Publié par Rosaly le 29 décembre 2018

Depuis quelques années, suite à l’accroissement de la présence musulmane en Occident (ou serait-ce un pur hasard…) à l’approche de la Fête de la Nativité, l’hystérie anti-Noël atteint son paroxysme, non seulement de la part de certains musulmans, appelant au djihad contre les chrétiens, mais également de la part des défenseurs d’une laïcité plutôt subjective.

Sans oublier la récupération de cette fête chrétienne par des prêtres à des fins politiques.

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Ainsi, en Italie la politique s’est emparée avec arrogance de la fête de Noël, dénaturant sa véritable signification. Au cours des dernières semaines, on a assisté et entendu de tout et n’importe quoi. Des prêtres invitaient les fidèles à ne pas faire des crèches en signe de protestation contre le Décret Sécurité de Matteo Salvini ; d’autres installaient des crèches sur une embarcation de migrants ; des prêtres jetaient les statuettes de Joseph, Marie et de l’Enfant Jésus au milieu d’immondices et des évêques prêchaient pendant la Messe de Minuit en faveur de l’accueil des migrants comparés à Jésus, tout en accusant de manière à peine voilée Salvini de mener une politique inhumaine de rejet de l’Autre.

Et que penser de ce prêtre, Don Paolo Farinella de Gênes, qui avait décidé de ne pas célébrer la Messe de Noël en signe de protestation contre le Décret Sécurité de Salvini et accusait les catholiques, qui dans le secret des urnes votaient pour la Lega et exaltaient Salvini, homme inculte, sans aucun sens de l’Etat et du droit, d’être complices de lèse-humanité et de «déicide» ?

«Si Jésus, accompagné de Marie et de Joseph, se présentait chez nous pour célébrer sa naissance, avec l’immonde décret de Salvini, il aurait été arrêté à la frontière et renvoyé avec ses parents comme migrant économique, car il ne possède pas de permis de séjour et qu’en Palestine il n’y a pas une guerre datant de 1948.» (?)

«Comment est-il possible, se demande Farinella, d’ouvrir les églises, entonner «Tu descends des Etoiles” et des chants grégoriens, autour de crèches scélérates, quand dehors le vrai christ est offensé, torturé, violé, insulté, giflé, tué. De quel droit les chrétiens peuvent-ils prétendre célébrer la Noël de ce Jésus, quand leur pays, sans qu’ils ne s’opposent ou manifestent, expulse l’Homme dans le fils de Dieu ?»

Pour certains prêtres, fermer les ports italiens aux migrants signifie fermer les ports à Jésus le migrant, car ils voient en les migrants la figure du Christ !

Crèche déposée sur une mer de bouteilles plastiques

Dans certaines écoles, les chants et les récits de Noël étaient censurés, le nom de Jésus interdit, afin de ne pas heurter la sensibilité des familles musulmanes. La propagande politique cléricale et gauchiste n’hésita pas à transformer le voyage entrepris par Marie et Joseph en un périple migratoire. Or, si Marie et Joseph se rendirent de Nazareth en Galilée à Bethléem en Judée, la ville du Roi David, c’était tout simplement pour obéir au décret émis par l’empereur romain César-Auguste ordonnant à chaque habitant de se rendre dans sa ville d’origine. Joseph, de la lignée de David, quitta donc Nazareth en compagnie de Marie enceinte pour se rendre à Bethléem, afin d’y accomplir son devoir de citoyen. Que les politiques réécrivent l’histoire, cela ne surprend guère, mais que certains membres du clergé se servent de cette falsification pour soutenir leur politique d’accueil irresponsable, cela interpelle. Faire de la politique avec la crèche et les chants de Noël c’est une infamie.

«Une immigration contrôlée garantit les droits non seulement des Italiens mais aussi ceux des migrants. L’immigration sauvage de ces dernières années a apporté le chaos, le racisme et des troubles sociaux. Le seul antidote au racisme est le respect des lois, des règles et le contrôle de quiconque entre et quitte de pays.» a déclaré Salvini. Et pourtant, certains prêtres et prélats de l’Eglise, ceux qui privilégient l’idéologie à la théologie, le désignent comme le mal absolu. «Je ne l’estime pas, c’est un raciste». Et dans le seul but de le contrer, ils n’hésitent pas à transformer le récit de Noël en une croisade angélique en faveur de l’accueil sans limite, et ce au nom des valeurs de l’Evangile. 

