“L’ambition dont on n’a pas les talents est un crime” Chateaubriand – Mémoires d’Outre-tombe – T 5 – (Magistro). Comment pourrait-on oublier la capacité de bêtise et d’arrogance verbale de Maurice Szafran ?
Maurice Szafran, c’est le néant du vacarme médiatique (acrimed). Sur LCI, il dit que si le faux débat réunit suffisamment de signatures, Macron pourrait recréer l’impôt sur la fortune. Et on pourra faire de même pour remettre la taxe d’habitation pour les 20%, supprimer les niches fiscales et avantages des journalistes et des parlementaires, et réunir des signatures pour imposer les sociétés du CAC 40 et les riches à 80 % ! “C’est oublier que la démocratie sans le contrepoids (d’un sage) est sans mesure dans l’approbation comme dans la désapprobation et conduit au bavardage parlementaire et à la sinistre catégorie des politiciens professionnels. Les peuples actuels ne se prêtent pas à la démocratie, et je crois que, dans l’avenir, il s’y prêteront de moins en moins. La démocratie suppose des mœurs très simples et nos mœurs se compliquent de plus en plus avec le développement des communications et du progrès. “Le ressort d’une démocratie est la vertu”, a dit le sage Montesquieu. Je ne crois pas à notre vertu politique, parce que, dans la liberté, nous ne tarderions pas à (toutes les surenchères). Je considère le référendum absurde, car, en politique, il n’y a pas de questions simples, qu’on puisse résoudre par un oui ou un non. Les masses sont pires que les parlements, accessibles à toutes les croyances erronées et toujours bien disposées à l’égard de tous les braillards. Devant un peuple assemblé (en foules), on ne peut (rien) faire !” (adapté librement de L’État juif de Theodor Herzl)
Comme quoi Szafran peut être accusé de propagande socialo-communiste ! Les propos imbéciles de Szafran sont extrêmement choquants et très graves en ce qu’ils mettent en lumière les pratiques crapuleuses de la propagande socialo-communiste grossière reprise par un journaliste à la ramasse, soutien indéfectible du président Macron. La capacité de bêtise partisane et la violence verbale irresponsable de Szafran sont graves et doivent être dénoncées par la société des journalistes du journal Challenge où il publie ses piges.
Szafran s’est illustré avec ses propos répétés et ses articles de propagande pro Macron !
C’est bien la preuve que le métier de journaliste collabo LREM est corrompu par des larbins vendus au système. Le propagandiste Szafran est rétribué pour mentir au peuple et pour aider Macron à atteindre ses objectifs. Szafran doit faire diversion avec le faux débat inventé pour enfumer les Français après l’affaire foireuse Benalla-Macron. La propagande partisane de Szafran est constatée avec le boulevard fait à Macron pour mettre en scène le faux grand débat, avec un traitement favorable sur les plateaux des télés. Szafran se comporte comme les éditorialistes qui ont été embauchés pour mentir et faire la propagande pro-Macron.
Dupont-Aignan à Szafran : “Vous signez votre perte de crédibilité, vous n’êtes plus journaliste mais militant politique ! Les Français n’ont plus confiance dans les médias, ils regardent internet et ne consultent plus vos journaux parce qu’ils voient bien que vous n’êtes pas impartial. Les Français ne vous respectent plus parce que (vous n’êtes pas respectable et que) vous avez pris parti”. Rappelons qu’en mars 2017, la rédaction de Challenges avait mis en cause Szafran et dénoncé le parti-pris pro-Macron du site internet.
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Szafran, jusqu’au bout de la veulerie ! La SDJ déplore les interventions multiples et déplacées de Szafran auprès de la direction et de l’équipe web, suite à la parution d’un article critique à l’égard de Macron paru sur le site : “Où sont les millions de Macron ?” Et le bureau se demande à quel titre, dans la rédaction, sont effectuées ses interventions relayant le coup de téléphone d’un communicant de Macron. Le bureau de la SDJ demande aux éditorialistes de bien vouloir faire preuve de “plus de mesure” dans leurs articles et à la direction de veiller de manière plus efficace à l’équilibre politique de Challenges, en particulier sur le web.
Szafran est contraint à s’interroger sur les pensées et arrière-pensées stratégiques de Mélanchon : “Il arrive qu’un responsable politique de première importance déraisonne. Pour l’écrire avec plus de clarté et de simplicité encore, Mélanchon dit n’importe quoi. Des propos et des analyses qui passeraient au mieux pour lunaires, au pire pour stupides.” Telle est aujourd’hui la posture de Szafran contre Mélenchon !
Szafran est bien l’une des figures du journalisme partisan pro-Macron parmi les plus contestées. Son style partisan pro-Macron est enflé jusqu’au ridicule. Szafran ne sait plus comment aller trop loin dans son soutien à Macron, jusqu’à son incapacité passionnelle à percevoir l’enflure de son ridicule partisan.
