Source : Huffingtonpost
L’école faisait l’objet, selon le gouverneur, d’une décision de fermeture, depuis une longue période.
Amnesty International a appelé samedi les autorités tunisiennes à remettre 42 enfants de l’école coranique de la ville de Regueb dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, transférés vers un centre d’accueil pour mineurs au sud de la capitale, à leurs parents immédiatement.
De son côté, le ministère de la femme, des enfants et des personnes âgées a indiqué que le dossier de ces enfants est actuellement en cours d’instruction par le pouvoir judiciaire.
Amnesty International a demandé, sur sa page Facebook officielle, aux autorités tunisiennes “au cas où des considérations sérieuses rendent nécessaires la garde à vue des enfants de transmettre de toute urgence le dossier au juge de la famille et de permettre aux parents de les visiter”, en soulignant l’importance de veiller au respect des droits de l’enfant et le principe de son intérêt supérieur”.
L’organisation s’est déclarée “profondément préoccupée par les témoignages d’enfants qui ont contacté leurs parents au téléphone sur un examen anal dans le cadre de l’enquête sur des soupçons d’agressions sexuelles”, soulignant que cette pratique “est extrêmement dangereuse et constitue une violation flagrante des obligations qui incombent à la Tunisie au regard de la convention internationale des droits de l’enfant”.
L’organisation de défense des droits de l’homme a également indiqué qu’elle avait appris que les forces de sécurité avaient fait irruption dans l’école et avaient arrêté toutes les personnes présentes, dont 42 enfants, transférés à Tunis le jeudi 31 janvier, sans autorisation, connaissance ou accompagnement de leurs parents et ont obtenu leurs témoignages sans le respect des garanties et procédures préventives énoncées par la Convention des droits de l’enfant et le Code de protection de l’enfant”.
Dans le même contexte, Amnesty a relevé que les parents de ces enfants n’ont pas encore été autorisés à les rencontrer dans un centre de détention pour mineurs du sud de la capitale, sans encadrement du juge de la famille et sans informer les parents.
De son côté, le ministère de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Personnes Agées a fait savoir, dans un communiqué publié samedi soir, que les enfants font l’objet d’un encadrement médical, psychologique et social nécessaire dispensé par des spécialistes et des cadres pédagogiques, ainsi qu’une inspection directe par le représentant de la protection de l’enfance.
Elle a également signalé que des enfants avaient été maintenus en contact avec leurs parents.
Les autorités locales à Regueb, appuyées par une brigade spéciale dépêchée de la capitale, avaient procédé, jeudi, à la fermeture de l’école coranique et à l’interpellation de son directeur et de plusieurs de ses élèves, avait déclaré le gouverneur de Sidi Bouzid, Anis Dhifallah. Des livres religieux et des ordinateurs ont été saisis, à l’intérieur de l’établissement.
L’école faisait l’objet, selon le gouverneur, d’une décision de fermeture, depuis une longue période, pour non respect des modalités d’exercice de ce type d’activité, décision qui n’avait pas eu de suite.
De son côté, le ministre des Affaires religieuses, Ahmed Adhoum, dans une déclaration à Mosaique FM en marge d’une conférence de presse, a affirmé que le ministère n’a aucune responsabilité ni pouvoir sur les écoles coraniques, indiquant que celles-ci opèrent dans le cadre associatif et sont soumises au décret-loi portant organisation des associations.
Adhoum a par ailleurs expliqué que seuls les “kottabs” se trouvent sous la responsabilité du ministère.
Leur prophète s’occupait au moins des petites filles, des chèvres ou des chamelles, là si je comprends bien il s’agit de petit garçons qui vont avoir des problèmes pour s’asseoir.
Une religion de paix et d’ AMOUR qu’on vous dit!!!
ENCORE UNE HISTOIRE QUI RESTERA DANS LES ” ANALES ”
HEUREUSEMENT J AI QUITTE LA TUNISIE EN 1964.
J’AI MAL AU C.L , RIEN QUE D’Y PENSER.
MANU
Moi qui pensais qu’ ils étaient si pieux ,si pur et que ces choses existaient que chez les kouffars,prêtres dévergondes,pervers .A croire certains muzz hypocrites la pédophilie existe que chez les infidèles.
