Les Français ont un grave problème avec leurs dirigeants politiques. Un sondage récent révèle qu’ils n’ont plus confiance en ces derniers. La perte de confiance transforme ipso facto, les deux principales administrations en machines bureaucratiques répressives.
Jusqu’à une période récente, police et fisc cohabitaient avec le peuple.
L’hostilité était latente et la critique se faisait par le biais de l’humour. Concrètement, un policier pouvait habiter n’importe où sur le territoire national sans rencontrer de difficultés particulières. De nouveaux impôts et taxes pouvaient être levés sans rencontrer d’opposition.
Depuis les années 2000, cela n’est plus vrai pour la police.
Depuis la révolte des «Gilets Jaunes», cela n’est plus vrai pour les impôts.
Il a été mis fin à la doctrine de la «police de proximité» dès lors qu’il n’a plus été possible d’assurer la sécurité des policiers et celle de leur famille résidant dans certains quartiers.
Lorsque les derniers policiers ont été chassés des quartiers dits «sensibles», les zones de non-droit ont proliféré.
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Il a été mis fin à la théorie de l’impôt comme contribution volontaire de chacun aux dépenses publiques au prorata de ses ressources. L’Etat-cochon se sert le premier, sans vergogne.
Les gouvernements de droite comme de gauche ont sciemment renoncé à faire respecter les deux principes fondamentaux de la République : l’unité du territoire national et l’égalité de tous les citoyens devant la loi. L’article Premier de la Constitution est violé en permanence : «La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion.»
La France n’est plus une république. Sa Constitution est un chiffon de papier. Le territoire national est divisé. La loi ne s’applique pas à tous de la même manière.
En quelques années, nous sommes passés du diagnostic de la «fracture sociale» du président Chirac à celui de la «partition du territoire» du président Hollande.
On a cru que les différents présidents élus concernés par ce problème, (Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron) entérinaient cette situation en soi parfaitement intolérable, parce qu’ils étaient faibles.
L’attitude du pouvoir face à la révolte sociale des Gilets Jaunes prouve le contraire.
Le pouvoir, quoique privé au plan international de l’essentiel de ses prérogatives, fait preuve d’une volonté inflexible, d’une dureté peu commune, en tout cas du rarement vu sous la Vème République. La répression contre les Gilets Jaunes est féroce. Blessés, arrestations, condamnations se comptent par milliers.
Comment comprendre que le même Etat soit passif face à la «révoltes des banlieues» et hyper-agressif face à la révolte des Gilets Jaunes ?
Cette contradiction disparaît si on la situe dans l’axe principal de la politique poursuivie depuis une cinquantaine d’années.
Un bref regard sur le processus de construction de l’Union européenne
L’Union européenne a franchi deux étapes fondamentales : celle du «marché commun», puis celle de la «monnaie unique».
Nous sommes dans la construction de la 3e étape : selon les théoriciens de l’Europe, il faut que l’Union européenne se poursuive par la création d’une République européenne reposant non sur les nations et les peuples, mais sur le «citoyen européen.»
La citoyenneté européenne repose sur une identité négative. Sur un principe de néantisation
Pour que cette citoyenneté abstraite devienne réalité, il faut «casser les peuples». C’est sur les décombres des nations que cette citoyenneté fantasmée sera construite.
Je n’invente pas, je ne caricature pas en faisant usage de cette expression : casser le peuple. C’est Ulrike Beate Guerot, politologue allemande, experte agréée es-Europe, qui le formule clairement à Raphaël Enthoven, lors de l’émission –l’Europe un bien ou un mal- diffusée sur ARTE. Il faut «casser les peuples» dit cette spécialiste pour construire la République européenne.
La «casse du peuple français» est la cible privilégiée des partisans de l’Union européenne
«Casser le peuple» signifie briser son unité, le fractionner en plusieurs morceaux hétérogènes, hostiles, voire antagoniques. Pour cela, il faut mettre en place une politique qui divise en profondeur la société.
Cette politique ne peut être réalisée qu’à une condition : que les peuples soient tenus dans la plus parfaite ignorance de ce que l’on trame contre eux.
La politique européenne est donc par définition, une politique perverse
La démarche du pervers consiste à brouiller la perception des réalités, à distiller le doute et les messages contradictoires, afin que la personne ciblée (la proie à posséder et à détruire) perde toute confiance en elle, se sente dégradée, se perçoive de manière négative, perdant ainsi tout volonté autonome, se livrant sans résistance à son bourreau.
Les victimes des pervers manipulateurs ont toutes été enfermées dans ce type de scénario, comme le confirment leurs témoignages.
Les deux moments de la casse du peuple français
Pour casser un grand peuple à l’identité forte, aux racines puissantes, comme le peuple français, il faut trouver un levier susceptible de l’enfermer dans sa propre logique, de l’opposer à lui-même, de le miner de l’intérieur.
1°) donner une centralité à l’immigré
Ce levier puissant à été mis en place sous la présidence de François Mitterrand. Il a consisté à mettre l’immigré au centre de l’échiquier politique. Certes, ses prédécesseurs avaient commencé à déblayer le terrain, tant au plan économique, qu’international.
