Macron veut transformer la France sous domination des petits-bourgeois exploiteurs LREM en un vulgaire pays à la traîne de l’UE ultra-libérale de Merkel. La dictature des petits-bourgeois exploiteurs LREM offre l’exemple le plus frappant de la plus complète et de la plus honteuse faillite politique de Macron juvénile.
La question de la révolte populaire des “Gilets Jaunes” s’inscrit aujourd’hui, pratiquement, à l’ordre du jour de l’État-LREM. Critiquer les aberrations des petits-bourgeois exploiteurs LREM et le reniement total de la démocratie par Macron est une nécessité urgente. Depuis la guerre de répression violente de Castaner contre les “Gilets Jaunes”, on a dû évoquer à maintes reprises la rupture totale de Macron avec la démocratie.
Macron, c’est la plus grande illusion de l’autorité. Il offre l’exemple éminemment typique et éclatant de la façon dont ses insultes verbales des “Gilets Jaunes” ont abouti à transformer le mouvement des “Gilets Jaunes” en colère particulièrement persistante contre la dictature des petits-bourgeois exploiteurs LREM. À l’aide de ses manipulations évidentes, Macron a vidé le Grand Débat National de son esprit démocratique.
On accepte tout dans le mouvement des “Gilets Jaunes”, excepté les moyens de la révolte populaire au cours des manifestations de rues dans les villes et de la lutte légitime des “Gilets Jaunes” contre les petits-bourgeois exploiteurs LREM. Le mouvement des “Gilets Jaunes” encourage la prise de conscience populaire pour faire l’éducation moderne des masses précisément dans le sens du mouvement des “Gilets Jaunes”.
Au mépris de tout principe et avec une concession ostentatoire pour la violence d’État-LREM, Macron concilie le mythe du Grand Débat National avec l’aval de la répression violente des “Gilets Jaunes” par les blindés avec les fusils dangereux du sinistre de l’intérieur dans sa guerre actuelle contre les “Gilets Jaunes”.
L’expression des “Gilets Jaunes” traduit clairement l’esprit d’opposition des Français à Macron-LREM. Elle alerte sur l’imminence d’une époque de révoltes et sur ses liens avec la guerre de Castaner contre les vrais Français et l’utilisation des armes dangereuses contre les manifestants inoffensifs et sans défense.
Macron s’emploie aujourd’hui à justifier la répression violente du sinistre de l’intérieur Castaner avec des armes dangereuses et à farder toutes les conséquences de la violence d’État-LREM avec des blessés de plus en plus menacés de handicaps et de séquelles invalidantes contre leur santé morale et physique.
Macron se joint à la bourgeoisie rapace des milliardaires pour toujours plus de taxes contre le peuple et pour railler le mouvement des “Gilets Jaunes”, ce qui explique toute idée de révolte populaire contre lui.
Le mouvement des “Gilets Jaunes” ne peut atteindre ses objectifs de révolte populaire sans soutenir une lutte implacable contre cette veulerie de la domination des petits-bourgeois rapaces et exploiteurs LREM.
LREM, c’est la basse complaisance de Macron envers l’opportunisme des socialistes battus, et à la ramasse, venus à la soupe pour les rentes LREM. C’est l’incroyable avilissement du socialisme LREM !
Le mouvement des “Gilets Jaunes” n’est pas dû au hasard. C’est le produit social des taxes et impôts scandaleux, arbitraires et abusifs, de Macron-LREM pour sa fidélité aux surprofits des milliardaires, alliée à la soumission au racket fiscal insupportable des plus pauvres et des retraités du fait du mensonge anti-CO2.
Macon le Grand Débat National : Le “matraquage fiscal” ? Quel “matraquage fiscal” ? LREM continue comme avant. Une épidémie de “ras-le-bol fiscal” frappe la France d’en bas qui se révolte avec le mouvement des “Gilets Jaunes” en colère. Mais Macron s’en fout. Il est totalement autiste et insensible sur ce ras-le-bol fiscal que ressentent la plupart de nos concitoyens. Comme si le mouvement des “Gilets Jaunes” en colère, soutenu par les Français, ne protestait pas unanimement contre l’augmentation totalement déraisonnable des prélèvements obligatoires. En réalité, cette folie du “matraquage fiscal” LREM crée un trouble social avéré !