J’espère ce scandale de pédophilie dans les écoles coraniques sera aussi bien médiatisé dans nos médias que les cas de pédophilie chez les chretiens.Faut pas se voiler la face ça risque pas de faire la une des journaux ,il ne faudrait ne surtout pas ébranler la sensibilité des muzz .
se croyait à l’abrit??!! là où il y a des hommes il y a risque. Ne veulent pas changer ne pensse que sex. Sinon ne ferait pas tant d’histoire envers les femmes. Et maintenant les écoles. Pas prétendre donner exemple. HO NON
C’est une école coranique pour le lavage du cerveau, comme n’importe quelle madrassa à travers la planète. Un lieu de privilège pour les pédophiles agréés de l’islam.
Quand est-ce que Amnesty s’occupera enfin de l’UNICEF ?
https://www.youtube.com/watch?v=wxWrdbOD91o
C’est bizarre quand même! Amnesty qui dénonce une école coranique.
Pour une fois que cette ONG ne dénonce pas Israël pour la ” souffrance” infligée
aux enfants.
ROSA
Pourquoi ne publiez vous jamais mes commentaires?
ROSA SAHSAN
Encore une lumineuse idée d’Amnesty que d’exiger de remettre les enfants à leurs parents qui s’empresseront de les renvoyer dans une autre école coranique dans laquelle, même s’il ne s’y pratique pas de d’atteintes sexuelles, poursuivra son enseignement rétrograde. La 1ère sécurité pour ces enfants n’est-elle pas libérer ces enfants des griffes de l’Emprise Maléfique et de les soigner des traumatismes qu’ils ont subis ??!
Peut être pas ! Ils seront mèfiant devant ces écoles avant de les y mettre . A moins que conditionnés par leur propres traditions ils ne fassent du mal à ces malheureux gosses !!
“Étrange” silence des médias TV français …
En revanche quand ce sont des prêtres…
Thierry beaucoup(pas tous) de muzz s’imaginent que les pédophiles existent que chez les chretiens et kouffars.Eux bien sûre étant tellement pieux et pures ne peuvent commettre des choses horribles.L occident décadent aux moeurs pervers vous devez bien connaître ça .
Vous connaissez la maxime : “Nul n’est prophète dans son pays”.
Il est impensable pour toute la bien-pensance bobo et islamo-gauchiste que de tels faits puissent se produire dans des écoles où la piété et la vertu sont les piliers d’une religion d’amour et de paix. Alors ce sera le silence radio habituel des médias peu enclins à subroger des prêtres par des imans. Le déni par omission en quelque sorte.
Absolument, là, on en fait tout un tas et cela n’en finit plus…
pour une fois que Amnesty fait son travail …. qui est la protection des enfants …. au moins en Tunisie Amnesty est sur le coté des enfants …. a gaza Amnesty ferme les yeux sur les enfants car ils servent de bouclier humain au hamas
Tous les hommes violés dans leur enfance sont détruits en vie. J’en ai rencontré beaucoup. C’est leur identité même qui a été broyée. Plusieurs se sont suicidés, dont un pasteur: la honte les submerge.
Mais dans l’Islam, l’âme ne compte pas. Seule la satisfaction des plaisirs charnels. Leur paradis, c’est 70 houris à leur disposition perpétuelle. Pas la gloire de Dieu: et pour cause leur dieu est sans gloire.
Quant aux femmes dans l’islam ? J’en ai entendues aussi beaucoup, beaucoup. Un même refrain: “Nous n’étions rien”. Elles aussi subissent des exactions sexuelles, sous réserve de les laisser vierges pour qu’elles puissent être mariées.
Bien sinistre monde !
“Leur paradis, c’est 70 houris à leur disposition perpétuelle”
Et pour celles qui n’arrivent pas vierges: distribution de papier collant pour rafistoler?
Quoique pour moi, elles peuvent le rester: même pas avec les pieds.
La Brève du Doctor Muzz
—————————–
Pas seulement la pédophilie, le viol, la nécrophile…. dans l islam tout est permis!
Après la pédophilie, la lapidation, l’amputation, la décapitation, le viol, le grand allaitement, la ségrégation, la takkia, l’esclavage, l’excision, la nécrophilie, la zoophilie, un journaliste égyptien a lancé un pavé dans la marre de l’islam. En effet, selon la chaine de télévision égyptienne Al-Tahrir TV, avec preuves à l’appui (ouvrages pédagogiques montrés à l’écran), le cannibalisme est enseigné dans les lycées (3ème année) qui dépendent de la prestigieuse université islamique Al Azaar, la première référence de l’ islam sunnite.