Cette tendance à dénaturer la fête de Noël afin de complaire aux «nouveaux Européens» de confession musulmane se répand dans plusieurs pays occidentaux.

Entre la haine meurtrière de certains musulmans anti-chrétiens, pourtant accueillis avec générosité et bienveillance et les délires immigrationnistes des gauchistes alliés à une partie du clergé, les chrétiens se posent la même question inquiétante Noël après Noël :

Serons-nous encore autorisés à l’avenir à être chrétiens en Occident et à célébrer la fête de la Nativité librement, sans être menacés ou sans être discriminés, brutalisés, assassinés comme en Irak, en Egypte, au Pakistan, en Indonésie, au Nigéria et autres paradis islamiques, où l’hystérie anti-Noël atteint parfois son paroxysme et se termine dans un bain de sang ?

Crainte exagérée, qui relève de la paranoïa, diront certains, ignorant superbement la multiplication des menaces terroristes et des initiatives christianophobes des ardents défenseurs de la laïcité visant à faire disparaître les seules fêtes et traditions chrétiennes. Les fêtes religieuses islamiques, dont la sanglante et barbare fête de l’Aïd, les traditions musulmanes, les accoutrements religieux du VIIe siècle et les prières islamiques dans les rues ne constituent nullement des entorses à la sacro-sainte laïcité, selon ces farouches protecteurs d’une laïcité, qui loin d’être un rempart contre le pouvoir des religieux, ouvre un large boulevard à la plus dangereuse des «religions» l’islam politique totalitaire, à son fondamentalisme religieux et au prosélytisme islamique.

Nombreux sont les pays musulmans aujourd’hui où les chrétiens sont enlevés, emprisonnés, arrêtés à tort, battus, assassinés, non à cause de leurs actions, mais de leurs croyances jugées blasphématoires par les Autorités de ces pays. Tandis que les djihadistes attaquent les chrétiens avec une fureur diabolique, le monde continuer à bayer aux corneilles et à rester indifférent. Les dirigeants chrétiens, faibles et lâches, choisissent le silence par crainte de «provoquer» les si tolérants musulmans et nuire ainsi au chimérique dialogue interconfessionnel et à l’utopie globaliste du vivre ensemble dans une société multiculturelle, apaisée, harmonieuse, séraphique. C’est la quête de l’impossible rêve, car dans aucun pays à majorité musulmane, il n’existe une société multiculturelle sereine, juste, respectueuse de l’Autre, tolérante, le musulman étant convaincu d’appartenir à la meilleure communauté qui soit, donc il se persuade d’être supérieur à tous les non musulmans. Ce qui lui donne le droit «divin» de mépriser, d’humilier, de duper, d’égorger les mécréants que nous sommes.

Les rares courageux inconscients, qui osent parler de la persécution des chrétiens en terre musulmane, justifiée par le coran et la Sunna, sont vilipendés, diabolisés, réduits au silence, qualifiés de «fanatiques» et «d’islamophobes», même par certains de leurs frères chrétiens aveuglés, voire anesthésiés par les discours mielleux des membres de l’Eglise adeptes de la théorie de l’inclusion, très en vogue de nos jours.

A tous les disciples de l’angélisme pro-islam occidental, sachez que vous n’échapperez pas aux affres de l’idéal djihadiste. Que vous soyez athée, agnostique, juif, chrétien, bouddhiste, hindouiste, vous figurez sur la liste des mécréants, des infidèles, des impurs à soumettre et/ou à abattre, car le djihad de conquête, d’assujettissement, de domination est le devoir sacré de tout «pieux» musulman. Le djihad est implacable et universel et ses soldats poursuivent leur mission sans état d’âme froidement, cruellement, sans aucune compassion, et ce depuis 14 siècles : conquérir, convertir, asservir et en cas de refus la mise à mort. Telle est leur mission universelle écrite noir sur blanc dans leur livre sacré.

Si l’islam devait un jour dominer le monde libre, toutes les créations les plus riches de l’esprit humain libre seraient piétinées dans la boue, détruites, pulvérisées, effacées de nos mémoires. Et cela s’est vérifié au cours des siècles lors des conquêtes de nombreux pays non musulmans par les hordes barbares mahométanes.

Contre ces destructeurs de civilisations, Juifs, chrétiens, hindous, bouddhistes, athées, laïcs ne devraient-ils pas s’unir ?

Refuser de parler de cette menace, c’est ignorer l’histoire sanglante et impitoyable du djihad.