Giscard d’Estaing fait voter la loi sur le rapprochement familial qui provoque l’afflux massif d’immigrés dans un contexte de destruction du tissu industriel et de crise de l’emploi.
On fait venir des gens dont on sait qu’une grande partie sera sans emploi. Parallèlement, commence l’hyper-taxation des classes moyennes.
La classe ouvrière est humiliée, paupérisée, appelée à rejoindre les rangs du sous-prolétariat vivant de l’aumône publique.
A l’international, on glorifie le «combattant palestinien» qu’on livre comme modèle d’identification aux «jeunes des banlieues».
L’instrumentalisation des immigrés
Mitterrand travaille à remodeler l’échiquier politique et avance deux nouveaux pions. Le Front National, une formation dont le discours fait son miel de l’immigré. Jean Marie Le Pen qui était totalement marginal se retrouve du jour au lendemain (par l’appui massif des grands journaux et des chaînes de télé qui s’ouvrent à lui comme par miracle), au centre du théâtre politique et médiatique.
Le jeu politique se met à fonctionner par rapport à la figure de l’immigré.
On ne vote plus pour un candidat, mais contre un soi-disant danger fasciste inventé de toutes pièces ! C’est ainsi que la peur d’un fascisme fantasmé donne carte blanche aux bradeurs du pays. C’est ainsi que Jacques Chirac, Emmanuel Macron sont élus.
La «gauche mitterrandienne» et à sa suite la «droite dite républicaine», estime que le peuple français est composé de racistes, xénophobes, de «Dupont-Lajoie». La relation à «l’immigré-pion» est le paramètre principal de cette nouvelle gauche/droite à la sauce Mitterrand.
Dans le même temps où l’on prétend défendre les immigrés contre les Français racistes, on initie une stratégie qui a pour effet de rendre impossible leur assimilation.
La sacralisation/exclusion de l’immigré
Comment ? Tout simplement en les rendant «intouchables», en les «sacralisant», en invalidant a priori, toute critique les concernant. En diabolisant la société civile. SOS Racisme jouera un rôle clé dans ce dispositif avec son slogan phare : «Touche pas à mon pote». (Ironie de cette démarche perverse, cet organisme avoue son objectif qui est d’appeler au secours le racisme).
Signe du tabou de «l’immigré-pion sacré» : Lors des «révoltes des banlieues» ordre est donné aux policiers de ne pas intervenir. Un policier est félicité par Nicolas Sarkozy pour avoir accepté de se laisser tirer dessus à bout portant.
Officiellement, les «banlieues sensibles» sont globalement mises hors-la-loi.
Seule l’application stricte de la loi aurait permis de séparer les «violents» de la masse des autres. Or, en laissant se constituer des zones de non-droit, on a interdit à la loi républicaine de faire son œuvre de séparation/ intégration/construction de l’identité nationale. Le processus par lequel se construit et se revendique une identité commune, passe par l’existence d’une loi commune, applicable à tous.
Si l’on met toute une population «hors-la-loi», si on valide le fait que la police (et tout ce qui symbolise l’autorité, y compris les médecins et les pompiers) ne puisse plus entrer dans certains quartiers, alors on rend quasiment impossible l’intégration.
La sacralisation de l’Islam
La gestion du terrorisme islamiste s’engouffre dans la même filière, faisant monter d’un cran les tensions. Au nom du «pas d’amalgame», on pratique l’amalgame. On contraint la masse des Français, musulmans compris, quelle que soit la volonté de chacun, à subir la pression de l’islam politique. On invente le mythe d’un Islam de France.
Sous couvert de respect du droit d’asile, on accueille en masse les terroristes algériens, syriens, irakiens, afghans… On ouvre les portes aux «migrants», quel qu’en soit le prix.
Après chaque attentat islamiste, on met à rude épreuve les nerfs des Français en exigeant d’eux une parfaite soumission à la montée de l’islam politique. Toute manifestation de colère est a priori traitée de raciste et donc condamnée. On valorise à outrance le «vous n’aurez pas ma haine» comme si le choix était entre «haïr» ou «se soumettre» ! Le peuple dans sa globalité est humilié.
Ceux qui prennent sur eux, qui intériorisent le drame vécu, sont modélisés. Ils font partie des bons Français. Les autres, ceux qui demandent au gouvernement de prendre des décisions énergiques, sont des mauvais Français. Des «islamophobes», même s’ils sont musulmans.
C’est ainsi que la colère légitime face aux centaines d’assassinats et aux milliers de victimes, ne peut s’exprimer librement. Elle est canalisée vers le vote dit «populiste».
La manœuvre est payante : les 20% de Français qui votent «Front National» sont globalement jetés aux chiens. Leur image est dégradée par une propagande délirante.
On laisse les Français issus de l’immigration s’enfermer dans les zones de non-droit et tomber sous la coupe des gangs islamistes mafieux. On obtient ainsi la première grande brisure du peuple.
Il s’agit maintenant de casser l’autre morceau du peuple : les Français de souche. La chose semble facile, dès lors qu’ils ont été ostracisés.
