On ne badinait guère à l’époque avec la moralité et la polygamie suscitait chez les Américains un profond sentiment de dégoût.
Evidemment, les premiers à se sentir visés par cette politique migratoire terriblement discriminatoire à leurs yeux, furent les pieux fidèles d’Allah, persécutés encore et toujours à cause de leurs croyances angéliques, de leurs traditions si douces et délicates, de leur si belle religion, si accommodante, si généreuse, si complaisante envers les hommes, à qui elle accorde tous les droits au détriment des droits de la femme, créature inférieure, diamant de pacotille, juste bonne à servir son seigneur et maître en silence.
Il y a un peu plus d’un siècle, suite au plaidoyer d’un Républicain obstiné et enthousiaste à la Maison Blanche, un projet de loi sur l’immigration allait naître et susciter la furie des mahométans.
Ce projet de loi devait en premier lieu interdire l’entrée sur le sol américain aux anarchistes, aux criminels et autres catégories de personnes jugées inaptes à devenir de bons futurs citoyens américains.
En effet, l’une des raisons entre autres qui justifia ce projet de loi fut l’assassinat le 6 septembre 1901 à Buffalo du président McKinley par un ouvrier anarchiste d’origine polonaise, Leon Czsolgosz, âgé de 28 ans, qui voyait dans le président un «ennemi du peuple». Grièvement blessé, le président rendit l’âme après une semaine d’agonie. L’assassin fut électrocuté le 29 octobre de la même année.
Le vice-président Théodore Roosevelt, alors âgé de 42 ans, lui succéda et poursuivra sa «diplomatie du gros bâton» («Speak softly and carry a big stick» ; en français : «Parlez avec douceur mais portez un gros bâton»).
Les anarchistes et autres criminels n’étaient pas les seuls concernés par ce projet de loi anti-immigration, les polygames ou toute personne qui admettait la pratique de la polygamie étaient également dans le collimateur. Ce qui offensa non seulement l’Empire ottoman, ce califat pourri de l’islam, sur le point d’être vaincu par l’Occident, mais également l’ensemble du monde musulman.
Le débat démarra plus tôt lors du discours du Président Théodore Roosevelt sur l’Etat de l’Union en 1906, quand il s’adressa au Congrès et déclara que ce dernier devait avoir le pouvoir de «traiter de manière efficace et radicale le problème de la polygamie.»
La Loi sur l’immigration de 1907 (The Immigration Act of 1907) signée par le Président interdit donc aux polygames et à toutes les personnes qui croyaient en la pratique de la polygamie de poser leurs pieds sur le territoire américain.
C’était la dernière partie de la loi qui importait le plus, car elle précisait ce qui avait été jusque là simplement implicite. La loi sur l’immigration de 1891 avait simplement interdit les polygames. La nouvelle loi interdisait à quiconque croyait en la polygamie d’émigrer aux USA et cela visait l’ensemble du monde musulman.
Les pieux adeptes de l’islam se sentirent douloureusement ciblés.
Les représentants de l’Empire ottoman firent valoir que si leurs migrants étaient favorables à la polygamie, dans la réalité, ils étaient monogames. Cet argument fait écho à l’affirmation actuelle selon laquelle les migrants musulmans peuvent croire au djihad contre les non musulmans, voire l’approuver intimement, sans toutefois s’engager réellement dans le terrorisme. Ce type d’argument s’avéra beaucoup moins convaincant pour les Américains de l’époque qu’il ne n’est de nos jours, où l’islam semble avoir ensorcelé l’establishment.
Ces faits étonnants révèlent une partie seulement de la longue histoire controversée sur l’immigration musulmane en Amérique et les luttes engendrées.
L’immigration musulmane était encore faible à l’époque et l’interdiction de la polygamie n’avait pas été décidée pour cibler délibérément les musulmans, mais la pratique musulmane d’un acte jugé répugnant par la majorité des Américains s’opposait aux valeurs de la nation et les cris d’indignation et de victimisation des musulmans n’émurent personne. De nos jours, il leur suffit de verser une petite larme de crocodile, pour que leurs revendications les plus rétrogrades soient entendues et acceptées. Aujourd’hui, les «élites» politiques et médiatiques sont tellement ramollies par leurs bons sentiments à l’égard des musulmans, victimes innocentes de l’intolérance et de l’égoïsme de l’Occident judéo-chrétien, qu’elles fondent comme neige au soleil à la moindre plainte de leurs «protégés», passés maître dans l’art de la victimisation, une stratégie de conquête qui fait ses preuves.
