Petit-à-petit, la Grand-Messe Médiatique se met en route. Le Débat National™, que le gouvernement ne pouvait pas imaginer autre chose que « Grand » (comme l’Emprunt ou les Plans quinquennaux d’antan), occupe progressivement de plus en plus de place dans les Unes des journaux. Compte-tenu de l’importance accordée à ce débat affichée par le Président et le gouvernement, il fallait au moins que ce dernier soit parrainé par une brochette d’élites. Avec la désignation de cinq sages, c’est chose faite.
Et quels sages ! La presse s’est évidemment emparée des cinq noms pour décortiquer les impressionnants CV de nos garants désignés.
Jugez plutôt. On trouve d’abord un solide politologue, un analyste pétri des valeurs populaires françaises et en prise directe avec le peuple dont il dissèque régulièrement le vote. Le suivant est un aimable représentant du Conseil constitutionnel, ancien magistrat, dont on imagine qu’il serait sorti d’une retraite bien méritée à 75 ans pour venir rejoindre le politologue. Le troisième garant est un ex-patron de la RATP et ex-patron de la Poste, nos fleurons nationaux (au moins en terme de jours de grève). Le quatrième est une quatrième puisqu’il s’agit d’une énarque, présidente de la CNIL et ex-de Bull (un autre fleuron national, au moins en terme de tromblons informatiques). Quant au cinquième larrongarant, c’est la secrétaire générale de la Ligue de l’enseignement, qui a vogué d’associations en mouvements associatifs, citoyens, festifs et subventionnés par le contribuable.
Devant ces garants, il était difficile pour la presse et ses fiers analystes de ne pas tomber en pâmoison. Rien que du lourd puisqu’on trouve de l’énarque, du polytechnicien, du science-po, du magistrat, bref, absolument tout ce qui fait le peuple français dans toutes ses nuances d’apparatchiks, de cireurs de pompes médiatiques ou autres thuriféraires du tout-à-l’État.
On se rassure en notant que l’audace des élites qui ont désigné ces fiers garants ne les a pas poussés à nous proposer un Juppé ou un BHL dont les noms trouvent toujours (presque miraculeusement) leur place dans ce genre de happenings républicains pleins de petits fours citoyens et d’envolées lyriques à facture latérale salée. Néanmoins, il faut faire preuve d’une naïveté confondante ou d’une épaisseur mentale notable pour imaginer que cette aimable brochette peuvent constituer quelque garantie que ce soit dans le débat qu’on nous propose maintenant avec empressement.
Sur les cinq personnalités, aucun ne provient du monde de l’entreprise. On rira à l’évocation de l’ex-patron de la RATP ou de la Poste qui, en aucun cas, ne peut se targuer d’une expérience même lointaine de ce que peuvent vivre les petits patrons et les indépendants français confrontés à la démence furieuse de l’administration française lorsqu’elle est lâchée après leurs basques. Petits patrons et indépendants qui forment indéniablement une des populations de choix parmi les Gilets Jaunes qui sont, on le rappelle, ceux qui ont déclenché ce frétillant besoin d’un Grand Débat™. Pas de bol pour eux, ils n’auront aucun garant.
De la même façon, aucun des garants présentés ne pourra vaguement représenter le salarié moyen français, qu’il soit celui d’une entreprise petite ou moyenne comme il en existe des dizaines de milliers, ou d’une grosse entité commerciale confrontée à la concurrence du marché français (à-peu-près) libre. Aucun de ces magistrats, énarques, fins lettrés ou associatifs n’a usé ses fonds de culotte dans l’une ou l’autre de ces entreprises. Leur est d’ailleurs complètement étrangère la notion même de perte sèche de son emploi suite à une réduction massive d’activité ou suite à l’arrivée d’un concurrent plus féroce ou d’une technologie qui renverse la donne : tous n’ont jamais travaillé que pour l’État (d’une façon ou d’une autre). Tous n’ont jamais été qu’au crochet du contribuable, aussi louable et pertinent fut leur emploi. En soi, ce n’est pas une tare, mais cela laisse songeur lorsqu’il s’agit de se porter garant d’un débat qui a été initié par des patrons, des indépendants et des salariés très majoritairement du monde privé ou de cette partie du peuple qui a directement été confronté à la rigueur de la vie, loin du protectionnisme douillet offert par le Léviathan.