2°) La grande casse des Français de souche.
C’est à Emmanuel Macron de porter l’estocade finale contre le peuple français. La chose semble n’être qu’une simple formalité. Les grands partis politiques ne sont-ils pas globalement disqualifiés ? Les syndicats mis au pas ? Les médias aux ordres ? La justice clochardisée ?…Dans un tel contexte, le peuple sans voix, sans représentant, peut être écrasé.
Mais l’histoire est pleine de rebondissements, et contre toute attente, le peuple martyrisé se soulève.
Les Gilets Jaunes, tout le monde l’aura noté, représente l’autre composante, pour le moment largement majoritaire, du peuple français. Dans leur masse, ils sont des citoyens issus de Français de souche ou d’immigrés parfaitement assimilés.
En mobilisant la totalité des forces de police contre les Gilets Jaunes, en utilisant la totalité de l’arsenal des armes disponibles –gaz lacrymogène, grenades, flash-ball, camion à eau, chars… blessant, mutilant… – le gouvernement actuel provoque sciemment une déchirure irréversible dans le tissu social.
Le pouvoir mobilise toutes les forces dont il dispose : la police, la justice et concomitamment, les médias officiels. Deux images des «Gilets Jaunes» sont simultanément construites :
D’une part celle du «casseur» qui vient pour piller et en découdre et dont l’extrême violence justifie l’incroyable déploiement de forces. Les médias se délectent des scènes de guérillas urbaines qu’ils diffusent en boucle.
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De l’autre, une propagande insidieuse, massive, lancinante, présente les «Gilets Jaunes» comme de braves gens certes, un tantinet «débiles» ; des «idiots» appartenant aux «ratés» de la mondialisation ; une masse de «pauvres types», de laissés pour compte… qui ne savent pas ce qu’ils veulent ; qui demandent la même chose et son contraire…incapables de «dialoguer» rationnellement.
Ce qui se dit à longueur d’antenne, les insultes à peine voilées proférées à l’encontre du peuple français, sont à la limite du soutenable. Ce qui se construit à travers la caricature des Gilets Jaunes, c’est l’image d’un peuple français rabaissé, bon à jeter dans une sorte de grande casse de l’histoire, auquel on jette les miettes d’un grand festin, des bouts d’os à ronger.
Le jeune et fringant président qui manipule avec tant de brio le verbe, lance un message à l’autre France, celle des «gens biens» : vous ne pouvez pas décemment vous revendiquer de ces «gens-là» ! «Vous les «instruits», les «diplômés», les gagnants…qu’avez-vous de commun avec cette «plèbe composée d’ignares» ? On appelle l’autre France à cracher sur ses «racines», sur son père, son grand-père, ses voisins…à avoir honte d’elle-même.
Le Président de la République, garant de l’unité nationale, œuvre à détruire sous nos yeux, en direct, cette unité. Nous savons tous que n’importe lequel de ses prédécesseurs aurait au minimum renvoyé son gouvernement, voire dissout l’Assemblée Nationale, provoquer des élections.
Macron ne peut en appeler au peuple au moment où précisément il se livre à la démolition en règle de la nation. Il renverse l’ordre constitutionnel lequel proclame : «La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum» (Constitution de 1958, art. 3).
- Macron estime que la source de la légitimité vient de lui. Le bon peuple, le vrai peuple est celui auquel il accorde son «onction». Il le convoque, comme on convoque un valet et le somme de s’expliquer devant lui.
Cette arrogance délirante, en soi risible, s’explique.
- Macron est le premier président à être habité d’une part par la honte d’être français, de l’autre par l’exaltation sans limites de son «ego». Il ne s’est jamais privé, au cours de ses interventions, d’exprimer le mépris qu’il porte au peuple, à son histoire, ses traditions.
«Le citoyen européen que nous voulons construire n’a rien à voir avec la «plèbe des Gilets Jaunes». Tel est en substance le message qu’E. Macron diffuse au cours de ses débats marathons.
La république européenne comme cimetière des peuples
Lorsque l’on additionne la composante issue de l’immigration et la composante Gilet Jaunes, c’est le peuple dans sa globalité qui fait l’objet d’un rejet massif de la part des «élites européistes». C’est le peuple français qui est mis hors la loi.
Au terme de ce processus, deux types de citoyens se font face : les citoyens français réunis par l’amour de la France (quelles que soient leurs origines) et les citoyens abstraits, ceux qui se revendiquent d’une République européenne imaginaire.
Cette mise hors la loi du Citoyen français réel est nécessaire pour laisser place au «citoyen européiste», abstrait, auto-créé, dont le président français est l’archétype. E. Macron est une sorte d’enseigne publicitaire, un produit du marketing politique, un personnage sorti du laboratoire idéologique du politiquement correct ; un être «chimiquement pur», qui se veut lisse et sans tache, n’ayant jamais été confronté au vécu qu’affrontent quotidiennement des millions de citoyens ; une incarnation de cet androïde, «robot du futur», capable de parler pendant des heures…comme une machine.
La France «start-up of nations» prônée par E. Macron, n’a nul besoin de territoire national unifié. Elle a juste besoin d’une adresse prestigieuse, le Paris des beaux quartiers, pour établir son «siège social».
