Dans son discours dans le “Rose garden” de la Maison-Blanche, le président Trump a annoncé hier lors d’une conférence de presse, la réouverture du gouvernement pour une durée de trois semaines suite à un accord obtenu avec le parti Démocrate.
Trump n’a apporté aucune précisions sur la nature des accords. Sa décision ressemble à une reculade parce que c’est une reculade. Elle est mauvaise pour son image, mais bonne pour le pays, car elle met fin à 35 jours de blocage, le plus long de l’histoire des Etats-Unis, et une position difficile à tenir pour le président, qui dès le début du shutdown, a affirmé qu’il en acceptait la pleine responsabilité. Le fait que les employés fédéraux reçoivent leurs salaires (ils avaient deux chèques de retard) est une bonne chose. Le fait que l’économie ne sera pas affectée par le shutdown également – les aéroports engorgés commençaient à laisser imaginer le spectre d’un pays bloqué.
Trump, qui il y a encore deux jours, avait annoncé qu’il tiendrait le cap, semble avoir été déstabilisé par la trahison du parti Républicain au Sénat :
- Le sénat – qui est à majorité Républicain par 53 contre 47, a rejeté un projet Républicain de rouvrir le gouvernement jusqu’à septembre et financer le mur à hauteur de 5,7 milliards comme le demande Trump.
- Quelques minutes plus tard, 6 sénateurs ont fait défection, et voté avec les Démocrates par 52 contre 44 une proposition de réouverture du gouvernement sans financement du mur.
- La Maison-Blanche ne s’attendait qu’à la défection de Mitt Romney, qui prend dans un jeu vicieux la place de feu John McCain -(et dire que Romney aurait pu être président, et que je l’ai soutenu contre Obama, car il aurait été indiscutablement meilleur président que lui, mais aurait probablement trahi les idées conservatrices à chaque virage), et a été affecté par ce revers politique.
Trump sur le fond est du bon côté de l’histoire : c’est puéril et malhonnête de dire qu’un mur est passéiste et ne marche pas.
Sur la forme, c’est une autre histoire. Avec les fonctionnaires fédéraux privés de leurs salaires, sa position était assez intenable, même si les conservateurs du congrès le poussaient, encore vendredi matin, à tenir bon et lui assuraient leur soutien, et Pelosi le savait parfaitement. C’est elle qui a tenu bon. Elle n’a d’ailleurs aucune raison, maintenant qu’elle a remporté cette victoire, d’adoucir sa position, et le président devra redoubler de talent stratégique pour rallier à lui assez de membres Démocrates du congrès pour contourner son blocage, ou retourner l’opinion publique contre elle, ce qui semble difficile à réaliser avec une presse qui agit comme relation publique pour le parti Démocrate.
Il a cependant annoncé que si une solution viable ne lui est pas proposée dans le délai de trois semaines, il aura recours à “une très puissante solution alternative”, a-t-il expliqué hier – sans doute le recours à l’état d’urgence nationale.
Trump va pouvoir tenir dans l’enceinte de la Chambre son discours sur l’état de l’union – j’imagine mal que Pelosi s’y oppose encore, cependant elle a déjà annoncé que rien n’était prévu :
“Le discours sur l’état de l’Union n’est pas prévu pour l’instant”, a-t-elle déclaré vendredi après la conférence de presse du président, et ce, malgré son accord pour mettre fin au shutdown. “Vous comprenez ça ? Ce que j’ai dit au président, c’est que lorsque le gouvernement sera ouvert, nous discuterons d’une date mutuellement acceptable [pour le discours]”.
Quels accords ?
Le président a déclaré hier : les membres du congrès “sont prêts à mettre le côté partisan de côté – je pense – et à faire passer la sécurité du peuple américain en premier”. Il a ajouté que “la barrière ou les murs seront une partie importante de la solution”.
“Il y a des discussions du côté du Sénat”, a déclaré la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, aux journalistes vendredi matin, alors qu’elle entrait au Capitole. “Nous sommes en contact avec eux.” Interrogée sur les demandes de Trump concernant les mesures de sécurité à la frontière dans le cadre d’un projet de loi visant à rouvrir temporairement le gouvernement, Mme Pelosi a répondu : “Une étape à la fois”.