Dans ces ouvrages pédagogiques, il est écrit :
Nous avons permis de la chair des êtres humains morts, sous certaines conditions. Les morts de chair humaine ne doivent pas être cuit ou grillé pour éviter le haram ( illicite).
La chair doit être celle d’un murtadd (apostat).
Pire encore, il est mentionné dans ce manuel : ceux qui ne prient pas peuvent être grillés pour être consommés.
Pour mettre au point ce programme sur le cannibalisme, les théologiens d’Al-Azaar se sont basés sur les écrits de l’imam Al-Shafi’i (767-820) qui est le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme et qui est aussi un maître incontesté dans la jurisprudence islamique.
Ils se sont appuyés en plus sur les écrits de l’imam Al-Qurbubî ‘ (né en 1214 à Cordoue en Andalousie et mort en Egypte 1273), qui avait décrété dans le premier tome de ses fatwas, page 716 ce qui suit:
« On peut manger la chair d’un corps humain mais il n’est pas permis de tuer un musulman, ni un dhimmi non musulman sous domination musulmane ( car il est utile pour la ouma), ni un prisonnier qui appartient à d’autres musulmans. Vous pouvez tuer un combattant ennemi, un homme qui a commis un adultère ou un apostat et manger son corps. »
Et pourtant les intellectuels arabo-islamiques, à la moindre occasion qui leur est offerte, font l’éloge de l’Andalousie, cet éden perdu à jamais où semble-t-il la tolérance fut reine des temps et d’où l’islam des lumières avait irradié de ses rayons bienfaiteurs le monde entier.
Et quand le 20 février 2011, à son retour en Egypte, après près de quarante d’exil , le cheikh Youcef Al-Qaradaoui déclarait devant les frères musulmans en délire que : « Si il n’y a plus de punition contre les apostats qui doivent être tués ou crucifiés, il n’y aurait plus d’islam », n’avait-il pas lancé au avertissement sans équivoque à ceux qui pensent humaniser l’islam ?
https://www.youtube.com/watch?v=6lRtlmFLsDQ
Que doit-on déduire quand on apprend que ce théologien de malheur était aux côtés du grand philosophe islamique Taraq Ramadan le 15 janvier 2013, lors de l’inauguration du centre de recherche pour la législation islamique et l’éthique ( CILE) à Doha ?
Eh bien ! L’islam fut, demeure et sera impitoyable contre les apostats. Aucun barbarisme de circonstance aux résonnances creuses, ne pourra le réformer, car dans le contraire, il signera son arrêt de mort.
Le mal de l’islam se trouve dans le coran ( la traduction de l’arabe au français a été faite par les éditions Al Bouraq à Beyrouth au Liban et c’est une traduction de référence pour ceux qui doutent de l’authenticité des versets cités) où il est écrit :
Sourate 3 verset 90: « En vérité, ceux qui ne croient plus après avoir eu la fois, et laissent augmenter leur mécréance, leur repentir ne sera jamais accepté. Ceux-là sont vraiment des égarés. »
Sourate 4 verset 89 : « Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous serez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez pas parmi eux ni allié ni secoureur. »
Sourate 9 verset 5 : « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade… »
Sourate 16 verset 106 : « Quiconque a renié Allah après avoir cru-sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi- mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère d’Allah et ils ont un châtiment terrible. »
Et l’Envoyé d’Allah, selon l’imam Muslim, avait ordonné que :
« le sang d’un musulman qui accepte qu’il n’y a d’autre Dieu qu’Allah et que Mahomet est son Prophète ne peut être versé que dans trois conditions : en cas de meurtre d’un autre musulman, pour une personne mariée qui s’adonne au sexe de manière illégale ( zina), et pour celui qui s’éloigne de l’islam et quitte les musulmans. »
Comment peut-on prétendre que l’islam est une religion de tolérance ?
Qu’on se le dise une fois pour toutes, l’islam était, reste et le restera encore une religion basée sur le meurtre, la haine, le mensonge et la dissimulation. Toute autre discours n’est que de la poudre aux yeux, pour dédouaner cette religion dont le corpus se compose essentiellement de l’appel au meurtre, à la de barbarie, au fascisme, au racisme et à la soumission par l’épée à Allah et son Prophète de tout ce qui n’est pas musulman.