S’il s’adresse directement aux maires, c’est aussi pour dire : il n’y a plus de loi commune. C’est maintenant à vous de faire la loi dans vos «territoires». La nation n’existe plus. Les députés, les sénateurs sont des survivances de l’ancienne France. Ils le confirment par leur assourdissant silence.
La France, Une et indivisible, devient somme de «territoires», ou de «zones» dont les élus locaux auront la gestion. Ici, les «réserves» des Français issus de l’immigration ; là, les «réserves» des Français de souche, celles des «Gilets Jaunes».
L’Etat «start-up» n’a besoin ni du peuple, ni de la nation. Le futur membre de la future république européenne n’est pas un «citoyen», mais un «actionnaire» qui a pris une participation dans «l’entreprise Europe» qu’il ne juge que sur un seul critère : la quantité de contrats commerciaux qu’elle signe.
Ce qu’il veut, c’est toucher des dividendes. Il ne croit en rien d’autre. Pour prouver qu’il a une âme, il fait la «charité» qu’il applique à l’humanité selon une logique propre aux élevages industriels. Il est d’accord pour donner au «troupeau humain» la quantité minimale de colories nécessaires à sa survie (le revenu universel). De plus, il défend la «Nature» et se bat contre le réchauffement climatique.
Il applique un droit composé exclusivement de normes, sans se préoccuper de la justice.
Dans le cadre de «l’entreprise Europe» qu’il appelle République, il est ce nouveau gladiateur, prêt à se battre contre la nation et le peuple français qu’il perçoit comme un obstacle à la magnifique paix des cimetières des peuples qu’il nous prépare.
L’Histoire enseigne que son combat est perdu d’avance.
La «Tour de Babel Europe» s’effondrera, comme se sont effondrés dans le passé tous les empires, sans exception.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Sidney, vous êtes trop fort… Merci surtout pour votre sereine conclusion : Son combat est perdu d’avance, la «Tour de Babel Europe» s’effondrera, comme se sont effondrés dans le passé tous les empires, sans exception.
Je vote pour passer ce papier dans “NOS ANALYSES”. Davantage de papiers de Sydney devraient y être.
Un papier admirable: Sydney Touati nous y a habitues.
« Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécéssaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté envers les traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux. »
George Brock Chisholm (1896-1971), ex-directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé
Remarquable analyse de ce qui agite Macron et ses amis: européanisation avant mondialisation. C’est leur “GRAND PLAN”. Ce que n’a pu faire Hitler par la force, ils pensent y parvenir par la ruse et le pouvoir de l’argent. Ils vont y arriver un temps, car cela est écrit en Apocalypse 13, en Daniel 2 aussi. En zacharie 12 et 14 on voit l’implication d’Israël dans ce plan: toutes les nations, ou presque, vont se dresser contre ce pays, mais celles qui le feront seront balayées de la carte du monde.
Je cite Daniel. Pour les exégètes et les Historiens, c’est lumineux.
Daniel a reçu la révélation du songe que venait d’avoir le roi Nebucadnetsar
36 Voilà le songe. Nous en donnerons l’explication devant le roi. 37 O roi, tu es le roi des rois, car le Dieu des cieux t’a donné l’empire, la puissance, la force et la gloire; 38 il a remis entre tes mains, en quelque lieu qu’ils habitent, les enfants des hommes, les bêtes des champs et les oiseaux du ciel, et il t’a fait dominer sur eux tous : c’est toi qui es la tête d’or. 39 Après toi, il s’élèvera un autre royaume, moindre que le tien; puis un troisième royaume, qui sera d’airain, et qui dominera sur toute la terre. 40 Il y aura un quatrième royaume, fort comme du fer; de même que le fer brise et rompt tout, il brisera et rompra tout, comme le fer qui met tout en pièces. 41 Et comme tu as vu les pieds et les orteils en partie d’argile de potier et en partie de fer, ce royaume sera divisé; mais il y aura en lui quelque chose de la force du fer, parce que tu as vu le fer mêlé avec l’argile. 42 Et comme les doigts des pieds étaient en partie de fer et en partie d’argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile. 43 Tu as vu le fer mêlé avec l’argile, parce qu’ils se mêleront par des alliances humaines; mais ils ne seront point unis l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie point avec l’argile.
44 Dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et qui ne passera point sous la domination d’un autre peuple; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement. 45 C’est ce qu’indique la pierre que tu as vue se détacher de la montagne sans le secours d’aucune main, Et qui a brisé le fer, l’airain, l’argile, l’argent et l’or. Le grand Dieu a fait connaître au roi ce qui doit arriver après cela. Le songe est véritable, et son explication est certaine.
Le premier empire qui existait alors, c’était la Chaldée. Derrière , vint l’empire de Mèdes et Perses. Puis l’empire grec (airain). Ensuite l’empire romain qui se scinda en deux: orient et occident.
