Publié par Rosaly le 11 février 2019

Lors d’une conférence organisée au Caire en février 2017, Ahmed El-Tayeb, le grand imam d’Al-Azhar prit la parole devant les représentants d’une cinquantaine de pays.

Au lieu de reconnaître honnêtement qu’il existe un sérieux problème de violence dans l’islam, comme le fit le Président al-Sissi en 2014 quand il appela al-Azhar et le grand imam El-Tayeb à « révolutionner l’islam devenu une source d’anxiété pour le monde entier », le grand imam passa son temps à dénoncer « l’islamophobie » et à déplorer la douleur ressentie de voir tellement de gens à travers le monde associer l’islam à la violence et au terrorisme.

« Je m’adresse aux oulémas et aux imams. Nous devons examiner la situation actuelle en adoptant une perspective vaste et éclairée… Il est inconcevable que la pensée que nous tenons pour sacrée puisse faire de l’entière communauté islamique une source d’anxiété, de danger, de meurtres et de destructions partout dans le monde. Il est inconcevable que cette idéologie… – je ne parle pas de religion mais d’idéologie, le corpus d’idées et de textes que nous avons sacralisés au cours des siècles – soit rendue au point où il est devenu très difficile de la remettre en question. Nous avons atteint un point où cette idéologie est considérée comme hostile par le monde entier. (…) Vous devez vous opposer à l’idéologie actuelle avec fermeté. Permettez-moi de le répéter : nous devons révolutionner notre religion. »

S’adressant au recteur d’Al-Azhar, le cheikh Ahmed El-Tayeb, al-Sissi s’était fait plus précis : « Honorable imam, vous portez la responsabilité devant Allah. Le monde entier attend votre parole, car la nation islamique se déchire, se désintègre et s’en va à sa perte, et cela, de nos propres mains… »

Sans hésitation, El-Tayeb affirma que depuis son origine, l’islam a toujours traité les non musulmans – généralement appelés « infidèles », les kouffars des arabes, à savoir les formes de l’humanité les plus méprisées, dont le sang peut être verser en toute impunité dans la plupart des cas – d’égal à égal.

La réalité quotidienne des non musulmans en terre d’islam prouve le contraire et Mgr Nona, ex-archevêque de Mossoul (Irak) en témoigne :

« La base du terrorisme est la religion islamique elle-même. Dans le coran il y a des versets, qui appellent à tuer les Chrétiens et tous les autres infidèles. Le terme « infidèle » dans l’islam est une terme très fort : l’infidèle dans l’islam n’a aucune dignité, aucune humanité, aucun droit. Il est permis de faire subir à un infidèle n’importe quoi : le tuer, en faire en esclave, et tout ce que l’infidèle possède, selon l’islam, appartient de droit au musulman. Ce n’est pas une idéologie nouvelle, il s’agit d’une idéologie basée sur le coran lui-même. Ces personnes représentent la vraie vision de l’islam. »

Mais les affirmations grotesques d’El-Tayeb ne s’arrêtèrent pas là. Selon lui, l’islam ne diffère en rien du christianisme ou du judaïsme, en ce qui concerne sa capacité de radicaliser ses fidèles. Au contraire, seuls les « double standards » juifs et chrétien font paraître l’islam plus violent et plus intolérant.

« Il existe dans le monde un « double standard » évident dans la manière de juger l’islam d’une part et le Christianisme et le Judaïsme d’autre part, malgré le fait que tous sont coupables de violence religieuse et de terrorisme. Pour l’Occident, la violence chrétienne et juive est une violence occasionnelle et elle ne porte jamais atteinte à ces deux religions. Seul leur troisième frère – l’islam – se retrouve constamment sur le banc des accusés, où son image continuer à se dégrader.

Ces affirmations loufoques et sans aucun fondement vont à l’encontre de la réalité. Il ne se passe pas un seul jour sans qu’un ou plusieurs musulmans (ils sont tellement courageux qu’ils préfèrent agir en meute) n’attaquent et/ou ne tuent des non musulmans quelque part sur la planète et toujours au nom d’Allahou akbar, de l’islam, du prophète et du djihad sacré.

