion est évident à mes yeux.
Pourtant je prône la sobriété matérielle, et plus de redistribution dans cette société devenue opulente. Mais face à cet obscurantisme, oui, j’ai peur.
Je pense qu’aujourd’hui, ils sont prêts à faire la guerre au nom de cette chimère qu’il appelle “dérèglement climatique”. Ils sont prêts à tuer. Et ils nous font la morale en oubliant le 9 millions de personnes qui meurent de malnutrition tous les ans. Ça, ça n’est pas très grave, ces morts là ne comptent pas, ça n’est pas une catastrophe, à coté de la mission divine de “sauver la planète”.
Ils sont devenus fous !
J’ai des annonceurs qui “répondent” à mes messages. Est-ce normal? Un des annonceurs est un site de rencontre pour les hommes qui veulent fréquenter des femmes arabes (!)… des annonces comme ça sur Dreuz?
Le Figaro se félicite ce matin de ce qu’une pétition rassemblant 1,4 million de signatures réclame à l’État “d’agir pour le climat”… et ajoute des articles pour nous effrayer : en 2050, les Parisiens devront ouvrir leurs fenêtres dès 4h30 du matin, tellement il fera chaud, patati patata…
Nous vivons dans un pays de fous, de gens complètement décérébrés, de gens devenus de dociles soldats de l’idéologie écolo-marxi-fasciste, avec la bénédiction des soit-disant élites, journalistes et politiciens… on est mal, pris en tenaille entre ces fous furieux et les fous d’Allah.
Pire, les dociles soldats de l’idéologie écolo-marxi-fasciste sont les alliés, pas seulement objectifs mais aussi, les soutiens revendiqués des fous furieux et des fous d’Allah. Le tout bien sur, avec la bénédiction des (soit-disant) élites, journalistes et politiciens. Certes, on est PAS BIEN mais, ce n’est pas nouveau car, si l’Histoire ne repasse pas les plats, il y a des constantes…. aussi dans les solutions.
L’IPCC ou GIEC est une émanation de l’ONU. Il a été créé pour démontrer que le CO2 est responsable du réchauffement actuel et qu’il est anthropique. C’est dans ses statuts. Chaque rapport provient du politique et les scientifiques dont les travaux sont utilisés et arrangés avec ou sans leurs consentement, est un message pour les dirigeants des pays, mais en aucun cas un travail comparable à ce qui se fait normalement dans un domaine scientifique (revu par les pairs). Le rapport fait autorité, les données de base ne sont pas communiquées si vous les demandez, et le rapport ne doit pas être discuté. Les climategates (10000 emails fuités) ont montré ce que sont les membres actifs de l’IPCC, comment les T° sont modifiées pour justifier la doxa du réchauffement anthropique, et comment ils luttent avec tous les moyens dont ils disposent dont la presse mainstream, pour discréditer et ostraciser les climatosceptiques.
Cependant bien qu’aucun des modèles utilisés ne rend compte des températures actuelles, aucune remise en cause n’a lieu.
“Car la seule mesure apte à préserver l’environnement serait de diviser l’humanité par dix. M. Bréon reste en défaut de préciser comment nous débarrasser des neuf dixièmes de l’humanité.”
Ce Mr Bréon veut probablement se débarrasser des 9/10° de l’Humanité comme Nicolas Sarkozy qui nous expliquait en 2012 qu’il était impératif de rendre le métissage obligatoire (sauf pour Carla et lui, bien-sûr), que c’était alors “notre dernière chance”, et que s’il se trouve des gens qui ne pensent pas comme lui, alors il faudra “passer à des méthodes plus contraignantes”, rien que ça !
https://www.youtube.com/watch?v=1XIhTG6JyW0
Comment accepter qu’une minorité braillarde faisant 2% aux élections, impose sa vision étriquée et mensongère au nom du sauvetage de la planète, utilisant la fibre sensible des enfants et petits enfants à qui il faudrait laisser un monde propre.
Propre certes, mais avec un régime totalitaire sous la tendre férule des khmers-verts et autres assommés de camphre de l’église écolo-fasciste, qui à l’instar de Staline, signeront quotidiennement les ordre d’exécutions sommaires avec ses quotas hebdomadaires à respecter. Laissez les faire et la Shoa ne sera que le centième de quoi ils seront capables, n’oubliez pas que vous avez en face des enragés encore pire que les nazis, ils sont au zénith de la bassesse humaine car ils haïssent l’Humanité entière et le blanc judéo-chrétien hétérosexuel en particulier. Cet être infâme qui comme les animaux cherche à se reproduire et à mettre sa descendance à l’abri des caprice du temps.
Ce sont résolument des anti-humains, même Patrick Moore, co-fondateur de “grinepisse” use de ce terme à l’encontre de ces extrémistes du mouvement vert que sont devenu les membres de “son” organisation, dont il a claqué la porte.
Haïr l’Humanité entière, n’est-ce pas là le pire des racismes?
Mais oui il faut l’admettre trop d’humain sur terre…. QUI a emis un mot concernant les autres espéces… dont nos avons grand besoin. La terre serait quoi sans la faune. Un triste caillou. Pour vivre équilibré nouus avons besoin de toute faune et flore. Donc moins d’humain ne serait pas un mal. Qu’il appréne a respecter la terre serait un grand pas en avant déjà.