“Comment je suis devenue la lesbienne détestée des LGBT de Baltimore”, raconte Julia Beck sur le blog After Ellen (1), parce qu’elle a eu le courage d’affronter le politiquement correct de son milieu, et refusé de dire “elle” pour un transsexuel.
La communauté LGBT ne peut même pas échapper à la fureur qui accompagne l’utilisation incorrecte des pronoms de genre.
Julia Beck, militante lesbienne et ancienne membre de la Commission LGBTQ à la mairie de Baltimore, s’est volontairement mise dans le pétrin après avoir intentionnellement appelé un violeur masculin “il” quand “il” se considère comme une femme transgenre.
“J’ai été renvoyée de la commission LGBTQ du maire de Baltimore en tant que seule lesbienne, explique Beck, simplement pour avoir énoncé des faits biologiques. “Après un mois de chasse aux sorcières, j’ai été reconnu coupable de “violence”. Mon crime ? “Utilisation de pronoms masculins pour parler d’un violeur condamné qui s’identifie comme transgenre et préfère les pronoms féminins.”
Beck explique que la folie de la commission LGBTQ de Baltimore est à ce point délirante que pour ses membres, utiliser des pronoms de genre incorrects est plus violent et plus grave qu’un violeur masculin qui a infiltré une prison pour femmes en réclamant s’identifier en tant que femme, pour ensuite perpétrer d’autres viols.
Peu importe qu’il ait agressé sexuellement deux femmes dans une prison pour femmes après y avoir été transféré en raison de son “identité sexuelle”, a-t-elle poursuivi. “C’est bien plus criminel d’appeler un violeur “il” que pour lui de violer.”
La militante lesbienne a été traînée devant la Baltimore Transgender Alliance (BTA) pour faire évaluer sa “capacité physique en tant que leader” et elle a décrit son expérience comme “la pire qu’on puisse imaginer”. Le président du BTA, Ava Pipitone, un homme qui s’identifie comme une femme et une lesbienne, et dont le mot favori est “inclusion” a accusé Beck de “transphobie”, il l’a excommuniée et tout est parti de là.
“Le sexe biologique, c’est du passé, ça n’existe plus”, a dit le président.
Beck a alors répondu : “Comment peut-on être homosexuel, si le sexe n’existe plus ?”
Après son expérience à la réunion du BTA, Beck a accusé la lettre “T” de LGBTQ d’ “éclipser entièrement les L, les G et les B”.
Beck explique :
Il n’y a pas d’endroit sur la côte Est aussi “Queer” que Baltimore, dans le Maryland. Dans cette ville, les micro-identités sont aussi courantes que les rats. La teinture bleue des cheveux et les tatouages agissent comme capital social. Ils garantissent des amitiés et la protection politique.
Se dire “Queer” [un terme complexe qui recouvre différents sens selon qui le prononce, et qui récemment encore était péjoratif et voulait dire pédé], c’est s’assurer une table avec les huiles locales.
Et si vous n’êtes pas au courant, sachez qu’être gay, ce n’est plus assez cool. Bien sûr, les gays se sont battus pour être acceptés comme normaux, et non comme des “bizarreries déviantes”, ce qui est une des définitions littérales de “queer”.
Elle continue :
Les lesbiennes sont des femmes homosexuelles, des femmes qui aiment les femmes, mais nos espaces, nos ressources et nos communautés sont sur le point de disparaître. Notre définition même a été capturée et rendue insignifiante par des gens qui se disent “queer”.
Cette année, pour vérifier, je me suis rendue dans les cafés du quartier et les soirées souterraines et j’ai demandé : “Qu’est-ce qu’une femme ?”. Les réactions que j’ai eues ont été plus dures que ce à quoi je m’attendais. Je suis devenue la lesbienne la plus détestée de Baltimore.
Les coups, ce n’est pas nouveau pour moi. Après l’université, j’ai été mise à l’écart de plus de milieux sociaux que le violeur de femmes qui s’est fait passer pour un transsexuel.
Mon crime était de poser des questions comme : “Pourquoi on appelle un homme : “Femme de l’année” ?”.
J’ai même perdu ma meilleure amie après avoir refusé de m’appeler “cisgender”.
Les membres de ma fraternité mixte m’ont qualifiée de “dangereuse” et ont encouragé les nouveaux initiés à m’éviter à tout prix.
Des gens en qui j’avais confiance m’ont dit de “mourir dans un incendie” parce que j’ai nommé des hommes “hommes”.
Conclusion
Julia Beck, avec un courage rarissime dans son milieu finalement bien tristement conformiste, a également dénoncé les tactiques de la gauche pour inclure les enfants dans cette opération de destruction du genre.
J’ai toute ma vie, à la fois facilement accepté l’homosexualité des autres, et détesté les hommes homosexuels aux manières outrancièrement féminines, tout comme les lesbiennes hommasses. Etrangement, Julie Beck tient le même raisonnement que le mien, et nous ne pouvons pas être plus éloignés l’un de l’autre. Elle écrit, pour décrire Ava Pipitone : “Il ressemble à une caricature de la féminité, avec des maniérismes ouvertement démesurés et des trémolos forcés dans la voix.
