Quatre nouveaux sondages et une excellente nouvelle vont déclencher des crises de nerfs chez les journalistes, qui vont encore m’en vouloir de les publier.
1 69% des Américains considèrent que leur situation financière va s’améliorer en 2019 (1) – c’est le meilleur chiffre relevé depuis 16 ans et presque le record absolu. La raison est double : la forte baisse des impôts laisse plus d’argent dans la poche des gens et le plein emploi fait monter les salaires et réduit le nombre de chômeurs – en fait, il n’y a jamais eu dans l’histoire des Etats-Unis autant de personnes qui travaillent que sous la présidence Trump (2). Arrêtez de fantasmer, ce n’est pas grâce à Obama ! Et je prédis que si les Démocrates ne mettent pas des bâtons dans les roues de l’économie, le record absolu sera battu avant la fin du premier terme de Trump.
2 Le président Trump a déclenché une guerre difficile pour faire baisser le prix des médicaments, qui peuvent coûter jusqu’à 180% plus cher aux Etats-Unis qu’au Canada ou en Europe. Les premiers résultats commencent à être palpables, les prix ont vu leur plus importante baisse en 46 ans.
3 50% de la population affirme que sa situation financière est meilleure maintenant qu’il y a un an (1). Cela ne s’est produit que 11 fois depuis 1976. Là encore, inutile de chercher midi à quatorze heures, c’est parce que Trump a mis en pratique des mesures que les Démocrates veulent annuler : baisse des impôts, baisse des réglementations, rééquilibrage des injustices des tarifs douaniers, libération de l’exploitation des ressources d’énergie du pays.
4 La cote de popularité du président vient de progresser à 52% (3), et pour la première fois, le nombre de personnes qui approuve sa politique est en train de dépasser le nombre de ceux qui la désapprouvent :
5 Les Démocrates font de l’obstruction par tous les moyens pour tenter d’empêcher le président de tenir sa promesse de construire un mur à la frontière mexicaine. Après l’explication qu’il a donnée aux Américains lors de son allocution sur l’état de l’Union, 66% soutiennent maintenant sa demande de budget pour sécuriser la frontière, contre seulement 21% qui s’y opposent.
6 Entre 9 et 10 000 personnes ont assisté au meeting politique du président dans la ville frontalière d’El Paso lundi soir, où il s’est symboliquement rendu pour défendre son programme de construction d’un mur de protection contre l’immigration illégale. Comme la salle était petite, il y avait plus de monde dehors qui regardaient sur des écrans géants que dedans. Dehors, il faisait pourtant 7 degrés.
Pourquoi je vous dis cela ? Parce que le même jour, une heure plus tôt, le célèbre Démocrate Beto O’Rourke faisait son propre meeting politique pour dénoncer la construction du mur. El Paso est sa ville. Regardez combien se sont déplacés ! Ce n’est pas que j’ai honte pour lui – si peu de monde dans sa propre ville, c’est surtout qu’il incarne les espoirs du parti Démocrate !
Je ne pouvais pas terminer cet article sans repenser à ceux qui se moquaient du sondage de Rasmussen de juin 2016 qui annonçait que Trump était devant Hillary. Imaginez leur être aujourd’hui…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
A 100% pour Trump depuis le début, j’ai toujours cru en lui, je sentais que cet homme allait tenir ses promesses.
les démocrates ont plié, en conservant la face (cachée de la lune) ce n’est pas un mur mais une barrière, je ricane!
j’adore ce O’Rourke …. a la dernière campagne de novembre dernier les démocrates avait investit 100 millions en publicité pour lutter contre Cruz …. et ce démocrate avait perdu a ma grande joie + la foule du Président Trump était de 15000 personnes était dans l’auditorium selon un médias et 85 000 personnes avait voulu acheter un billet donc voir 100 démocrates d’un coté et 15 000 de l’autre alors cela prouve que Trump est vraiment populaire …. merci a toi l’Éternel de lui donner la force de lutter contre nos ennemis et d’être un protecteur d’Israel
Drôle d’époque, celle où une majorité de journalistes “fanatisés” anti-quelque-chose primaire (et non “pro-information objective”, comme l’exige la déontologie de la profession) balaient la réalité sous le tapis et doivent en inventent une qui leur convienne!
L’enquête Muller qu’ils désespéraient quotidiennement de voir aboutir, au point de ne même plus parler de collusion “présumée” avec les Russes, mais de collusion (avérée), comme tous les résultat que vous révélez ici… sous le tapis.
“Vous êtes le sel de la terre, si le sel perd son goût, avec quoi le salera-t-on?”
Vous êtes l’information du peuple, si vous n’informez plus, avec quoi s’informera-t-on?
Ce petit jeu d’irresponsables fiers de l’être est très dangereux. On peu voir le résultat en Chine, en Russie et, champion toutes catégories, en Corée du Nord.