Macron refuse de se convaincre que le “ras-le-bol fiscal” est largement repris par le mouvement des “Gilets Jaunes” en colère du fait de la stagnation et de la régression du pouvoir d’achat. Les mesures LREM de “matraquage fiscal” ont pour effet de porter la fiscalité des revenus à un niveau totalement déraisonnable.
Au lieu de s’attaquer à une grande réforme fiscale, Macron de Bercy s’est lancé dans la construction de cette “usine à gaz fiscale” qui ne convainc personne et qui créée ce “matraquage fiscal” absurde et injuste.
Toujours cette politique technocratique de Bercy contre les plus faibles et les petits qui jette les “Gilets Jaunes” en colère dans la rue. La faute politique de Macron est un élément de l’héritage délétère de Hollande père UBU et de sa Pompe à Phynances. Elle aura de funestes conséquences électorales aux européennes !
Nouailhac : La vérité sur le matraquage fiscal des automobilistes. En 2017, les automobilistes auront supporté quelque 67 milliards de taxes et amendes diverses, presque autant que l’impôt sur le revenu ! Le président de l’Union française des industries pétrolières (UFIP), Francis Duseux : “Le carburant est le produit le plus taxé de France.” Didier Bollecker, président de l’Automobile Club Association (ACA), la plus importante organisation privée de défense des automobilistes avec 800 000 adhérents, confirme que “les automobilistes français dépensent plus de taxes que de carburant”, précisément un total de 36 milliards d’euros en 2017.
À cette somme, il faut ajouter 9 milliards de péage, 7 milliards de TVA sur les véhicules neufs, 6 milliards de TVA sur l’entretien, 4 milliards de taxes sur l’assurance, 2 milliards sur les cartes grises, 2 milliards d’amendes forfaitaires (radars, etc.) et un milliard d’autres petites taxes, soit au total un déluge de 67 milliards d’euros de taxes pour les seuls automobilistes, un chiffre incroyable mais vrai, à comparer aux 73 milliards d’euros d’impôt sur le revenu de cette même année 2017. Pour mieux comprendre le ras-le-bol fiscal des automobilistes, il faut entrer dans le détail de ces 36 milliards d’euros de taxes sur les carburants.
L’essentiel provient de la TICPE, la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques, qui est elle-même taxée d’une TVA à 20 % ! La surtaxe de la taxe ! Le comble du vice fiscal ! Cette TICPE englobe la nouvelle (fausse) “taxe carbone” (de l’idéologie anti-CO2), dite contribution “climat-énergie”, créée par Hollande pour taxer le gaz carbonique, gaz à effet de serre à l’état naturel, avec la vapeur d’eau.
Fixée à 7 euros la tonne de CO2 en 2014, elle monte à 30,50 euros la tonne en 2017, puis 44,60 euros en 2018. Résultat : un “rendement” comme on dit à Bercy de 2,3 milliards d’euros en 2015, passé à 3,9 milliards en 2018, soit une augmentation de 70 % en trois ans ! Mais ce n’est que le début, car cette taxe vicieuse doit passer à 55 euros la tonne en 2019, 65 euros en 2020, 76 euros en 2021 et 86 euros en 2022 !
Soit une progression de près de 60 % sur les 4 prochaines années pour une transition écologique fumeuse ! Une hausse vertigineuse qui va faire monter très haut la TICPE, nouvelle dénomination de la TIPP sur les produits pétroliers, une taxe qui devait aller à l’entretien des routes. Or le réseau routier français, selon un rapport d’experts missionnés par le gouvernement, est dans un état critique de délabrement !
