Les progressistes, ce sont ces ultra-socialistes qui veulent tenter de faire croire que la France ne tomberait pas aussi vite que le Venezuela dans le trou. A essayer d’urgence juste pour rire ? Un court article évoque de loin le sujet : Lepoint.
Comme Ismaël Emelien, le jeune économiste de 26 ans quittera son poste fin mars après avoir accompagné Emmanuel Macron de Bercy à l’Élysée.
Il était le benjamin de la campagne présidentielle, celui qui a coordonné la préparation du programme du candidat Macron dès septembre 2016 avant de donner un coup de main à l’économiste Jean-Pisani Ferry arrivé en janvier 2017. L’économiste normalien passé par Princeton, David Amiel, 26 ans, devenu conseiller élyséen, s’apprête lui aussi à refermer derrière lui la lourde porte de la rue du Faubourg-Saint-Honoré.
« Je quitterai, comme Ismaël, l’Élysée pour expliquer et défendre notre livre », déclare-t-il au Point. Car le jeune homme, vous l’aurez compris, a participé avec Emelien à la rédaction de cet essai doctrinal sur le progressisme, à paraître fin mars chez Fayard, et qui sert aujourd’hui de motif de départ officiel.
Tout aussi discret que son comparse, passé en stage à Bercy sous Emmanuel Macron avant d’y exercer comme économiste, Amiel occupe depuis l’élection de ce dernier un poste de conseiller au sein du cabinet élyséen. « David, c’est le PMO (project management office, NDLR) d’Alexis Kohler, détaille un membre du premier cercle macroniste. Il a une certaine profondeur et une épaisseur pour tenir le rythme et être à 360 sur tous le sujets. » [heu… quelqu’un pour leur dire que leurs deux mots pompeux, qui veulent dire la même chose, ça s’appelle en fait “formation” ?] « Une profondeur et une épaisseur » dont le chef de l’État et le secrétaire général de l’Élysée devront donc bientôt se passer.
Comme son comparse, Amiel n’a rien signé pour l’après-Élysée. Son objectif ? « Entrer dans l’arène du débat public », comme il dit, avec leur manifeste du progressisme en étendard.
Ils sont payés entre 6 000 et 15 000 euros par mois et ça me parait assez étrange que ces deux types vont tout laisser tomber pour écrire un bouquin à quatre mains.
Leur bouquin va se vendre à quelques milliers d’exemplaires . Ce qui permettra à la maison d’édition de récupérer sa mise tout en s’attirant la bien veillante des deux membres de la nouvelle caste. On n’est jamais assez prudent.
Jean Pisani-Ferry:
Membre du conseil scientifique de la fondation Jean-Jaurès, proche du Parti socialiste. Il est l’un des artisans de la candidature de Dominique Strauss-Kahn à la présidentielle de 2011 et contribue aux programmes de Lionel Jospin en 2002 et de François Hollande en 2012.
Ismaël Emelien:
En 2006, il participe à la campagne de Dominique Strauss-Kahn pour la primaire présidentielle socialiste de 2006. Il travaille ensuite pour la Fondation Jean-Jaurès.
Je quitterai, comme Ismaël, l’Élysée pour expliquer et défendre notre livre »
Avec deux socialistes on n’a pas besoin de le lire: le progressisme progressivement progressif. Ce sera aussi convainquant que le papier Renova couleur rose, pure ouate , délicatement parfumé et sans danger pour les fosses septiques.
Et quand on aura plus de papier Renov, on pourra utiliser les pages de ce livre.
Faux, faut commencer à utiliser ce papier cul, signé momo,
marque déposée
Après, pour ce qui est du vrai papier cul …
On verra.
La doctrine :
Si, ayant creusé un trou vous n’arrivez pas à remettre dedans toute la terre qui en a été sortie, creusez un second trou assez grand pour pouvoir y mettre la terre des deux. (Sapeur Camenber).
Sapeur Camenber est le pseudo d’un certain ancien présiflan socialiste de la ripoublique …
dire que ces gens sont payés dix fois le smig par nos impots!
Attention aux idéologues: ils sont toujours dangereux, surtout ceux persuadés de détenir la vérité ou le bien ultime.
Une chose qui m’a toujours frappé chez les idéologues, c’est leur propension à nommer les choses à l’inverse, à appeler le blanc noir et vice-versa.
Nous avons donc ici des gens qui s’auto-intronisent “vrais et uniques détenteurs du progrès”, alors que leur programme est en réalité une régression de l’humain et de l’intelligence.