Pelosi faisait référence à la réunion de jeudi entre le leader Républicain de la majorité au Sénat, Mitch McConnell du Kentucky, et le leader de la minorité, Chuck Schumer (Démocrate) de New York, qui ont tenté d’explorer les prochaines étapes possibles destinées à résoudre l’impasse.
La veille, à la Maison-Blanche, Trump avait déclaré aux journalistes qu’il soutiendrait “un accord raisonnable” pour la réouverture du gouvernement et qu’il était prêt à se contenter d’un “acompte” pour la construction du mur, sans préciser le montant.
Trump a-t-il perdu la partie ?
Nancy Pelosi a remporté une double victoire, et c’est sans aucun doute frustrant pour ceux qui ne l’aiment pas.
- Le Président Trump a remis à plus tard son discours sur l’état de l’Union. C’est une grosse victoire de la haine contre la décence. Une victoire pour Nancy Pelosi qui l’a désinvité de la chambre des représentants où le discours se tient traditionnellement, au prétexte que la sécurité ne pouvait pas être assurée. Pelosi mentait, et les services de renseignement ont immédiatement réagi en affirmant que ce n’était pas vrai, et que Pelosi ne les avait jamais consultés.
- Puis Trump s’est brisé sur la rigidité absolue de Pelosi qui refuse totalement la construction d’un mur pour l’unique raison que Trump la réclame.
- Et il a rouvert le gouvernement après avoir dit qu’il était prêt à continuer.
Mais Pelosi n’a pas gagné la guerre. Car le réel objectif est double :
- La sécurité frontalière, et la construction du mur en fait intégralement partie, est du devoir du président. Le fait que Pelosi et les Démocrates soient prêts à renoncer à la sécurité des Américains pour marquer des points politiques et bloquer le président est si banal que les Américains y sont devenus moins sensibles. C’est regrettable.
- La réélection du président en 2020. S’il n’obtient pas d’ici là la construction du mur qu’il a promis et que réclament ses électeurs, et dont l’Amérique a besoin alors que deux nouvelles caravanes se préparent depuis le Honduras et qu’une grosse quantité de drogue vient d’être saisie, il perdra probablement les élections.
Trump a-t-il pour autant perdu la partie ? On ne peut pas juger maintenant. On ne le saura que dans 3 semaines – c’est le temps de réouverture du gouvernement par Trump pour que le Congrès propose une solution pour sécuriser la frontière, proposition qui inclut un mur de séparation aux endroits les plus sensibles.
Sa réussite ou son échec à faire financer le mur diront si son recul d’hier est un échec ou pas.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
On ne pactise pas avec le diable.
Staline mais également la France et l’Angleterre s’en sont rapidement rendu compte.
Si Donald Trump a dans sa manche des cartes pouvant mettre les mal nommés démocrates (les pires fachos qui soient) hors course pour les prochaines élections présidentielles, cela va en affaiblir leur valeur et en reconnaissant de facto à ces criminels doublés de traitres une légitimité et un mérite qu’ils n’ont absolument pas (j’ose espérer que ce soit une manière de les piéger).
C’est un peu comme quand les gouvernements israéliens successifs ont utilisé le terme “palestinien(s)”, donnant là aussi de facto une légitimité à ce peuple créé ex-nihilo d’une criminelle falsification de l’Histoire, se tirant ainsi des balles dans le pied en rafales au point qu’un pseudo peuple finit par avoir quasiment plus de légitimité pour nombre de nations qu’Israël et son peuple sur LEUR terre et LEUR capitale pluri-millénaires.
Tout à fait Thierry…
Je pense que Trump pourrait,aussi,décider de ne pas réintégrer une grande partie des fonctionnaires qui doivent, d’ailleurs et pour la plupart,être des”démocrates”
Je suis persuadé que le Pays peut fonctionner sans autant de parasites.
Il fait être prudent avec Trump lorsqu’il prend des décisions. Il est habile et il a sa méthode. On va dire plutôt que c’est une décision d’étape. Les gauchistes étant ce qu’ils sont à Paris ou aux USA, o, connait leurs méthodes. Lorsqu’ils ont le pouvoir par l’élection ils font passer complètement leurs idées et la droite se tait ou subi. Lorsqu’ils n’ont pas le pouvoir par l’élection, ils se mobilisent dans la rue, par la violence, agitent la presse qui est de leur côté afin de faire plier la partie qui a gagné les élections. C’est là qu’ils recrutent les traitres d’en face, comme ils les recrutent au Congrès.
