Pour beaucoup, cette décision apparaît comme radicale. Les témoins interrogés par franceinfo assument ce qu’ils considèrent comme un geste salvateur pour l’avenir de la planète.
Faire moins d’enfants pour sauver la planète ? Début octobre, l’AFP publiait une infographie rassemblant une série de préconisations pour limiter le réchauffement climatique. Reprenant les résultats d’une étude scientifique anglo-saxonne pour le moins controversée, comme le rappelle Le Figaro, le graphique montrait notamment que le fait d'”avoir un enfant en moins” permettait de réduire drastiquement son empreinte carbone. Sur les réseaux sociaux, cette option avait provoqué de vives réactions, beaucoup la considérant comme absurde et absolument inenvisageable.
Dites, l’AFP, vous suggérez de se débarrasser de nos enfants pour réduire l’empreinte carbone ? 😂😂😂 https://t.co/AYGBqGpg7Y
— Gillye (@Gillyxiane) 8 octobre 2018
L’idée semble radicale mais elle a déjà trouvé un certain écho auprès de personnes sensibilisées à l’écologie. “C’est un cheminement qui m’a pris du temps. Il n’y a encore pas si longtemps, je voulais des enfants. Quatre ou cinq, même. Mais depuis trois ans, je me dis que ce n’est pas raisonnable de donner la vie dans cette société”, tranche Marjorie Zerbib. Cette Bordelaise de 27 ans le reconnaît : “Je suis jeune mais déjà très pessimiste sur l’avenir de la planète.”
Une cinquantaine de personnes – autant d’hommes que de femmes – ont répondu à l’appel à témoignages de franceinfo. Très conscients des menaces qui pèsent sur l’environnement, tous ont décidé qu’il était de leur responsabilité de ne pas aggraver la situation. Pas question pour eux de contribuer à l’augmentation de la population mondiale en donnant la vie.
“On va bientôt atteindre les neuf milliards d’individus sur Terre”
A 32 ans, Anne-Claire* a pris sa décision : elle n’aura jamais d’enfant. Ses raisons sont liées à son histoire personnelle mais aussi beaucoup à ses convictions écologiques. “Je n’ai pas envie de créer un petit pollueur”, affirme cette journaliste qui s’étonne du comportement de ses amis : “Ils sont fiers d’être ‘zéro déchet’, mais à côté de ça, ils font deux enfants ou plus. C’est comme s’ils ruinaient tous leurs efforts.” Elle et son compagnon refusent de mettre au monde un être qui créerait une empreinte carbone supplémentaire.
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“On va bientôt atteindre les neuf milliards d’individus sur Terre. Comment va-t-on faire pour subvenir à tous nos besoins primaires, pour se nourrir, se loger ?” s’inquiète Mélissa*, qui préférerait adopter plutôt que “d’avoir à tout prix [son] propre enfant”. L’étudiante en communication à Lille n’a pas encore arrêté sa décision mais, à 23 ans, elle est déjà très angoissée par le futur.
J’aurais très peur de laisser un enfant dans ce monde de plus en plus fou.
Mélissa*
à franceinfo
Ces réfractaires à la parentalité redoutent aussi profondément l’avenir réservé aux adultes de demain.”On va vers des désastres écologiques forts et fréquents. L’effondrement de la biodiversité commence à peine”, s’alarme Sylvain, 34 ans. Son choix de ne pas vouloir d’enfant “est irrévocable”, à tel point qu’il souhaite subir une vasectomie. Cet agriculteur, partisan de la “décroissance”, ne se voit pas élever un enfant. “Il aura une vie très compliquée dans vingt ou trente ans. Je ne peux pas prendre la responsabilité de lui faire subir ça”.
Tous assument leur décision, même si, pendant plusieurs années, Anne-Claire a eu peur de regretter son choix. Mais elle a tranché : “Quelqu’un m’a dit un jour : ‘Ce n’est pas le fait d’avoir des enfants qui va t’empêcher de vieillir seule’. Ça m’a libérée. Et puis j’ai mes neveux et mes nièces, j’ai des enfants autour de moi. Cela me suffit amplement”, affirme-t-elle à franceinfo. Pourtant la plupart des témoins interrogés par franceinfo se heurtent à l’incompréhension de leur entourage.
“Pour les gens, je suis une cause perdue”
Quand Madeline explique à ses amis qu’elle ne veut pas d’enfant “à cause de la surpopulation”, les réactions sont souvent très dubitatives. “Je passe un peu pour l’ovni”, explique cette Rennaise de 28 ans. Autour d’elle, la plupart ont déjà des enfants et ne comprennent pas sa décision. “C’est mon combat à moi et je sais qu’il est perdu d’avance. Je ne cherche pas à les convaincre”, explique cette salariée d’une entreprise informatique.
Anne-Claire est elle aussi persuadée que sa démarche va rester marginale. “Pour les gens, je suis une cause perdue. On me dit : ‘Faire un enfant, c’est la vie, on ne peut pas remettre ça en question’ “. Ses proches ne prennent pas ses motivations au sérieux : “Ils pensent que c’est un prétexte pour cacher d’autres raisons de ne pas faire d’enfant”, pointe la trentenaire.