L’islam n’est pas une religion de paix, mais de guerre dite «sainte», de soumission forcée, contrairement à ce que soutiennent de nombreux musulmans et leurs angéliques amis occidentaux, partisans farouches d’une coexistence pacifique utopique avec les musulmans. Comment une religion de paix peut-elle par la voix de son dieu ordonner à ses croyants de mener la guerre totale, barbare, sanglante contre les chiens d’infidèles, afin d’établir par le feu et par le sang l’islam sur toute la surface de la Terre ?

Question cruciale, mais dérangeante pour les défenseurs d’un islam de paix. Alors, ils falsifient l’histoire de l’expansion de la religion mahométane afin de la présenter comme la religion de rêve, tout en noircissant délibérément la religion chrétienne. Et immanquablement, ils n’hésitent pas à citer un verset de l’Evangile pour prouver que le Christianisme est aussi violent, si pas pire.

«Ne croyez pas que je suis venu apporter la paix sur Terre : je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, la fille et sa mère, la belle-fille et sa belle-mère, et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison» (Matthieu, 10/34-36)

L’épée dont parle Jésus n’est pas la lame tranchante, qui donne la mort, mais Sa Parole. Le Christ savait que Son enseignement n’apporterait pas la paix à tous hommes, mais les diviserait. Ainsi, le monde haïra ceux qui suivent le Christ et les persécutera à cause de leur foi en Christ. Jésus est le Prince de la Paix et non celui de la Haine.

L’islam est une religion engagée depuis ses débuts dans une guerre de conquête barbare, des plus sauvages contre les infidèles et comme tout non-musulman est considéré comme un infidèle, nous sommes tous en danger. Contrairement aux Evangiles, les textes islamiques originaux appellent à islamiser la planète de gré ou de force, mais ils sont sciemment ignorés par les apologistes de l’islam et les islamologues auto-proclamés, qui affirment la main sur le cœur que ces textes ont été effroyablement dévoyés par ceux qui terrorisent le monde dans le seul but d’accomplir, ce qu’ils croient être leur mission sacrée : soumettre tous les peuples de la terre à l’islam, car alors seulement, l’Humanité ou ce qu’il en restera après la purification halal connaîtra l’apothéose de la Félicité.

De nombreux gouvernements occidentaux, champions de l’hypocrisie, imposent aux médias l’omerta absolue sur le danger de l’islam et sa progression en Occident via la Hijra, qu’ils encouragent et légalisent grâce à l’aimable collaboration de l’ONU. Est-ce par souci d’ouverture à l’Autre et/ou pour défendre les valeurs «humanistes» occidentales ? Que nenni ! Ils se conforment à la realpolitik pour de basses raisons financières, qui priment sur les droits de l’Homme.

Au nom des valeurs occidentales dont ils se gargarisent à longueur de discours officiels, ils livrent l’Occident délibérément à l’islam en portant atteinte à notre droit à la liberté d’expression, à notre droit d’exister comme un être libre, à notre droit à la liberté de respecter nos traditions, notre identité, notre culture, tout en exaltant l’islam, ses traditions barbares et l’Oumma.

A Gaza, un dépliant représentant un arbre de Noël en feu et des menaces en arabe interdisant la célébration de Noël a été publié par les brigades Al-Nasser Salah al-Deen, avant la Noël (1).

Un verset du Coran, imprimé à gauche du dépliant, met en garde les musulmans, leur ordonnant «de ne pas suivre le chemin les Juifs et les chrétiens, car Allah n’est pas du côté des méchants.» Et d’ajouter qu’il était «absolument interdit» de célébrer la fête de Noël à quelque titre que ce soit.

Selon une source gouvernementale, le dépliant visait non seulement les musulmans, mais aussi les chrétiens arabes vivant dans la bande de Gaza.

Cet avertissement menaçant contrastait avec les efforts d’Israël pour aider les chrétiens de Gaza à célébrer la fête de Noël. D’un côté l’amour du prochain et de la vie, de l’autre la haine de l’autre et l’amour de la mort.

Lors d’une interview accordée par Geert Wilders à “Voice of Europe”, à la question : «que signifie la Noël pour vous ?», il répondit :

«Il s’agissait d’une période de fêtes, mais quand les «élites» décidèrent qu’importer une idéologie terroriste était une idée formidable, la fête de Noël fut éclipsée par la saison de chasse islamique. D’un côté, la Noël représente pour l’Occident la joie de vivre et l’harmonie, de l’autre vous avez des individus inspirés par l’islam, qui nous haïssent et chérissent la mort plus que la vie et cela résulte en une menace permanente d’attaques terroristes. Je ne puis penser à un meilleur vœu pour Noël que celui de la disparition de l’islam de nos sociétés occidentales.» Vœu partagé !