«The Immigration Act» de 1907 avait été conçu dans le but de sélectionner les migrants susceptibles de devenir de bons Américains. Et ce n’était pas le cas des musulmans. Ils étaient clairvoyants à l’époque.
Dans son discours sur l’Etat de l’Union de 1905, le Président Teddy Roosevelt avait souligné la nécessité de «maintenir à l’écart tous les immigrants qui ne deviendraient pas de bons citoyens américains.»
Contrairement aux présidents modernes, Roosevelt ne considérait pas l’islam comme une force du Bien. Au lieu de cela, il avait décrit les musulmans comme des «ennemis de la civilisation». Un islamo-lucide qui manque cruellement en ce siècle d’aveuglement islamophile généralisé.
«La civilisation de l’Europe, de l’Amérique et de l’Australie n’existe aujourd’hui que grâce aux victoires de l’homme civilisé sur les ennemis de la civilisation» écrivit-il louant ainsi Charles Martel et Jean Sobieski, qui chassèrent les conquérants musulmans de l’Europe, dont les déprédations mirent en danger le christianisme et le firent quasiment disparaître sur deux continents.»
Si à l’heure actuelle, le seul fait de mentionner «l’islam radical» suscite les protestations hystériques des médias, jadis Théodore Roosevelt parlait et écrivait librement au sujet de la brutalité meurtrière musulmane. Avec une lucidité étonnante, sa description des différents mouvements de réformes, qui secouèrent l’Egypte à son époque, aurait pu tout aussi bien être appliquée au Printemps arabe, qui ébranla la terre des Pharaons en 2011.
Il dépeignit avec réalisme la masse de musulmans fanatiques déchaînés, pour qui les mouvements de réformes ne représentaient qu’une occasion de chasser les étrangers et d’égorger les chrétiens du pays.
Son discours au Caire contraste vivement avec celui d’Obama. Il n’encensa pas l’Islam et les musulmans mais dénonça le meurtre d’un leader politique chrétien copte et mit en garde contre le fanatisme violent des musulmans. Je parie que Teddy Roosevelt ne devait pas faire partie des présidents favoris du paladin de l’Islam, un certain ex-Président du nom d’Hussein Obama.
Une foule de mahométans en colère protestèrent devant son hôtel, mais Teddy ne s’en soucia guerre.
La version définitive de la loi anti-immigration musulmane fut appliquée un an après par le successeur de Teddy Roosevelt, le président Taft.
Au début de son premier mandat, l’Empire ottoman protesta vertement contre le gouvernement américain, car ses musulmans avaient été bannis du pays. Selon un rapport de l’époque, l’entrée aux USA fut refusée à 200 musulmans.
Malgré les protestations, les musulmans continuèrent à être expulsés pour polygamie, même sous le mandat du Président Woodrow Wilson. Et la polygamie demeure de nos jours un motif d’expulsion, bien que la loi ne soit actuellement que rarement appliquée.
L’inquiétude américaine relative au lien entre l’immigration musulmane et la polygamie était antérieure aux présidents Roosevelt, Taft et Wilson. Elle était déjà palpable au siècle précédent.
Dans une édition de 1897, le Los Angeles Herald s’interrogeait sur l’existence de la polygamie musulmane à Los Angeles.
«Certainement, il ne manque pas de musulmans dont la religion donne à l’Institution une raison pour les sanctionner» écrivait-il.
Il fit aussi remarquer que «les responsables de l’immigration» se questionnaient sérieusement sur la légalité de la croyance en la polygamie et cita les cas de plusieurs musulmans concernés par ce problème.
Un article du New York Time de 1897 rapporta que les premiers polygames expulsés en vertu des lois sur l’immigration étaient 6 musulmans arrivés aux USA sur le SS California.
