Selon la journaliste turque Uzay Bulut, il n’y a pas que les menaces proférées en Turquie envers ceux qui critiquent l’Islam qui posent problème. Il y a aussi la liberté d’expression en Occident qui est mise à mal. En effet, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a confirmé en novembre 2018 la décision d’un tribunal viennois concernant l’Autrichienne Elisabeth Sabbadisch-Wolff, la condamnant pour offense à la mémoire du prophète Mahomet.
Les propos d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff avaient été rapportés à la Justice à la suite de l’infiltration, au sein d’un séminaire consacré à l’islam, d’un journaliste qui a réalisé des enregistrements à l’insu des organisateurs.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article d’Uzay Bulut* paru le 23 janvier sur le site du Gatestone Institute.
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Turquie : le prix de la dissidence
Un mufti qui travaille pour l’autorité religieuse turque, le Diyanet, a récemment insinué qu’un massacre des employés du site d’information de l’opposition, OdaTV – sur le modèle du massacre en 2015 du personnel du magazine satirique français Charlie Hebdo – serait justifié.
Ahmet Altiok, mufti de la province de Siirt, a fait cette menace voilée d’assassinat collectif lors d’une interview à l’agence de presse İLKHA.
L’ILKHA a des liens avec le Hezbollah turc (le « parti d’Allah » en arabe, non lié au Hezbollah au Liban), une organisation terroriste sunnite responsable de nombreux meurtres horribles dans ce pays.
Lors de l’interview, Altiok a dit, notamment, « Que ce soit Charlie Hebdo ou Ka’b ibn al-Ashraf [un ancien poète juif assassiné pour avoir critiqué Mahomet]… des gens qui ridiculisaient, se moquaient et insultaient continuellement les musulmans… seront à nouveau condamnés dans la conscience de la société. Je demande à ces messieurs de s’excuser. Car vous savez que le repentir avant la mort est acceptée.»
Selon Bariş Pehlivan, rédacteur en chef d’OdaTV, l’avertissement de Altiok a été déclenché par un article sur le site web d’OdaTV intitulé « C’est ainsi que le djihad est enseigné dans les écoles ». Pehlivan a cependant déclaré que l’article n’était « qu’un prétexte » :
« Nous sommes un site d’information sur Internet qui attire l’attention sur les nouvelles organisations [islamiques] dont les membres sont recrutés dans les institutions publiques… Nous rappelons que des structures illégales se forment à nouveau au sein de l’État…. Mais comment se fait-il qu’un mufti dont le salaire est payé par l’État évoque le massacre de Charlie Hebdo et cible odaTV ? »
« Cette déclaration comprend à la fois de la propagande terroriste et un appel au massacre. Pourquoi le ministère de l’Intérieur, le ministère de la Justice et la Direction des Affaires religieuses gardent-ils le silence ? »
La réponse réside peut-être dans le fait que, depuis le VIIe siècle, le meurtre brutal de toute personne critiquant publiquement Mahomet a été largement répandu dans le monde musulman – une pratique qui persiste : le silence imposé violemment aux critiques est sanctionné par les écritures islamiques. Selon le Coran et les paroles (hadith) et biographies (sira) du fondateur de l’Islam, « Quitter l’Islam, insulter Mahomet ou Allah, nier l’existence d’Allah, être sarcastique à propos du nom d’Allah, nier tout verset du Coran » ou commettre d’autres actes blasphématoires sont tous passibles de mort.
De tels enseignements sont non seulement ancrés dans la culture de nombreuses communautés musulmanes, mais de plus en plus de tentatives sont faites pour les exporter vers l’Occident.
Le dernier exemple en date est la capitulation de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à Strasbourg, en France, face aux lois islamiques sur le blasphème, quand elle a confirmé la condamnation d’une Autrichienne, Elisabeth Sabaditsch-Wolff, pour avoir correctement fait remarqué à un petit groupe, en privé, que Mohammad avait épousé Aisha quand elle avait six ans (Sahih-Bukhari, volume 5, livre 58, n° 234-236), même s’il a attendu qu’elle ait 9 ans pour consommer le mariage.
Comme l’a noté l’auteur Bruce Bawer, « Le problème n’est pas que ces choses soient inscrites dans les textes islamiques, mais que des gens vivent encore selon ces textes ».
Prenons le cas récent d’une Saoudienne de 18 ans, Rahaf Mohammed Alqunun, qui a fui son pays natal et s’est barricadée dans une chambre d’hôtel d’aéroport en Thaïlande pour ne pas être expulsée. Elle a déclaré qu’elle avait renoncé à l’islam et qu’elle craignait les représailles de son père. « Ils vont me tuer » a t-elle dit.