Compte tenu de ce qui vient de se passer, Trump n’avait pas d’autre choix maintenant. On ne connait pas les accords. Ce répit de 3 semaines devraient donner de l’air aux fonctionnaires non payés. Ce qui est bon.
Mais il a un seul scénario à jouer s’il n’a pas de solutions, c’est de mobiliser ses réseaux par dizaines de milliers pour descendre sur la frontière sud. Allez s’opposer aux “caravanes” et face à ce désordre décréter l’état d’urgence et décider la construction du mur par l’armée. Il devrait pendant ces 3 semaines être habile pour mieux montrer l’intransigeance démocrate.
Il faut bien revenir aux fondamentaux des ères fondateurs et aller se battre pour ses convictions sur le terrain. La droite malheureusement a perdu la main sur ces sujets.
Il n’y a aucun doute que Trump sait tout cela, pour l’instant il apparait comme celui qui fait tout pour trouver un accord acceptable pour les deux parties, le seul raisonnable face a l’intransigeance de Pelosi. A-t-elle marque des points pour sa base ? Sans aucun doute, mais dans deux ans qu’auront les independants comme souvenir de cette periode ? Qui aura fait quoi ? Et pour qui ? Parce que s’il est vrai que les gens veulent un gouvernement qui fonctionne, ils n’en veulent pas moins une frontiere sud securisee. A une forte majorite. Autre verite incontournable.
Si les espoirs sont la, les probabilites qu’il se passe quelque chose durant ces trois semaines sont quasi nulles, Pelosi est dans l’emotion, elle s’est placee dans une situation de tout ou rien par detestation, si jusqu’a aujourd’hui c’etait facile et qu’elle a pu se le permettre, cela reste une posture perilleuse car elle ne detient pas toutes les cartes, elle est vulnerable, Trump le sait, je ne suis pas certain qu’elle, elle le sache, elle reste grisee par son tout nouveau pouvoir retrouve et l’otage de l’extreme gauche de son parti.
In fine, Trump a reellement essaye de trouver un compromis, ce faisant, il creait egalement les conditions qui l’amenent a effectuer une declaration d’etat d’urgence nationale qui sera devenue, face a l’intransigeance democrate, ineluctable. Il aura de bonne foi epuise toutes ses ressources et de cela les gens en auront etes temoins. Cette declaration sera validee par la Cour Supreme.
Il disposera alors de tous les fonds necessaires pour assurer la securite de la frontiere sud dont il faut rappeler que deux nouvelles caravanes parties du Honduras devraient arriver vers le 15 fevrier… Cela aussi il le sait, et bien que sincere et pragmatique dans sa volonte de faire un deal, il ne m’etonnerait pas qu’il ait eu cela derriere la tete depuis bien longtemps.
Nous n’avons pas longtemps a attendre: Trois semaines.
O.
Pour la première foi nous avons un président qui aime son peuple les autres ne pense qu’a l’argent ils ont on fait leur dieu. ils ne peuvent pas gagner il ne voient pas la main divine qui protège le Président Trump.
Il est consternant et déprimant de constater que l’extrême gauche s’acharne à vouloir détruire un président qui fait une bonne politique, une politique de bon sens, dans le seul intérêt du peuple américain.
Ce sont des êtres malfaisants qui se contrefichent du peuple américain. Une autre preuve de leur nuisance létale et génocidaire (ethnique et culturelle) est l’accueil dans leurs rangs de musulmanes voilées antisémites ainsi que des personnes insultants et menaçant les blancs de mort.
Et… nous avons les mêmes en France.
Je suis dégouté !!!
Où sont passés les résistants du siècle dernier qui savait comment agir envers les ennemis et autres collabos ???
Pour revenir à notre sujet, force est de constater que, où que ce soit dans le monde, le gauchisme et l’islam ne valent pas mieux (que ce soit en paroles ou en actes) que le nazisme.
Les antifas quant à eux sont en tous points identiques aux brigades nazies qui sévissaient dans le Berlin des années 30.