On me dit que je suis égoïste. Mais ça devrait être aux autres de se justifier. Créer une vie, il n’y a rien de moins banal, surtout dans un tel contexte de réchauffement climatique.
Madeline
à franceinfo
Si la famille d’Anne-Claire respecte son choix, Lucien* a peur que la sienne se révéle moins compréhensive. Le jeune homme de 25 ans préfère ne pas aborder le sujet pour l’instant. “Avec mes amis, je suis catégorisé écolo anti-capitaliste et anti-système, donc cela n’a pas été une grosse surprise pour eux. Mais dans ma famille, faire des enfants est une évidence. Je viens d’un milieu plutôt conservateur, où cette décision ne passerait pas du tout”, prédit cet habitant du Val-d’Oise. Lui et sa petite amie, qui souhaitait pourtant fonder une famille nombreuse il y a encore trois ans, ont décidé de ne pas concevoir d’enfants. “Les perspectives climatiques et économiques sont trop effrayantes”, justifie ce salarié d’une grande association.
“Il m’affirmait que si j’étais une femme, c’était pour enfanter”
Pour celles et ceux qui choisissent de ne pas avoir d’enfant, il est parfois difficile de faire entendre leur point de vue à la personne qui partage leur vie. L’ex-petit ami de Mélissa n’a jamais accepté sa décision : “Pour lui, je devais aller vers ma ‘quête naturelle’ en devenant mère. Il m’affirmait que si j’étais une femme, c’était pour enfanter”, se souvient-elle, encore choquée par cette réponse. Pour éviter tout malentendu, Sylvain avertit systématiquement les femmes avec lesquelles il se met en couple.
Souvent, mes histoires ne vont pas plus loin que le premier rendez-vous pour cette raison.
Sylvain
à franceinfo
Le trentenaire a tout de même fait face à des malentendus. “Il y a quelques mois, j’ai débuté une relation avec une femme que j’ai informée tout de suite du fait que je ne voulais pas d’enfant. Elle m’a dit qu’elle était d’accord, tout en pensant secrètement que je n’étais pas bien sérieux et que mes motivations étaient incompréhensibles. Au bout de quelques semaines, ça a clashé. Elle m’a lancé : ‘Si tu ne changes pas d’avis, c’est que tu n’es pas suffisamment amoureux’.”
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“Ces trois années de doctorat m’ont ouvert les yeux”
Pour la plupart des personnes qui ont témoigné, la volonté de ne pas procréer s’inscrit dans une démarche écologique globale issue d’une réflexion mûrie depuis plusieurs années, seul(e) ou en couple. Marjorie Zerbib n’a pas toujours été une “vegan locavore”. Sa prise de conscience s’est faite en parallèle de ses études : “Je faisais une thèse sur le développement durable dans les pays du Sud. Ces trois années de doctorat m’ont ouvert les yeux”, explique-t-elle.
Du côté de Mélissa, ses multiples voyages l’ont rendue très pessimiste : “Partout où je suis allée, j’ai constaté que notre planète est belle mais très fragile. Au Brésil, même dans les coins les plus reculés, on trouve des sachets plastiques”, se désole l’étudiante. Madeline peine à “dater son tournant écolo” mais c’est dans la fiction qu’elle a trouvé une résonance à ses convictions. “De plus en plus de films et de séries montrent à quoi ressemblera l’avenir, souvent sur une planète asphyxiée et surpeuplée. Ça me conforte dans mon combat”, assure-t-elle.
Nicolas, quant à lui, ne voyait pas cette démarche comme un sacrifice mais plutôt comme une décision évidente, aussi inéluctable que l’épuisement des ressources de la planète. Il en sait quelque chose, puisqu’il travaille dans le secteur des énergies renouvelables : “J’essaye constamment de mesurer l’impact de ce que je fais autour de moi. Alors forcément, je savais que la décision d’avoir un bébé serait loin d’être anodine”, pointe le trentenaire à franceinfo. Après des années d’hésitation, Nicolas et son épouse ont finalement tranché : ils attendent un enfant pour juin 2019. “Mais on fera tout pour limiter les impacts écologiques liés à sa naissance. On ne se déplace quasiment plus qu’à vélo, on mange bio, on a notre propre potager. Toutes ces valeurs, on fera en sorte de les lui transmettre.”
*Les prénoms ont été modifiés
Source : Francetvinfo
Voici quelques années, j’avais lu dans une canard intéressé par les sciences, que cette planète ne pourrait pas supporter très longtemps plus de 500 millions d’individus….
Il y en a plus de sept milliards, et le compteur tourne à chaque minute.
Ha bon !!! il y a quelques années nous étions déjà des milliards. En 1500, la population atteignait 425 millions d’habitants et en 1815 le premier milliard était déjà franchit.
Au tout début de l’invention de l’automobile, des experts disaient aussi que le cœur humain ne supportera pas d’être soumis à des vitesses supérieures à 18 km/h. 🙂
Aujourd’hui il y a des voitures qui dépassent les 300 km/h, les avions de chasse atteignent 2500 km/h et on ne parlera pas de certains engins spatiaux habités qui rentre dans l’atmosphère à plus de 20.000 km/h.