Comme l’a noté le site Web La Religion de la Paix, « Tandis que le reste du monde croit généralement que si Dieu voulait que les gens meurent à cause de leurs croyances religieuses, il les ferait mourir lui-même, l’apostasie est tellement prise au sérieux par les musulmans qu’elle a donné lieu à la première de nombreuses guerres internes graves. »
« En 1400 ans, il n’y a jamais eu un système de loi islamique qui ne prescrivait pas la peine de mort pour les musulmans choisissant de quitter l’Islam. Même dans les pays islamiques modernes, ostensiblement laïques et dotés de constitutions «garantissant» la liberté de religion, cette loi est appliquée de facto par l’intimidation et le meurtre des apostats par des miliciens dévots.»
« Une saine philosophie n’a jamais besoin de violence ou de menaces pour retenir les croyants.»
De nombreux dissidents musulmans, ex-musulmans et non musulmans qui ont exprimé publiquement leurs désaccords l’ont payé de leur vie.
Bien qu’OdaTV n’ait pas dénoncé ou critiqué l’Islam, elle s’oppose à l’endoctrinement djihadiste des écoliers. Apparemment, même cela suffisait pour que le mufti turc menace de mort les journalistes de la chaîne.
Est-ce que c’est cela qui attend l’Occident ?
*Uzay Bulut est une journaliste turque, membre distinguée de l’Institut Gatestone. Elle est actuellement basée à Washington D.C.
Note : En toute transparence, nous devons dire aussi qu’OdaTV a également ciblé des journalistes turcs dissidents, y compris le présent auteur.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources:
- http://www.bvoltaire.fr/dire-que-mahomet-etait-un-pedophile-est-desormais-interdit/
- https://www.gatestoneinstitute.org/13546/turkey-dissent
Le problème n’est pas que ces choses soient écrites dans les textes islamiques … de merde ,
ni que des gens vivent en respect de ces principes islamiques … de merde ,
le problème est que des gens qui n’ont rien à voir avec cette merde , soutiennent les
disciples de cette merde en bavant sur les bulletins de vote potentiels des militants de cette merde !
Il faut arrêter de ne s’attaquer qu’aux musulmans , sans nos collaboborateurs et bobonnes ,
cette merde ne pourrait pas s’installer en Europe !
Les musulmans sont des guerriers qu’il faudra renvoyer chez eux , comme beaucoup d’allemands après le 8 juin 45 et les collabos devront re…passer devant la justice !
La volonté européiste d´introduire dans le camembert européen le ver turc s´est faite discrète mais n´a pas renoncé à son projet idéologique d´islamiser l´Europe.
La volonté européiste d´islamiser l´Europe s´est déjà clairement manifestée avec la condamnation de cette citoyenne autrichienne pour avoir simplement dit les choses et cité les textes religieux de l´islam.
Le lobby musulman à l´ONU est fort actif et tente de manière répétée de classer le balsphème comme un crime.
Il est différentes sortes de guerre. Ici, l´ennemi est celui qui nous désigne comme tel. Il est temps de sortir de notre “dormition” et de nettoyer les écuries d´Augias!
Dans toute la panoplie de dérogations qu’exige l’islam pour soi-disant s’intégrer à nos sociétés (heures de piscine, port du voile, heures de prières, locaux de prières, cantines hallal…), l’interdiction de critiquer l’islam est la plus grave car elle constitue une atteinte MORTELLE à la liberté d’expression à la base de nos sociétés démocratiques évoluées : l’islam est un mensonge, le coran un poison, Mahomet un criminel, les musulmans et leurs souteneurs en sont les dindons de la farce, et nous qui les accueillons malgré nous, leurs futures victimes potentielles.
S’il est permis de dénoncer l’Ordre du Temple solaire au grand bénéfice des populations infectées, on doit pouvoir alerter ces mêmes populations sur les dangers de l’Ordre du Temple lunaire : ne pas le faire en toute connaissance de cause est un délit de non-assistance à personnes en dangers.
Si cette secte est si vertueuse, elle n’a pas à craindre la critique. Imaginez qu’on n’ait pas le droit de dénoncer les prêtres pédophiles pour ne pas générer de la méfiance à l’égard du christianisme…
Seul le roi d’Arabie saoudite y trouve son “compte”… en pétrodollars. Cet imbécile fait mumuse avec l’Occident.
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Sujet: Exposé de Doctor Muzz sur l’Islam ou tout est permis et OUI Hier à 16:03
Pas seulement la pédophilie, le viol, la nécrophile…. dans l islam tout est permis!