En fait, si l’on voit bien en quoi nos heureux désignés seront garants de l’idée d’égalité ou de fraternité, tant la première est devenu le crédo indépassable de toutes les bestioles un tant soit peu politiques en France, et tant le second leur a permis de toucher leur salaire, on peine en revanche à voir dans ces garants ceux qui pourraient se porter caution pour l’idée même de liberté en France.
Ces garants nous font largement comprendre que ce Grand Débat™ sent déjà le rance. Pas ce rance des heures les plus festives, citoyennes et socialistes de notre Histoire, mais plutôt ce rance d’un truc qui a déjà été sorti à plusieurs reprises, pour différentes occasions, ce plat moche fait de restes et de reliefs douteux qui traîne dans le frigo depuis des temps immémoriaux.
Il n’est qu’à voir l’actuelle « tournée » de Macron pour s’en convaincre : entre l’organisation d’une spontanéité calculée (dénoncée à juste titre par un maire présent), jusqu’au choix des sujets et thèmes abordables, rien n’indique un débat.
En réalité, tout indique plutôt une campagne : Macron la bat, Macron l’anime, Macron la dirige. C’est une campagne électorale en forme de représentation, de show typiquement macronien duquel le débat, le vrai, est totalement absent : le Président de la République utilise simplement la colère des Gilets Jaunes et la mise en place de cette mascarade pour pousser ses pions électoraux et des gimmick de campagne. Les médias, dociles, jouent le jeu : le sujet « Gilet Jaune » diminue dans l’actualité, le Président a repris la main médiatique, youpi youpi, et on trouve même un regain de popularité au sémillant quadragénaire qui s’agite, micro à la main, devant des assemblées de citoyens triés sur le volet et à la franchise calculée.
Bref.
On ne va pas parler des sujets qui fâchent, on n’abordera que les thèmes choisis par le gouvernement et certainement pas avec n’importe qui, les garants sont de véritables caricatures de l’apparatchik gouvernemental, et le Président est pisté par des médias avides de petites nouvelles qu’ils comprennent enfin…
Oui, la campagne électorale pour les élections européennes vient de commencer.
Les Gilets Jaunes ? Les dépenses publiques stratosphériques ? L’administratosclérose française ? La pression fiscale dantesque ? Le gouvernement s’en tamponne complètement : il est occupé à repousser l’hydre populiste, pardi.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)
De l’enfumage …………. et surtout , une campagne pour les élections européennes ! On profite des GJ pour étouffer le pacte de Marrakech ,l’accord d’Aix la Chapelle ….!!!
@Alain Peulet: Justement, c’est aujourd’hui
que Macron va signer avec Merkel le traité
d’Aix-la-Chapelle, sans, pour le coup, qu’il
n’y ait eu la moindre information de la popu-
lation, le moindre débat sur les enjeux.
Voir, à ce propos, l’excellent d’article d’Edouard
Husson, sur Atlantico, ce jour:
” … Le texte… parle d’un bout à l’autre, de souve-
raineté franco-allemande”( avec mutualisation
des forces militaires — quid de l’arme atomique française mise, dès lors, à disposition des
Teutons?–; de la création d’ “euro-districts”: cela
vous cause ?
L’auteur écrit qu’il est LEGITIME de réclamer
un REFERENDUM sur ledit texte, vu sa portée.
Et cependant, sur RMC ce matin les pourfendeurs du Traité en question en ont pris pour leur grade.
Rien que de très normal dans ce traité entre Macron et Merkel.
Aucune raison d’y voir malice.
Ceux qui critiquent n’ont rien compris ou ont trop écouté le député Bernard Monot, dont la vidéo aurait été supprimée.
Moi, j’espère que ce traité est l’erreur ou la provocation de trop et que Macron va trébucher avant de tomber.
Il en faudra plus, pour le faire tomber, Fox.
La preuve qu’ils sont dangereux, pour les
peuples d’Europe, c’est que ces traités, on
n’en parle, quasiment, que le jour où les
félons les signent. Les médias s’arrangent
pour évoquer ça, entre un bulletin météo
et qqs résultats sportifs.
L'”opposition”, l’entendons-nous exprimer
un quelconque avis?
Exiger un referendum APRES la signature
d’un traité forcément contraignant, semble
incongru.
Maintenant, comme des “débats” (même
s’ils ont tout du simulacre) se tiennent
avec les maires de France, et que les invita-
tions à des bistros politiques se multiplient,
rien ne nous interdit d’y aller, et de deman-
der, par exemple, ce que les Français gagnent
à la création d’ “euro-districts”, alors que
l’inter-communalité n’a engagé qu’une effra-
yante gabegie: multiplication de doublons,
de factures pour des travaux à l’utilité jamais
prouvée, irresponsabilité des fonctionnaires
à tous les niveaux, sans compter, dans les
zones rurales, des initiatives dites “écologiques”
dont les nuisances se paient cher, sans vraiment
créer d’emplois.