Et le cœur ? Il va bien, merci. 🙂
Ils ont bien raison de ne pas faire d’enfant car à défaut de faire un petit pollueur ils feraient un petit crétin.
Oh oui, un futur électeur gauchiste en moins, c’est toujours bon à prendre.
Effectivement, vue l’éducation que ces gens donneraient à leurs enfants, il vaut mieux “pour la planète” qu’ils ne se reproduisent pas. Heureusement (je rigole !), le “grand remplacement” compensera leur déficit par des populations certainement très impliquées dans les questions écologiques…
Ha bon ! mais il y a quelques années nous étions déjà plusieurs milliards. En 1500, la population atteignait 425 millions d’habitants et en 1815 le premier milliard était franchit.
“Je ne ferai pas d’enfant, pour sauver la planète”.
Dommage que ce ne soient pas les mahométans qui disent ça.
S’il n’y avait qu’eux…
Ils ne veulent pas d’enfants mais veulent bien des migrants et des continents à la natalité galopante. Pathétique !
Irrationalité à situer entre le suicide civilisationnel, l’aveuglement méthodique et l’incapacité à prioriser les dangers.
Avant que l’ours polaire se retrouve les quatre pattes dans une piscine réchauffée (si c’est avéré…), il aura déjà eu le temps d’être islamisé.
Je plains ces femmes culpabilisées jusque dans leur chair au point de se priver des bonheurs de la maternité.
Fleur de Lys….Je bois vos paroles !
La dernière me plait beaucoup. Je vais la placer quand les Ecolofrics viendront me “polluer” l’esprit.
Bien cordialement
Merci Gabriel ! 😄
Il y a effectivement une branche radicale de la secte des climato-fanatiques qui tente d’imposer un dogme visant à faire croire que “faire un enfant de moins contribue à limiter le réchauffement climatique”.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/avoir-un-enfant-en-moins-pour-lutter-contre-le-rechauffement-climatique-l-afp-s-explique-apres-une-infographie-tres-commentee_2976621.html
Ça n’aurait du sens que si ces mêmes gaucho-réchauffistes ne votaient pas systématiquement pour des Zélites politiciennes, partout en Europe, qui imposent une immigration invasive massive et incontrôlée de populations qui font culturellement (et c’est leur droit) huit, dix, voire douze enfants par couple.
Donc la question se pose :
Est-il possible d’être climato-alarmiste, de gauche, ET pro-migrants ?
Ça me fait rire en même temps que ça me consterne de lire et d’entendre des choses comme ça : comme quoi, le bourrage de crâne écolo fonctionne remarquablement bien.
Et qui va produire les biens alimentaires et autres produits de première nécessité quand vous serez vieux et incapables de pourvoir à vos besoins, si vous n’avez pas fait d’enfants ? Vous mangerez vos points retraites, ou vos économies ? Ah, vous n’aviez pas pensé à ça ?
Les cathares ne voulaient pas faire de futurs pécheurs …
ils devraient se suicider immédiatement pour réduire l’empreinte carbone !
Vous ma l’avez retirer du clavier, je venais jute d’y penser.
Pour ces gens là, un seul conseil :
Vous voulez réduire au maximum votre empreinte carbone ?
Supprimez-vous !
Non c’est probablement faux, ils sont simplement bien gavés, et bien boboégoistes, car les malheureux font statistiquement beaucoup d’enfants. Que part opportunisme politique ils nous sortent un storytelling hypocrite, on peut le comprendre mais à l’instar du dragueur de supermarché, il ne faut pas les croire.
C’est bien triste de voir un tel pessimisme! La manipulation des médias européens agit sur la population jusqu’à la rendre suicidaire! Et elle s’appellerait Zerbib? penser comme cela, ne paraît pas juif! Qu’elle aille voir en Israël où, D. merci, les gens font des enfants et ont confiance en l’avenir! Et pourtant, ils vivent conscients du danger permanent et doivent envoyer leurs enfants au service militaire !
parfait … maintenant allez prêcher la bonne parole en Afrique et surtout a gaza car les familles ont de 4 a 10 enfants pour sauver la planète
bizarre cette façon de considérer l’enfant en fonction de sonde son rôle sociologique ,économique, écologique. c’est avant tout une personne.
C’est une personne une fois qu’il existe. Ce n’est pas une personne avant même qu’il soit conçu.
Evelyne à raison. Le fait qu’il ne soit pas encore conçu n’empêche pas de le penser comme une personne.
Il s’agit de le représenter, dans l’imaginaire parental, comme un petit être source de vie, et non comme un étendard de fantasmes et délires ecolo mortiferes.
et s’il est tué lors d’un accident avec sa mère la veille de sa naissance, ce n’est toujours pas une personne, aux yeux de la loi…
Effrayante idéologie mortifère. On comprend pourquoi la Gauche courtise tant les écolos: mêmes raisonnements absurdes, mêmes décisions absurdes, qui forcément les conduira à avorter « pour ne pas polluer la planète ».
Sauf qu’ils ne savent rien de la pollution spirituelle, infiniment plus destructrice que de faire un gentil bébé qui prendra peut-être doin de vous dans vos vieux jours.