Le cheikh Nasr, érudit en droit islamique et diplômé d’Al Azhar, avait déclaré :

« Al-Azhar ne peut pas condamner l’État islamique comme non islamique. L’État islamique est un sous-produit des programmes d’enseignement d’Al Azhar. Alors, Al Azhar peut-il se dénoncer comme non islamique? Al Azhar dit qu’il doit y avoir un califat et que c’est une obligation pour le monde musulman de l’établir. Al Azhar enseigne la loi d’apostasie et approuve le meurtre de l’apostat. Al Azhar est hostile envers les minorités religieuses et instruit les fidèles à ne pas laisser construire des églises, etc. Al Azhar défend l’institution de la jizya [exiger le tribut des minorités religieuses]. Al Azhar enseigne la lapidation. Alors, Al Azhar peut-il se dénoncer comme non islamique ? »

Certes non ! Il respecte scrupuleusement l’enseignement islamique à la lettre. Au moins, cet érudit en droit islamique ne pratique pas la langue de bois, contrairement au grand imam El-Tayeb si respecté par les leaders chrétiens occidentaux et les médias, complices de sa duplicité.

Dans son discours, El-Tayeb avait parlé de « violence et de terrorisme chrétiens et juifs » décrivant ainsi le christianisme et le judaïsme comme des religions tout aussi sujettes à inciter leurs fidèles à terroriser, soumettre, décapiter, crucifier, mutiler, asservir et pourquoi pas à exiger la jizya des infidèles musulmans asservis par les Chrétiens et les Juifs. Il projette toute l’horreur de l’islam sur le Christianisme et le Judaïsme.

[Le mot jizya apparaît dans coran 9:29: “Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour Dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre [juifs et chrétiens], jusqu’à ce qu’ils versent la capitation [jizya] de leurs propres mains, après s’être humiliés.” Dans le hadith, le messager d’Allah, Muhammad, demande régulièrement que les musulmans exigent une jizya des non-musulmans: “S’ils refusent d’accepter l’islam”, a déclaré le prophète, “exigez d’eux la jizya. S’ils acceptent de payer, prenez leur argent et retirez-vous. S’ils refusent de payer, demander l’aide d’Allah et combattez-les.”]

Au cours de son discours, dans une tentative maladroite de donner une certaine substance à ses affirmations, par ailleurs bien abstraites, de l’existence d’une analogie entre la violence de l’islam et la violence chrétienne et juive, El-Tayeb qualifia de « terroristes chrétiens » Michael Bray (arrêté en 1985 et emprisonné pendant quatre ans pour des attentats à la bombe contre des cliniques d’avortement),Timothy McVeigh (attentat à la bombe contre l’immeuble fédéral d’Oklahoma City en 1995), et David Koresh (chef de secte, tué lors d’une fusillade à Waco, au Texas, en 1993).

Soulever les cas de ces trois hommes pour établir une équivalence entre le terrorisme islamique et le supposé terrorisme juif et chrétien est pour le moins discutable, voire minable.

Mc Veigh se disait agnostique, Koresh était le leader d’une secte dénoncée pratiquement par tous les Chrétiens américains à l’exception de ses fidèles proches. Seul Michael Bray, militant anti-avortement, était un pasteur d’un mouvement luthérien fondamentaliste

Toutefois, aucun de ces trois Américains ne fit référence aux Evangiles ni cita Jésus pour justifier sa violence, contrairement aux terroristes musulmans qui régulièrement invoquent des versets coraniques et citent le verbatim de Mahomet.

El-Tayeb, qui semble avoir passé au crible tous les incidents de type terroriste pouvant être associés au christianisme, ne put en présenter que trois. Dans sa démarche désespérée de prouver que le christianisme et le judaïsme engendrent autant de violence et de terrorisme que l’islam, il s’est piégé lui-même en se ridiculisant au plus haut point.