Le dernier empire (l’Europe en Occident) est fait de fer et d’argile. C’est un méli mélo de peuples forts et de peuples faibles. La totalité est vouée à s’écrouler, la petite Pierre étant Jésus, qui va défaire ces oeuvres d’hommes. Car ce n’est pas Dieu qui crée les empires, ce sont les hommes, qui rêvent toujours d’agglomérer les nations pour être plus puissants. Mais Dieu met toujours cela par terre d’une pichenette, à son heure.
Notons qu’Apocalypse 13 montre que “certains refuseront de porter la marque de la bête”, c’est -à-dire d’entrer dans un système monétaire mondial entièrement sous le contrôle d’un seul homme habité par Satan (antéchrist), mais bien sûr épaulé par la faux prophète (initiateur d’une grande religion universelle: cela se constitue devant nous via le Vatican) et bien sûr de toutes les populations qu’ils tiennent sous leur contrôle.
J’ai écrit des livres là-dessus, donc je ne vais pas m’étendre, car c’est très complexe.
Votre article est très éclairant pour ceux qui ne connaissent pas ce “grand oeuvre” maçonnique qui a débuté depuis des siècles et qui s’accélèrent sous nos yeux.
Oui, vous avez raison, l’Union européenne, un jour, va s’écraser d’elle-même…
A vous lire, j’ai parfois le sentiment que Merkel et Macron ont été envoyés par Dieu pour accélérer la chute de l’Europe et la délivrance des peuples.
Depuis 1992 Maastricht la souveraineté nationale est progressivement laminée ; l’ État soi-disant républicain met la pression sur la classe moyenne pour être réduite à une classe corvéable à jet continu ; il faut faire en effet de la place à la population des soumis ; ( muslemiye ) sans racines . Dans le petit jeu politique de la famille Le Pen continue comme auparavant , le bateleur fait son cirque tout en sachant très bien qu’ il lui faut éviter le pouvoir a tout prix ; quelques grossièretés anti-juives ; quelques éructations sur Ebola , le Sida et voilà , le tour est joué, le danger « fasciste « est écarté. Des minuscules pantins viennent jouer les de Gaulle ( Asselineau Dupont- aignant ) : affligeant . La France s’ enfonce dans le déni de justice , la domination d’ un discours ultra-déprimant ( la dette et surtout la dette ) les médias sont aux ordres . Un salmigondis de pseudos intellectuels vient ponctuer le déclin de ses doctes observations qui tournent en une seule mélodie : c’ est ainsi , nous n’ avons pas le choix , c’ est la globalisation et on ne peut n’ y échapper ni même l’ encadrer , la moduler : prendre ou laisser .
Aucune réaction de la société civile pour accompagner les Gilets Jaunes vers une expression politique qui dépasse le mouvement d’ humeur .
Les médias ; les bureaucrates, les enferment dans le cycle expression / répression.
Merkel – Macron préparent la fin des peuples , la fins des cultures , la fusion dans le trans- humain trans-européen au service des objectifs de leurs commanditaires multinationales , géants du hitech qui sont les donneurs d’ordres .
excellente analyse du phénomène LE PEN qui ne vise que son enrichissement personnel ayant compris depuis longtemps qu’ils ne pourrons avoir le pouvoir face aux médias à l’institution judiciaire et à la niaiserie des français
Le débat de Marinne face à Micron en est la parfaite illustration, elle ne souhaitait pas remporter ces élections sachant bien que les ennemis de France et du français l’empècherait de goiuverner
“L’Etat-cochon se sert le premier, sans vergogne.” Oui, là je viens de voir que l’Etat est venu prélever sur mon compte en banque sans que j’en sois informé !! C’est donc cela le prélèvement à la source, direct dans nos comptes en banques !!!
La bête va détruire Babylone et je ne la plaindrais pas. Couche toi prostituée, tu vas recevoir ton jugement et il est bien mérité. Tout ceux qui ont participé à ce simulacre, sont toujours les mêmes, des nazis, et ils auront la rétribution. Mittérand a été un vulgaire collabo et il est devenu président, mais quelle honte !!! Ou est le nouveau général qui sauvera la France ? On a eu de Gaulle qui se désespérait de voir l’Europe se constituer. Le premier président de l’Europe, était un ancien nazi. Maudite est l’Europe, batie sur un mensonge, sur LA SHOA. Elle n’est pas belle cette Europe, menée par l’Allemagne et la dictature qui s’annonce parait bien monstrueuse. En France cette répression est inquiétante. Les pauvres, les gueuX ne sont pas des sous humains. Ils réclament un salaire juste pour leur travail quand d’autres brassent du vent et gagnent des millions. Je vois venir les ténèbres, et ils viennent sur le monde avec un cortège de fléaux funestes. DIeu dans sa fureur, va déverser ses coupes de la colère. Les hommes continuent à blasphémer, à vociférer, à être égoistes. Ils vont avoir la juste rétribution de chacun de leurs actes. Maudit sois tu toi qui vole le pauvre pour t’enrichir à ses dépends. Il ne te restera rien au jour du jugement.
UTOPIA?