Il faut aussi stériliser TOUS LES ANIMAUX (en sus des hommes). Car forcément, s’ils mangent, ils polluent, et s’il respirent, ils émettent du gaz carbonique …
Je pense qu’il y a bien des écolos qu’on devrait mettre dans un zoo. Ça pourrait attirer des foules, celle des gens qui ont trois sous de bon sens…
Des articles ont écrit que les gigantesques incendies de la Californie étaient dûs essentiellement aux écolos, qui, pour que quelques espèces animales soient protégées, sont parvenus à faire une pression politique suffisante pour que l’on interdise une saine gestion de la forêt, et Trump l’a aussi déclaré.
L’écologie peut se transformer en une religion de fanatiques pour lesquels un animal, fut-il un moustique, vaut plus cher qu’un homme. « Tuons les bébés pour ne pas encombrer la planète !». Donnezz-leur le pouvoir, ils copieront la politique de l’enfant unique de Mao…
Ben faut être cohérent. Si le réchauffage climatique est dû à l’humain, la seule solution c’est moins d’humains. Et si ce n’est pas fait par choix ce sera par contrainte. Guerres, famines, manque d’eau….
Je rappelle quand même que la plus primitive des bactéries arrête de se reproduire lorsque son environnement est surpeuplé par rapport aux ressources.
Serions nous moins intelligents qu’une bactérie?
Que d’âneries en si peu de mots…
– “réchauffage” : on dit réchauffement, pas réchauffage : ça, c’est pour vos plats cuisinés
– “Si le réchauffage climatique est dû à l’humain” : NON. Il n’existe aucune preuve que le réchauffement climatique soit lié à l’activité humaine. Le soleil est beaucoup plus probablement en cause. Par ailleurs, il n’est même pas certain que la terre continue de se réchauffer, depuis le début des années 2000.
– “Et si ce n’est pas fait par choix ce sera par contrainte. Guerres, famines, manque d’eau….” : vous seriez bon pour jouer le rôle de Cassandre, vous. Juste deux exemples : la terre nourrit aujourd’hui plus de gens qu’elle ne l’a jamais fait, on trouve toujours de nouvelles façons d’améliorer l’agriculture, surtout dans les pays “en voie de développement” (irrigation, amendements, techniques de culture rationnelles, etc.). Autre exemple, le pétrole : il y a 30 ans, on nous disait que les ressources seraient épuisées “dans 30 ans” : or entre temps on a trouvé de nouveaux gisements, énormes.
Les guerres et famines sont dues non pas au manque de ressources, mais essentiellement à la bêtise humaine, ainsi qu’à la volonté de supplanter, de dominer son prochain.
– “Serions nous moins intelligents qu’une bactérie?” : vous, c’est très possible.
L’attaque ad hominem n’est pas un argument cher Monsieur.
– Dans “si le réchauffage…” il y a le mot SI. Je ne suis pas scientifique, je sais que les rapports du GIEC sont rédigés par des politiques, qu’il y a polémique etc… Je disais juste que dans la doxa actuelle (humains=réchauffage) le raisonnement de ces personnes est parfaitement cohérent.
– Je sais que les grandes famines actuelles sont plus dues à la spéculation sur les matières agricoles – notamment les céréales – ou des problèmes géopolitiques que par manque de production. Cela dit le problème urgent c’est l’eau. Et pas qu’au “tiers-monde”. Les bienfaits de votre agriculture “innovante” – qui est en fait de masse pour nourrir des masses – a déjà rendu nombre de nappes phréatiques souillées pour des dizaines d’années. Alors oui on peut inventer un truc pour purifier, et puis un truc pour nettoyer le purificateur, puis un truc pour nettoyer le nettoyeur…. Ca serait plus simple de ne pas inciter à accroitre la population, et c’est là que j’arrive à mon dernier point.
– La démographie est et a toujours été une arme. Que ce soit militairement ou économiquement. Le plus grand nombre est synonyme de plus grande puissance. Que ce soit de la tribu où il vaut mieux être 30 que 10 pour mettre sur la g… des autres tribus, jusqu’à la guerre démographique au MO, en passant par le réservoir de consommateurs chez nous, les dirigeants ont (et auront surement) toujours une politique de croissance démographique.
C’est là que l’absurdité politique se pointe : reproduisez vous (allocs, prime de naissance, chèques vacances…) mais attention l’humain détruit la planète alors triez le verre pour la sauver.
On parlait des bactéries et de leur intelligence par rapport à notre espèce…
Benji : quand vous dites : “Serions nous moins intelligents qu’une bactérie?”, je me considère insulté, donc à attaque ad hominem, comme vous dites, attaque ad hominem et demie.
Sur le réchauffement climatique : lisez donc Dreuz avec attention, ou allez faire un tour sur le site suivant : https://www.climato-realistes.fr/, ou encore écoutez le très pédagogique Vincent Courtillot ici : https://www.youtube.com/watch?v=pNThA15OyFU
et vous vous rendrez compte que cette affaire est une escroquerie en vue de nous taxer toujours plus.