Pour justifier le mythe de la transition écologique, le gouvernement a imposé une nouvelle trajectoire de la composante carbone en accélérant les hausses des taxes jusqu’en 2022 et en poursuivant le rattrapage de la fiscalité du diesel sur celle de l’essence, laquelle continue d’augmenter de son côté. Tous ces nouveaux et nombreux milliards d’euros vont tomber dans le tonneau des Danaïdes du budget de l’État, quoi que puisse en dire les LREM à l’occasion de la révolte des “Gilets Jaunes”, le pire étant atteint par les perroquets qui répètent à l’envi (sur tous les médias collabos ignares et vulgaires) que le diesel tue. Macron et Philippe ont fortement témoigné de leur acharnement à poursuivre leur matraquage fiscal contre les automobilistes !
Patrick Hayes, professeur de chimie de l’Université de Montréal : “C’est un choix psychologique, car aujourd’hui les voitures diesel polluent moins que celles à essence. C’est pourquoi les flambées du prix de l’essence pourraient pousser les automobilistes à se tourner vers les récentes voitures au diesel. Celles-ci libéreraient moins de particules fines et seraient donc moins polluantes, selon ce que publiait récemment une équipe internationale dans la revue Scientific Reports. Menée dans six pays, l’étude a évalué les particules fines, matières particulaires carbonées, émises par les pots d’échappement des voitures recrutées pour les tests en laboratoire. Résultat : celles roulant au diesel s’équipent aujourd’hui de filtres à particules diesel qui libèrent jusqu’à 10 fois moins de particules fines que les voitures à essence. De plus, lorsque la température extérieure est basse, l’émission de ces particules serait infime : à moins 7 degrés Celsius, on en enregistrerait jusqu’à 60 fois moins qu’avec les véhicules à essence. Les véhicules à essence polluent plus au démarrage, car il faut que le moteur se réchauffe. Ceux au diesel sont plus efficaces par temps froid, ajoute le Pr Hayes.
Clément Fournier : Diesel ou essence : qu’est-ce qui pollue le plus ? Lequel émet le plus de CO2 ? Et les particules fines ? La question de la pollution des moteurs diesels et essence revient très souvent. Pendant de nombreuses années, on a expliqué que le moteur diesel polluait moins, alors qu’aujourd’hui, au contraire on accuse le moteur diesel d’être plus polluant. Difficile de s’y retrouver. Qui a raison ? La question de savoir lequel du véhicule essence ou diesel pollue le plus est une mauvaise question ou une question mal posée car elle est trop vague, faute d’avoir défini la pollution dont-on parle : s’agit-il de la pollution de l’air aux particules fines, aux oxydes d’azote, aux gaz à effet de serre ? Le problème est là, car ces deux moteurs ne polluent pas de la même façon. Le moteur diesel émet moins de CO2 et de gaz à effet de serre. Cela est dû au type de carburant et à l’efficience du moteur. Le carburant utilisé dans les moteurs diesel bénéficie d’un taux de compression plus élevé que l’essence. Le moteur diesel a un meilleur rendement que le moteur essence. Résultat, on utilise moins de carburant pour parcourir la même distance, ce qui économise du CO2. La plupart des estimations indiquent qu’un diesel émet 10% de CO2 en moins qu’une essence de même catégorie.
Adrien Sénécat sur Le Monde de gauche pro-Macron : “Les véhicules qui roulent au diesel polluent-ils moins, autant ou plus que les autres ? Le point sur un débat délicat, sur lequel on entend tout et son contraire. “Matraquage fiscal”, “hold-up fiscal”, scandale”, des dizaines de pétitions, vidéos ou messages largement partagés sur les réseaux sociaux s’insurgent depuis plusieurs semaines contre la hausse des prix à la pompe, depuis que le coût du diesel a rejoint celui de l’essence. Face aux critiques, le gouvernement justifie son choix d’augmenter les taxes sur les carburants et sur le diesel, par des considérations environnementales. (!!!) Mais la consommation moyenne de carburant d’un véhicule diesel (6,07 litres pour 100 km) est moindre que celle d’une voiture à essence (7,31 et plus). D’où un plus faible rejet de CO2, un gaz à effet de serre ! D’où la fausseté théorique des développements des écologauchistes révolutionnaires. La plupart des sceptiques remettent en cause cet argument des complotistes anti-CO2, arguant du fait que les dangers du diesel ont été politiquement “exagérés” par la propagande déglingo-réchauffiste des anarcho-nihilistes verts.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
Ils refont le coup du “chien enragé”. A moins que voici une trentaine d’années, ils nous aient sciemment menti… comme d’habitude.