Alors que cessent les verbiages mielleux de circonstance déversés par Messieurs Chebel, Oubrou, Bidar et surtout l’expert en chef de la takkia Mr Tareq Ramadan pour disculper la religion de paix et d’amour des horreurs qu’elle enseigne à midi comme à minuit, car désormais le roi est nu, grâce à internet.
Et qu’ils cessent définitivement de démontrer en s’échinant la tolérance véhiculée par cet islam imaginaire d’amour et paix qui n’existe dans aucun texte islamique mais qui pollue leurs neurones.
Il ne faut pas qu’ils oublient que l’islam a toujours autorisé les assassinats des penseurs apostats qui remettaient en cause son idéologie meurtrière et ceci depuis 622 à nos jours.
Ces grands penseurs à la bonne conscience, donneurs de leçon de morale et de déontologie sont au courant du sort qui fut réservé aux zindiqs (apostats) tels que :
Dja Ibn Diraham exécuté en 742, parce qu’il avait remis en cause le coran et traité Mahomet de menteur.
Ibn Al Muquafh exécuté en 760 pour apostasie. Ses membres furent coupés un à un et jetés sur le bûcher. Il fut le traducteur de Kallila et Damna de la littérature perse à l’arabe.
Ibn Abi Awja exécuté en 772, grand penseur qui avait mis en doute le coran.
La liste des assassinats au nom d’Allah est longue, car malgré 15 siècles de présence sur terre, la religion de Mahomet continue de semer la désolation et la terreur. Et tout musulman qui l’abandonne, risque de se voir couper la tête. Il est un condamné à mort en sursis…
Qu’attendent les ONG tels Amnesty International, Human Rights Watch, la Ligue des droits de l’homme, MRAP, SOS Racisme pour condamner les pratiques barbares de l’islam ? Mais il n’y a aucune chance de voir un jour ces organismes qui se présentent aux yeux du monde comme les défenseurs acharnés de la dignité humaine, prononcer un seul mot qui puisse mettre au banc des accusés la terreur imposée au nom de l’islam.
Français, imaginez un instant que l’islam soit devenu maître du monde, alors quelle serait votre situation à l’heure actuelle?
Sans aucun doute, vous seriez, des convertis ( esclaves d’Allah) par l’épée et au pire des dhimmis soumis aux fourches Caudines de la charia. Quant aux apostats, beaucoup d’entre eux auraient fini dans une marmite halal.
Je saisis l’ occasion à travers RL pour transmettre mes sincères condoléances à la veuve et aux deux filles du défunt Mr Chokri Bélaid, ce grand laïc tunisien, opposant politique au projet obscurantiste du parti islamiste An-Nahda, défenseur acharné des opprimés et des droits de l’homme, assassiné le 6 février 2013, en plein centre de Tunis, devant son domicile.
Doit-on encore douter du projet fasciste de l’islam politique ? Où sont passés les défenseurs du printemps arabe et surtout de la révolution du jasmin maintenant que la bête immonde est train de tuer l’espoir du peuple tunisien ?
Mais qu’attendent les puissances occidentales pour exiger du Qatar et de l’Arabie Saoudite l’arrêt immédiat du financement de l’islamisme guerrier ?
Ces deux pays wahhabites, qui sont assis sur de fabuleuses richesses, sont allergiques à tout progrès démocratique dans le monde musulman et qui sont encouragés par la protection sans faille de l’oncle Sam, sont en train de conduire l’humanité à la catastrophe. A sa perte !
Mais à coup sûr, l’Occident payera chèrement sa complaisance envers ces deux pays mentors de l’islamisme intégriste, un jour ou l’autre, car le djihad est entré sur son territoire. On ne peut pas prendre le pétrole et l’argent du pétrole indéfiniment, parce qu’il faut savoir choisir son camp, à un moment donné…
Mais ça, vous n’en entendrez jamais parler par nos Merdias de la collaboration.
La Brève de Doctor Muzz
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Pas seulement la pédophilie, le viol, la nécrophile…. dans l islam tout est permis!
Après la pédophilie, la lapidation, l’amputation, la décapitation, le viol, le grand allaitement, la ségrégation, la takkia, l’esclavage, l’excision, la nécrophilie, la zoophilie, un journaliste égyptien a lancé un pavé dans la marre de l’islam. En effet, selon la chaine de télévision égyptienne Al-Tahrir TV, avec preuves à l’appui (ouvrages pédagogiques montrés à l’écran), le cannibalisme est enseigné dans les lycées (3ème année) qui dépendent de la prestigieuse université islamique Al Azaar, la première référence de l’ islam sunnite.