Donc votre “si” n’a pas lieu d’être, désolé.
Quant à l’agriculture moderne, elle est certes imparfaite, mais elle a permis de nourrir des milliards de gens ; et si les ressources étaient si limitées que cela, les famines se multiplieraient sur le globe. Or c’est l’inverse qu’on observe, exemple : https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/10872-800-millions-de-personnes-souffrent-encore-de-la-famine
Je suis toujours étonné quand je vois les gens avoir peur de la surpopulation, ou du climat qui soit-disant se déréglerait, sans aucune base sérieuse, exactement comme nos ancêtres avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête. À croire que les gens veulent toujours avoir peur de quelque chose (vous me direz, les Français sont l’un des peuples les plus pessimistes au monde, les enquêtes l’indiquent régulièrement)…
Le simple bon sens devrait conduire à considérer que si on ne fait pas d’enfants, ou pas assez, il n’y aura personne pour payer les retraites et pour prendre soin de nous quand nous serons âgés. Toute personne sensée sait que pour qu’un système de retraites fonctionne, il faut, entre autres, que la pyramide des âges soit équilibrée, autrement dit qu’il faut faire des enfants à un niveau d’au moins 2,05 par femme. Alors vos raisonnements basés sur les tribus de 10 ou de 30 et sur l’arme démographique (qu’il faudrait sans doute laisser aux mahométans tandis que nous, soit-disant supérieurs moralement, nous nous effacerions pour laisser la place) sont franchement ridicules, désolé de vous le dire.
Jacques a dit et Atikva,
Déjà désolé que vous vous soyez senti agressé par ma petite phrase sur les bactéries ce n’était pas le but et je ne considérais agresser personne.
Je connais les polémiques sur le réchauffage climatique. Le sujet est même tabou. Récemment chez Pascal Praud était invité un physicien dont hélas je ne me souviens plus le blase qui avait travaillé avec le GIEC. Il sortait un bouquin critique sur ce GIEC. Un intervenant pédant lui dit cash qu’il n’est pas sérieux car il n’est pas climatologue. Il répond que la spécialité climatologue n’existe pas. Qu’il s’agit de physiciens, géologue etc.. qui étudient le climat. Réponse du pédant : oui mais vous n’êtes pas climatologue. Fin du débat.
Bref la polémique existe. Et je ne suis personnellement pas compétent pour trancher vu que j’ai arrêté mes études scientifiques à bac+2.
Ce que je remarque en tant que rural, c’est que les 5 dernières années ont été particulièrement perturbées au niveau météo (ce qui n’est pas le climat, bien sûr). Alors certes mon jardin n’est pas la planète, ce sont peut-être des épiphénomènes, c’est peut-être passager… Je n’en sais rien mais 5 ans d’affilé ça fait poser question.
Ensuite, oui l’agriculture moderne produit plus qu’il n’en faut. A quel prix? Gros débat aussi. Elle pourrait même nourrir beaucoup plus de monde. Rien qu’en Bretagne les sols sont déjà stériles et rien n’y pousserait sans chimie. Pourtant c’est une région des plus agricoles s’il en est… La course au nombre et à la production va nous mener où? Bien malin celui qui peut répondre.
Mon hypothèse “d’arme démographique” serait ridicule? Bien. Alors expliquez moi pourquoi par exemple au MO, israéliens et palestiniens se battent aussi à ce niveau. Comment expliquez vous la phrase attribuée au sanguinaire Boumediene “Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.” Pourquoi nos gouvernements encouragent la reproduction? Consommation ne pensez vous pas.
Votre réflexion sur les “mahométans” devant qui on “s’effacerait” prouve bien que vous vous rangez à cette hypothèse d’arme démographique.
Les retraites et s’occuper des vieux. Déjà c’est un choix de société. Qu’il faudra faire.
Ensuite tout à fait d’accord il faut bien que quelqu’un de plus jeune s’en occupe et finance. 2,05 par femme est un chiffre qui me semble correct pour maintenir la population sans trop l’accroitre. Mais vue l’évolution actuelle de la démographie mondiale, multipliée par 6 en moins de 150 ans… On est loin des 2,05….
Le problème, c’est qu’on ne PEUT PAS maîtriser la fécondité des autres peuples.
Or dans votre toute première intervention vous suggériez de stopper complètement de nous reproduire – puisque le sujet de départ est bien ces femmes qui ne veulent PAS d’enfant du tout – parce que d’autres peuples se reproduisent comme des lapins.
La seule conclusion logique de votre raisonnement, puisque nous ne pouvons pas obliger les autres peuples à arrêter de se reproduire comme des lapins, revient (mécaniquement) à nous effacer devant les autres, les Africains en particulier ; lesquels ne manqueront pas de prendre notre place, si elle est vacante… et alors, qu’aurons-nous gagné ? Ce type de raisonnement est typiquement un raisonnement suicidaire : cf Zemmour et “le suicide français”.
Pour en revenir au MO et à Israël en particulier, heureusement que les Israéliens font des enfants ! (à peu près 3 par femme) Ils ne sont pas suicidaires, eux…
C’est ce que je voulais vous faire remarquer.
