Des conditions sévères pour les réfugiés syriens au Liban, selon des organisations internationales
Une militante sociale libanaise Maryam Magdolin Laham a publié sur sa page Facebook un clip intitulé “Un nouveau scandale peint par le ministre de l’Intérieur” au Liban.
Lahad a déclaré que les proches d’un garçon syrien âgé de 14 ans, Ahmad al-Zoubi, l’avaient contactée pour qu’elle diffuse au public une vidéo, montrant comment leur enfant avait été tué.
L’enfant s’était plaint à sa famille que des membres de la police de la municipalité de Beyrouth l’avaient battu plusieurs fois et cassé sa boîte en bois. Une fois, ils l’avaient arrêté 24 heures et il était sorti sous caution.
Elle a ajouté qu’Ahmed travaillait comme cireur de chaussures dans la rue Khayat Hill, à Beyrouth pour aider ses parents qui sont des réfugiés dans la capitale libanaise.
Ahmed aidait son père, travaillant comme porteur, pour subvenir aux besoins de la famille de six filles et de trois garçons.
La militante libanaise a expliqué que depuis trois jours, Ahmed n’était pas retourné chez lui, sa famille a alors commencé à le chercher dans des hôpitaux et dans des camps des réfugiés syriens.
Cette semaine, les membres de la famille avaient pu se procurer un enregistrement des caméras de surveillance de la mosquée de la Paix et ils ont pu y voir une patrouille de la municipalité poursuivant l’enfant devant une résidence qui porte le nom de “Verdun Gate“. Après une demi-heure, les policiers sont retournés patrouiller dans le quartier.
Maryam Magdolin a souligné que les parents de l’enfant sont allés dans un bâtiment voisin et ont retrouvé leur fils mort dans une cave. Ils ont alors contacté la police qui a refusé d’enquêter ou de collaborer car, selon la famille de la victime, “le sujet est syrien”.
Le corps de l’enfant était déjà en état de décomposition avancée.
La jeune militante libanaise pour les droits humains a confirmé que la vidéo montre des policiers libanais qui traquent l’enfant syrien et que la patrouille voulait le pourchasser, puis le faire sortir du bâtiment où il s’est réfugié.
Elle a demandé une enquête sur les éléments de la sécurité impliqués.
Suite à la révélation de cette affaire par la jeune militante libanaise, une vague de colère envahit actuellement les réseaux sociaux au Liban. Certains internautes mentionnent que c’est la guerre qui a obligé cet enfant à se rendre au Liban et que c’est l’asile qui l’a forcé à travailler comme cireur.
Il semble aussi qu’un avocat, Wassef El Harakeh, s’est porté volontaire pour revoir le cas du mineur syrien Ahmed Zoubi.
Les proches d’Ahmed ont amené le corps de leur enfant dans sa ville natale, dans le village d’Al Muleiha, dans l’est de la province de Daraa, en Syrie pour y être enterré.
Des mesures ségrégationnistes ont été prises contre les Syriens
La pauvreté frappe la plupart des réfugiés syriens au Liban. Les mineurs sont les premières victimes. Les enfants des réfugiés syriens sont interdits dans les écoles publiques libanaises. Les enfants de la rue sont partout et les mariages de mineurs augmentent en raison de la pauvreté.
Les réfugiés syriens au Liban sont sans protection ni droits, selon un rapport récent du Réseau syrien des droits de l’homme.
“Les mesures prises par les autorités libanaises ont privé la plupart des réfugiés syriens de leur statut juridique au Liban, les rendant vulnérables à la marginalisation sociale, à l’exploitation, aux abus, au harcèlement sexuel dans certains cas et à leur incapacité à recourir à la police et à la sécurité et ils sont soumis à toute agression ” rapporte cette ONG syrienne de défense des droits de l’homme fondée en juin 2011.
Au Liban, les réfugiés syriens représentent 25 % de la population.
Les Syriens vivent désormais dans la peur au Liban. Le réfugié est devenu, aux yeux des responsables libanais, la cause de tous leurs maux depuis 2011.