Quand ON RÉALISE PLEINEMENT que ces Pieds Nickelés internationnaux de la pire espèce ont pu faire démettre un Pape ÉLU mais pas islamophile pour un sou, au VATICAN !!! le Saint des Saints catholique !!! (au profit d’un invraisemblable personnage dont on ne peut s’expliquer des propos aussi irresponsables, avec ceux de Merkel et Macron, et à l’origine potentielle de tous “les nauffrages” en zones chrétiennes. Ceux en mers et ceux dans leurs ghetto républicains sauvages…) quand on réalise pleinement cela disais-je, on a une idée de la détermination et de la puissance des auteurs de ces manigances interlopes… Faut-il vraiment toujours souffrir pour évoluer?
Ou “Retour vers le futur II” ?
Lire “Eglise et Immigration, la malaise” de L. Dandrieu. Depuis Vatican II (Pacem in terris) le St Siège prône l’acceptation de l’immigration à l’image du sacrifice du Christ. L’Eglise a abandonné son dualisme bi-millénaire spirituel/temporal pour la “construction” de la cité des droits de l’Homme et la “destination commune des biens” autrement dit un Communisme inter-ethnique. L’immigré-rédempteur et l’option préférentielle pour les pauvres. C’est pour cela que les européens de l’ouest sont envahis : ils ont contre eux leurs élites : leur Eglise, leur Etat, leurs Universités, le Patronat, la Presse ! Tout cela est argumenté dans “le grand abandon, les élites et l’islamisme” de Y. Mamou.
Et devinez qui se verrait bien futur président de cette “république européenne” ?
Allez, je vous donne un indice : ses initiales sont les mêmes que celle de son parti.
@Joël
Non, je n’ose y croire, ce n’est pas dans sa nature de garçon humble. Ne nous faites pas peur! Bon dieu mais c’est bien sur, ma femme me l’a dit dirait Colombo
C’est le clown de service qui se fait passer pour le président des Français. LE PETIT CAPORAL. Regardez le bien il laisse pousser la moustache.
Remarquable article. Puissiez vous avoir raison sur le dénouement final. J’ajouterai un autre acharnement auquel se livre Macron et ses prédécesseurs: la déconstruction de la famille, afin que les repères essentiels – tradition, loi, nation, identité – soient distendus.
Oui, Fleur de Lys. Et cette déconstruction prend une telle ampleur que je me prends à rêver que ce monde devenu si laid s’effondre, disparait et que nous pouvons, enfin, en reconstruire un nouveau.
Bravo Sidney pour cette analyse très pertinente.
C’est effrayant. Cet empire s’effondrera, mais avant qu’il s’effondre, il y aura d’immenses dégâts.
Toutes ces manipulations dans le but d’une Europe, qui a eu le temps de montrer à quel point, elle n’était qu’une dangereuse utopie.
C’est pourquoi il est difficile de comprendre l’acharnement des Dirigeants à vouloir toujours aller dans le même sens.
A croire, qu’ils désirent réellement que le Monde s’écroule, et cela ne peut se faire dans la douceur. En plus de mettre à sac tout le continent, les révolutions à feu et à sang seront inévitables.
Peut-être que dans la chienlit où les Dirigeants nous ont portés…C’est réellement leur souhait de remettre tout à plat, en détruisant tout au passage.
L’on a dit souvent, que les périodes de reconstruction, après des guerres, étaient des périodes où refaire le monde étaient finalement des périodes fastes.
Peu leur importeraient les millions de morts, sacrifiés pour cela. Quel cynisme !
C’est simple, Europe = pute,
tous ceux qui sont pour l’Europe sont des dhimmis pro-violeur,
proxénètes au service de la corruption du grand architecte de l’Orient le dieu réprimé.
Sur un mode plus léger, je vous propose LES SOUFFRANCES DU JEUNE EMMANUEL (extrait du billet de Jany Leroy pour BV) :
“Lors de son discours, il confirme son ignorance linguistique : « La part que je ne comprends pas en allemand a un charme romantique que parfois le français ne m’apporte plus. ». Macron muss weg! Le langage est fleuri, presque musical. Autrement plus poétique que « Macron dégage ». “,
@ Fox69
De futures pancartes “Macron muss weg” dans les manifestations de GJ seraient effectivement très drôles !
Je crois depuis longtemps que l’ “Union Européenne” est le laboratoire de la mondialisation, ou pour faire plaisir au puristes, du mondialisme, lequel est l’objectif ultime de la nomenklatura occidentale, afin que comme l’explique par exemple Guy Millière, cette nomenklatura puisse régner sur des masses déracinées, précarisées, abêties, dans le cadre incontournable d’une dictature d’autant plus féroce que la destruction des Nations indispensable à la mise en place de ce gouvernement mondial est anti-naturelle, tout autant que la Tour de Babel en son temps.
Diviser pour mieux régner et imposer sa volonté au peuple, aux peuples, une stratégie machiavélique vieille comme le monde, et qui fonctionne toujours parfaitement, la preuve ; d’autant plus sur un peuple naturellement porté aux divisions, le peuple gaulois-français.
Ah, si les Français étaient moins perméables à la démagogie ! S’ils aimaient la liberté, et son pendant inséparable, la responsabilité individuelle, autant que le peuple américain, par exemple !