Non je ne parlais pas d’arrêter totalement mais de réduire. Biologiquement chaque espèce est appelée instinctivement à se reproduire, c’est un fait incontestable. Mais limiter est la seule solution qui me semble viable et bien entendu au niveau planétaire. Limiter la reproduction uniquement chez nous ne servirait à rien puisque même si nos descendances polluent 1000 fois plus que les descendances africaines elles sont 1000 fois moins nombreuses.
Mais je vous rassure. Pour des raisons de puissance la reproduction sera toujours encouragée, et ce dans toutes les sociétés.
J’en conclus de notre échange que la solution est inexistante. Que l’humain fera comme il a toujours fait quelle qu’en soient les conséquences pour ses rejetons. Que le juste milieu entre démographie, politique, ressource… est à ce jour inatteignable.
@ Benji
Le réchauffage ? – même les Rouges qui ont viré Verts ne connaissent pas ce mot.
Quant au réchauffement climatique, il y a un certain temps que le mythe a été discrédité, au point que ses créateurs et partisans ont abandonné le label. Et comme rien ni personne, y compris “l’humain”, ne peut être responsable de quelque chose qui n’existe pas, il faut en effet se poser la question “Seraient-ils moins intelligents qu’une bactérie?” à propos de ceux qui continuent à donner dans le panneau.
Peut-être qu’on pourrait créer des être conscients qui agissent avec responsabilité.
Ce qui a besoin d’être sauvé ce n’est pas tant la planète, qui en a connu d’autres, mais plutôt l’humanité occidentale blanche judéo-chrétienne à qui on a inculqué la haine de soi basée sur la culpabilité d’être, à tel point, qu’elle ne se rend même pas compte de son absurde discours auto-destructeur programmé.
Effectivement, si vous pensez que l’homme est un fléau pour la planète, qui doit être éradiqué, libre à vous, mais commencez par vous supprimer vous-même, au lieu de condamner les autres à l’interdiction d’exister.
Plus qu’un altruisme et plus qu’une conviction, cela me semble surtout l’affirmation d’un individualisme devenu petit à petit monstrueux. C’est la quintessence du “moi d’abord”. Ces personnes ont-elles, ne serait-ce qu’un instant, effleuré l’idée que ces élucubrations n’intéressent que quelques rares névrosés et que le reste du monde s’en tamponne? La surpopulation est à coup sûr ce qui fera disparaitre l’espèce humaine, mais 3 gugusses qui renoncent à se reproduire ne changeront pas le cours des choses. Ils le savent bien et je suis persuadé qu’ils se retranchent derrière ces belles déclarations pour cultiver leur égoïsme mortifère.
Un sacrifice égocentrique…Il n’a aucune valeur humainement parlant.
Si eux n’en font pas ils viendront touT élevés en plus mal élevés Pacte de Marrakech oblige. Et la chance d’avoir des enfants qui plutôt lutteront contre la dégradation sera morte avec eux. Voilà ce qui cause tant de bouleversement, l’occidental se fait hara-kiri sur son territoire pour le bien de la planète, mais quelle planète? Ils faut plusieurs ingrédients pour la planète, lire sur le dieu Shiva pour la destruction et la création.
Les écolo ont bien réussi leur idéologie planétaire, mais seulement pour une partie de l’humanité. C’est pour cela qu’on importe une autre population pour continuer.
C’est probablement des adeptes de la finitude comme les “non-genre” et certains grecs de l’antiquité face à la vie: tant qu’ils n’ont pas donné la vie, la vie va s’occuper d’eux et ils ne vieilliront pas.
Qu’ils se cherchent une falaise ou faire leur chute, car ils ne servent plus à rien qu’à contaminer.
La planète est en marche, il n’arrêteront pas le train…Avec ou sans eux.
Très choquant. Ces individus m’effraient.
Néanmoins, ils pourraient se rendre utile en exportant leurs élucubrations en Afrique, parce que là-bas les “petits pollueurs” sont en surnombre.
Ils sont certes en surnombre mais leur “impact carbone” reste beaucoup moins élevé que celui de NOS petits pollueurs, lavés cent fois par jour, surchauffés l’hiver, plastique de “leurs” jouets, leurs culottes pour récolter le brin, électricité, piles…
Et alors ???
Vive nos petits bébés bien français ! Un pseudo rappeur voulait les tuer dans leurs couches, là on ne veut même pas envisager leur naissance, tout ceci à un nom: haine de soi, idealisation de l’étranger, et chaos pour tous !
Là on est je pense dans un débat qui dépasse les concepts de nationalité, race, culture, culte… Mais qui concerne la totalité de l’humanité.
Donc un rappeur débile qui parle de massacres n’a aucun lien avec ce débat qui est la surpopulation. Malthus en son temps avait déjà théorisé tout ça avec plus ou moins de bonheur ;-).
Après je vous dirais que si l’humain a besoin de la planète pour vivre, le contraire n’est pas vrai. Elle peut très bien se passer de nous et la vie renaîtra d’une autre façon… Sans nous et sans vos “petits bébés bien français”. N’oublions pas qu’on est mortels et que la reproduction n’assure en aucun cas l’immortalité.