18h30 J’écoute C’est A Vous.
Il ne faut pas s’alarmer, clament ces messieurs-dames, il n’y a pratiquement rien dans ce traité.
Blablabla.
On se demande, après le pacte non contraignant de Marrakech, le pourquoi de ce traité sans contenu.
La mauvaise foi est totale.
Bien juste analyse !
Hélas !
Et encore une fois, bien peu voient la manipulation macronienne et se font berner. Mais mon petit doigt me dit (Dieu peut-être :-)) que l’imposteur en question pourrait avoir de mega surprises.
MAV
Entretenez vos bonnes relations avec votre “petit doigt”… nous sommes preneurs de mega (bonnes) surprises.
Il fallait s’y attendre…
Le Peuple vient avec” ses questions”, et Macron…
Vient avec “ses” réponses…
Donc les réponses n’iront jamais avec les questions…..
C’est une fois de plus, une perte de temps et d’argent pour RIEN….µ
Du Macron tout cuit… lui qui passe sont temps à traiter les Français de “RIENS”
Il devrait se regarder, car il est le roi de RIEN…!!!
Je ne comprends pas les gens qui vont à ces réunions qui ne servent à rien…
Quand à sa lettre qui va nous coûter au moins 1 million… soit je n’y répondrai même pas, ou alors en gros et en travers de la feuille : “LU ET”””” NON”””” APPROUVE”… comme on ne paye pas le timbre… il nous gonfle ce type!!!
Savez-vous ce qu’on disait dans le milieu militaire?
Article 1 : On entre dans le bureau du chef avec ses idées.
Art.2: On en ressort avec les idées du chef.
OU
Art 1: Le chef a toujours raison.
Art. 2: si jamais le chef avait tort, c’est l’article 1 qui s’applique.
Avec tartufe, les trente questions posées sont: Le chef a raison ( répéter trente fois, voire plus, jusqu’à syncope).
Et si jamais vous lui montrez qu’il “pourrait” avoir tort, il serait capable de faire pipi par terre et se rouler dedans.
> > Pourquoi un élu, et les politiques sont ils déconnectés des réalités ?
Voici quelques questions que l’on peut se poser !!
– Pourquoi un député au bout de seulement cinq ans de cotisation retraite touche une retraite moyenne de 1 500 €/mois alors qu’un employé pour 42 années de cotisation touchera 896 euros en moyenne ?
– Pourquoi, au bout de deux mandats de six ans chacun, un sénateur peut-il toucher plus de 3 700 € par mois de retraite ?
– Pourquoi la retraite des élus n’est-elle pas prise en compte dans l’écrêtement (8 200 €) des indemnités d’élus.
– Pourquoi une cotisation retraite d’élu rapporte-t-elle en moyenne 6,50 € pour un euro cotisé pendant vingt ans alors qu’un salarié du régime général touche entre 0,87 et 1,57 € pour un euro cotisé pendant quarante-deux ans ?
– Pourquoi un élu peut-il cumuler ses différentes retraites (jusqu’à 5 retraites) ?
– Pourquoi un élu peut-il travailler en touchant sa (ses) retraite(s) d’élu complète(s) sans plafond de montant alors que le citoyen lambda ne peut le faire sans dépasser la valeur de son dernier salaire ?
– Pourquoi les élus ont-ils une retraite par capitalisation et ’interdisent-ils résolument aux « autres » qui n’ont droit qu’à une retraite par répartition ?
– Pourquoi les cotisations retraite des élus peuvent-elles être abondées par les collectivités, ce qui permet à un parlementaire de toucher sa retraite à taux plein avec moins d’annuités de cotisation ?
– Pourquoi une partie de la pension de retraite des parlementaires est-elle insaisissable (même en cas de fraude ou d’amende) ?
– Pourquoi un agent public qui voudrait se présenter à une élection législative ne devrait-il pas démissionner de la fonction publique ? Un salarié le doit, lui, s’il veut travailler ailleurs !
– Pourquoi deux ans d’allocations chômage pour un salarié lambda du régime général et cinq ans pour les députés ? Ceux-ci ont-ils plus de mal à retrouver un travail ?
– Pourquoi les députés qui ne se représentent pas peuvent-ils toucher l’allocation différentielle et dégressive de retour à l’emploi? Un salarié qui démissionne n’a, lui, droit à rien !