 

En Occident, encore chrétien n’en déplaise à certains, la Fête de la Nativité est de plus en plus souvent célébrée sous haute sécurité, parfois quasiment en état de siège, à cause des menaces terroristes lancées au nom d’Allah. Est-ce normal ? Certes non ! Alors, au lieu d’accuser l’islamophobie d’être à l’origine du terrorisme islamique, les gouvernements ne devraient-ils pas avoir le cran d’interdire l’islam en Occident, comme le Christianisme est interdit dans les pays musulmans régis par la charia ? L’islam n’a pas sa place en Occident et ne l’aura jamais.

Au lieu d’appeler les chrétiens à se remettre en question, le Pape devrait prodiguer ce sage conseil d’abord aux musulmans.

De plus en plus d’Occidentaux perçoivent le danger de l’islam pour l’Occident. Même en Suède, le réveil s’amorce, et ce en dépit de la censure et des peines de prison encourues par toute personne publiant sur les réseaux sociaux des messages “islamophobes” ou critiques envers la politique migratoire du gouvernement.

Ainsi, dans un article publié par le journal Nyeter Idag, la théologienne suédoise Ann Heberlein met en garde contre le danger de l’islamisme. (2)

“Le diable s’est fait connaître en cette période de Noël d’abord sur le Marché de Noël de Strasbourg, ensuite au Maroc. A Strasbourg, 6 personnes perdirent la vie et au Maroc, deux jeunes femmes scandinaves parties faire une randonnée dans les monts Atlas furent sauvagement violées, puis égorgées. Ce qui devait être une belle aventure, un merveilleux souvenir se termina en un atroce cauchemar. Le dénominateur commun à ces actes barbares s’épelle «i s l a m».

L’auteur de l’attaque de Strasbourg, tout comme les violeurs et meurtriers du Maroc sont des terroristes islamistes, de pieux fidèles d’Allah.

Aveuglés par leur fanatisme religieux et leur haine du mode de vie occidental, qu’ils considèrent immoral, ils s’attaquent à des gens innocents. Nous sommes leurs ennemis. Aujourd’hui, la Suède représente pour l’Etat islamique ce que l’Argentine et le Brésil étaient pour les nazis après la Seconde Guerre mondiale : un refuge où ils peuvent continuer à nourrir leur haine de l’Occident en toute sécurité. Un sanctuaire, où ils peuvent panser leurs plaies et commencer une nouvelle vie sans qu’ils doivent rendre compte à la justice de leurs crimes. Au lieu d’être enfermés dans une prison, les terroristes reçoivent les visites d’un secrétaire social. Il est grand temps que nous changions d’attitude a conclu Ann Heberlein.”

Ces deux malheureuses n’ont pas été victimes que des égorgeurs de l’EI, mais aussi de la criminelle propagande angélique des gauchistes, des responsables politiques, des médias, imposant à leurs concitoyens leur monde imaginaire, un monde féerique où l’islam est une religion de paix (quiconque en doute est raciste, islamophobe et doit être traité avec mépris) un monde où n’importe quel problème peut être résolu via un respectueux dialogue interconfessionnel, un monde où tous les problèmes sont uniquement causés par les USA et Israël. Dès lors pourquoi devaient-elles se soucier de leur sécurité au Maroc, doux pays musulman… où règnent l’amour, la douceur, le respect des femmes, la tolérance et la paix ?

Quel enrichissement époustouflant nous apportent l’islam et les migrants musulmans ! Nous en bénéficions joyeusement jour après jour. Même quand les attentats sont déjoués, comme dernièrement à Barcelone et à Rome, les djihadistes remportent une victoire en frappant de terreur le cœur des infidèles.

Coran 8:60

«Et préparez contre eux tout ce que vous êtes capable de puissance et de moyens de guerre par lequel vous pourrez terrifier l’ennemi d’Allah et votre ennemi et d’autres que ceux que vous ne connaissez pas mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépenserez pour la cause d’Allah vous sera intégralement remboursé et vous ne subirez aucun tort.»

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : «Merry Christmas in a time of persecution of Christians.» Jihad Watch

(1) Jerusalem Post

(2) Nyheteridag

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