[Etrange qu’il n’ait pas cité Anders Breivik, auteur de l’attentat commis à Oslo puis du massacre sur l’île d’Utoeya, pourtant souvent repris avec délectation par les musulmans et les islamophiles pour prouver la grande violence du Christianisme. Il est vrai que les musulmans n’étaient pas particulièrement visés lors de ces tueries. Breivik se qualifiait lui-même de « chrétien modéré », puis d’agnostique et de Franç-maçon.]

Ces trois exemples, qui s’étalent sur plus de trente ans (de 1985 à nos jours) seraient censés équivaloir les dizaines de milliers d’actes de violence et de terrorisme commis par des musulmans extrêmement pieux sur la même période.

Depuis juillet 2011, Raymond Ibrahim compile des rapports mensuels sur la persécution musulmane des Chrétiens. 65 rapports ont été rédigés à ce jour. Chacun d’eux contient des douzaines de récits les uns les plus atroces que les autres sur les actes criminels perpétrés par les musulmans à l’encontre des Chrétiens et non Chrétiens à travers le monde.

L’Egypte, le pays de Tayeb, figure chaque mois en bonne place sur la liste : persécutions, viols, esclavage et meurtres de Chrétiens, attaques d’églises,… sur la base qu’ils sont des infidèles indésirables. La majorité de ces récits ne sont pas considérés comme dignes d’être rapportés par les médias officiels occidentaux . Mais si le persécuteur était chrétien et la victime musulmane, ces « incidents » feraient la une de la presse 24h sur 24 et 7 jours sur sept.

C’est là le véritable double standard qui devrait être décrié et non l’islamophobie imaginaire d’El-Tayeb.

Mais la description de ce personnage modèle de « paix, de tolérance, de dialogue, de fraternité » ne serait pas complète si l’on ne parlait pas de son antisémitisme notoire.

Ce partenaire privilégié des adeptes du dialogue inter-confessionnel, qui n’hésite pas à cracher sur le christianisme et le judaïsme, à les souiller par ses discours dégoulinant de fiel dans le seul but de dédouaner l’islam de ses crimes, est aussi réputé pour sa haine d’Israël et du peuple juif.

Le Pape François, tout à sa joie d’avoir renoué le dialogue islamo-chrétien, après une période glaciale sous le pontificat du Pape Benoît XVI, coupable selon El-Tayeb d’avoir dépassé la ligne rouge en plaidant, après un attentat sanglant dont ils furent les victimes innocentes, pour plus de sécurité pour les Coptes, sait-il que cet imam en qui il a confiance est un antisémite virulent ? Ce dialogue islamo-chrétien, qui selon le Pape pourrait être décisif pour la paix dans le monde, exclut-il Israël et le peuple juif ?

Comment promouvoir la « fraternité humaine pour la paix » si on dialogue seulement avec une partie de cette fraternité et que l’on appelle à haïr l’autre partie ?

Ce remarquable maître de la taqyia n’a-t-il pas exprimé à maintes reprises ses sentiments , qui sont loin d’être fraternels, à l’égard d’Israël et de son peuple ?

« Voyez comment nous souffrons aujourd’hui du sionisme mondial et du judaïsme, alors que notre coexistence pacifique avec les chrétiens résiste à l’épreuve de l’histoire. Depuis la création de l’islam il y a 1 400 ans, nous souffrons de l’ingérence juive et sioniste dans les affaires musulmanes. Elle est une source de grande détresse pour les musulmans », avait-il déclaré lors d’un entretien à la première chaîne de la télévision égyptienne. (Sheik of Al-Azhar Ahmad Al-Tayeb Justifies Antisemitism on the Basis of the Koran Channel 1 (Egypt) – October 25, 2013) – Memri TV)


En 2014, le cheikh El-Tayib déclara que « le groupe terroriste Etat islamique sert le sionisme dans son complot pour détruire le monde arabe. » Réflexion typique d’un Arabo-musulman pour qui Israël est la source de tous les maux de la terre.

Plus récemment, en 2018, le grand imam d’Al-Azhar avait affirmé à la télévision égyptienne que « sans Israël, il n’y aurait aucun problème et la région aurait prospéré. » Il se trompe : sans l’islam, il y aurait beaucoup moins de problèmes sur toute la terre.