Il s’agit d’affubler par un artifice de langage grossier et puéril de l’onction de la supériorité morale et intellectuelle ce qui n’est qu’un catalogue de croyances a priori, non réfléchies, (faussement) étayées par des arguments ad hoc et des sophismes, une pensée réduite à des slogans et des poncifs simplets dès qu’on gratte un peu.
Des gens qui prétendent être LES “progressistes” ne peuvent être que des imbéciles et/ou des fous, dangereux dans tous les cas.
En réalité, “progressiste” n’est dans leur bouche qu’un synonyme de gauchiste, et même ultragauchiste.
Voilà qui me rappelle furieusement un texte de l’essayiste Jean-Claude Guillebaud: à l’époque, il parlait du libéralisme, mais aujourd’hui on peut remplacer cela par le “néo-gauchisme”, ou “progressisme”, fondé non plus sur le marxisme ouvrier mais sur une sorte de théorie victimaire centrée sur les “minorités” prétendûment “victimes” de “discrimination” (de qui? d’une classe d’oppresseurs abstraite, fantasmatique) au premier rang les immigrés (exclusivement africains ou mieux musulmans), “victimes” de la colonisation (ils n’étaient pourtant pas nés, ni même leurs parents) et du “racisme”. Puis les LGBT, et les “racisés intersectionnels” comme ils disent
C’est cela qu’ils appellent “progressisme”
Communisme et néo-gauchisme “progressiste” : la certitude d’avoir raison
” Parmi les emprunts faits par le progressisme à son ancêtre communiste, il en est un qu’on aurait tort de sous-estimer : la certitude d’avoir raison. Comme les marxistes d’avant-hier, les défenseurs des “minorités visibles” sont convaincus d’incarner non point une opinion mais un savoir. […]
Ce retour inattendu d’ une croyance déguisée en vérité scientifique explique cette étrange impression de déjà vu que donne le discours dominant, celui des commentateurs, des intellectuels de gauche, des médias. Souvenons-nous de ce qu’était l’opinion majoritaire à l’Université et parmi les cercles intellectuels de gauche dans les années 50 à 70. Et rappelons-nous avec quel implacable dédain étaient alors discréditées les opinions dissidentes. […] Face au contradicteur naïf – on disait alors “bourgeois” –, il se trouvait toujours mille et un experts en marxologie pour invoquer les tables de la loi, les exégèses reconnues, les acquis de l’empiriocriticisme ou je ne sais quel commentaire de Lénine. Le pouvoir d’intimidation était sans appel. Les contradicteurs renvoyés à leur incompétence [aujourd’hui aussi à leur “racisme”, “nazisme”, “fascisme”] n’avaient plus qu’à raser les murs. Ce qu’ils faisaient d’ailleurs… […]
Comme ceux d’hier, tous ces dévots de la vulgate dominante demeurent insensibles aux démentis du réel, aux défaillances avérées de l’analyse, aux calamiteuses erreurs de prévision. Encore un trait qu’ils partagent avec ceux de jadis, qui demeuraient inébranlables dans leur foi, quels que fussent les échecs du “socialisme réel”. […]
(librement transposé des pp. 77 à 79 de La Refondation du monde par Jean-Claude Guillebaud – 1999 – Seuil)
Les (faux) progressistes progressent en marche arrière vers la faillite, le néant, la défaite dans tous les domaines et la guerre civile dont ils ont en plus préparé la défaite. C’est ça le progressisme de gauche : la défaite totale dans tous les domaines!
Une chose est de partouzer mentalement avec des vicieux politiques qui vendraient leur mère à terme pour la racheter au comptant, une autre est d’affronter des professionnels de l’économie, dans le débat au grand jour. De ces deux malfaisants, on ne peut encore dire qui sera le survivant à une plongée dans le monde réel, mais vu les post-it qu’ils ont déjà aux fesses, avec leurs tripatouillages barbouzards à l’Elysée, la mélasse va leur coller au fondement. En conséquence, le décollage, même subventionné par les “démocraturiens”, ne risque guère de se faire à la verticale. Nonobstant cela, il ne serait pas étonnant de les retrouver sur une liste pro-macron aux européennes, dans la réalisation d’un coup à double bande : Exfiltration des compromis, et recasage au PPE, pendant que les journaleux idiots utiles parlent de déstabilisation par les “Mormons”. Mon chien se tord de rire.
Ils en font de beaux…”profondeur et épaisseur” diplômés en ânerie! Toutes ces lois qui empêchent les gens de travailler et créer mène la France à la faillite sont faites par des ânes grassement payés! En plus ils importent toute l’afouique pour être bien sûrs que le peuple sera égorgé jusqu’au dernier le plus vite possible. Des ânes aussi opportunistes qui ne pensent qu’ à se faire élire par d’autres ânes profiteurs de moindre calibre, c’est deséspérant!