Mais ce qu’ils ne vous diront pas, c’est combien ça injecte dans leurs poches d’aristocrates nouvelle formule .
Tout à fait d’accord, mais cela ne dispense pas les porte-paroles des GJ de se désolidariser des propos et slogans antisémites de plus en plus répandus dans les réseaux sociaux et manifs, notamment ce qu’il s’est passé ce samedi à Strasbourg. On ne voit jamais les autres manifestants exiger l’expulsion de ces gens ou au minimum montrer leur indignation ! Qui ne dit mot consent ? Tout cela me laisse un goût amer, les juifs seraient-ils encore les boucs-émissaires responsables de tous les maux et qu’on livrerait comme victimes expiatoires ?
Il y a encore des gens qui seraient prêts à rejouer l’aide apportée aux pourchassés voici quelques décennies, car ils savent où se trouve l’ENNEMI.
Ne désespérez pas, et si vous avez quelques malades mentaux dans leurs rangs, je suis persuadé qu’ils ne feraient pas une légion, les temps ont changé, il n’est que de voir le score d’un certain parti gôchiasse aux élections et la vente de leur torche-cul.
les gueux se sont rendus compte qu’il pouvaient être vus (en gilet jaune) et entendus mais tant que les trop intelligents et subtils bobos au pouvoir continueront à nous mépriser et ignorer, ça continuera!
Ou va cet argent ???
Ou va cet argent ???
Dans la poche des ultra riches et Islam (Le VRAIS ISLAM DUR AVEC LA FRANCE MAIS AMI -Attention si la France n’obéit pas il y a des carnages)
Comment nos gouvernants liquident l’un des fleurons de l’imprimerie et le savoir faire qui existe depuis 400 ans.
MORT PROVOQUEE DE L’IMPRIMERIE ARJOWIGGINS SECURITY QUI AURAIT PU IMPRIMER DES FRANCS EN CAS DE SORTIE DE L’EUROPE
du 4 au 8 février 2019 :
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE
Comment vous assurer qu’un pays a été définitivement mis en esclavage à votre profit ?
Lui supprimer sa monnaie bien sûr (chose faite), la gestion de ses banques (chose faite), lui voler sa Bourse (chose faite) et, au final, lui détruire toute imprimerie high-tech qui lui permettrait de fabriquer de nouveaux billets banque, si par malheur (du point de vue de tous les idolâtres européistes) ’il lui venait la mauvaise idée de reprendre son indépendance.
J’ai personnellement assisté à ce spectacle, noyé dans le silence ouaté de la neige, de la mise à mort de l’imprimerie Arjowiggins Security qui existe depuis l’an 1619 (autant dire l’une des plus anciennes usines de France).
Elle a été liquidée selon un plan parfaitement orchestré par les plus hautes autorités de l’État français aux ordres de Bruxelles (objet de l’article suivant). Les technocrates complices n’ont ainsi pas hésité à sacrifier 200 malheureux de plus qui iront pointer au chômage, et que l’on devra payer avec nos impôts parce que Bruxelles refuse l’idée que la France puisse disposer d’une quelconque indépendance financière.