– Pourquoi faut-il avoir un casier judiciaire vierge pour entrer dans certaines professions et que ce n’est pas le cas pour être élu
– Pourquoi la fraude dans la déclaration de patrimoine d’un élu ne vaut-elle pas la prison mais seulement 30 000 € d’amende alors que la simple fraude d’un citoyen pour faux et usage de faux d’un document délivré par l’Administration est punissable de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende ?
– Pourquoi un parlementaire (député ou sénateur) touche-t-il une IRFM (indemnité représentative de frais de mandat) de 5 770 € par mois pour un député et de 6 200 € par mois pour un sénateur, dont l’usage n’est pas contrôlable et pour lequel il n’a de compte à rendre à personne ?
– Pourquoi, durant son mandat, un élu peut-il s’acheter un bien qu’il nomme souvent « permanence », le payer à crédit avec l’IRFM, qui est de l’argent public, et le garder ou le vendre pour son bénéfice personnel ?
– Pourquoi les parlementaires cumulards peuvent-ils toucher plusieurs enveloppes de frais de représentation (frais en tant que président d’agglomération, frais en tant que maire, IRFM en tant que député…) ?
– Pourquoi les restaurants trois étoiles (cinq étoiles ?) de l’Assemblée nationale et du Sénat coûtent-ils si peu cher à l’élu ?
– Pourquoi un élu à revenu égal de celui d’un salarié paye-t-il moins d’impôt sur le revenu ?
– Pourquoi parle-t-on toujours de réduire le nombre de fonctionnaires mais jamais celui des parlementaires ?
– Pourquoi les sénateurs se sont-ils versé en 2011, au titre d’un « rattrapage exceptionnel », une prime de 3 531,61 € avant les congés d’été… ?
– Pourquoi aucun chiffre n’existe sur la présence ou non des sénateurs lors des séances au Sénat ??
– Pourquoi la pension de réversion d’un élu décédé est-elle de 66 % sans condition de ressources du survivant alors que celle d’un salarié du privé est de 54 % sous condition de ressources du survivant (aucune réversion au-dessus de 19 614,40 brut annuel !
– Pourquoi la retraite d’un élu est-elle garantie et connue d’avance alors qu’un salarié du régime général n’est sûr de rien ?
– Pourquoi un député peut-il cumuler plusieurs « réserves parlementaires » sans que cela se sache officiellement ?
– Pourquoi l’indemnité de fonction d’un député et son IRFM ne sont-elles pas imposables ?
– Pourquoi un député a-t-il droit au remboursement de frais de taxis parisiens (alors qu’il touche l’IRFM pour ça) ?
– Pourquoi un ancien sénateur ou un ancien député ont-ils droit à la gratuité à vie en première classe SNCF ?
– Pourquoi un ancien sénateur et son conjoint ont-ils le droit du remboursement de la moitié de 12 vols Air France par an et à vie ?
– Pourquoi un sénateur peut-il emprunter jusqu’à 150 000 € à un taux préférentiel ?
– Pourquoi les anciens ministres, leurs conjoints et leurs enfants ont-ils droit à la gratuité à vie des vols Air France et à la gratuité à vie des transports sur le réseau SNCF ?
– Pourquoi y a-t-il dans le service des fraudes un service spécial pour les élus ?
– Pourquoi une fraude d’élu est-elle différente des autres pour bénéficier d’un traitement de faveur ?
– Pourquoi un élu condamné définitivement ne rembourse-t-il pas les frais d’avocat dépensés pour lui par la collectivité ?
Faites tourner… . Il faut le savoir.
L’omerta de leurs copains journalistes protège leur abattement fiscal de 30% de leurs revenus, et les subventions qu’ils touchent de l’Etat.
Vous ne voudriez quand même pas vous en prendre aux Aristocrates.
Les gueux sont là pour l’esclavage.
Je m’insurge.
Définition d’aristocrate: Définition de l’aristocratie
Etymologie : du grec aristos, meilleur, excellent, et kratos, le pouvoir, l’autorité.
Etymologiquement, l’aristocratie est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir souverain est exercé par les meilleurs, les plus méritants, les plus aptes. Ce peut être une caste, une famille ou quelques individus.
On est exactement dans l’inverse. Comme du temps des nazis, c’est la lie et le profiteurs qui gouvernent. La France aurait de vrais aristos à sa tête, c’est -à-dire les meilleurs, elle se porterait nettement mieux !
pourquoi ? pourquoi ? beaucoup de pourquoi, 1 seule réponse :
parce que nous sommes tous des….