Et pour en revenir à l’article, ils font des choix en conscience, par exemple celle qui préfère adopter et offrir une vie à un orphelin que de rajouter un humain en plus. On est d’accord ou pas, on fait nos propres choix mais je ne comprends pas le tombereau d’insultes qu’ils se prennent dans les commentaires. C’est leur choix de vie.
@ Benji
Vous ne comprenez pas l’enjeu civilisationnel qui se cache derrière ces anodines déclarations. Vous laissez le débat la où il s’exprime au premier abord, à savoir des choix subjectifs et individuels dont vous reclamez le respect au nom de la liberté de choix. Nul ne conteste les choix de chacun. Les enfants se font, ou ne se font pas, selon mille paramètres qui font partie des aléas de la vie. En revanche, il n’est pas interdit de décoder le sous texte qui s’exprime à travers ces postures qui sont bien plus idéologiques qu’elles n’y paraissent et dont la planète est l’alibi commode.
Dans ces propos, je lis d’abord l’exaltation du cher petit moi égoïste, l’incarnation de l’individualisme hédoniste et même consumériste, bien que leurs auteurs se targuent d’en être les adversaires. Élever un enfant, c’est une foi en l’avenir, la croyance que l’on peut continuer de croire, d’espérer, de construire quelque chose de meilleur. Eux sont nihilistes, ils préfèrent jouir d’un instant qu’ils estiment éphémère et condamné à disparaître au nom de l’empreinte carbone, au lieu de se battre, avec leur progéniture, pour une amélioration, fut -elle limitée. L’histoire des hommes est parfois tragique mais aussi progrès. Et je trouve bien plus courageux et honorable d’enfanter les futurs cerveaux qui permettront d’améliorer le monde que de s’incliner devant sa fin supposée. Leur démarche de ces gens n’est pas une démarche de vie mais de renoncement. Et si l’amour de la planète passe par le renoncement à l’enfantement, alors c’est la planète elle-même qui n’a plus aucun charme et que le prix à payer pour sa défense est trop élevé.
Ensuite, à un niveau plus global qui est celui de la cohésion d’un groupe, une civilisation meurt si elle ne fait plus d’enfants. Ces gens là ne se battent pas contre la natalité galopante des continents africains et du monde arabe, mais pourfendent la natalité de notre civilisation judeo chrétienne. Le monde qu’ils revendiquent est un monde sans enfants biologiques mais où le migrant devient notre enfant fantasmé, adopté, notre autre moi parfait, débarrassé de ses tares congénitales de bébé blanc futur méchant mâle dominateur colonialiste, raciste et pollueur. Bien sûr, englués dans leur rhétorique de la haine de soi, ils ne voient pas un seul instant que cet autre idéalisé ne colle pas vraiment à cette belle image d’Épinal.
Enfin, je dirai qu’il y a aussi des pollutions bien plus choquantes que celle du plastique du jouet d’un charmant bambin. Les conditions de malnutrition, de guerre, de violence infligées à des enfants par la seule volonté humaine et non climatique (dans de nombreux pays où le taux de natalité de 7 enfants par femme ne semble pas réveiller nos belles consciences) polluent la dignité humaine bien plus qu’une déforestation ne saurait le faire. Et là, on ne parle pas de mort supposée, programmée dans 100 ou 1000 ans par des scientifiques, mais de mise à mort immédiate et bien réelle.
Voilà pourquoi je pense que ces belles déclarations d’amour à la planète sont hypocrites, fausses et aussi dérisoires que l’extinction d’un feu de forêt avec avec un sceau d’eau. Quand l’hémisphère sud commencera à réduire drastiquement les naissances, au lieu de considérer les ventres de ses femmes comme l’antichambre de la submersion démographique de notre continent et de notre civilisation, alors là, on aura fait un grand pas pour la sauvegarde de la planète. Mais pour l’heure, je considère la relance de la natalité comme une priorité absolue dans nos pays, comme l’a très bien compris un Salvini ou un Orban.
Je pense que nous ne tomberons pas d’accord. Par contre je comprends parfaitement vos arguments, que vous placez pour schématiser dans un contexte de guerre civilisationnelle. Il m’est donc compliqué de répondre puisque je ne me suis pas assez penché sur le sujet même si je connais les arguments de part et d’autre.
Je ne peux bien sûr qu’être d’accord avec votre argument sur ces pays surpeuplés, dévastés par la guerre et la malnutrition. Politique plus que climatique.
Alors la question, et ce n’est qu’une question, devons nous nous aussi rentrer dans la danse et se reproduire à tout va, au risque si nous le faisons de nous retrouver dans la même situation, et si nous ne le faisons pas être incapables de gérer les flux migratoires?
J’avoue n’avoir aucune réponse à cette question.
Qu ils convertissent leurs amis musulmans en France ,et chez eux dans les pays arabes ! Le monde sera plus calme !
Si ces dames allaient jusqu’au bout de leurs convictions, elles commenceraient par se suicider. Seuls ceux qui aiment et respectent la vie ont un avenir sur cette planète qu’elles croient pouvoir contrôler.