Toujours selon El-Tayeb, « le fléau du terrorisme est basé sur les griefs contre Israël ».

« Ils nous disent toujours que le terrorisme est islamique. Tous ces porte-paroles qui croassent – par ignorance ou parce qu’on leur a dit – que les programmes scolaires d’Al-Azhar sont la cause du terrorisme – ne parlent jamais d’Israël, des prisons israéliennes, des génocides perpétrés par l’entité sioniste…. Sans les abus dans la région par le biais de l’entité sioniste, il n’y aurait jamais eu de problème. Le Moyen-Orient et la région auraient progressé et l’individu arabe aurait été comme n’importe quelle autre personne sur la terre, jouissant d’une bonne vie ou du moins du droit de vivre en paix. » Jamais coupables, toujours victimes ces pauvres Arabo-musulmans !

J’ai beau chercher je ne vois aucune once de fraternité envers Israël et le peuple juif dans ses déclarations. A moins qu’un sentiment d’amour fraternel envers ce pays voisin et son peuple n’ait subitement envahi son coeur noirci de haine, cette déclaration de fraternité, de cohésion et de paix entre les peuples ressemble à une lumière bien tremblotante et d’une pâleur mortelle.

Comment peut-il y avoir un dialogue si d’emblée l’un des partenaires, en l’occurrence le dissimulateur, (le musulman) dicte sa loi à l’aveugle (le Chrétien) ?

EL-Tayeb, ce partenaire à la langue fourchue pourtant si prisé par les partisans du fallacieux dialogue islamo-chrétien, a prouvé au cours des années être tout sauf un prédicateur de paix, de coopération, d’amour, de tolérance et de miséricorde.

El-Tayeb n’a-t-il pas déclaré lors de sa visite au Vatican que le christianisme est une religion d’amour et de paix ? Alors pourquoi al-Azhar promeut-il le massacre des Chrétiens ? ( Al Azhar offre des exemplaires gratuits d’un livre qui appelle à tuer les chrétiens et les autres infidèles. (Source : al Azhar “freely” promotes slaughter of Christians and infidels” by Raymond Ibrahim)

Dans la réalité, ce soit-disant dialogue interconfessionnel fait énormément de mal aux Chrétiens du Moyen-Orient car il encourage les leaders chrétiens occidentaux à imposer l’omerta sur les persécutions, par crainte d’offenser leurs partenaires musulmans, à la si délicate sensibilité… et de mettre en péril ce dialogue de salon, entre gens de bonne compagnie. C’est toute l’hypocrisie de la réponse occidentale à la persécution des Chrétiens par les musulmans.

 Parler des atrocités commises par les militants islamistes extrémistes à l’échelle planétaire pourrait miner les acquis positifs obtenus grâce au dialogue inter-religieux avec les pieux musulmans. »


Robert McManus, Evêque catholique romain de Worcester, Massachusetts, le 8 février 2013

Quant aux chrétiens d’Occident, leur faire croire que l’islam partage les mêmes valeurs que le christianisme est une tromperie criminelle et une insulte envers le monde chrétien.

Et pourtant, c’est ce qui fit le Pape François à son retour d’Abou Dabi. Il déclara aux fidèles rassemblés sur la Place St Pierre :

« Malgré la diversité des cultures et des traditions, les mondes chrétiens et islamiques partagent et protègent des valeurs communes : la vie, la famille, le sens religieux, le respect des aînés , l’éducation des jeunes et aussi des autres.Le Christianisme et l’islam ont plus en commun que ne l’imaginent les gens. Les deux religions défendent des valeurs communes, nécessaires à l’avenir de la civilisation. »

Et quid du culte de la mort, de la décapitation,de l’égorgement, des crimes d’honneur, de la lapidation, de la polygamie, de la pédophilie légalisée par le mariage, des traditions barbares infligées aux femmes, de la peine de mort pour apostasie, de l’obligation de soumettre les non musulmans à l’islam, de la suprématie de la loi d’Allah sur la loi des hommes, et j’en passe ? Sont-ce là les valeurs communes à l’islam et au christianisme nécessaires à la civilisation du monde ? Mais dans quel monde d’illusions vit ce Pape ?