En démocratie plus que partout ailleurs, si on ne fait pas partie de la solution, on fait partie du problème. Celui de DÉTRUIRE LA DÉMOCRATIE!!!
Comment réagiraient ces “journalistes” s’ils apprenaient que le Collège des médecins avait caché la gravité épidémiologique du Sida et promu l’échangisme pour supprimer l’adultère? C’est pourtant EXACTEMENT ce qu’ils font : PERVERTIR le jeu démocratique qu’ils prostituent à leur convenance.
On ne leur demande pas de déchirer leurs vêtement sur la place publique et de se flageoler jusqu’au sang, juste de recommencer à informer HONNÊTEMENT.
Est-ce trop demandé à des PROFESSIONNELS de l’information? Ils auraient pourtant là, vraiment de quoi être fiers : être démocrate*! (*sans majuscule)
Bonjour, j’ai deux questions :
1. N’est-ce pas le taux d’emploi (employment rate) qui compte le plus ?
Et là, selon https://data.oecd.org/emp/employment-rate.htm les USA ne sont que 21ème dans le classement de l’OCDE, avec 71%, loin derrière la Suisse (80,5%) mais assez loin devant la France (65,3%).
2. L’endettement de l’État fédéral américain, qui reste très élevé : l’administration Trump a réorienté les dépenses l’an dernier (vers la Défense), mais ne les a pas vraiment réduites, globalement.
Pensez-vous que Donald Trump va réussir à faire baisser l’endettement (donc à dégraisser la fonction publique et/ou à réduire les subventions accordées par le gouvernement) ?
@Jacques Ady: pour le 1, je pense que c’est du au fait que les taux d’activités ne sont pas calculés sur les mêmes tranches d’âge: 15-64 ans en France et 16-75+ ans aux US
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3303384?sommaire=3353488
https://www.bls.gov/emp/tables/civilian-labor-force-participation-rate.htm
@ Franck : je ne vois pas bien ce que vous voulez dire.
En effet, le ’employment rate’ donné par l’OCDE est calculé sur une base commune pour tous les pays, si on en croit le lien que j’ai mis ci-dessus : “The working age population refers to people aged 15 to 64.” (autrement dit, si les pays ont leur propre mode de calcul, l’OCDE opère un réajustement afin de pouvoir comparer des données comparables).
@Jacques Ady: d’après l’OCDE, pour la population 16-64 ans, le taux est de 71.8% pour la France et 73.3% pour les US
https://data.oecd.org/emp/labour-force-participation-rate.htm
Oui, sauf que ce taux est calculé avant application du taux de chômage, ce qui fait qu’on passe de 71.8% à 65.3% de taux d’emploi pour la France (65.3/71.8 = 90.95% soit 100% moins le taux de chômage soit 9%) et de 73.3% à 71% pour les USA (71/73.3 = 96.86% soit 100% moins 3.14% de taux de chômage).
Ce qui importe est bien le taux d’emploi, et si celui-ci est particulièrement faible en France (taux de chômage mais aussi départ à la retraite plus tôt qu’ailleurs et âge moyen d’entrée sur le marché du travail élevé), je trouve qu’il est également plutôt faible aux USA, comparé à la Suisse par exemple. D’où vient cette différence ?
Plus de 20.000 milliards de dollars de dette, c’est énorme et je suis curieux de voir comment Trump va procéder pour (commencer à) la rembourser ; en particulier, dans quels budgets il va tailler.
Sur les vidéos de Friedman, autant je suis parfaitement d’accord avec la première, autant je suis un peu dubitatif sur la seconde ; s’il veut dire que dans la mesure où les dépenses de l’État sont réinjectées dans l’économie (au travers d’investissements publics, comme les routes ?) ce n’est pas un problème, je suis plutôt OK… encore que, quand l’État se mêle d’économie, ça se passe presque toujours mal. Je préfère la première vidéo.
Je ne comprends pas bien l’intérêt de dire tout ceci. Ce que l’on a tendance à retenir, c’est que la dette n’a pas une grande importance. Mais si, elle a de l’importance !
Déficit différent de dette : pas besoin de sortir de Polytechnique pour le savoir.
Mais déficit entraîne dette, donc il existe un lien de cause à effet.
Il semble dire que le paiement des intérêts de la dette n’est pas un problème : si, il l’est !
Il l’est parce qu’il faut bien collecter cet argent (correspondant à l’intérêt de la dette) auprès des contribuables, et que cela coûte de l’argent de collecter ces impôts. Il l’est parce que c’est de l’argent qui sort de la poche des contribuables et des entreprises, tout cela pour payer l’intérêt d’une dette, donc de déficits antérieurs, lesquels ont financé quoi ? Des choses utiles (routes, ponts, armée…) ou des choses inutiles (subventions à assos gauchistes, assistanat..) ? C’est un problème, parce que le plus souvent nous nous sommes endettés pour financer du vent. Et payer des intérêts ad vitam aeternam pour du vent… Il l’est aussi parce que les histoires de dettes des États ne se terminent en général pas bien pour les prêteurs – le jour où l’État leur annonce unilatéralement qu’ils ne seront pas remboursés, ou le jour où un krach boursier/bancaire survient. Vous me direz : on n’a qu’à ne pas être stupide au point de placer son argent dans la dette de l’État. Le problème, c’est que quand cela arrive, ça engendre un effet de dominos, en général, et c’est toute la société qui en pâtit.