La raison, la morale et la moralité sont en train de faire naufrage…
Nancy Pelosi a promis l’enfer sur terre à Trump avec la majorité démocrate à la Chambre. Existe-t-il une seule raison pourquoi elle ne devrait pas tenir la parole ? Et Trump n’a pas que des amis parmi les Républicains. Inutile de se leurrer – le reste de la présidence sera l’enfer pour lui. Le monde est de plus en plus polarisé. Peut-être davantage qu’au cours de la bonne vieille Guerre Froide. Et il n’y a pas de bons et de méchants. Il n’y aura que des vainqueurs et des vaincus. Et la vraie démocratie est attaquée de toutes parts. Par des adversaire de plus en plus décomplexés. Le moment où l’on découvrira que la démocratie n’est en fait qu’une horrible abomination supplémentaire inventée par l’homme hétérosexuel blanc n’est peut-être pas trop loin. On parie ?
Qu’il fasse appel à l’état d’urgence nationale. Il en a les pouvoirs. IL EST LE PRESIDENT DES USA. Les américains l’ont élu pour cela, pour leur sécurité, pour retrouver un niveau de vie décent, pour que l’amérique renaisse de ses cendres. Les migrants devront passer légalement la frontière et demander un visa. Comme pour vous et moi, quand nous décidons d’émigrer. Etre hors la loi n’a jamais mené nulle part, c’est l’anarchie… Il a des lois, il faut les respecter. Pas compliqué de faire tourner un pays. Il faut des règles.
Nous avons une chance historique avec Trump. C’est de revenir dans la rue. La droite n’a aps l’habitude de le faire. Les gauchistes eux utilisent la rue comme stratégie. Leur axe les probs sociétaux: Homo; femmes; immigration, …Les probs sociaux sont en perte de vitesse avec l’effondrement du communisme (on attend l’effondrement de la France, …3ème en position). Il fallait étendre la lutte sur d’autres terrains. Ils ont réussi.
Trump a mondialisé l’affaire du mur, des frontières pour refaire entrer dans la tête des gens ce qu’est une nation. Le sujet est devenu brulant. Il y a maintenant une chance historique de faire descendre dans la rue (pacifique ) des gens pour défendre leur pays. Il faut qu’il saisisse l’occasion. Il peut jouer cette partie parce qu’à la fin ce sera Bingo.
pour moi c’est un repli stratégique …. dans 3 semaines il va faire remplacer les controlleurs aérien par des militaires comme Reagan dans les années 80 et mieux préparer le shut down dans 3 semaines
Protéger ses frontières, c`est pourtant simple à comprendre!!!,ces salopards de démocrates, ne pensent -ils pas à l`avenir de leur enfants!?, leur naiveté et leur sauvagerie pitoyable , leur traîtrise, les ont lobotomiser à mener le pays au bord du suicide!!
J`espère que Trump, va leur un peu de bons sens ,à tout ses minables mollusques!!
Les “démocrates” alias gauchos, ont des moyens puisqu’ils se partagent le butin du pays sans en faire profiter les autres “qui ne pensent pas comme eux”. Croyez vous qu’ils melangeront leurs enfants avec toute la “peuplade” bien sûr que non ! Ils auront une garde privée et seront en continu protégés ! Le pire est qu’ils répandent mort, destruction et sont persuadés qu’ils ont raison de vouloir abolir la frontière. Quand tout sera incontrôlable et que le chaos sera le mot d’ordre, ils accuseront le président et son “populisme” d’en être la cause et de n’avoir rien fait pour l’éviter ! “logique” n’est ce pas ?
oops, va leur donner un peu de bons sens…
Ceux que l’on appelle “les démocrates” sont des gauchistes décidés coûte que coûte à détruire leur pays. Le malheur c’est qu’ils arrivent à infuser leurs idées dans les populations, et ainsi arriver au pouvoir. D. Trump a du reculer, mais j’espère et j’ose imaginer qu’il a derrière la tête un plan lui permettant de renverser la situation. Le problème reste néanmoins, les défections chez les sénateurs républicains, par définition des traitres à leurs électeurs.
c’est la première fois qu’il recule!
preuve peut être de bons sens et de sens du devoir envers les fonctionnaires
Cette affaire se suit comme un feuilleton à suspense.
Je mise sur Donald Trump.