Par exemple parmi les abus envers les réfugiés, la chaine libanaise MTV avait publié en septembre dernier un reportage intitulée : Les Syriens à l’origine de la propagation du cancer au Liban !
Dans plusieurs villes, villages et faubourgs du Liban, les Syriens subissent l’hostilité et ils sont transformés en boucs-émissaires.
Dans un environnement aussi hostile et oppressant, certaines municipalités libanaises interdisent aux réfugiés de circuler librement à partir d’une heure précise. Le ministère du Travail a dressé aussi une liste de professions libérales et d’emplois où seuls les Libanais sont éligibles à l’exercice.
D’autres mesures drastiques sont aussi appliquées contre les réfugiés qui sont aujourd’hui soumis à une double pression, économique et morale.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Ftouh Souhail pour Dreuz.info.
triste fin pour ce garcon …. ce qui est triste aussi est que aucun médias va en parler car ce n’est pas un soldat du Tsahal qui a tuer cet enfant
Ça donne donc raison à tous ceux qui veulent faire venir tout ce monde en Europe…
Pas étonnant les palos subissent le même sort mais silence radio des hypocrites BDS et les pro palestinoches .Circulez y a rien à voir ,pas de vilains sionistes JUIFS à blâmer .
Dreuz devrait faire le même reportage du sort des palos au Liban.
Un enfant courageux qui a payé de sa vie son dévouement filial.
L’acharnement de la police à son encontre est injustifiable. Quel immense courage il a fallu à ces policiers pour frapper, puis tuer un enfant, qui travaillait pour aider sa famille à survivre. Je n’ose imaginer la terreur qu’a dû ressentir Ahmed face à ces tortionnaires. Ils me rappellent les escadrons de la mort au Brésil, qui pourchassaient les enfants des rues pour les tuer, car ils dérangeaient les habitants des beaux quartiers.
Les musulmans ne sont-ils pas supposés aider leurs frères dans la détresse?
Le comportement digne de cet enfant contraste avec celui des “mineurs” non accompagnés accueillis en Europe, choyés, protégés, entourés, qui en signe de gratitude se conduisent comme des voyous et crachent sur les mains qui leur sont tendues, quand ils n’ôtent pas la vie à nos enfants.
Nous recevons les pires crapules, les meilleurs restent à proximité de leur pays dans l’attente de pouvoir y retourner.
Rosaly,
Les musulmans ne sont-ils pas supposés aider leurs frères dans la détresse?
OUI sans problèmes mais a coup de ak47 de grenade
Bienvenue en Islam ou bienvenue en France terre d’asile pour les racailles bien vertes
Aux USA ils n’entrent pas pour les allocs D.T n’en veut pas simple
Perso battre à mort un gosse est un acte inqualifiable , à la bonne époque il y avait la chaise , mais dans l’Islam c’est permis
A oui j’ai oublié la France donne de l’argent au Hisb un autre type de acaille vertes mais du même accabit
Exposé de Doctor Muzz sur l’Islam ou tout est permis et OUI
Pas seulement la pedophilie, le viol, la necrophile…. dans l islam tout est permis!
Après la pédophilie, la lapidation, l’amputation, la décapitation, le viol, le grand allaitement, la ségrégation, la takkia, l’esclavage, l’excision, la nécrophilie, la zoophilie, un journaliste égyptien a lancé un pavé dans la marre de l’islam. En effet, selon la chaine de télévision égyptienne Al-Tahrir TV, avec preuves à l’appui (ouvrages pédagogiques montrés à l’écran), le cannibalisme est enseigné dans les lycées (3ème année) qui dépendent de la prestigieuse université islamique Al Azaar, la première référence de l’ islam sunnite.
Dans ces ouvrages pédagogiques, il est écrit :
Nous avons permis de la chair des êtres humains morts, sous certaines conditions. Les morts de chair humaine ne doivent pas être cuit ou grillé pour éviter le haram ( illicite).
La chair doit être celle d’un murtadd (apostat).
Pire encore, il est mentionné dans ce manuel : ceux qui ne prient pas peuvent être grillés pour être consommés.