Après la pédophilie, la lapidation, l’amputation, la décapitation, le viol, le grand allaitement, la ségrégation, la takkia, l’esclavage, l’excision, la nécrophilie, la zoophilie, un journaliste égyptien a lancé un pavé dans la marre de l’islam. En effet, selon la chaine de télévision égyptienne Al-Tahrir TV, avec preuves à l’appui (ouvrages pédagogiques montrés à l’écran), le cannibalisme est enseigné dans les lycées (3ème année) qui dépendent de la prestigieuse université islamique Al Azaar, la première référence de l’ islam sunnite.
Dans ces ouvrages pédagogiques, il est écrit :
Nous avons permis de la chair des êtres humains morts, sous certaines conditions. Les morts de chair humaine ne doivent pas être cuit ou grillé pour éviter le haram ( illicite).
La chair doit être celle d’un murtadd (apostat).
Pire encore, il est mentionné dans ce manuel : ceux qui ne prient pas peuvent être grillés pour être consommés.
Pour mettre au point ce programme sur le cannibalisme, les théologiens d’Al-Azaar se sont basés sur les écrits de l’imam Al-Shafi’i (767-820) qui est le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme et qui est aussi un maître incontesté dans la jurisprudence islamique.
Ils se sont appuyés en plus sur les écrits de l’imam Al-Qurbubî ‘ (né en 1214 à Cordoue en Andalousie et mort en Egypte 1273), qui avait décrété dans le premier tome de ses fatwas, page 716 ce qui suit:
« On peut manger la chair d’un corps humain mais il n’est pas permis de tuer un musulman, ni un dhimmi non musulman sous domination musulmane ( car il est utile pour la ouma), ni un prisonnier qui appartient à d’autres musulmans. Vous pouvez tuer un combattant ennemi, un homme qui a commis un adultère ou un apostat et manger son corps. »
Et pourtant les intellectuels arabo-islamiques, à la moindre occasion qui leur est offerte, font l’éloge de l’Andalousie, cet éden perdu à jamais où semble-t-il la tolérance fut reine des temps et d’où l’islam des lumières avait irradié de ses rayons bienfaiteurs le monde entier.
Et quand le 20 février 2011, à son retour en Egypte, après près de quarante d’exil , le cheikh Youcef Al-Qaradaoui déclarait devant les frères musulmans en délire que : « Si il n’y a plus de punition contre les apostats qui doivent être tués ou crucifiés, il n’y aurait plus d’islam », n’avait-il pas lancé au avertissement sans équivoque à ceux qui pensent humaniser l’islam ?
https://www.youtube.com/watch?v=6lRtlmFLsDQ
Que doit-on déduire quand on apprend que ce théologien de malheur était aux côtés du grand philosophe islamique Taraq Ramadan le 15 janvier 2013, lors de l’inauguration du centre de recherche pour la législation islamique et l’éthique ( CILE) à Doha ?
Eh bien ! L’islam fut, demeure et sera impitoyable contre les apostats. Aucun barbarisme de circonstance aux résonnances creuses, ne pourra le réformer, car dans le contraire, il signera son arrêt de mort.
Le mal de l’islam se trouve dans le coran ( la traduction de l’arabe au français a été faite par les éditions Al Bouraq à Beyrouth au Liban et c’est une traduction de référence pour ceux qui doutent de l’authenticité des versets cités) où il est écrit :
Sourate 3 verset 90: « En vérité, ceux qui ne croient plus après avoir eu la fois, et laissent augmenter leur mécréance, leur repentir ne sera jamais accepté. Ceux-là sont vraiment des égarés. »
Sourate 4 verset 89 : « Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous serez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez pas parmi eux ni allié ni secoureur. »
Sourate 9 verset 5 : « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade… »
Sourate 16 verset 106 : « Quiconque a renié Allah après avoir cru-sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi- mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère d’Allah et ils ont un châtiment terrible. »
Et l’Envoyé d’Allah, selon l’imam Muslim, avait ordonné que :
« le sang d’un musulman qui accepte qu’il n’y a d’autre Dieu qu’Allah et que Mahomet est son Prophète ne peut être versé que dans trois conditions : en cas de meurtre d’un autre musulman, pour une personne mariée qui s’adonne au sexe de manière illégale ( zina), et pour celui qui s’éloigne de l’islam et quitte les musulmans. »
Comment peut-on prétendre que l’islam est une religion de tolérance ?
Qu’on se le dise une fois pour toutes, l’islam était, reste et le restera encore une religion basée sur le meurtre, la haine, le mensonge et la dissimulation. Toute autre discours n’est que de la poudre aux yeux, pour dédouaner cette religion dont le corpus se compose essentiellement de l’appel au meurtre, à la de barbarie, au fascisme, au racisme et à la soumission par l’épée à Allah et son Prophète de tout ce qui n’est pas musulman.
