Source : Lacroix
La reprise du dernier fief de Daech ne serait plus qu’une question de semaines.
Sur le front, les soldats arabes et kurdes, épaulés par la coalition internationale, mènent une guerre d’usure contre les centaines de djihadistes encore retranchés.
Alors que les civils regagnent progressivement leurs villages libérés, des réfugiés fuient en masse l’ultime territoire aux mains de l’organisation terroriste.
Autour du feu, une dizaine de soldats patientent, assis sur des chaises en plastique, quelques tirs de mortier et de kalachnikov en fond sonore. Entre deux cigarettes, ils partagent une barquette de riz et un morceau de poulet froid. Les mains sont terreuses, les visages vieillis par la guerre, les treillis dépareillés.
Sur le front de Marashidah, l’un des deux derniers villages syriens où flotte encore le drapeau noir de Daech, les affrontements restent sporadiques. Les djihadistes se trouvent à moins d’une centaine de mètres, barricadés dans une maison. « C’est une véritable guérilla urbaine, explique Haval Simko, combattant des Forces démocratiques syriennes (FDS), coalition de milices arabo-kurdes soutenue par Paris, Londres et Washington. Les terroristes se terrent dans des tranchées et se déplacent d’un bâtiment à l’autre en creusant des tunnels. »
« L’une des batailles les plus violentes que nous avons connues »
Du « califat » proclamé par son chef, Abu Bakr Al-Baghdadi, en juin 2014, il ne reste qu’une bande de terre le long de l’Euphrate. Repliés à l’intérieur, plusieurs centaines de combattants livrent une lutte à mort contre les FDS. Des djihadistes vétérans des batailles emblématiques contre Daech (celles de Kobané, en 2014 et 2015, de Mossoul ou encore de Rakka, en 2016 et 2017), souvent hauts dignitaires de l’organisation.
« Il ne reste que les meilleurs guerriers, affirme Haval Mirvan, commandant des FDS dans la province syrienne de Deir Ez-Zor. Daech est établi ici depuis longtemps, ils connaissent le terrain et disposent de plusieurs ateliers de fabrication de missiles et d’explosifs. C’est l’une des batailles les plus violentes que nous avons connues. » Une guerre d’usure lente et chaotique, ponctuée d’attentats-suicides, qui tue chaque jour une dizaine de soldats des FDS.
« Les mines constituent aujourd’hui l’un des principaux dangers, poursuit Haval Simko, tous les bâtiments, les routes et les champs sont piégés. » Chaque centimètre repris aux terroristes peut être synonyme de mort. Un frigo, une poussette, un interrupteur peuvent cacher des engins explosifs improvisés. Devenus la spécialité des djihadistes, ils ralentissent l’avancée des troupes. « Nous menons d’importantes opérations pour nettoyer les terrains conquis, mais le déminage de la zone pourrait prendre des années. »
À une vingtaine de kilomètres des combats, le village d’Hajine n’est plus qu’un champ de ruines et de cratères, stigmates des bombardements. Dans les décombres, quelques revenants couverts de poussière tentent de se frayer un chemin. Debout sur un tas de gravats haut de plusieurs mètres, une masse à la main, Nadjwa déblaye ce qu’il reste de son foyer. « Tout ça, c’est à cause de ces chiens de Daech, hurle cette mère de huit enfants, un foulard mauve dans les cheveux. Nous venons de passer un an dans un camp de réfugiés à mourir de froid et de faim et maintenant il faut tout reconstruire. »
6 000 personnes ayant fui en une semaine
Dans le ciel, les avions occidentaux quadrillent la zone en permanence et bombardent le dernier fief de Daech. Ces frappes entraînent une fuite massive des habitants, pris au piège : ils sont 6 000 à avoir quitté l’enclave en moins d’une semaine, via un corridor humanitaire. Un afflux difficile à maîtriser pour les FDS, de nombreux djihadistes se mêlant aux civils.