« A une époque comme la nôtre, où la tentation est forte de voir un clash entre les civilisations chrétiennes et islamiques et de considérer les religions comme sources de conflit, nous voulions donner un signe clair et décisif, comme quoi il est possible de se rassembler dans un respect mutuel et dans un esprit de dialogue. »

La civilisation islamique s’est toujours opposée à la civilisation chrétienne, même au cours du mythique Age d’Or d’al Andalus, c’est un fait historique. Une seule religion est source de conflit permanent : l’islam.

Ce texte ajouta le Pape sert à affirmer la vocation commune à tous les hommes et à toutes les femmes d’être frères et soeurs, car ils sont tous les fils et les filles de Dieu et nous condamnons toutes formes de violence, notamment celles motivées par la religion.

Il n’a pas dû lire le coran ou alors en diagonale.

Un Pape s’est rendu dans la péninsule arabique pour la première fois . Et la Providence a voulu que ce soit un Pape du nom de François, 800 ans après la visite de Saint François d’Assise au sultan al-Malik al Kamil. »

Cette référence au voyage de François d’Assise est une tentative supplémentaire d’implanter dans l’esprit des chrétiens le mythe du merveilleux dialogue islamo-chrétien.

Comme expliqué par l’Abbé Arbez dans son article « François d’Assise n’a jamais « dialogué » avec le Sultan ! Un texte historique qui combat le « faux vivre ensemble », publié le 18 février 2017, François d’Assise avait rendu visite au sultan non pour promouvoir le dialogue islamo-chrétien, mais pour le convaincre d’abandonner l’appropriation des lieux saints et de mettre fin aux atrocités infligés par les musulmans aux Chrétiens.

Présenter François d’Assise comme le pionnier du dialogue avec l’islam est une tromperie de plus, ce qui est gravissime de la part du chef de l’Eglise catholique.

Quant au respect des personnes âgées, c’est une « valeur islamique » qui semble étrangère aux migrants musulmans déferlant en Occident, au vu du nombre élevé de faits divers sanglants perpétrés par ces adeptes d’Allah à leur encontre en Allemagne, en Autriche, en Italie. S’attaquer aux mécréants les plus faibles sans défense est une valeur islamique bien respectée par les « invités » de Madame Merkel and Co.

Un dialogue inter-religieux islamo-chrétien ne peut aboutir à la paix entre chrétiens et musulmans puisque pour cela toutes les parties devraient exprimer honnêtement leurs opinions. Or ce n’est pas le cas avec le grand imam d’Al-Azhar, qui joue de la taqiya avec une remarquable dextérité pour enfumer ses partenaires chrétiens.

« Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes. »


Coran 5-51

Pour les musulmans, la conception européenne de fraternisation heureuse dhimmi-musulman est blasphématoire sur le plan doctrinal parcequ’interdite par la loi islamique. En effet, l’humiliation et la persécution constituent une obligation religieuse que seuls les mauvais musulmans négligent.

En Eurabia, si nous pensons que l’islam est violent, non seulement nous avons tort, mais nous sommes aussi taxés d’être fanatiques, d’incultes, d’islamophobes. Pour éviter cela, nous devons ignorer et/ou nier les versets coraniques qui exhortent les musulmans à la violence et occulter les enseignements propagés par les sectes et les écoles de jurisprudence islamiques inculquant à la communauté musulmane le devoir de mener la guerre contre les infidèles afin de les soumettre. Ainsi , le mythe du dialogue islamo-chrétien continuera à duper les Chrétiens. Et nombreuses seront les Brebis fidèles et confiantes à continuer à suivre un Berger, indigne de son rôle de protecteur de son troupeau.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

  • “Egypt’s leading Imam: Christianity and Judaism create Terrorism no less than islam” (by Raymond IBrahim FrontPage Mag)
  • “Eliminate Israel, eliminate islamic terrorism” (By Raymond Ibrahim FrontPage Mag)

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