Alors que cessent les verbiages mielleux de circonstance déversés par Messieurs Chebel, Oubrou, Bidar et surtout l’expert en chef de la takkia Mr Tareq Ramadan pour disculper la religion de paix et d’amour des horreurs qu’elle enseigne à midi comme à minuit, car désormais le roi est nu, grâce à internet.
Et qu’ils cessent définitivement de démontrer en s’échinant la tolérance véhiculée par cet islam imaginaire d’amour et paix qui n’existe dans aucun texte islamique mais qui pollue leurs neurones.
Il ne faut pas qu’ils oublient que l’islam a toujours autorisé les assassinats des penseurs apostats qui remettaient en cause son idéologie meurtrière et ceci depuis 622 à nos jours.
Ces grands penseurs à la bonne conscience, donneurs de leçon de morale et de déontologie sont au courant du sort qui fut réservé aux zindiqs (apostats) tels que :
Dja Ibn Diraham exécuté en 742, parce qu’il avait remis en cause le coran et traité Mahomet de menteur.
Ibn Al Muquafh exécuté en 760 pour apostasie. Ses membres furent coupés un à un et jetés sur le bûcher. Il fut le traducteur de Kallila et Damna de la littérature perse à l’arabe.
Ibn Abi Awja exécuté en 772, grand penseur qui avait mis en doute le coran.
La liste des assassinats au nom d’Allah est longue, car malgré 15 siècles de présence sur terre, la religion de Mahomet continue de semer la désolation et la terreur. Et tout musulman qui l’abandonne, risque de se voir couper la tête. Il est un condamné à mort en sursis…
Qu’attendent les ONG tels Amnesty International, Human Rights Watch, la Ligue des droits de l’homme, MRAP, SOS Racisme pour condamner les pratiques barbares de l’islam ? Mais il n’y a aucune chance de voir un jour ces organismes qui se présentent aux yeux du monde comme les défenseurs acharnés de la dignité humaine, prononcer un seul mot qui puisse mettre au banc des accusés la terreur imposée au nom de l’islam.
Français, imaginez un instant que l’islam soit devenu maître du monde, alors quelle serait votre situation à l’heure actuelle?
Sans aucun doute, vous seriez, des convertis ( esclaves d’Allah) par l’épée et au pire des dhimmis soumis aux fourches Caudines de la charia. Quant aux apostats, beaucoup d’entre eux auraient fini dans une marmite halal.
Je saisis l’ occasion à travers RL pour transmettre mes sincères condoléances à la veuve et aux deux filles du défunt Mr Chokri Bélaid, ce grand laïc tunisien, opposant politique au projet obscurantiste du parti islamiste An-Nahda, défenseur acharné des opprimés et des droits de l’homme, assassiné le 6 février 2013, en plein centre de Tunis, devant son domicile.
Doit-on encore douter du projet fasciste de l’islam politique ? Où sont passés les défenseurs du printemps arabe et surtout de la révolution du jasmin maintenant que la bête immonde est train de tuer l’espoir du peuple tunisien ?
Mais qu’attendent les puissances occidentales pour exiger du Qatar et de l’Arabie Saoudite l’arrêt immédiat du financement de l’islamisme guerrier ?
Ces deux pays wahhabites, qui sont assis sur de fabuleuses richesses, sont allergiques à tout progrès démocratique dans le monde musulman et qui sont encouragés par la protection sans faille de l’oncle Sam, sont en train de conduire l’humanité à la catastrophe. A sa perte !
Mais à coup sûr, l’Occident payera chèrement sa complaisance envers ces deux pays mentors de l’islamisme intégriste, un jour ou l’autre, car le djihad est entré sur son territoire. On ne peut pas prendre le pétrole et l’argent du pétrole indéfiniment, parce qu’il faut savoir choisir son camp, à un moment donné…
En un mot ou plutôt trois : RELIGION DE MERDE.
@flèchebleue,
Non, mais secte de merde, oui!
Le lobby musulman à l´ONU est fort actif et tente de manière répétée de classer le blasphème comme un crime.
Il est différentes sortes de guerre. Ici, l´ennemi est celui qui nous désigne comme tel. Il est temps de sortir de notre « dormition » et de nettoyer les écuries d´Augias!
L’OCCIDENT EST PRIS DE TERREUR ACTUELLEMENT FACE A CE VIRUS MERDIQUE ET IL NOUS FAUDRA COMBATTRE TÔT OU TARD SINON C’EST SOIT LA SOUMISSION OU LA MORT ASSURÉE.