Publié par Rosaly le 13 février 2019

Le meurtre sauvage la semaine dernière, dans la forêt Ein Yael à Jérusalem, d’Ori Ansbacher, parce que juive, par un arabo-palestinien a mis en lumière une odieuse pratique palestinienne : « Pay to Slay for the sake of peace » (Payer pour tuer dans l’intérêt de la paix). Pratique horrible occultée par la presse occidentale, qui ne semble choquer l’UE, encore moins l’ONU.

L’économie palestinienne est une économie de mendiants. Elle ne subsiste que grâce aux subventions de l’UE, de la Norvège et de la Suisse. Cela n’a, toutefois, pas empêché l’AP de verser des centaines de millions de dollars par an aux terroristes ou à leurs familles quand leurs « héros » mouraient en martyrs ou étaient blessés au cours d’un attentat visant à tuer des Israéliens. Peu importe l’horreur de l’acte, la récompense attendait les valeureux mercenaires d’Allah.

Il est probable qu’Arafat Irfayia, l’auteur de ce crime atroce (ou sa famille) reçoive un salaire juteux de l’AP, généreusement offert par les contribuables européens à leur insu.

Si cette pratique horrible a été occultée par la presse occidentale et ne semble choquer ni l’ONU, encore moins l’UE, elle a heurté Donald Trump. Et, conformément à la loi « Taylor Force Act », adoptée par le Congrès en 2017, l’administration Trump a sabré dans le financement de l’Autorité palestinienne.

La loi, qui doit son nom à un soldat américain assassiné par un arabo-palestinien, vise à contraindre l’Autorité palestinienne à mettre fin à la pratique répugnante du « Pay for Slay ».

En 2018, l’Administration Trump a réduit de 200 millions de dollars l’aide économique destinée à l’Autorité palestinienne. En outre, elle a également diminué sa participation au financement de l’UNWRA (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East).

Le Département d’État a qualifié la façon dont cette agence opère « d’irrémédiablement vicieuse ». C’est un euphémisme. Les employés de l’UNWRA ont apporté de l’aide et du réconfort aux organisations terroristes, distribué des publications antisémites dans les écoles gérées par l’UNWRA et permis au Hamas de stocker des roquettes dans les établissements scolaires. C’est une organisation qui sert à perpétuer le conflit au lieu de l’arrêter.

L’Europe prétend lutter contre l’antisémitisme et le terorrisme islamiste, mais soutient financièrement au Proche-Orient une organisation qui promeut l’antisémitisme et encourage le Hamas dans son rêve de destruction d’Israël et de son peuple, sous un prétexte humanitaire ! La logique m’échappe.

Par cette pratique infâme de « Pay for Slay », l’AP envoie un message très clair à ses « héros » : verser le sang des Juifs rendra riche, mais la paix et la réconciliation non.

La nature horrible de l’assassinat d’Ori se répercuta instantanément à travers le pays et raviva les appels à la peine capitale pour des actes de terrorisme avec circonstances aggravantes. Les manifestants se rassemblèrent sur la place Rabin à Tel-Aviv, où ils réclamèrent la peine de mort pour le meurtrier de la jeune fille.

Le ministre de la Justice, Ayelet Shaked, fit écho à ce sentiment et déclara que le procureur devait demander la peine de mort. Le ministre de la Sécurité publique, Gilad Erdan, exprima une position similaire soulignant que certaines circonstances aggravantes, comme le viol de la victime et l’incapacité de se réinsérer devaient être prises en compte lors de l’évaluation d’une affaire où l’accusé risquait la peine de mort.

Bien qu’en Israël la peine de mort demeure inscrite dans la loi, elle n’a été appliquée qu’une seule fois pour Adolph Eichman, le célèbre nazi qui joua un rôle essentiel dans le meurtre de 6 millions de Juifs lors de l’Holocauste. Eichman fut capturé à Buenos Aires par une équipe du Mossad et exfiltré d’Argentine vers Israël pour y être jugé.

L’un des plus célèbres criminels de guerre encore en liberté, l’exécuteur de la solution finale, l’homme qui fit exécuter les Juifs à la chaîne, travaillait désormais sur une chaîne de montage automobile en Argentine. Jugé, il fut condamné à être pendu. Exécuté le 1er juin 1962 , puis incinéré, ses cendres furent dispersées dans la mer Méditerranée hors des frontières maritimes israéliennes. Sa mort fut bien trop douce pour ce monstre nazi.

Ceux qui plaident contre la peine de mort prétendent que celle-ci n’a pas un effet dissuasif, car la plupart des auteurs de ce genre de crime s’attendent à mourir et peuvent même le désirer ardemment, séduits par la promesse de recevoir en récompense de leurs abominations les 72 vierges du lupanar d’Allah .Et sur terre, les membres de leurs familles seront financièrement récompensés à vie. A cela s’ajoute le petit détail final, qui glorifie l’acte « héroïque » du soldat d’Allah : être élevé au rang de martyr s’il était tué au cours de l’opération « martyre ».