Le témoignage de Julia Beck nous apprend que lorsqu’on s’écarte de la nature de l’homme, il n’existe plus de limites, et ceux qui poussent l’homme dans la mauvaise direction ne s’arrêtent jamais. Enivrés par leur obsession à remplacer Dieu pour faire un monde à leur image, fabriquer un homme, une nature, un univers nouveaux, rien ne sera jamais assez pour eux, parce que les limites de la norme et de la morale ne s’appliquent plus, les digues sont brisées.
Son témoignage nous dit autre chose : à force de totalitarisme politiquement correct, plus personne, dans les jeunes générations, n’a la force d’oser avoir ses propres mots et ses propres pensées, et le risque d’être socialement rejeté est devenu leur seconde nature.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Un homo écolo confond La Nature et Sa nature
“ Toutes les fois que je suis allé parmi les hommes, j’en suis revenu moins homme.”?
(Sénèque)
Bizarrement cet article m’a fait penser à une chanson de salle de garde qui disait entre autre : enc….s-nous c’est le plaisir des dieux…
LGBTQ, minorité tyrannique… Alfred reviens, on a les mêmes à la maison !
Bientôt les simples homos seront considérés comme réactionnaires, intolérants et bizarrophobes 🙂
Ce n’est pas bientôt fini ces âneries génériques ? Devons-nous vraiment faire le jeu des socialistes et donner à leur dernière marotte l’attention qu’elle ne mérite pas ? Le boycott, c’est la seule réponse à ces élucubrations.
Et vive la différence!
Je reste sans voix, je savais l’intolérance du milieu LGBT mais je crois que là, on pulvérise les limites.
Je n’avais rien contre les homos ou lesbiennes, absolument rien, la sexualité des autres les regarde, car je suis de nature tolérant.
Seulement être tolérant avec ceux qui ne le sont pas, c’est permettre à l’intolérance de gagner.
Aujourd’hui, au vu de la tournure que prennent tous ces lobbys, je suis devenu clairement et sans aucun regret homophobe: J’ai envie de croire encore en l’humain, et je ne suis pas sûr que les “individus” dont il est question dans l’article en soient encore, exception faite de Julia Beck.
En France, de nouvelles directives ont été communiquées aux écoles pour que les formulaires à compléter par les parents, ne figurent plus les mots Père et Mère, mais Parent 1 et Parent 2, à cela ajouter l’obligation d’envoyer l’enfant des 3 ans à l’école, les gauchistes et LGBT qui nous gouvernent, nous préparent le future pour une société transgenre, j’en suis presque à souhaiter que l’islam prenne le pouvoir dans ce pays qui part à la dérive et aucun homme charismatique ne se lève pour dire ça suffit toutes ces conneries..
Le sexe biologique, c’est du passé, ça n’existe plus », a dit le président.
Macron aussi pourrait dire ça !
les femmes enceintes a l avenir diront j ai accouché d un
bébé 1 , mais j aurai préféré un bébé 2 . Plus tard bébé 1
apprendra a parler ses premiers mots , pa….. pa……parent 1 !
Bravo ! bébé 1 sera gardé par grand parent 2 .Il croira au père noêl
heu je voulait dire au parent 1 noël .
Avec la secte anti spécie de caron , les animaux sont des individus
donc le mariage pour tous s élargira avec des conjoints qui
feront ouaf ! ouaf , meuh ! ou bêêêêeee !
Attention les bricoleurs faudra plus demander au BHV marais
une prise élèctrique male ou femelle sinon tribunal
Le chaos c est maintenant !
si je résume bien …. une lesbo a le courage de dénoncer un violeur , un violeur qui ce fait passer pour un trans , un trans avec ses attributs masculin dans une prison pour femme , cet trans viol 2 femmes ….. maintenant la véritable question … est-ce que c’est possible que l’individu ce fait passer pour un trans mais il est juste un hétéro violeur mais que la communauté LGBT2 QYZ ose pas l’avouer qu’ils ce sont tromper , qu’ils ont été manipuler et une seul personne a eu le courage de dénoncer bref elle a peux être perdu des amis (es) mais avec moi elle en a gagner un
Un organisme qui ne se défend plus contre ses maladies, ses cancers, ses pourritures, ses mutations stérilisantes est voué a la mort et/ou a l’extinction a plus ou moins long terme.
Heureusement que le reste de la nature n’est pas faite a l’image de l’humain.
C’est tout simple, si la société des hommes laisse ces malades mentaux imposer leurs maladies comme la norme et fait en sorte que l’on ne les traite plus, ni psychiquement ni chimiquement ni légalement, la société est perdue.
ridicule….
tout cela me fait penser à cette vieille histoire “drôle”…
du chauffeur de bus scolaire qui en avait assez des problèmes raciaux entre les élèves qu’il devait transporter. tout cela est fini leur a-t-il dit un jour, il n’y a plus de blancs, plus de noirs, vous êtes tous de la même couleur, à partir de maintenant vous êtes tous bleus. Bon maintenant vous montez calmement dans le bus, les bleus foncés au fond, les bleus clairs devant….