Dans ces ouvrages pédagogiques, il est écrit :
Nous avons permis de la chair des êtres humains morts, sous certaines conditions. Les morts de chair humaine ne doivent pas être cuit ou grillé pour éviter le haram ( illicite).
La chair doit être celle d’un murtadd (apostat).
Pire encore, il est mentionné dans ce manuel : ceux qui ne prient pas peuvent être grillés pour être consommés.
Pour mettre au point ce programme sur le cannibalisme, les théologiens d’Al-Azaar se sont basés sur les écrits de l’imam Al-Shafi’i (767-820) qui est le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme et qui est aussi un maître incontesté dans la jurisprudence islamique.
Ils se sont appuyés en plus sur les écrits de l’imam Al-Qurbubî ‘ (né en 1214 à Cordoue en Andalousie et mort en Egypte 1273), qui avait décrété dans le premier tome de ses fatwas, page 716 ce qui suit:
« On peut manger la chair d’un corps humain mais il n’est pas permis de tuer un musulman, ni un dhimmi non musulman sous domination musulmane ( car il est utile pour la ouma), ni un prisonnier qui appartient à d’autres musulmans. Vous pouvez tuer un combattant ennemi, un homme qui a commis un adultère ou un apostat et manger son corps. »
Et pourtant les intellectuels arabo-islamiques, à la moindre occasion qui leur est offerte, font l’éloge de l’Andalousie, cet éden perdu à jamais où semble-t-il la tolérance fut reine des temps et d’où l’islam des lumières avait irradié de ses rayons bienfaiteurs le monde entier.
Et quand le 20 février 2011, à son retour en Egypte, après près de quarante d’exil , le cheikh Youcef Al-Qaradaoui déclarait devant les frères musulmans en délire que : « Si il n’y a plus de punition contre les apostats qui doivent être tués ou crucifiés, il n’y aurait plus d’islam », n’avait-il pas lancé au avertissement sans équivoque à ceux qui pensent humaniser l’islam ?
https://www.youtube.com/watch?v=6lRtlmFLsDQ
Que doit-on déduire quand on apprend que ce théologien de malheur était aux côtés du grand philosophe islamique Taraq Ramadan le 15 janvier 2013, lors de l’inauguration du centre de recherche pour la législation islamique et l’éthique ( CILE) à Doha ?
Eh bien ! L’islam fut, demeure et sera impitoyable contre les apostats. Aucun barbarisme de circonstance aux résonnances creuses, ne pourra le réformer, car dans le contraire, il signera son arrêt de mort.
Le mal de l’islam se trouve dans le coran ( la traduction de l’arabe au français a été faite par les éditions Al Bouraq à Beyrouth au Liban et c’est une traduction de référence pour ceux qui doutent de l’authenticité des versets cités) où il est écrit :
Sourate 3 verset 90: « En vérité, ceux qui ne croient plus après avoir eu la fois, et laissent augmenter leur mécréance, leur repentir ne sera jamais accepté. Ceux-là sont vraiment des égarés. »
Sourate 4 verset 89 : « Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous serez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez pas parmi eux ni allié ni secoureur. »
Sourate 9 verset 5 : « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade… »
Sourate 16 verset 106 : « Quiconque a renié Allah après avoir cru-sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi- mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère d’Allah et ils ont un châtiment terrible. »
Et l’Envoyé d’Allah, selon l’imam Muslim, avait ordonné que :
« le sang d’un musulman qui accepte qu’il n’y a d’autre Dieu qu’Allah et que Mahomet est son Prophète ne peut être versé que dans trois conditions : en cas de meurtre d’un autre musulman, pour une personne mariée qui s’adonne au sexe de manière illégale ( zina), et pour celui qui s’éloigne de l’islam et quitte les musulmans. »
Comment peut-on prétendre que l’islam est une religion de tolérance ?
Qu’on se le dise une fois pour toutes, l’islam était, reste et le restera encore une religion basée sur le meurtre, la haine, le mensonge et la dissimulation. Toute autre discours n’est que de la poudre aux yeux, pour dédouaner cette religion dont le corpus se compose essentiellement de l’appel au meurtre, à la de barbarie, au fascisme, au racisme et à la soumission par l’épée à Allah et son Prophète de tout ce qui n’est pas musulman.