Szafran est bien, à l’insu de son plein gré, la victime partisane consentante de sa “fascination” vis-à-vis de Macron : Le quinquennat Macron restera-t-il frappé par la malédiction Benalla ? On pourrait croire que ce nouvel épisode Benalla relève de la pitrerie. Mais non. On y verra la conséquence d’une gestion défaillante des affaires de l’État (par qui, comment, pourquoi ?). Benalla faisait-il des affaires pendant qu’il était en poste à l’Élysée ? Comment est-il possible que les différents services de renseignement, et le palais de l’Élysée, aient été “dans l’ignorance” que Benallla ait obtenu un rendez-vous avec le président tchadien Idriss Déby, principal allié militaire et stratégique de la France en Afrique, quelques jours avant Macron ?
Benallla aurait utilisé l’un de ses deux passeports diplomatiques. On pourrait “subodorer” (???) le remake d’une mauvaise plaisanterie entre Pieds-Nickelés de la barbouzerie. L’Élysée s’est empressé de faire porter la responsabilité sur les diplomates des Affaires étrangères, eux aussi à la ramasse, qui annoncent qu’ils déposent plainte.
Szafran dénonce une crapulerie intellectuelle ! Pourquoi si tard, alors que le scandale Benalla prend déjà forme et ampleur, qu’un député, Matthieu Orphelin évoque “une faute de l’État” (donc de personne !) ?
Szafran : “Macron, ou le retour du président “macroniste”. Avec les “Gilets jaunes”, Macron semble enfin être redevenu… Macron ! Les “Gilets jaunes”, soutenus par une forte majorité de Français, avaient poussé la logique de la Vème République jusqu’à son terme, une forme de folie institutionnelle. (???) Entre eux et ce président honni, plus rien n’existait. Ils l’insultaient volontiers tandis que certains répétaient en boucle que le chef de l’État ne disposait en réalité que d’une unique issue : la démission, rien que ça ! Le face à face a donc eu lieu. Enfin ! Le président de la République s’est exprimé. Enfin ! Macron a joué son quinquennat en treize minutes. Gonflé ! Il faudra attendre pour savoir s’il a pu relever ou non ce défi. Mais au moins, Macron était redevenu Macron. Les “Gilets jaunes” sont passés à l’acte. Rien de plus ! Toujours est-il qu’après quatre semaines de conflits, de rage, de haine, de violences, Macron est redevenu Macron. Il était temps !
Szafran : Si le mouvement des “Gilets jaunes” constitue une grosse épine dans le pied de Macron, l’opposition de la droite extrême et de la France Insoumise peine à trouver une ligne directrice claire et n’hésite pas à souffler sur des braises encore brûlantes. Si Macron est empêtré dans les “Gilets jaunes”, l’opposition ne sort pas renforcée pour autant de ce mouvement insaisissable. Aussitôt après l’édification des premières barricades sur l’avenue des Champs-Élysées, Castaner a pointé la responsabilité politique et morale de Marine Le Pen qui avait publié un tweet demandant au gouvernement d’expliquer les raisons pour lesquelles les “Gilets jaunes” seraient interdits de manifester sur les Champs-Élysées. Castaner avait beau jeu de dénoncer cette façon indirecte d’inciter les protestataires à prendre la célèbre avenue d’assaut, ce qui fut fait avec les violences et les destructions que l’on sait, violences et destructions provoquées par des militants-casseurs d’ultra droite selon les accusations officielles. L’attaque de Castaner était donc bien ciblée !
David Chardon, Jérémie Fabre : “Sur le site de Challenges, l’éditorialiste Szafran entend démontrer “Pourquoi Emmanuel Macron n’est pas le candidat des médias”. Que peut bien signifier une telle affirmation ? Que Macron ne doit pas exclusivement son audience (qu’elle soit mesurée par des sondages, le nombre de soutiens qu’il revendique ou par les chiffres de participants à des meetings) à son exposition médiatique ?
À Challenges, une voix s’élève contre le Macron-bashing médiatique : Szafran ! Doit-on dire que la plupart des médias ne concourent pas à la légitimation de la candidature Macron, en la surexposant, et en la présentant sous un jour favorable ?
C’est une toute autre question. Szafran cuisine une tambouille indigeste puisqu’il la pimente de la thèse d’un prétendu (complot de type) médias-bashing de son champion. Szafran commence par dénoncer les propos d’autres candidats à l’élection présidentielle et il affirme d’entrée de jeu que” [leur] vision crypto complotiste du phénomène Macron ne mériterait pas qu’on s’en préoccupe autant”.