Dans ce débat , les deux parties expriment des arguments valables. Néanmoins, dans le cas peu probable où les procureurs demanderaient la peine de mort, le corps du tueur devrait être incinéré pour empêcher que le criminel ne devienne une célébrité et sa tombe un sanctuaire. Toutes traces du terroriste devraient être effacées.

De nombreux Palestiniens vouent un culte à la mort, alimenté en continu par un endoctrinement religieux et gouvernemental, l’agitation provoquée par les Autorités et la propagande.

Par exemple, en 2015 le Président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, diffusa un discours sur la chaîne de télévision de l’AP, dans lequel il déclarait:

«Nous bénissons chaque goutte de sang versé pour Jérusalem, qui est un sang propre et pur, du sang versé pour Allah. Chaque martyr (Shahid) ira au Paradis et tous les blessés seront récompensés par Allah.» Mahmood Abbas est accueilli avec tous les honneurs par le Vatican, l’UE et l’ONU.

En leur promettant un paradis sorti tout droit des contes arabes, il encourage ses concitoyens à devenir des martyrs en tuant d’innocents civils israéliens, mais c’est Israël qui subit constamment les foudres de la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU. Cherchez l’erreur …

La paix avec les Arabo-palestiniens est une chimère. L’assassinat odieux d’Ori Ansbacher en est une preuve tragique supplémentaire. Tandis qu’Israël s’active à appréhender les extrémistes arabo-palestiniens et à les traduire devant la justice, l’AP récompense financièrement les assassins des Juifs, devenus héros ou martyrs, et les honore en nommant de leur nom écoles, rues et places publiques des villages et des villes.

Une société qui se délecte du sang versé d’innocents, voue un culte morbide à la mort, n’est pas une société normale et ne mérite pas de recevoir un statut d’état.

Un meurtre odieux de plus vient de frapper la société israélienne, endeuiller une famille, un meurtre de pure haine d’une jeune fille de 19 ans, tout simplement parce qu’elle était juive et méritait de mourir selon les délires de cet arabo-palestinien, qu’elle eut le malheur de croiser sur son chemin.

A la douleur de la famille d’avoir perdu leur fille, vient s’ajouter l’horreur subie par leur enfant, tombée entre les mains d’un être sadique, pervers, cruel, ayant la haine à la place du coeur. Et dire que ce monstre va être félicité, honoré, récompensé financièrement pour avoir ôté la vie d’une jeune fille innocente. Une épine de plus dans le coeur des parents, déjà meurtris par la perte de leur enfant.

En Eurabia, de telles horreurs se produisent aussi de plus en plus souvent et ne cessent de s’accroître depuis l’invasion de masse musulmane. En Occident, les musulmans violent et massacrent nos petites filles, nos adolescentes, nos femmes car pour eux, elles ne sont rien, que des « morceaux de viande » des femmes faciles, des mécréantes dont ils peuvent abuser sans état d’âme . Et s’ils sont arrêtés, ils bénéficient souvent de la bienveillance des juges car ces pauvres migrants, éloignés de leur famille, « traumatisés par les horreurs de la guerre », n’ont pas conscience de commettre un délit en violant une femme. Ils suivent tout naturellement leur culture faisant des femmes des objets sexuels à leur disposition. Alors, un peu d’indulgence s’il vous plaît ! Egorger une infidèle fait aussi partie de leur si attachante culture.

Nous devons faire preuve de compréhension à l’ égard de ces musulmans, voire les admirer pour leur grande piété religieuse, qui laisse rêveur bon nombre de nos leaders religieux. Ne sont-ils pas les sauveurs de notre Europe décadente, l’avenir de notre vieux continent et autres idioties gauchistes soutenues par les progressistes ? Leurs délires d’une Europe nouvelle multiculturelle, où l’Européen de souche deviendrait minoritaire, pavent la voie à la conquête de l’Europe par l’islam.

En Israël, les arabo-palestiniens tuent par haine du Juif et magnifient leur meurtre même le plus atroce en un acte de résistance, d’héroïsme, de bravoure. Egorger un bébé dans son berceau, fracasser le crâne d’une petite fille après avoir tué son père, violer et tuer sauvagement une jeune fille, assassiner un couple de retraités sans défense, quel héroïsme !

RIP Ori au joli sourire, un rayon de soleil à jamais éteint.

Que D.ieu apaise la douleur de sa famille !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : «The brutal murder of a Jewish Teen. A glimpse into the horrific palestinian practice of «Pay for Slay». (Ari Lieberman – FrontPage Mag)

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