Alors que cessent les verbiages mielleux de circonstance déversés par Messieurs Chebel, Oubrou, Bidar et surtout l’expert en chef de la takkia Mr Tareq Ramadan pour disculper la religion de paix et d’amour des horreurs qu’elle enseigne à midi comme à minuit, car désormais le roi est nu, grâce à internet.
Et qu’ils cessent définitivement de démontrer en s’échinant la tolérance véhiculée par cet islam imaginaire d’amour et paix qui n’existe dans aucun texte islamique mais qui pollue leurs neurones.
Il ne faut pas qu’ils oublient que l’islam a toujours autorisé les assassinats des penseurs apostats qui remettaient en cause son idéologie meurtrière et ceci depuis 622 à nos jours.
Ces grands penseurs à la bonne conscience, donneurs de leçon de morale et de déontologie sont au courant du sort qui fut réservé aux zindiqs (apostats) tels que :
Dja Ibn Diraham exécuté en 742, parce qu’il avait remis en cause le coran et traité Mahomet de menteur.
Ibn Al Muquafh exécuté en 760 pour apostasie. Ses membres furent coupés un à un et jetés sur le bûcher. Il fut le traducteur de Kallila et Damna de la littérature perse à l’arabe.
Ibn Abi Awja exécuté en 772, grand penseur qui avait mis en doute le coran.
La liste des assassinats au nom d’Allah est longue, car malgré 15 siècles de présence sur terre, la religion de Mahomet continue de semer la désolation et la terreur. Et tout musulman qui l’abandonne, risque de se voir couper la tête. Il est un condamné à mort en sursis…
Qu’attendent les ONG tels Amnesty International, Human Rights Watch, la Ligue des droits de l’homme, MRAP, SOS Racisme pour condamner les pratiques barbares de l’islam ? Mais il n’y a aucune chance de voir un jour ces organismes qui se présentent aux yeux du monde comme les défenseurs acharnés de la dignité humaine, prononcer un seul mot qui puisse mettre au banc des accusés la terreur imposée au nom de l’islam.
Français, imaginez un instant que l’islam soit devenu maître du monde, alors quelle serait votre situation à l’heure actuelle?
Sans aucun doute, vous seriez, des convertis ( esclaves d’Allah) par l’épée et au pire des dhimmis soumis aux fourches Caudines de la charia. Quant aux apostats, beaucoup d’entre eux auraient fini dans une marmite halal.
Je saisis l’ occasion à travers RL pour transmettre mes sincères condoléances à la veuve et aux deux filles du défunt Mr Chokri Bélaid, ce grand laïc tunisien, opposant politique au projet obscurantiste du parti islamiste An-Nahda, défenseur acharné des opprimés et des droits de l’homme, assassiné le 6 février 2013, en plein centre de Tunis, devant son domicile.
Doit-on encore douter du projet fasciste de l’islam politique ? Où sont passés les défenseurs du printemps arabe et surtout de la révolution du jasmin maintenant que la bête immonde est train de tuer l’espoir du peuple tunisien ?
Mais qu’attendent les puissances occidentales pour exiger du Qatar et de l’Arabie Saoudite l’arrêt immédiat du financement de l’islamisme guerrier ?
Ces deux pays wahhabites, qui sont assis sur de fabuleuses richesses, sont allergiques à tout progrès démocratique dans le monde musulman et qui sont encouragés par la protection sans faille de l’oncle Sam, sont en train de conduire l’humanité à la catastrophe. A sa perte !
Mais à coup sûr, l’Occident payera chèrement sa complaisance envers ces deux pays mentors de l’islamisme intégriste, un jour ou l’autre, car le djihad est entré sur son territoire. On ne peut pas prendre le pétrole et l’argent du pétrole indéfiniment, parce qu’il faut savoir choisir son camp, à un moment donné…
Il faudrait vérifier, si lors de la signature de la convention des droits de l’enfant, la Tunisie n’a pas comme la majorité des pays islamiques émis des réserves du genre : “sous réserve qu’ils ne soient pas contraire à la législation tunisienne” ou encore “contraire à la charia” !
Les gauchistes racontent évidemment que USA sont pratiquement le seul pays à ne pas avoir souscrit (en particulier, peine de mort / mineurs) ! Mais ils occultent que les pays islamiques toujours aussi faux-culs ont fait des restrictions telles que leur signature n’a aucune valeur !
Panorama algérien:
https://www.monde-diplomatique.fr/2014/08/DAUM/50713