Pour leur malheur, ces pauvres mahométans ne rencontrèrent pas le Président Obama, mais Herman Stump, Président de la Commission d’Enquête sur l’immigration. Stump, un personnage excentrique et irascible, avait rencontré l’assassin du président Lincoln, John Wilkes Board et avait été recherché pendant la Guerre de Sécession comme un sympathisant des confédérés. Au crépuscule de son mandat, Stump avait peu de patience et de tolérance ni pour l’islam ni pour la polygamie.
The Times relate un échange laconique entre Stump et les migrants musulmans.
” Vous croyez au coran ?”, demanda Stump ?
«Merci à Allah, oui !» répondirent les hommes en chœur
«Le coran enseigne la polygamie», continua Stump avec l’aide d’un interprète.
«Qu’Allah soit béni, oui ! «
«Alors vous croyez en la polygamie» demanda le capitaine George Ellis
«Oui, oui ! Qu’Allah soit béni, oui» répondirent à nouveau en chœur les Arabes, tout en se tournant vers le soleil couchant pour le saluer.
«Cela règle la question», dit Stump. Vous ne serez pas de bons Américains.»
Le bon sens de Stump fait cruellement défaut de nos jours aux USA (mais aussi en Europe). Aucune de ces lois ne régla définitivement le problème. La montée en puissance de l’infiltration islamiste a été suivie par une taqyia plus subtile. Présumer que les musulmans pouvaient croire en l’islam, mais agir contrairement à ses préceptes était tout simplement une tromperie à la fois malhonnête et condescendante. Une imposture délibérée pour berner les Américains. Les musulmans prétendaient qu’ils ne prenaient pas leur religion au sérieux et les Américains tombaient dans le piège, car les croyances en jeu leur paraissaient si absurdes et barbares, qu’ils pensaient inconcevable qu’une personne censée puisse y croire. Funeste naïveté !
Théodore Roosevelt lui savait, mais il ne gouvernait plus l’Amérique.
Les lois d’alors ne visaient pas directement les musulmans, mais ces derniers constituaient le groupe d’étrangers le plus susceptible d’être affecté par ces lois. Il y a cent ans déjà, l’islam se révélait comme étant fondamentalement en conflit avec les valeurs américaines. Alors, hier comme aujourd’hui, il y avait 2 options : la première consistait à prétendre qu’il n’y avait pas de conflit et continuer la politique de l’autruche jusqu’à la catastrophe, la seconde était d’éviter toute source de conflit en interdisant la cause par une loi. Islam = conflit ? Interdisons l’islam ! Simple, mais efficace. Le christianisme est soit interdit, soit toléré avec haine et dégoût dans les pays musulmans, alors rendons leur la réciproque.
Il y a plus d’un siècle, la nation américaine avait des dirigeants qui n’étaient pas disposés à s’attarder dans le crépuscule des illusions, mais qui s’attaquaient aux problèmes. A leurs yeux, la civilisation était fragile et vulnérable.
Ne pas résoudre un conflit aurait conduit à une victoire pour «les ennemis de la civilisation» et de cela ils en étaient bien conscients.
De nos jours, les dirigeants choisissent de fermer les yeux et multiplient les victoires des ennemis de la civilisation. (A l’exception du Président actuel, Donald Trump, qui semble être un digne successeur de Théodore Roosevelt)
Les débats sur la polygamie peuvent sembler désuets de nos jours, pourtant le sujet était révélateur. La polygamie islamique était un exemple de l’esclavage si omniprésent dans l’islam. L’asservissement des peuples est au cœur de l’islam. Comme nous l’avons constaté avec l’EI, la violence islamique est motivée par la nécessité absolue intrinsèque à l’islam d’asservir et d’opprimer les non-musulmans. La polygamie, les crimes d’honneur et les mutilations génitales féminines, sont une expression de cette impulsion fondamentale d’asservissement au sein du contexte social privé de la famille, mais comme Teddy Roosevelt et d’autres l’avaient bien compris, cette impulsion ne resterait pas enfermée à la maison. Si nous comprenons pas cela, nous ne pouvons comprendre pourquoi ces débats n’étaient pas du tout pittoresques ou surannés.