Szafran affirme que les critiques de la surmédiatisation de Macron se trompent car “la plupart des éditorialistes d’influence se sont longtemps défiés de Macron”. Pour preuve, ces éditorialistes qui dénoncent l’inexpérience du candidat : “l’impétrant doit avoir subi le parcours imposé du combattant, soit la vie de parti, les élections intermédiaires, les bancs de l’Assemblée nationale, une entrée forcément discrète au sein du gouvernement, tôt ou tard un nécessaire échec électoral”.
Szafran : “Macron s’est donc construit contre une grande partie de la presse politique”. Szafran est guère convaincant en l’absence du moindre exemple, de la moindre citation, de la moindre source dans ce sens. Précisément là où nos archives démontrent l’inverse d’un Macron “démonisé”, comme on peut le lire dans plusieurs de nos articles solidement documentés.
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Le complot contre Macron est tellement bien organisé que le jury du “Trombinoscope”, aréopage de “grands” journalistes qui décerne chaque année des récompenses aux responsables politiques, a honoré à deux reprises Macron, en lui remettant en 2014 et en 2016 le prix de la “révélation politique de l’année” !
Conclusion du Grand mensonge du débat national : face à la polémique, Szafran soutien Macron.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
Pour regarder régulièrement “l’heure des pro”, je suis d’accord avec vous, Szafran est un pro macron typique : arrogant et ignorant. Et très pénible à entendre.
Peut être espère t il un poste de consul ?
comme vous je suis l’heure des pros et je m’explique mal comment Pascal Praud peut continuer à inviter Szafran (grand coupeur de parole) Gérard Leclerc qui est pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour, qui ignore qu’interdire les rassemblements de + de trois personnes s’appelle l’état de siège, qui est seul à détenir la vérité.
Mon cher, vous découvrez l’eau tiède!
Maurice Szafran, c’est “corne d’auroch” (pour les jeunes, une chanson de Brassens), l’homme dont le front laisse présager les grandes eaux de Versailles dans sa tête, mais quand il l’ouvre on comprend que c’est l’eau du robinet. Et pour Szafran du pipi de chat.
Un vrai “casque à boulons” (dans l’armée allemande, soldat dont le crâne était tellement étroit qu’il n’y avait pas de casque (à pointe) assez petit, et il fallait rajouter des boulons sur les côtés pour qu’il tienne).
Voilà des années que je suis frappé à chacun de ses apparitions par son défaut évident d’intelligence: c’est vraiment l’idiot du village. Le Simplet de Fernandel…
https://www.youtube.com/watch?v=d5VPXSNJnOg
Le terme simplet lui convient à merveille
Tout à fait d’accord avec vous, mais il y a aussi ceux qui l’invitent, sur les radios et médias, en sachant parfaitement qui il est.
C est un rigolo des commentaires politiques
Un petit larbin du pouvoir sans culture et sans honneur
Quant à Dupont-Aignan, il semble découvrir aussi l’eau chaude.
Mais là je suppose que c’est une “découverte” purement rhétorique, car cela fait longtemps qu’il dénonce les journalistes et leurs partis-pris gauchistes sous couvert “d’objectivité journalistique”.
D’autres avant lui ont exposé que les “journalistes” sont en fait des militants, et précisément gauchistes pour l’écrasante majorité d’entre eux. On en a eu l’illustration avec Thomas
GuignoloGuénolé qui a fait son coming-out depuis (encarté LFI, militant pousse-au-crime à Tolbiac occupée…).On peut l’entendre tous les jours avec Thomas Legrand sur France-
No borderInter. Ou Elisabeth Quin sur Arte. Que des militants de la cause “no borders”.D’ailleurs de nombreux journalistes et rédac’chefs sont issus de la mouvance trotskyste et lambertiste (Joffrin, Alkolovitch, Plenel, Legrand, à peu près toute la rédaction de Libé, du Nouvel Obs ou des Inrocks…), et se sont donnés pour tâche d’infiltrer les médias (ils appellent cela l’entrisme)
Citons dans les dénonciateurs Sophie Coignard (l’Omertà française), Ingrid Riocreux (La langue des médias)… et même un certain François Ruffin (Les petits soldats du journalisme, très instructif. Dommage que FR ait lui pété les plombs depuis)!
les “journalistes” aux ordres emplissent les plateaux télé, avec des experts politologues qui parlent du drapeau bourguignon comme d’une bannière d’extrême droite ou du signe A dans un cercle (symbole anarchiste) comme d’un signe d’extrême droite
et des gilets jaunes comme d’ultra droite etc. étonnez vous qu’ensuite la défiance s’installe et se change en pire
L’extrême-droite est obsessionnelle chez eux, ils se croient toujours dans les années 68, quand ils se castagnaient avec le GUD ou Ordre Nouveau. Ils n’ont pas changé leur logiciel depuis, pour eux le FN (ils disent toujours “le Front National”, malgré le changement de nom) est toujours le diable et “l’extrême-drouââte” le danger principal tapi dans l’ombre.