CQFD: Il importait donc de tuer l’imprimerie française la plus sophistiquée en termes de planche à billets (au sens propre) afin qu’il n’en reste plus que des cendres. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © http://www.jovanovic.com 2008-2019
AVEC L’AIDE D’UN HEDGE FUNDS AMERICAIN L’ETAT FRANCAIS A SACRIFIE L’IMPRIMERIE ALORS QUE LE CARNET DE COMMANDES ETAIT PLEIN
du 4 au 8 février 2019 :
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE
L’imprimerie Arjowiggins de Crèvecœur près de Jouy sur Morin a été fondée au XVIIe siècle… Je ne savais pas qu’il existait encore en France des entreprises qui avaient réussi à traverser autant de siècles. Le site est classé Défense Nationale, dans le sens où elle bénéficie des mêmes critères de protection externes et internes qu’un site militaire comme par exemple la DGSE installée à côté de la piscine des Tourelles à Paris. Une seule entrée possible.
Autant de dire qu’à elle seule, cette imprimerie est un trésor national au même titre que la Tapisserie de Bayeux dont la première référence date de 1476 et qui a survécu à toutes les guerres et pillages. Et comme elle fabrique du papier hautement sécurisé anti-fraude, elle est plus qu’une simple imprimerie (du moins dans votre esprit et le mien): c’est un actif humain et industriel impératif pour chaque Etat qui se doit de disposer d’un tel savoir-faire et par dessus tout le protéger de toute incursion étrangère.
C’est là que tous les passeports sont fabriqués (le vôtre, le mien et celui de Benalla), les chèques de banque, les cartes-grises et les bobines de planche à billets pour les Banques Centrales d’autres Etats.
Ce site a même imprimé des euros avant que sa fabrication lui soit mystérieusement retirée… preuve s’il en fallait une que la volonté de l’affaiblir économiquement était déjà actée.
Elle appartient (appartenait puisqu’elle a été mise en liquidation judicaire le 16 janvier 2019) au groupe Sequana, nouveau nom (en 2005) de la banque Worms, principale banque qui a joyeusement collaboré avec le régime de Vichy entre 1940 et 1944. Mais ce n’est pas Sequana-Worms qui a liquidé l’imprimerie mais bien un hedge funds américain. Via ma consœur Faustine Loison de Papetier.news: “A peine 10 mois après le rachat (de l’imprimerie) par le groupe germano-suisse Blue Motion Technologies, le site d’Arjowiggins Security … fermera ses portes le 30 janvier 2019… Depuis plusieurs mois, les salariés s’inquiétaient de la situation de l’entreprise fiduciaire et s’interrogeaient sur le fait que Blue Motion (appartient au hedge funds américain Partner Capital Group, lire ici et aussi ici ) n’avait pas encore investi dans l’outil de fabrication, contrairement à ce que le groupe aurait indiqué lors du rachat” lire ici..
Et pour vous montrer à quel point l’Etat français a les mains rouges de sang social, on doit noter qu’en 2012 la Banque Publique d’Investissement (une sorte de banque d’Etat d’aide aux industries comme OSEO pour les Pme-Pmi) est devenu l’actionnaire majoritaire du groupe Sequana (ex-Worms) propriétaire de l’imprimerie et de ses brevets high-tech…
Bref, avec des centaines de clients dans le monde pour le papier monnaie, plus les passeports, les cartes grises, les chèques, etc., etc., cette imprimerie avait un carnet de commandes qui se renouvelaient automatiquement et naturellement, même si les paiements par cartes de crédit ont amputé son chiffre dans la fabrication des papier-monnaie. Mais cela n’explique pas sa liquidation aussi soudaine que violente.
Les salariés du site m’ont rapporté les propos de la juge du tribunal de commerce de Nanterre: “Elle nous a expliqué qu’elle n’avait jamais vu une entreprise être fermée aussi vite alors qu’on avait un carnet de commandes rempli jusqu’en 2020. La direction n’a même pas voulu d’un plan social, ce qui est d’autant plus suspect que 30% des salariés étaient prêts à partir à la retraite en 2019.
Vos lecteurs doivent savoir qu’une autre imprimerie, Smurfit, qui ne fabriquait que des cartons kraft pour les emballages comme les cartons de pizza a été rachetée par le fonds de retraite américain Kappa. Eh bien, elle a fermé. Notez la différence: cela n’a pas pris 15 jours, mais bien 18 mois !” © http://www.jovanovic.com 2008-2019