Entassés dans des camions alignés au milieu du désert, à proximité d’une base arrière de la coalition, les milliers de fuyards attendent d’être emmenés dans des camps de réfugiés. Les cris des enfants déchirent le vent glacial. Les femmes, toutes vêtues d’un voile intégral, quémandent un peu de nourriture aux gardes. Leurs maris sont immédiatement emmenés pour être interrogés. Sous l’unique tente du camp, lacérée de toute part, Myriam (1) reste prostrée dans un coin avec ses quatre enfants, sans couverture.
Après cinq ans en Syrie, le mari de cette jeune femme, combattant au sein de Daech, a décidé de rendre les armes.« Cela fait des mois que nous n’avions plus rien à manger, la vie était devenue impossible, » raconte-t-elle, la voix presque éteinte. Originaire de Narbonne, la trentaine, elle dit vouloir quitter le groupe djihadiste depuis deux ans. Une défection rendue impossible, selon elle, par la surveillance permanente des autres combattants et les mines placées sur toutes les routes sortant du « califat ». « Je veux rentrer en France avec mes enfants,poursuit Myriam. Mais je vois bien toute la haine que les gens ont pour nous quand je lis les commentaires sous les articles de presse sur Facebook. Personne ne nous viendra en aide. »
Le sort délicat des enfants de combattants étrangers
À côté d’elle, sa fille et ses trois garçons, âgés de 2 à 5 ans, tremblent de froid. Ils viennent de passer la nuit dehors. Ils sont nés en Syrie de deux parents français, mais n’ont aucun document d’identité. Français de droit, mais sans existence juridique, ses enfants semblent pour Myriam être l’assurance de son rapatriement vers l’Hexagone. « Ils doivent grandir en France, et personne ne peut les séparer de leur mère. Regardez-les, ce sont des innocents. Ils n’ont jamais vu de mort en Syrie et moi non plus d’ailleurs. Ici, je peux vous dire que ça relève du miracle ! » lance-t-elle, narquoise.
Puis une colère froide s’empare de la jeune femme. « Je ne vois pas pourquoi nous devrions être jugés, s’insurge-t-elle, déconcertante de franchise. Les pilotes français qui bombardent les écoles de nos enfants ne seront jamais condamnés et nous, ils veulent nous faire payer les attentats en France. Mais ce n’est pas moi qui ai demandé qu’on fonce avec un camion dans la foule ! » Et d’avouer n’avoir jamais été témoin de tels crimes de la part de la coalition : « Mon mari me l’a raconté. » Et pour cause, Myriam affirme n’avoir pratiquement jamais mis un pied dehors. « Les femmes restent à la maison pour s’occuper des enfants. Nous ne sommes pas des guerrières. »
Des cellules dormantes malgré la fin du califat
Une version contredite par Haval Mirvan, le commandant des FDS dans la province syrienne de Deir Ez-Zor : « Nous savons que certaines d’entre elles faisaient partie d’unités combattantes. Grâce à nos services de renseignements, nous allons pouvoir les identifier puis les juger. » Pour les autres, aucune procédure spécifique n’a pour l’instant été mise en place.
Ces défections de nombreux djihadistes présagent une victoire toute proche pour les FDS. Mais si le « califat » vit ses dernières heures, les attentats kamikazes des cellules dormantes restent très fréquents dans les zones libérées. La peur de voir le terrorisme resurgir dans la région occupe tous les esprits. « Nous pouvons détruire Daech en tant qu’armée, mais son idéologie restera ancrée durant des décennies, résume Haval Mirvan. C’est ce qui le rendinvincible. »
Les grandes batailles contre Daech
De septembre 2014 à janvier 2015, les forces kurdes des Unités de protection du peuple (YPG), soutenues par la coalition internationale, cherchent à empêcher les djihadistes de prendre le contrôle de Kobané. La ville syrienne, à la frontière turque, représente un enjeu stratégique, étant reliée par la route à Rakka et Alep. Daech sera finalement repoussé.
D’octobre 2016 à juillet 2017, l’armée irakienne, épaulée par des milices chiites, des combattants kurdes et la coalition internationale, affronte Daech à Mossoul. L’organisation y avait proclamé le califat en juin 2014. Après neuf mois d’une guerre resserrée, les forces de Daech y seront écrasées. D’après une enquête de l’agence Associated Press, 9 000 à 11 000 civils ont été tués.