Bernard Martoïa l’a joliment, ou tristement, dit sous un autre article : les Français ont peur de la liberté individuelle.
Les Français ont aussi perdu leurs repères spirituels et moraux, c’est indéniable, et ceci explique cela, à l’évidence. L’égoïsme et l’individualisme (à ne pas confondre avec l’attachement à la liberté et à la responsabilité individuelles) qui en résultent en font la proie facile des démagogues et de ceux qui sont experts dans l’art de diviser pour régner.
Monsieur, votre titre indique, d’emblée, la raison
d’être de Macron E., à la tête d’un pays qu’il méprise:
la France. Il est là pour la briser.
Tous les Français qui n’ont pas voté pour lui, l’avaient
compris.
L’imposture de la prétendue jeunesse de l’élu (des
médias), de son immaturité et autres sottises, n’aura
pas résisté longtemps aux faits.
Vous rappelez, à juste titre, que l'”article Premier de
la Constitution est violé en permanence”. Macron est
le dernier violeur en date, entérinant le concept de
“partition du territoire” évoqué par son complice:
Hollande.
Nous ne sommes certainement plus une démocratie.
A quoi serviraient, dans une démocratie digne de ce
nom, un Institut pour la Justice ? Un Institut des
Libertés ?
L’idée avancée par la politologue allemande, de
“casser le peuple”, a été pensée, il y a plusieurs
décennies.
Etudiante, en 1970, je l’ai vue à l’oeuvre, dès la
mort de De Gaulle (à Paris 8, & à Paris 7).
Au travail, j’ai vu la casse de la jeunesse se faire,
méthodiquement: analphabétisation programmée.
Ouvriers: livrés, massivement au chômage, tant
les délocalisations les rendaient superflus.
Parallèlement, s’opérait la casse de la natalité:
IVG pour toutes ( fleuron de nos acquis sociaux),
et des familles.
L’importation d’immigrés destinés, en partie,
aux travaux peu gratifiants, et à la mixité des
races ( sans que l’on n’en parlât) a accompagné
la casse du peuple français.
Je crois que vous rejoignez M. Goldnadel, quand
vous dites que l’on s’est refusé à faire appliquer
strictement nos lois à tous, y compris aux immi-
grés, comme si cela procédait d’un racisme invé-
téré.( s.e. comme dans les années 40).
Je préciserai quand même qu’il s’est formé des
“gangs islamistes” PARCE QUE la police — et la
justice– n’ont pas reçu les ordres appropriés.
D’où l’exode des Français de souche.
D’où “l’aliah intérieure” des Français juifs (que
les antisémites croient “sionistes”: l’aliah devrait
se faire vers Jérusalem, et non de Sevran vers
Neuilly).
Les gilets jaunes sont le peuple. Vous le dites, en
d’autres termes que M. Charles Gave. Leurs
contempteurs, dans les medias, se donnent, à
bon compte, des airs de supériorité.
Doit-on rappeler que si les villes sont ravitaillées,
c’est grâce au travail de la France dite “périphérique”?
Le “citoyen européiste”, façon Macron, est un
repoussoir. Nous le lui ferons comprendre, dans
qqs mois.
Il a existé une EUROPE des peuples.
Nos peuples, souvent en guerre, savaient s’unir
quand ils étaient conscients des enjeux.
C’est ce que rappelle un auteur du 18ème s.:
Stavorinus, dans un livre: “Voyage au Bengale,
suivi de Notes critiques et politiques, d’observa-
tions”.
France et Angleterre, comme d’habitude, prati-
quaient une guerre commerciale qui dépassait
le cadre de l’Europe.
“Examinons maintenant quels fonds ils (les
Anglais) peuvent faire d’ailleurs, sur les forces
militaires, seconde base de leur puissance en
ce pays.
On fait monter communément à dix mille Euro-
péens la totalité des troupes répandues, tant dans
les trois provinces, que dans le reste de l’Indoustan..
…Il est vrai qu’à l’époque où je pris ces notes, il
arrivait au Bengale un régiment européen de plus,
et que celui-là se disait suivi de deux ou trois autres”.
Lesdits “Européens” rejoignaient les Français,
souvent; les Anglais, parfois.
Macron/Merkel, à l’issue de leur “traité d’Aix-la-
Chapelle, sont-ils capables de nous parler d’une
quelconque “armée européenne” ?
Ont-ils seulement identifié l’ennemi ?
J’oserai dire que non.
Ils pataugent dans la repentance.
Mais Dimanche il y aura un défilé anti Gilet Jaunes
J’ai un problème avec Dreuz :
La plupart des articles et commentaires sont tellement prenants que lire Dreuz devient presque une occupation à plein temps !
