Le président de la commission d’enquête sénatoriale Philippe Bas s’est exprimé après son audition de l’ancien chargé de mission de l’Élysée.
Alexandre Benalla « devrait faire du judo, il en a le talent », a lancé le président de la commission d’enquête sénatoriale Philippe Bas, interrogé à propos de l’audition ce lundi 21 janvier de l’ancien chargé de mission de l’Élysée.
« Alexandre Benalla devrait faire du judo, il en a le talent, c’est-à-dire que c’est vrai que lorsque vous êtes dans une posture difficile, il faut absolument trouver un argument même artificiel pour renverser la position », a déclaré Philippe Bas, interrogé sur le plateau d' »Audition publique » LCP-Public-Sénat-AFP-Le Figaro sur la position de victime qu’avait pu défendre Alexandre Benalla.
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Questionné sur les conséquences que pourrait avoir le refus d’Alexandre Benalla de répondre à certaines questions de la commission, Philippe Bas a indiqué que la commission prendrait « en une seule fois les décisions qui (lui) paraissent être nécessaires », soit à la remise de son rapport.
« Pour nous l’essentiel c’est d’abord de faire la vérité sur le fonctionnement de l’État dans cette affaire, (…) nous voulons faire des recommandations pour que tout ce que nous avons sous les yeux ne se reproduise pas et nous prendrons aussi s’il y a lieu des décisions vis-à-vis de l’autorité judiciaire ».
« Le problème pour nous va être d’exploiter tout le matériau recueilli »
Philippe Bas s’est refusé à donner une date pour la remise du rapport. « Tout sera rendu absolument public dès que nous serons prêts ».
« Le problème pour nous va être d’exploiter tout le matériau recueilli, de voir où sont les contradictions et même peut-être les invraisemblances et de dire quelle est notre intime conviction sur la manière dont l’État a fonctionné ».
Est-ce une affaire d’État? « C’est bien une affaire qui concerne l’État, mais qu’appelez-vous une affaire d’État? », a botté en touche le président de la commission.
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Philippe Bas s’est dit « très heureux de constater que l’exécutif a compris que nous faisions simplement notre travail qui est celui de rechercher la vérité », après des déclarations du porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux reconnaissant des « dysfonctionnements » dans cette affaire.
Source : Huffingtonpost
Et son copain devrait aller à Lyon, jouer GUIGNOL.
Strzoda, n’a plus qu’à bien se tenir, car maintenant c’est lui le menteur.
Benalla a commencé par se victimiser et il se fout de la prison et des amendes encourues, la sorcière Belloubet va arranger ça !!!
Comme d’hab, vu ses origines, son statut, ça finira avec du sursis … et peut-être même un rappel à la loi
N’oubliez pas: il n’est pas Gilet Jaunes.
Flèchebleue
La possibilité de deux ans de prison ne lui fait ni chaud ni froid.
Il se sent à l’abri.
Quelle saleté ce type.
Qui garantis la neutralité , l’impartialité , et la probité de ce « président ?
Qui là nommé ? d’ou vient il ?
Cette commission n’à qu’un seul but , savoir jusque ou Benalla est prêt à aller .
Afin que le charlot de l’élysée puisse « bien » préparer sa pseudo défense .
non il a des amis c’est tout !!
Réponse au vieux bridasse. C’est son copain ou sa copine ???
Ils vont finir par comprendre que ce guignol malade typé italo-algérien-numide-berbère de religion juive formé au krav naga se prend pour un conseiller des émirats musulmans.
Il a gardé les deux passeports diplomatiques et le téléphone rose élysée en souvenir de sa gloire a être un glorieux dhimmi au service de l’asservissement de l’Europe chrétienne à l’islam sans que ces cons de français le remarquent, pensant continuer la mission.
Personne au gouvernement n’a osé moufté car les divas sont folles et caractérielles et donc ils ont laissé le temps au temps en pensant « pourvu qu’ils nous arrivent rien ».
J’ai suivi toute l’audition où les sénateurs,dont le président ,ont été remarquables de maîtrise et de sang froid devant cet individu,glauque,méprisant et suffisant,dénué du moindre respect de base,imprégné de droit français pour mieux détruire le système de l’intérieur.Le pire de ce que l’on a nous-même formé dans nos facs et écoles comme des mais autodestructeurs.Il aurait mérité une cellule à Kosugé ou à la Loubianka.Je suis sûr que les sénateurs ne vont pas le louper tant leur exaspération était palpable.Philippe Bas à d’ailleurs annoncé la couleur: la commission peut prononcer deux ans fermes pour refus de répondre à des questions de la commission,maintes fois d’ailleurs.Une fois la peine purgée,à expulser d’urgence comme une toxine ou une bactérie.Et lancer une recherche approfondie des autres membres de cette véritable 5ème colonne…..
mais=lire masos
Abdeslam refus de répondre: l’on attend son bon
vouloir.
Benalla refuse de répondre à M. Philippe Bas qui
lui rappelle les peines qu’il encourt: l’on voit l’effet
produit. La justice de Macron/Belloubet est redou-
table et impitoyable aux gilets jaunes; et d’une
admirable mansuétude pour ses serviteurs, dont
Benalla est un exemple caricatural.
Cette fois-ci, je ne suis pas sûr que les sénateurs acceptent de se faire marcher comme cela sur les pieds, la tension était palpable, il s’est trop moqué d’eux et devant les médias de plus.
quelle caricature!
le benalla refuse de répondre, un rapport sera écrit et il sera vite refermé!
quand aux sanctions pour mensonges elles seront absentes bien sur
Même remarque que ci-dessus, les sénateurs ne sont pas LREM pour la plupart et ses copains de l’Elysée veulent sauver leur peau.
Par contre un deal « je ne balance pas » et je m’en sors bien a pu être déjà conclu, ce n’est pas exclu dans la « banana food company » qu’est devenue la République.
Quand un sénateur est en colère, ca se voit tout de suite, son débit verbal passe de 80 mots a la minute a 82 mots minute.
Il m’a même semblé en entendre un qui passait le mur du con avec 105 mot/minute.
Excellent….un train de sénateur en somme….
GB77930
Vous savez, j’ai connu des secrétaires qui ne dépassaient pas le 70 mots/minute en sténo.
Donc là elles seraient larguées.