Lorsqu’un musulman d’origine russe commet un attentat, les médias, obsédés par la défense de l’islam, se contentent de dire qu’il est “russe”. La Russie a ses problèmes de jihadistes et de musulmans – des millions de musulmans – parce que ceux-ci ne boivent pas.
Mais ils font aussi le jihad, et ce sont les femmes qui partent combattre, les hommes devant rester pour travailler – faute d’aides sociales.
Source : Lapresse
Moscou a rapatrié dimanche 27 enfants russes dont les mères sont détenues en Irak pour leur appartenance présumée au groupe État islamique (EI), selon un porte-parole du ministère, cité par l’agence de presse russe TASS.
Partis de Bagdad, les enfants sont arrivés en soirée à l’aéroport Ramenskoïe, situé non loin de Moscou, à bord d’un avion Iliouchine-76 du ministère russe des Situations d’urgence, a indiqué un porte-parole du ministère, cité par TASS.
Il s’agit de 27 enfants de nationalité russe, « âgés de 4 à 13 ans et originaires de 10 différentes régions russes », a indiqué à TASS le service de presse de la déléguée russe pour les droits de l’Enfant, Anna Kouznetsova.
Ce rapatriement d’enfants russes avait été annoncé plus tôt en journée à l’AFP par un responsable du ministère russe des Affaires étrangères.
Les pères de ces enfants, garçons et filles, auraient été tués dans les trois années de combats entre le groupe djihadiste et les troupes irakiennes qui ont chassé fin 2017 l’EI de l’ensemble des centres urbains du pays, a précisé ce responsable.
Début janvier, le Kremlin avait annoncé que 115 enfants russes de moins de 10 ans, et huit âgés de 11 à 17 ans se trouvaient encore en Irak. Fin décembre, trente enfants russes avaient déjà été rapatriés à Moscou.
La loi irakienne permet aux détenues de garder leurs enfants avec elles jusqu’à l’âge de trois ans mais, au-delà, les enfants doivent être confiés à des proches.
Une centaine d’enfants et de femmes – la plupart originaires des républiques russes du Caucase – sont jusqu’à présent revenus en Russie.
Près de 4500 citoyens russes étaient partis à l’étranger pour combattre « du côté des terroristes », avaient indiqué il y a un an les services de sécurité russes (FSB).
Plus de 300 personnes, dont une centaine d’étrangères, ont été condamnées à mort en Irak, et autant d’autres à la prison à perpétuité, pour appartenance à l’EI.
La plupart des condamnées sont de nationalité turque ou originaires des anciennes républiques de l’Union soviétique.
Pas si bêtes les mecs … ils envoient leur bonnes femmes au casse-pipe et elles ne sont pas les moins vindicatives. Quant aux enfants ils sont biberonnés au djihad, il n’est que de voir certaines photos où l’on voit des gamins d’à peine dix ans, pistolet au poing, s’apprêtant à exécuter un otage.
Cependant la Russie n’est pas la France, faisons lui confiance, elle est maître es sciences en camp de rééducation au fin fond de la Sibérie.
Tout à fait. En Russie, ils ne seront pas maternés comme en France. Du moins, je l espère.
que vont ils en faire?
en france on a une petite idée, les cousins se chargeront de les éduquer, et on a une petite idée la dessus!
Le retour de tous ces dijhadistes est une bombe à retardement.
Tout à fait. En Russie, ils ne seront pas maternés comme en France. Du moins, je l espère.
Ces « enfants » sont des bombes ambulantes.
Que cherche Poutine ?
N’oublions pas qu’il a signé le pacte de Marrakech.
Qu’il s’occupe donc des familles russes en Russie.
Ici, pays terroriste s’il en est,
– 72% d’enfants
Quel âge ?
– des femmes
Et l’egalite ?
On se met à genrer ?
– ils sont français avant d’etre djihadistes
Vrai ?
Non. Ils sont plus « français « que le peuple français, que macron gaze à l’envi, éborgne et castagne puis emprisonne.
Macron rapatrie la main d’oeuvre du régime qui soulèvera les banlieues à son signal contre le peuple français s’il est trop remuant
En France ça va commencer par nous coûter un bras puis, éventuellement, des vies.
Je suis étonnée que Poutine ait signé le Pacte de Marrakech (cf. Janvier ci-dessus) mais tant qu’il sera au pouvoir, il n’admettra certainement pas que les muzz fassent comme chez eux.