Trump bluffe les démocrates. C’est un coup d’échecs de sa part. La gauche avait dit : “Avant que nous soyons prêt à conclure un deal, il vous faut re-ouvrir le gouvernement”. C’est exactement ce que fait Trump. La balle est donc maintenant dans le camp des démocrates… Et si la gauche maintient sa position irrationnelle (ie: aucun funding accordé pour ériger un mur de sécurité) alors Trump refermera le gouvernement dans 3 semaines ! Trump agit alors comme un modéré, face à l’extrémisme gauchiste. En addition, et si la gauche continue de bloquer toute mesure préventive contre l’invasion en cours par la frontière sud – alors, et seulement alors, il pourrait avoir recours à l’état d’urgence nationale. Ceci lui permettrait de faire appel à 136 pouvoirs statutaires supplémentaires qu’un président peut utiliser en cas d’urgence nationale, dont deux peuvent s’appliquer au mur frontalier.
Le 1er statut permettrait au président d’utiliser les fonds déjà alloués à la construction militaire pour entreprendre des ” projets de construction militaire non autorisés par la loi “.
Le deuxième statut permettrait au président de retirer des troupes et autres ressources des projets du Département des travaux civils de l’Armée de terre, et de les appliquer aux ” travaux civils autorisés, à la construction militaire et aux projets de protection civile qui sont essentiels à la défense nationale “.
En attendant, et dans l’intervalle de 3 semaines, les travailleurs du gouvernement fédéral seront rémunérés, ce qui apaisera leur problème monétaire temporaire. C’est une stratégie gagnante dans le long terme, On apprécie également dans cette décision le côté humain de Donald Trump.
Et en même temps, il expose les Démocrates pour ce qu’ils sont : ça ne les intéresse pas de travailler pour leurs administrés, ils sont juste là pour mettre des bâtons dans les roues du président, qui lui fait tout pour notre sécurité. Ils préfèrent dire non à tout et profiter du shutdown pour aller à la plage (aux frais d’un lobbyiste) pendant que le président les attend à Washington pour essayer de faire avancer le shmilblick.
Trump a multiplié les concessions, tout en sachant pertinemment que les Démocrates diraient non systématiquement, et c’était surtout une opération de communication pour les Américains qui ne suivent pas la politique. Ce n’est pas pour rien que le taux d’approbation du président dans la population hispanique est remonté de 19 points pendant le shutdown.
Il place ses pions d’une manière magistrale.
Le plus éminent opposant au mur est le Pape .
Le coup de dépit passé, je pense que la partie d’échec est menée finement par D. Trump, alors que les démocrates ont joué sur l’usure. Le prochain coup sera pour D. Trump qui peut contourner l’obstacle statique des démocrates.
Merci Annika d`expliquer les recours de Trump contre ces chacals gauchistes et Liberte5 par votre poste ,si dessus , qui me rassure.
Trump, seule contre presque TOUS!, il devrait nommer une loi spéciale, contre ces traîtres gauchistes!!…“Gauchiasse Prévention Act “!
je pense que c’est un coup d’échec.
https://youtu.be/7ZjXVuCG5Q0
Et en même temps, il expose les Démocrates pour ce qu’ils sont : ça ne les intéresse pas de travailler pour leurs administrés, ils sont juste là pour mettre des bâtons dans les roues du président, qui lui fait tout pour notre sécurité. Ils préfèrent dire non à tout et profiter du shutdown pour aller à la plage (aux frais d’un lobbyiste) pendant que le président les attend à Washington pour essayer de faire avancer le shmilblick.
Trump a multiplié les concessions, tout en sachant pertinemment que les Démocrates diraient non systématiquement, et c’était surtout une opération de communication pour les Américains qui ne suivent pas la politique. Ce n’est pas pour rien que le taux d’approbation du président dans la population hispanique est remonté de 19 points pendant le shutdown.
Il place ses pions d’une manière magistrale.
Californienne, Liberté 5, c,i,a:
👍 👌
Il y a quelque chose que je ne comprend pas. Si Trump ne fait pas construire ce mur, vous dites qu’il a de fortes chances de ne pas être élu. Mais ses électeurs voient bien qu’il y a une opposition à chacune de ses décisions, quelle qu’elle soit, que les journalistes sont dans la propagande anti-Trump, et que le biais le concernant est immense. Alors en sachant tout cela pourquoi ne voteraient-ils pas pour lui. Surtout avec tout les résultats excellents qu’il a obtenu par ailleurs.