Pour mettre au point ce programme sur le cannibalisme, les théologiens d’Al-Azaar se sont basés sur les écrits de l’imam Al-Shafi’i (767-820) qui est le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme et qui est aussi un maître incontesté dans la jurisprudence islamique.
Ils se sont appuyés en plus sur les écrits de l’imam Al-Qurbubî ‘ (né en 1214 à Cordoue en Andalousie et mort en Egypte 1273), qui avait décrété dans le premier tome de ses fatwas, page 716 ce qui suit:
« On peut manger la chair d’un corps humain mais il n’est pas permis de tuer un musulman, ni un dhimmi non musulman sous domination musulmane ( car il est utile pour la ouma), ni un prisonnier qui appartient à d’autres musulmans. Vous pouvez tuer un combattant ennemi, un homme qui a commis un adultère ou un apostat et manger son corps. »
Et pourtant les intellectuels arabo-islamiques, à la moindre occasion qui leur est offerte, font l’éloge de l’Andalousie, cet éden perdu à jamais où semble-t-il la tolérance fut reine des temps et d’où l’islam des lumières avait irradié de ses rayons bienfaiteurs le monde entier.
Et quand le 20 février 2011, à son retour en Egypte, après près de quarante d’exil , le cheikh Youcef Al-Qaradaoui déclarait devant les frères musulmans en délire que : « Si il n’y a plus de punition contre les apostats qui doivent être tués ou crucifiés, il n’y aurait plus d’islam », n’avait-il pas lancé au avertissement sans équivoque à ceux qui pensent humaniser l’islam ?
http://www.youtube.com/watch?v=6lRtlmFLsDQ
Que doit-on déduire quand on apprend que ce théologien de malheur était aux côtés du grand philosophe islamique Taraq Ramadan le 15 janvier 2013, lors de l’inauguration du centre de recherche pour la législation islamique et l’éthique ( CILE) à Doha ?
Eh bien ! L’islam fut, demeure et sera impitoyable contre les apostats. Aucun barbarisme de circonstance aux résonnances creuses, ne pourra le réformer, car dans le contraire, il signera son arrêt de mort.
Le mal de l’islam se trouve dans le coran ( la traduction de l’arabe au français a été faite par les éditions Al Bouraq à Beyrouth au Liban et c’est une traduction de référence pour ceux qui doutent de l’authenticité des versets cités) où il est écrit :
Sourate 3 verset 90: « En vérité, ceux qui ne croient plus après avoir eu la fois, et laissent augmenter leur mécréance, leur repentir ne sera jamais accepté. Ceux-là sont vraiment des égarés. »
Sourate 4 verset 89 : « Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous serez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez pas parmi eux ni allié ni secoureur. »
Sourate 9 verset 5 : « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade… »
Sourate 16 verset 106 : « Quiconque a renié Allah après avoir cru-sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi- mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère d’Allah et ils ont un châtiment terrible. »
Et l’Envoyé d’Allah, selon l’imam Muslim, avait ordonné que :
« le sang d’un musulman qui accepte qu’il n’y a d’autre Dieu qu’Allah et que Mahomet est son Prophète ne peut être versé que dans trois conditions : en cas de meurtre d’un autre musulman, pour une personne mariée qui s’adonne au sexe de manière illégale ( zina), et pour celui qui s’éloigne de l’islam et quitte les musulmans. »
Comment peut-on prétendre que l’islam est une religion de tolérance ?
Qu’on se le dise une fois pour toutes, l’islam était, reste et le restera encore une religion basée sur le meurtre, la haine, le mensonge et la dissimulation. Toute autre discours n’est que de la poudre aux yeux, pour dédouaner cette religion dont le corpus se compose essentiellement de l’appel au meurtre, à la de barbarie, au fascisme, au racisme et à la soumission par l’épée à Allah et son Prophète de tout ce qui n’est pas musulman.
Alors que cessent les verbiages mielleux de circonstance déversés par Messieurs Chebel, Oubrou, Bidar et surtout l’expert en chef de la takkia Mr Tareq Ramadan pour disculper la religion de paix et d’amour des horreurs qu’elle enseigne à midi comme à minuit, car désormais le roi est nu, grâce à internet.