De juin à octobre 2017, Rakka est le théâtre d’une bataille déterminante pour Daech, qui en avait fait sa « capitale ». En première ligne, les Forces démocratiques syriennes (FDS) sont soutenues par la coalition internationale, qui mène de nombreux raids aériens. Les djihadistes sont chassés de la ville, en ruines. Amnesty International déplore « plusieurs centaines de morts » parmi les civils.
Les enfants sont donc les passeports de ces femmes qui étaient joyeuses lorsque Daesh triomphait et qui aujourd’hui voudrait rentrer comme si de rien n’était
Pour moi les enfants, conçus par des femmes irresponsables, pourraient rentrer uniquement s’ils ont de la famille en France mais pas la mère qui mérite d’être jugée sur place … si elle est libérée elle rentre en France sinon allah décidera de son sort
Ce qui m’agace c’est qu’il suffit de prendre des orohelins sans papiers et de les faire passer pour ses enfants et ainsi pouvoir rentrer en France quoi que vous ayez pû faire en Syrie même tuer
Bozzer Joseph ton appréciation est toute à fait juste, tout est dit, rien à rajouter!
pas de retour ////leur père califat les aimes
Elle se plaint des bombardements (par les pilotes d’avion français) alors “qu’elle n’a rien fait”, nous dit-elle, et qu’elle n’est pas responsable des attentats en France.
Elle oublie juste un détail. C’est elle qui a choisi de se marier avec un terroriste islamique de DAECH et qui a décider de le suivre (ou de le rejoindre) en Syrie. Elle est donc une auxiliaire zélée qui fait partie de la logistique de DAECH. Elle a fait son choix librement et elle en porte la responsabilité.
Mais on peut comprendre qu’elle veuille maintenant sauver sa peau.
Il n’y a que les enfants à sauver (ils ne portent aucune responsabilité et ce sont des enfants)
Elle doit, elle, maintenant assumer ses choix, dont la mise en danger de mort de ses propres enfants., comme sa participation à l’appareil de DAECH. Ad minima, elle ne devrait pas pouvoir revenir en France sans avoir d’abord payer sa dette, en Syrie, aux Syriens ! Et la sentence revient aux Syriens qui ont combattus DAECH et qui y ont laissé un lourd tribut.
Je ne peux et ne veux avoir aucune compassion pour cette femme.
(Nota : pas l’ombre d’une demande de pardon dans son discours… pour tous les morts de ceux qui sont venus combattre les monstres islamiques de DAECH)
Le coup des “enfants innocents” pour attendrir les
consciences occidentales, on nous l’a déjà fait, Gaïa
Dreuz: à mes yeux, c’est le même que celui de l’affair
Al Dura; que celui du “petit Aylan”, sur une plage,
il y a trois ans,etc…
Cela renvoie, sans aucun doute, et par un honteux
amalgame , à la photo si connue, de l’enfant juif
levant les mains, devant des nazis, nous intimant
de ne pas commettre le même crime que les nazis.
Mais la ficelle est usée.
Haval Mirvan des FDS a raison de dire: ” Nous
pouvons détruire Daech en tant qu’armée, mais
son idéologie restera ancrée durant des décennies”.
Plutôt dire, durant des siècles, vu qu’établir l’oum-
ma sur la planète est bien le but du coran. Cela
dure depuis 1400 ans.
Donc, “derniers jours du califat, en Syrie”, peut-
être; mais que de beaux jours en France, grâce
à Macron/Castaner!
Hélas, il en sera ainsi pour notre plus grand malheur. Car, dans l’esprit de tout gauchiste qui se respecte, le musulman ne peut être qu’une victime même s’il appartient à Daech. Voyez ce sinistre Ministre nommé Castaner qui de manière bravache ose prétendre qu’un combattant islamiste issu du territoire national est d’abord français et puis islamiste. C’est ignoble et pour reprendre la rhétorique du parfait gauchiste : c’est nauséabond !