C’est sans doute mieux comme ça. Je suis surpris que des gens comme eux n’envisagent pas de se faire euthanasier.
Et je serais curieux de connaître la température de leur salle de bain en plein hiver.
un écolo ça ose tout c’est même à ça qu’on le reconnait
Audiard
Quand l’islam dominera la France et l’Europe, se seront les lois de la charia qui seront appliquées, les femmes ne seront plus qu’un champ de labour comme indiqué dans le coran, elle deviendront des génitrice et les hommes musulmans ne leur demanderont pas leur avis.
A l’adresse ci-dessous une vidéo d’une femme suisse âgée en bonne santé qui à décidé de se faire euthanasier au début 2019 pour ne pas avoir à supporter le poids des maladies et des handicapes qu’elle pourrait avoir. Jeune ou âgée, cela ne tourne plus rond dans le ciboulot des bobos en occident.
https://nos-medias.fr/video/jacqueline-74-ans-programme-sa-mort-je-me-bats-pour-l-ivv-l-interruption-volontaire-de
Avec mon épouse nous avons eu un accident de voiture il y a 49 ans, mon épouses est restée handicapée à 80%, malgré les avis des uns et des autres de ne surtout pas faire d’enfants, nous avons eu quand même une fille que nous avons élevé sans l’aide de personne, cela n ‘a pas été facile mais nous etions jeunes et plein d’espoir, nous avons aujourd’hui une magnifique fille mariée avec des petits enfants qui nous rendent heureux, nous ne nous sommes jamais posés de questions existentielles et la planete continue toujours de tourner.
Pendant ce temps Erdogan demande aux femmes turques, implantées en Europe, d’avoir au moins 5 enfants…Les européennes qui ne veulent plus avoir d’enfants à cause de la surpopulation, c’est comme si “ELLES pissent dans un violon”…Par contre, je les comprends, si elles ne veulent pas faire vivre des enfants dans une France islamisée…
Sous prétexte que les africains font 15 moutards, les européens devraient arrêter de donner la vie ?
Un enfant a droit à un avenir, mais aussi il devra en être un acteur. Sérieusement, limiter les naissances, je suis pour à 100 % mais il y a une différence entre pondre des oeufs sans aucune limite et faire des enfants dont chacun aura un rôle important dans la pérennité de la population d’origine…
Croissez et multipliez. Oui mais jusqu’à ce que la planète soit entièrement couverte…
Et maintenant, c’est le cas. La planète est totalement remplie de l’engeance humaine.
La coupe est pleine et le trop plein ne peut que signifier des guerres génocidaires…
On est mal. Mais la réalité se fout de l’idéologie. Et trop d’humains revient à condamner la planète à sa disparition…
Bref, je me demande si je ne devrais pas investir dans l’armement ????
Histoire de gagner du pognon sur les gaucho-bobos, futur chair à canon…
Est-ce que j’exagère ?
Il y a toujours eu des femmes qui ne souhaitait pas devenir mère dans les pays évolués : on appelle ça ne pas vouloir avoir d’enfant. Le monde s’arrêtera à elles. Elles seront des taties au mieux. Chacune a son histoire particulière, sa relation avec sa mère, les exemples qu’elle a pu observer ailleurs, le décervelage médiatique contre lequel elles sont désemparées. Leur volonté est de toute manière respectable.
J’ai entendu parler de jeunes femmes qui se faisaient avorter en disant qu’elles ne voulaient pas avoir d’enfant. Au fond d’elle-même gisait pourtant une certitude : ” Je suis fertile comme les autres. Si je ne mets pas d’enfant au monde, ce n’est pas parce que je ne le Peux pas. ”
Vouloir sauver la planète, les gorilles et l’Amazonie à elles seules, combien c’est louable ! Il y a pourtant là un refus de penser ce qu’est l’humain apparu il y a entre 2 et 300 000 ans puis Homo sapiens sapiens (nous ) depuis moins longtemps.
Libre à chacun de préférer l’Orang outang (homme des bois) en langue locale. Mais depuis longtemps son évolution a pris une autre route, il lui manque la conscience réfléchie et la parole et l’art. “Merveille que je suis ” dit l’Ecriture.
Il ne faudrait pas dire “faire un enfant”. Faire est un mot-valise, on y fourre n’importe quoi. “L’avoir” est plus proche de le recevoir, de se le faire confier. C’est vrai que lorsqu’on a un bébé, il faudra par étape l’accompagner jusqu’à sa maturité, exercice passionnant avec des moments de découragement… C’est la vie. Il serait préférable de ne pas avoir beaucoup plus d’enfant que ce qu’on ne peut éduquer. En Europe, le problème n’est pas là aujourd’hui. En Russie en revanche , dépeuplée par l’abattement moral et le dégoût après le Communisme, Poutine a fait un énorme effort pour les jeunes mamans, allocations en masse, crèche, félicitation de toute la communauté pour les honorer… En quelque sorte, le gouvernement materne les mamans comme le ferait une bonne grand’mère disponible. La courbe de la natalité, très en dessous de la France est remontée et l’a dépassée. Comme quoi….
Demandez donc si mes enfants ont des enfants ? Oui, et on est pas obligé de les élever.