Et qu’ils cessent définitivement de démontrer en s’échinant la tolérance véhiculée par cet islam imaginaire d’amour et paix qui n’existe dans aucun texte islamique mais qui pollue leurs neurones.
Il ne faut pas qu’ils oublient que l’islam a toujours autorisé les assassinats des penseurs apostats qui remettaient en cause son idéologie meurtrière et ceci depuis 622 à nos jours.
Ces grands penseurs à la bonne conscience, donneurs de leçon de morale et de déontologie sont au courant du sort qui fut réservé aux zindiqs (apostats) tels que :
Dja Ibn Diraham exécuté en 742, parce qu’il avait remis en cause le coran et traité Mahomet de menteur.
Ibn Al Muquafh exécuté en 760 pour apostasie. Ses membres furent coupés un à un et jetés sur le bûcher. Il fut le traducteur de Kallila et Damna de la littérature perse à l’arabe.
Ibn Abi Awja exécuté en 772, grand penseur qui avait mis en doute le coran.
La liste des assassinats au nom d’Allah est longue, car malgré 15 siècles de présence sur terre, la religion de Mahomet continue de semer la désolation et la terreur. Et tout musulman qui l’abandonne, risque de se voir couper la tête. Il est un condamné à mort en sursis…
Qu’attendent les ONG tels Amnesty International, Human Rights Watch, la Ligue des droits de l’homme, MRAP, SOS Racisme pour condamner les pratiques barbares de l’islam ? Mais il n’y a aucune chance de voir un jour ces organismes qui se présentent aux yeux du monde comme les défenseurs acharnés de la dignité humaine, prononcer un seul mot qui puisse mettre au banc des accusés la terreur imposée au nom de l’islam.
Français, imaginez un instant que l’islam soit devenu maître du monde, alors quelle serait votre situation à l’heure actuelle?
Sans aucun doute, vous seriez, des convertis ( esclaves d’Allah) par l’épée et au pire des dhimmis soumis aux fourches Caudines de la charia. Quant aux apostats, beaucoup d’entre eux auraient fini dans une marmite halal.
Je saisis l’ occasion à travers RL pour transmettre mes sincères condoléances à la veuve et aux deux filles du défunt Mr Chokri Bélaid, ce grand laïc tunisien, opposant politique au projet obscurantiste du parti islamiste An-Nahda, défenseur acharné des opprimés et des droits de l’homme, assassiné le 6 février 2013, en plein centre de Tunis, devant son domicile.
Doit-on encore douter du projet fasciste de l’islam politique ? Où sont passés les défenseurs du printemps arabe et surtout de la révolution du jasmin maintenant que la bête immonde est train de tuer l’espoir du peuple tunisien ?
Mais qu’attendent les puissances occidentales pour exiger du Qatar et de l’Arabie Saoudite l’arrêt immédiat du financement de l’islamisme guerrier ?
Ces deux pays wahhabites, qui sont assis sur de fabuleuses richesses, sont allergiques à tout progrès démocratique dans le monde musulman et qui sont encouragés par la protection sans faille de l’oncle Sam, sont en train de conduire l’humanité à la catastrophe. A sa perte !
Mais à coup sûr, l’Occident payera chèrement sa complaisance envers ces deux pays mentors de l’islamisme intégriste, un jour ou l’autre, car le djihad est entré sur son territoire. On ne peut pas prendre le pétrole et l’argent du pétrole indéfiniment, parce qu’il faut savoir choisir son camp, à un moment donné…
l’année dernière à pratiquement toutes les portes de Paris nous étions envahis de Syriens, des familles entières qui mendiaient aux abords des accés du périphérique, cela devenait même dangereux car ils déambulaient entre les voitures, surtout les enfants. Cela a beaucoup diminué, je suppose que l’état les a relogé avec tous les généreux bienfaits sociaux.
Magnifique fraternité musulmane…
“Les proches d’Ahmed ont amené le corps de leur enfant dans sa ville natale […] en Syrie pour y être enterré.” – S’ils sont retournés “au pays”, sont-ils vraiment si réfugiés que ça?