Les dirigeants américains du siècle passé ne pouvaient pas se réconcilier avec la polygamie islamique. Nos leaders modernes n’ont eu aucun état d’âme à se réconcilier avec les meurtres de masse de citoyens américains. Quand vous fermez les yeux sur un mal, vous finissez par tous les accepter. C’est ainsi depuis toujours.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : «When Teddy Roosevelt banned muslims form America» (David Greenfield) FrontPageMag) (traduit et adapté par Rosaly)
Un lucide et un visionnaire ! Dommage que la constitution n’est pas formellement interdit l’islam en Amérique le pays n’aurait jamais eu ces 8 ans de nuisance (et non présidence) obama
Bonjour Rosaly!
Je croyais que l’interdiction de la polygamie aux USA visait les Mormons ?
Bonjour Magali
La loi visait tous les polygames, les indigènes et les “importés”. Comme la polygamie était autorisée par le coran, la loi s’appliquait aussi aux musulmans , qui étaient généralement polygames.
Joseph Smith, le fondateur de l’église mormone eut une bien horrible fin: il fut lynché par la foule alors qu’il était en prison, ainsi que son frère.
Joseph Smith a affirmé avoir vu Dieu et Jésus-Christ lui confier la tâche de restaurer l’église des origines, avec l’aide du “Livre de Mormon”. Cela me rappelle l’histoire de Mahomet , à qui l’Archange Gabriel apparut pour lui transmettre la révélation, la parole d’Allah. Et depuis, c’est l’horreur qui s’est abattue sur l’Humanité. .
J’ignorais cela. Merci de ces précisions!
Bonjout Rosaly,
Merci de nous instruire en nous informant sans langue de bois et circonvolution intellectuelle.
Aujourd’hui pourtant , à défaut de pouvoir dénoncer à l’Occident deviant les déviances civilisationnelles de l’islam, il me semble qu’après Johnstown, l’Ordre du Temple Solaire, Aum Shinrikyo… l’ISLAM et les désastres qu’ils ont causé, nos lois anti-sectes devraient servir à nous prémunir contre leurs tentatives incessantes d’invasions “doucereuses” puisque leur satané coran regorge de dispositions sectaires CRIMINELLES comme “la mort pour apostasie”…
Je rêve où ils n’ont même plus besoin de se lamenter pour obtenir le pire?
Le mal se nourrit du mal, et il gonfle à vue d’oeil chaque jour : le Pape en Arabie est pour moi la pire catastrophe de notre temps dont le WTC n’aura été qu’un détonnateur : voilà projeté à la face du monde entier un islam civilisé et en habit de lumière. Les conséquences de cela vont nous achever la chrétienté… Terrifiant d’imbécilité!
Et il ne sauvera même pas son Vatican.
C’aurait été tellement plus simple et PLUS HUMAIN de nous en protéger.
J’ose encore croire, comme un forcené, que les plans de Dieu son impénétrables, mais ceux d’allah son limpide sans discontinuer depuis… 1400 ans. Les musulmans ont toujours été le principale parasite de l’homme : quand il se fond discrètement dans la masse comme un agneau, il ne perd JAMAIS de vue son objectif de conquête promise en cachant ses dents de loup démoniaque.
Merci pour la limpidité de vos commentaires, que je partage sans ambages.
Merci à vous Alain pour votre appréciation.
Vous avez raison: les plans d’Allah sont limpides et clairs comme l’eau cristalline d’un torrent. Cela n’empêche pas les Occidentaux de continuer à croire que l’islam est une religion inoffensive, débordante d’amour, de tolérance et de tendresse et de renier le Christ pour Mahomet. Ils rejettent l’Agneau pour le , serviteur de Sheitan.
Même les supposés serviteurs du Christ, toutes confessions confondues, sont charmés par la duperie de la “beauté intérieure” de l’islam et la grande fausse piété de ses adeptes. Satan est à l’oeuvre et se sert de la stupidité des Hommes qui se laissent aveugler par le mortel miroir aux alouettes qu’est l’islam.
Des aveugles qui conduisent d’autres aveugles vers le précipice.
Mais le Mal ne saurait triompher, tôt ou tard le Bien l’emportera et la Lumière triomphera des ténèbres.
Bonne journée à vous malgré le froid glacial de Montréal.