Son faux débat, à Macron, ses faux-garants, tout le
monde s’en tape, H16,( sauf ceux qui y ont intérêt
et nous referont le coup de la “bête immonde”,
comme à toutes les élections, depuis des décennies.)
Les images-choc de sa criminelle politique répres-
sive des Français laborieux sont envoyées en boucle,
et nos jeunes expat. , à 10 ou 12000 kms de Paris
SAVENT qui est Macron, qui le soutient, qui est
ce bonimenteur faible, trouillard, veule.
Corrompu, vicieux, produit d’un système à bout de
souffle et reposant sur la félonie, qu’est-il, sans les
tripotées de CRS et mastards qui l’entourent, dans
ses inutiles et onéreux déplacements de campagne
(qui ne dit même pas son nom ?). RIEN.
Juste la “marionnette” que brocardait l’ASAF, avant
la présidentielle.
Il va lui en falloir, des “garants”, des migrants, pour
se maintenir au pouvoir.
Et le temps est à la houle, ne trouvez-vous pas?
le grand débat national de M. Macron, c’est du spectacle de music hall, rien de plus.
Feu Georges Marchais, cette interview est attribuée à Elkabbach mais je crois plutôt que c’est un sketch de Thierry le luron.
Vous n’êtes pas payé au nombre de questions que vous posez », « Nous ne sommes pas au music-hall », « Si vous avez une question, notez-la », « Moi aussi j’ai un cerveau », « Vous êtes venus avec vos questions, moi j’ai mes réponses… », figurent dans le florilège des amabilités que les deux hommes s’étaient adressée
ou
C’était peut-être pas votre question, oui mais c’est ma réponse !
On ne discute pas avec des démons. Continuons les manifs Prenons soins les uns des autres. Maintenant, il y a 3 choses qui me gêne. Pourquoi n’exigeons pas de retirer tous les vaccins (12) qui empoisonnent nos enfants. Le retour des émigrés chez eux sans conditions. Nous devons protéger notre identité et nos valeurs. Quant à l’église les 3 quarts des évêques sont des francs maçons. Il y a du boulot !
Il faudrait que ce gouvernement explique pourquoi il est si obsédé par l’éducation sexuelle des très jeunes enfants. Parce que quand on apprend que pour les exégètes du Coran un homme adulte n’a aucun problème à épouser une jeune épouse de un an et que les experts imans disent qu’il n’y a aucun problème à l’accouplement si l’épouse n’est pas blessée, on est épaté. Il ajouter que pour le Talmud babylonien ses écrivains savants éxégètes de la Torah expliquent que le fait pour un homme vigoureux d’essence talmudienne de s’accoupler avec une jeune femme de 3 ans ou moins avec qui il n’est pas marié ou qui n’est pas d’essence talmudienne n’est pas une abomination contraire au lévitique puisque que la jeune femme n’est pas encore fertile ou alors n’est pas considérée comme un être humain. Il y est aussi expliqué que le fait de prendre par derrière un garçon de moins de 9 ans et un jour n’est pas une abomination car le garçon n’est pas encore fertile, il lui manque un jour.
Sans oublier la culture de l’empire du milieu chinois qui considère que les jeunes garçons entre 8 et 12 ans ont la peau très douce, ce qui justifie leurs participations au plaisir des riches hommes.
Martin
Arrêtez, je vomis !!!
Ce matin en lisant que l’éducation sexuelle va commencer dès la maternelle, je me suis demandé comment nous avons fait, jusqu’à un passé récent, pour nous débrouiller sans ce précieux enseignement.
Bon sang de bon sang, quand va-t-on foutre tous ces pervers dehors ?
Les enfants n’ont-ils plus le droit de vivre leur enfance ?
soljenitsine se ventait de faire crouler le système sous la paperasse, j’i saisi l’occasion du grand débat pour leur dire que l’immigration non controlée, que les dépenses éhontées de l’état, que ceci et cela m’exaspèrent; bon je sais qu’ils n’en tiendront aucun compte car hors sujets mais ça fait du bien de l’écrire
Et la dernière: schiappa-hanouna: 2 amuseurs en concert!……
Il est évident qu’il est parti en campagne électorale pour les européennes. J’attend avec impatience le résultat…
Notre maire était à Souillac. Son rapport était amer : un débat téléguidé. Rien à faire avec des problèmes ni des gilets jaunes ni des maires du Sud de France.