On peut comprendre pourquoi ils font le ménage chez eux et envoie leurs déchets en 🇫🇷 Et demande à Castane de les accueillir
ils veulent les faire revenir en france pour les juger!
mais sans preuve ces djihadistes vont être relaxés
c’est là bas qu’ils doivent être jugés et purger leur peine
“Je veux rentrer en France avec mes enfants, poursuit Myriam. Mais je vois bien toute la haine que les gens ont pour nous quand je lis les commentaires sous les articles de presse sur Facebook. Personne ne nous viendra en aide. »
Sans blague, elle s’attendait à quoi, cette bonne femme, à ce qu’on lui offre des fleurs ? Déjà, lui permettre de retourner en Europe c’est scandaleux. Lorsque la poussière du temps retombera, le seul résultat obtenu par les jihadis et leurs ignobles femelles après un demi-siècle d’atrocités, c’est d’avoir implanté partout dans le monde la haine, l’horreur, le rejet de l’islam.
Quel culot en effet ces femmes … nous traiter de haineux!!
Leurs maris qui égorgeaient, torturaient … leurs copines qui se faisaient exploser .. c’était de la fraternité sans doute?
Marre de ces islamistes qui ont choisi comme stratégie de nous reprocher de ne pas les aimer en espérant faire naitre en nous un sentiment de culpabilité qui leur servirait bien
RATE!!! mes coco(te)s
Cette femme ment comme elle respire. Elle est partie faire du terrorisme, qu’elle reste là où elle est. Ses enfants seront dressés à nous faire la guerre, on n’a pas besoin d’eux.
Elle a quitté la France, c’est sa responsabilité pleine et entière. Elle n’est française ni de ni de nom, ni de souche ni de culture. Ses enfants sont des fils de terroristes, ils n’ont rien de français. La France et les Français n’en veulent pas. On a déjà assez de problème avec Macron et ses taxes et ses turpitudes.
En 45 nous avons eu des milliers de collabos, devenus résistants de dernière heure, qui ont été les plus âpres à tondre à humilier, à tuer leurs ex-copains ou copines.
Ils veulent maintenant sauver leur misérable peau, tout leur sera bon pour parvenir à leurs fins.
Chez nous des naïfs de première croient encore qu’ils vont pouvoir interroger et obtenir des renseignements qui seront invérifiables.
Lors de la prise de Béziers par la première croisade des albigeois, en 1209, le chef de la croisade, Arnaud Amaury (ou Arnaud Amalric), légat pontifical et abbé de Cîteaux, aurait déclaré, selon le chroniqueur cistercien Césaire de Heisterbach : « Massacrez-les, car le Seigneur connaît les siens ».
Dans le doute, ne prenons pas de risque…
L’Etat islamique a commis de nombreuses atrocités en Irak et en Syrie: massacre des Yézidis (obligés de fuir dans des montagnes arides, mourant de faim et de soif), chrétiens persécutés, spoliés ou tués, femmes et enfants violés, vendus comme esclaves sexuels à des islamistes pédophiles, homosexuels assassinés, meurtres de masse contre des civils et des soldats faits prisonniers (on découvre régulièrement des fosses remplies de cadavres), etc.
Ces djihadistes et leurs femmes sont complices de ces crimes contre l’Humanité car ils ont soutenu et combattu pour Daech.
Ils doivent être condamnés là où ils ont commis ces crimes : en Irak ou en Syrie. Ils n’ont rien à faire en France, pays qu’ils ont renié en s’engageant dans un Etat (Islamique) en guerre contre notre pays.
Ce sont des traitres et la France ne leur doit plus rien, sauf une corde pour les pendre.
Leurs femmes et leurs nombreux enfants sont une bombe à retardement pour la France. Islamisés, fanatisés, s’ils reviennent, ils recevront toutes les aides sociales, logement, énergie, etc. Et pour quel résultat ?
Pour qu’ils terrorisent nos enfants dans les écoles, qu’ils fassent subir des tournantes à des adolescentes sans défense dans les caves des HLM devenus des zones de non droit ?