Szafran en est une caricature. “Attention aux extrêmes”, “attention aux extrêmes”, “attention aux extrêmes” “ça va faire le jeu des extrêmes” (sous-entendus: de droite, car ceux de gauche, pourtant autrement plus dangereux et nombreux de nos jours ne les inquiètent pas plus que cela)
Aveugles à l’islamisme, nostalgiques de leur jeunesse perdue, ils sont complètement sclérosés et vivent dans un passé imaginaire.
Comme nos politiciens qui se croient toujours dans la société de consommation et les 30 glorieuses, à la recherche de la croissance perdue comme remède miracle et unique à tous les problèmes économiques.
« Il arrive qu’un journaliste politique de premier plan (à défaut d’être de première importance) déraisonne. Pour l’écrire avec plus de clarté et de simplicité encore, Maurice Szafran dit n’importe quoi. Des propos et des analyses qui passeraient au mieux pour lunaires, au pire pour stupides. »
Comme disaient les enfants quand ils parlaient encore français (et pas le wesh-wesh), “c’est çui qui dit qui est”. L’effet miroir a encore frappé: croyant parler d’un autre, il parle de lui-même et projette ses propres défauts. Comme quoi on est toujours lucide sur soi-même, car on parle le mieux de ce qu’on connaît le mieux.
“Lunaire”, cela lui convient très bien.
C’est l’explication donnée la première fois que j’ai entendu cette expression (c’était à la radio). Vous adresser à son auteur.
Peut-être a-t-il mélangé deux expressions? Ou repris une blague oubliée des tranchées, pour se moquer des allemands? (cf l’origine de la vache qui rit et de “mort aux vaches”, la deuxième ayant probablement participé à l’invention de la première) . Ou simplement complètement imaginé une explication de son crû.
En tout cas celle-ci a l’avantage d’être parlante et imagée, et je l’aime bien. “Si c’est pas vrai, c’est bien trouvé”.
Et ça va tellement bien à Szafran: regardez sa tête, il aurait effectivement besoin de boulons pour faire tenir un casque. Et sans doute lui tenir le cerveau.
Certes, Maurice Szafran est tout ce qui est dit dans l’article. En un mot un personnage répugnant.
Comme sont répugnants un tas d’autres journalistes… La liste est longue et beaucoup mériteraient un même réquisitoire.
Il serait bien de ne pas oublier les autres pour davantage viser ce triste sire…Hélas, tous ceux qui se trouvent dans les médias, sont plus repoussants, menteurs, arrogants, larbins, « valets du pouvoir », etc., les uns que les autres…
Le panégyrique de quelques dizaines d’autres comme lui pourrait être fait.
Il disait déjà n’importe quoi lorsque nous étions en classe de Terminale au Lycée Jacques Decour en 1973….
Un témoignage de première main ! Comme quoi ça n’empêche pas de faire carrière en tant que subsidiaire de la caste politico-médiatique. Merci à vous.
Je viens faire un mea culpa.
Maurice Szafran ne raconte finalement pas toujours n’importe quoi, je viens de l’entendre dire, et il est le premier dans le débat actuel sur les “gilets jaunes”, une chose parfaitement juste : que l’ISF est un impôt stupide, purement politique, idéologique et symbolique, tout en étant très mauvais. Que la plupart des économistes de droite comme de gauche l’ont dénoncé comme étant néfaste.
Et pour avoir dit cette vérité et mis les pieds dans le plat, je le remercie.
J’ajoute que cet impôt est surtout purement démagogique. Comme disait François Hollande, ça ne coûte rien, c’est gratuit. Pour les politiciens… ceux qui paient, ce sont 1. les riches 2. tout le pays à long terme en perte de croissance et d’investissement, et finalement de richesse.
[qu’attendre d’autre d’un impôt dont l’idée même, le principe est de détruire la richesse et le capital, c’est-à-dire la capacité de production?]
Mais les politiciens, eux, s’ils peuvent garder leurs places et leurs prébendes, sont tout à fait prêts à sacrifier le pays. Le temps que les dégâts se manifestent, ils ont pris leur retraite…
Je retombe par hasard sur ce commentaire de mon cru, écrit il y un an, il y a une éternité… du temps d’avant la covid.
“Mais les politiciens, eux, s’ils peuvent garder leurs places et leurs prébendes, sont tout à fait prêts à sacrifier le pays.”.
Je n’aurais jamais cru aussi bien dire. L’année de la covid a oh combien cruellement confirmé cette phrase. Et nous nous en serions bien passé.
Szafran n’avance pas masqué et , de ce fait , m’insupporte moins que Gérard Leclerc qui avec sa morgue de gauche-caviar donne des leçons à tous ceux qui ne pensent pas comme lui .