Excellent.
Tout ça me déprime. Je me dis, pourquoi me casser la tête, ma vie est quasiment faite. Mais non, tant qu’on est là, on doit résister.
Finalement, les homosexuels étaient plus heureux quand ils menaient leur vie discrètement. De même, d’ailleurs, que la plupart des hétérosexuels mènent une vie normale et discrète.
MAIS, les vicieux+++ et les détraqués+++ ont débarqué.
Quiconque n’a pas vu la vidéo “je ne suis pas un homme” doit remédier à cela.
Tout cela montre bien que l’objectif n’est pas de réclamer davantage de tolérance pour leur condition transgenre ou homosexuelle mais bien d’imposer à la société leur propre vision de l’homme et de modifier profondément nos équilibres millénaires.
“millénaires” est un doux euphémisme.
Il est question d’ADN et de chromosomes;
Deux réalité incontestables qui sont évacuées sine die par les LGBTXY%£#$ etc… (ajoutez autant de lettres inutiles que vous voudrez)
Pour mémoire: Le sexe est déterminé par la 23eme paire de chromosomes (et par rien d’autre !); Le reste est du pipi de chat. (aussi insignifiant que malodorant)
Malheureusement ce n’est pas aussi simple. On peut être XY et avoir un corps de femme.
Ou être androgyne (avec les deux organes génitaux, mâle et femelle) à la naissance.
Et il en est de même de la sexuation du cerveau, qui peut différer de celle du corps (ou pourquoi pas être mal déterminée)
La nature est plus compliquée que vos cases mentales binaires dans lesquelles vous voulez la faire rentrer.
Ce que vous n’avez apparemment pas compris, c’est que la nature elle-même ne détermine pas forcément correctement les genres et produit des cas ambigus, sinon il n’y aurait pas d’homos ou de transgenres.
L’erreur des gauchistes est d’en déduire que les genres n’existent pas et seraient le produit intégral de la société et non de la nature, ce qui est encore plus crétin (faudra demander leurs avis aux millions d’autres espèces sexuées, des lions aux requins en passant par les sauterelles, si c’est l’influence délétère de l’Eglise catholique qui les a amenés à être mâle ou femelle).
Si l’on veut être logique (si une logique est encore possible dans ce domaine), il faudrait créer des nouveaux pronoms pour chaque cas… on risque rapidement l’inflation et le casse-tête.
En réalité, ce sont ces querelles de mots qui sont absurdes: le mot n’est pas la chose, etc.
Quand on commence à faire ce que j’appelle de la “raisonnite verbale”*, c’est-à-dire à déconnecter les mots de la réalité, et à vouloir déduire le réel des mots, du langage, on déraille. Ce ne sont pas les mots qui déterminent le réel: le réel est, les mots doivent servir à essayer d’en rendre compte du mieux possible. La vérité ne se trouve pas dans les mots et dans leur définition du dictionnaire.
* Alfred Korzibsky appelait cela la “pensée intensive” (ou raisonnement intensif) qui part des mots pour théoriser la réalité (et la faire rentrer de force dans une pensée préconçue), par opposition à la “pensée extensive” qui part de la réalité pour la comprendre et l’expliquer avec un langage qu’on sait imparfait et approximatif.
😂😂😂
Je sais bien que j’ai une mentalité de vieux réac, mais… Ce transgenre revendiquant son identité féminine, il a violé avec quoi ??? N’y aurait-il pas là une contradiction ?
« Le sexe biologique, c’est du passé, ça n’existe plus »
3 milliards d’années d’évolution de la vie niées et jetées aux orties en une phrase…
Mais pourquoi s’arrêter là? Continuons! “La Terre ronde, c’est du passé ça n’existe plus” ; “le jour et la nuit, c’est du passé, ça n’existe plus” ;”le feu qui brûle et l’eau qui mouille, c’est du passé, ça n’existe plus” ; “les espèces, c’est du passé ça n’existe plus, nous faisons tous partie de la communauté des êtres vivants et mettons-nous librement en couple avec les antilopes, les perroquets et les cafards” ; etc.
Oui, on marche sur la tête…
Pourquoi personne pour dire à cette imbécile et à ses semblables que sa phrase même révèle qu’il en est un (j’ai fait exprès de mettre les deux genres), et le vide de sa “pensée” absurde? Un imbécile, ou un dérangé… il lui manque une case, voire deux… et même tout l’échiquier.
Ce qui est incroyable, c’est qu’aujourd’hui on écoute religieusement les délires de tous les abrutis et les frappadingues de sortie (de l’asile psychiatrique) en les prenant au sérieux et en acceptant d’en discuter! Mais il faut en rire, et les traiter de bouffons qu’ils sont! Il faut ridiculiser tous ces tartuffes, et montrer que le roi est nu! Que tout ça ce sont des fumisteries et de vastes conneries!