Pour qu’ils refusent de travailler, qu’ils préfèrent l’argent facile de la drogue, jusqu’au séjour en prison où leur haine de la France les poussera à imiter l’exemple de leurs pères djihadistes ?
Non merci. Ces gens-là voulaient vivent dans un pays musulman. Qu’ils y restent, et qu’ils vivent leur islam matin , midi et soir, jusqu’à plus soif.
Ils ne sont pas faits pour la démocratie, pour la liberté, pour l’égalité homme-femme et tout ce qui fait la grandeur de nos démocraties occidentales, mais pour vivre dans l’obscurantisme islamique qu’ils ont choisi, vénéré et soutenu, par tous les moyens y compris par les armes.
N’oubliez pas ceci : Daech s’appelle l’état ISLAMIQUE.
Ses membres ne font qu’obéir aux injonctions coraniques (donc divines pour TOUS les musulmans) et suivre l’exemple de Mahomet considéré par TOUS les musulmans comme LE beau modèle que chaque musulman se doit de suivre.
Le Coran impose à CHAQUE musulman de combattre afin de que la terre entière soit soumise à Allah et ses lois.
Toutes les stratégies sont permises dont la Houdna (trêve tactique provisoire) qu’utilisent ces femmes et la taqya (dont la Houdna fait partie).
Seule solution, les laisser sur place ou les éliminer physiquement car bien souvent les femmes sont pires que leurs maris.
Les enfants doivent rester sur place car ils sont formatés et s’ils ne le sont pas ils finiront par l’être un jour ou l’autre car l’islam a encore de beaux jours devant lui et que l’état ISLAMIQUE renaîtra un jour ou l’autre de ses cendres sous une forme ou une autre.
L’islam est un cancer qui a diffusé ses métastases dans le monde entier (y compris dans des pays aussi improbables que l’Islande).
Le djihad est considéré comme le sixième pilier de l’islam et l’injonction la plus importante d’où la nécessité vitale de le faire disparaitre de l’Occident, d’une manière ou d’une autre.
100% d’accord avec vous
Le problème est qu’une belle pléiade de français pure souche voient encore l’immigration comme celle de tous les gentils maghrébins d’après-guerre venus travailler en France que personne ne voyait prier et qui n’exigeaient pas de mosquées pour le faire , qui ne se distinguaient pas vestimentairement parlant … bref qui respectaient nos us et coutumes sans les combattre
Aujourd’hui, ils sont vieux et ne sont plus écouté de leur progéniture qui tournent leur parabole vers leur pays qu’ils ne connaissent pas vraiment, joue du GSM et de l’internet à la recherche de toute information anti-musulmane et pro-musulmane et qui ne se rendent pas compte (ou ne le savent même pas) qu’ils prennent comme modèle humain, un tueur,voleur,violeur et pédophile
Ce qui devient comique c’est que si vous tuez, volez, violez jusqu’aux enfants un des leurs, ils vont le reprocheront sans hésiter!!! … c’est dire les dégâts mentaux que peuvent procurer les prêches dans les mosquées … et dire que l’islam est enseigné dans les écoles occidentales!!!!
Ce n’est pas l’islam qui est enseigné dans les écoles mais une version TRÈS édulcorée reprenant les propos et méthodes de la taqya musulmane présentant ainsi quelque-chose qui n’a strictement rien à voir avec cette idéologie malfaisante.
Le but n’est donc pas d’enseigner mais de désinformer.
Mr Thierry
Sachant que le moins converti des musulmans jure que le moindre mot du Coran ne pourra lui être ôté, il m’étonnerait qu’il existât une version écrite du Coran édulcorée
Dès lors on m’expliquera comment on peut arriver à mettre dans les mains d’un gosse ou pas, un coran intouché en lui demandant de sauter les lignes qui posent problème et surtout de ne pas les lire? … impossible!
De plus tout le monde sait qu’une phrase lue et surtout relue et relue est déjà une phrase de trop car elle restera quelque part ancrée dans son subconscient
Ce Korampf devrait donc être interdit dans les écoles et à la vente comme l’est son homologue antisémite allemand …. Le Korampf étant pire encore car anti-mécréant en plus