Rosaly: Théodore Roosevelt est le premier Président RINO et relativiste des USA. Faut-il en faire une démonstration? Renseignez-vous. Si le Président Trump est un digne successeur de Théodore Roosevelt, alors on est mal, très mal. Heureusement, ce n’est pas le cas. Mais bon, ici vous vous êtes trompée. Ce que ce zozo raconte sur les immigrants, tout le monde à l’époque le pensait et le pense encore. Où est le problème?
Patrick
Je vous retourne la question: où est le problème?
Si vous aviez lu plus attentivement le texte, vous auriez compris pourquoi j’ai écrit que Donald Trump est le digne successeur de Roosevelt.
Qu’il n’ait été qu’un républicain que de nom, cela n’a aucune importance, car d’une part, ce n’est pas le sujet de cet article et d’autre part, cela ne diminue en rien sa lucidité à l’égard du danger de l’islam et de l’immigration musulmane. Du moins, lui, il a pris des mesures pour assurer la sécurité de ses concitoyens.
J’ai trouvé ce petit rappel historique de Danien Greenfield très instructif et j’ai décidé de le traduire pour le partager avec les lectrices et les lecteurs de Dreuz, qui pourraient être intéressés.
A l’époque, une majorité d’Américains lucides devait en effet rejoindre Roosevelt sur sa vision de l’islam et de ses adeptes. Ce n’est plus le cas de nos jours, à commencer par les Clinton, Obama, Kerry, Brennan et leurs amis démocrates, tous en faveur de l’immigration musulmane et vouant une admiration angélique à l’islam, au point que les USA s’islamisent aussi lentement, mais sûrement.
Hillary Clinton avait officiellement approuvé le pervers Processus d’Istanbul , ce plan liberticide de l’OCI contre la diffamation des religions (surtout une) et l’islamophobie, qui vise à instaurer le délit de blasphème en Occident.
Après la première réunion d’Istanbul du 12 au 14 décembre 2011, l’OCI a rencontré à Washington l’administration Obama afin de convaincre le président américain Barack Obama à adhérer à ce « Processus d’Istanbul » et à mettre en oeuvre la Résolution 16/18 adoptée le 24 mars 2011 à Genève. A la suite de l’administration Obama, l’Union européenne avait aussi envisagé d’adopter cette infâme résolution.
“L’avenir n’appartient pas à ceux qui diffament le prophète de l’islam” (Obama)
Avec Théodore Roosevelt, ce processus d’Istanbul aurait été rejeté sans ménagement et les Frères musulmans n’auraient jamais été admis sur le sol américain.
a ce sujet il était en avance sur son temp mais le coté sombre de ce Président … il était anti-femme a l’extrême
Nul n’est parfait Michel et puis c’était la tendance de l’époque dans toutes les Sociétés occidentales.
Tout les germes de la destruction sociale sont dans l’islam . L’islam n’est pas une religion c’est une théorie politique de conquète .
L’islam est un véritable danger pour toutes les démocraties …………..
L’islam asservie la femme et maintient “l’homme” dans la terreur …………….
L’islam est le pire des poisons sur terre ………..
Tout les pires maux sociétaux, c’est a dire les actes terroristes sont commis au seul nom de l’islam .
Au Japon pas d’islam ; Pas de problème .
Comme le disait Staline: « niet tcheloveki, niet prablemi » = pas de mecs, pas de problèmes…Et il joignait le geste à la parole, ce diable d’homme au sens propre du terme: purges systémiques, simulacres de procès, exécutions sommaires, famines organisées, déportations massives au Goulag…Cela ne donne-t-il pas des idées? Sur ce, je lève mon verre de vodka matinal à votre santé, le bois d’un trait, et le jette derrière moi à la gueule de l’Islam: Na Zdarovié !
Bonjour.
Je ne connaissais pas cette loi américaine, alors quid des Mormons (polygames) ?
Pour ceux que ça intéresse, il existe ici un répertoire substantiel de livres sur la véritable nature de l’Islam (c’est-à-dire une monstrueuse idéologie totalitaire camouflée en religion): mideastbooks.com/frenchbooks.html. Si vous connaissez des bobos qui croient encore que c’est une religion comme les autres, envoyez-les là.