😁😁😁
Le Peuple ferait bien de s’aviser que l’Etat le trahit, qu’il est devenu son pire ennemi, animé par l’idéologie de la “construction européenne”. C’est la même tyrannie dans toute l’Europe de l’ouest. La raison en est simple : les libertés des européens (chez nous Déclaration de 1789) ont été annihilées par un ordre juridique supra-national : celui des nouveaux droits de l’Homme de l’ONU. Cette norme, l’Europe est la seule région du monde à l’appliquer (CEDH) et à le faire sans exigence de réciprocité : pourquoi les Etats d’émigration sont dispensés de fournir à leurs propres citoyens-migrants leurs droits sociaux ou droits à la dignité ? Pourquoi ces droits-créances sont exigés des seuls Etats européens ? Payables par leurs contribuables ? Nous avons là un vrai système colonial, une créance fabriquée au profit du nomade, qui naturellement accourt se la faire servir : une immigration de créanciers. Pour les citoyens français (ou européens) exiger la fin de ce système colonial, c’est exiger la supériorité juridique de leur propre norme de droits – notre DDHC de 1789 – sur la nouvelle norme européenne : CEDH, et l’abrogation de tout le droit néo-humanitaire transcrit dans notre droit positif. La Liberté de l’Homme européen est à ce prix, c’est aussi la condition de la pérennité de sa descendance sur ses terres ancestrales.
excellente analyse du phénomène LE PEN qui ne vise que son enrichissement personnel ayant compris depuis longtemps qu’ils ne pourrons avoir le pouvoir face aux médias à l’institution judiciaire et à la niaiserie des français
Le débat de Marinne face à Micron en est la parfaite illustration, elle ne souhaitait pas remporter ces élections sachant bien que les ennemis de France et du français l’empècherait de goiuverner
Cet article est remarquable !
Merci Monsieur Touati pour votre lucidité et clairvoyance !
Oui seul D.ieu peut intervenir pour stopper cette folie.
Merci de continuer à nous éclairer sur Dreuz , vous êtes vraiment l’oxygène quotidienne pour continuer à se sentir ” normal ”.
Si les peuples européens de souche ne comprennent pas qu’il faut voter pour éliminer les partis qui nous gouvernent depuis trop longtemps et nous ont vendus à l’islam pour nous détruire il sera trop tard ; Les italiens ont bien voté ; aux autres de bien voter pour éliminer les Macron et compagnie .
Un papier admirablement bien écrit par Sydney TOUATI, et étayé par une logique imparable, sur les mécanismes de l’européanisation des peuples de l’UE.
On y voit que rien n’est laissé au hasard. Le processus suit une ligne d’action qui a été planifiée de longue date (certainement depuis Mitterand …) par les théoriciens de la mondialisation.
L’explication qui nous est fournie là, je l’attendais depuis un certain temps ! Grâce à cette lumière qui est mise sur notre situation actuelle, sur ses racines et son développement, je comprends mieux qui est l’ennemi, où il veut en venir et avec quels moyens !
Tout ce qui est dit ici est important, mais si je devais retenir un passage, ce serait celui-ci :
“””La répression contre les Gilets Jaunes est féroce. Blessés, arrestations, condamnations se comptent par milliers.
Comment comprendre que le même État soit passif face à la «révoltes des banlieues» et hyper-agressif face à la révolte des Gilets Jaunes ?”””
Cette constatation est implacable ! A elle seule, elle illustre et justifie tout le reste du papier de TOUATI.
Les Gilets Jaunes sont et resteront l’expression du peuple ! Il faut absolument les soutenir plus massivement car, en donnant le premier coup de pied dans la fourmilière, ils ont permis de montrer à Macron et sa clique qu’il n’y a pas de petit Dieu sur Terre !!
Vive le ROI !!! et gloire a DIEU …….
Les ” TEMPS ” sont là !!! les vérités sortent …..
1–Supposons que la capitulation Allemande ne soit qu’une armistice. le III Reich aurait donc signé un traité de paix le laissant comme autorité (toujours) légitime sur l’Allemagne, la Pologne et l’Autriche. La Cour constitutionnelle de Karlsruhe a, le 31 juillet 1973, précisé que le III Reich a survécu à la guerre de 45. C’est ce qui transparaît du préambule des articles 16, 23, 116 et 146 de la loi fondamentale (Allemande). Selon la jurisprudence de la Cour Constitutionnelle, le Reich allemand a toujours une capacité légale (BVerfGE 2, 266(277) ; 3, 288(319f); 5, 85(126); 3, 309, 336, 363), mais pas de capacité juridique, par manque d’organes légaux et institutionnels. Les gouvernements actuels ne sont que transitoires.
2–“La France est le pays le plus corrompu du monde développé”
Par Vincent Bénard, mardi 19 septembre 2006 à :: General :: #6 :: rss
Selon cette étude publiée en juin par l’Institute of Economic Affairs de Londres, la France serait, d’assez loin, le pays le plus corrompu du monde développé, devant le Japon et l’Italie.
Ce qui choque le plus les auteurs de l’étude, ce ne sont pas seulement les “très forts” soupçons de corruption qui pèsent sur les plus hautes instances de l’état, actuelles ou passées, c’est le fait que nulle part ailleurs n’ait été mis en place un système interdisant ouvertement d’enquêter sur certaines personnes et interdisant toute forme de mise en cause.
La seule solution efficace pour lutter contre les corrompus, est de couper à la source leurs possiblités de distribuer privilèges et prébendes, bref, de libérer la vie publique et économique de l’emprise de l’état.