Les deux sont un problème : le déficit, et la dette. Le second étant la conséquence du premier. Pas de déficit, pas de dette, c’est aussi simple que ça et c’est ce qui devrait guider l’action des politiques.
Il est évident qu’il faut laisser le moins possible d’argent entre les mains des politiciens, donc qu’il faut limiter les missions de l’État au régalien ; et qu’il faudrait vraiment trouver un moyen pour responsabiliser les politiciens quant à l’utilisation qu’ils font de l’impôt.
Je vais être plus précis : je comprends bien ce que Friedman dit :
– l’argent utilisé à payer l’intérêt de la dette n’est pas gaspillé par les politiciens ; il rémunère des épargnants. Cela empêche les politiciens de dépenser n’importe comment. OK, j’ai bien compris.
Mais Friedman part du principe qu’on a un État vertueux et responsable, qui saura se refréner en matière de dépenses socialistes (inutiles) à cause de l’intérêt de la dette.
Or à mon sens quand un gouvernement dépense de façon socialiste, il est irresponsable par nature. Donc : s’il réduit ses dépenses à cause de l’intérêt de la dette, il taillera dans les missions régaliennes – c’est ce que nous voyons en France par exemple : l’armée, la police, la justice sont très mal traités ; et d’u autre côté, le gaspillage socialiste se poursuit !…
Également : le risque que ceux qui ont prêté à l’État soient à leur tour maltraités est très grand.
Friedman essaie de voir le bon côté de la chose ; mais je crois qu’il se trompe par excès d’optimisme. Dans l’Histoire, une gestion socialiste et irresponsable de l’État a toujours mal fini.
Ça devient illisible alors je vais arrêter, mais fondamentalement je suis bien d’accord avec Friedman : trop d’État conduit à toutes sortes de problèmes.
Ce que je soulevais au départ est comment Trump va s’y prendre, parce que la dette des USA est quand même énorme ; plus de 21.000 milliards à cette heure sauf erreur, soit un bon tiers des dettes cumulées des États du monde entier.
Alain tu me fait penser que mueller a rencontrer 200 témoins et 300 000 documents ont été inspecter par le FBI ….. c’est quand que la putain de chasse aux sorcières ce termine ….. je suis presser de fermer la gueule a tout mes amis anti-Trump et de me foutre de leurs gueules
Je crains que la recherche de poux dans sa tonsure ne s’intensifie avec l’approche de son second mandat, ses rapports d’impôt… (ses chaussettes dépareillées, ses ongles en deuil, son after-shave…).
Je lui ai trouvé les traits tirés ces jours-ci… Pourvu qu’il tienne le coup!
La réalité est que l’extrême-gauche américaine veut appliquer des politiques dont ne veulent pas la majorité des américains donc la seule option qui leur reste pour accéder au pouvoir est de démolir les républicains
Je suis prêt à parier qu’aucun journal français, sauf V.A et B.V, ne publiera un article sur ce sujet.
La stupéfaction des journalistes quand Donald Trump fut déclaré vainqueur restera à jamais gravée dans nos mémoires. D’aucuns en avaient la larme à l’œil.
Le pire, c’est que l’immense majorité des journalistes -mais aussi de nombreux politiques – français ne s’en sont toujours pas remis.
J’avais suivi le décompte toute la nuit. Au petit matin, sur France télévision, la présentatrice météo crut bon de nous faire comprendre son avis sur la victoire de Trump en débutant son bulletin par “Très mauvaise journée !” sur un ton irrité…
Jouissif !
J’ai pris plaisir dans le tram à annoncer la victoire de Trump quand certains croyaient que HC l’avait emporté. Les mines déconfites, le besoin d’afficher à haute voix sans déception l’emportaient… Le pire, c’est que certains étaient tristes en apparence sans savoir qui avait gagné : “Le gars”…
Oui, j’ai lu quelque part que le rally du President a réuni au moins 70.000 personnes, et celui de M. Beto environ 700.
Entre parenthèses, quand ce dernier parle de El Paso ‘la ville des Etats-Unis où la sécurité est la meilleure’, il se moque vraiment du monde !
La stratégie politique du Président Trump semble bonne :il ne faut accepter aucun compromis avec les democRATS sur le MUR même pas un changement de mot. Il faut que ces crapules malfaisantes avides de pouvoir et de corruption mordent la poussière. D’ailleurs ils commencent à céder craignant qu’on ne leur attribut les conséquences du shut down qu’ils ont provoqué. Il ne faut pas lâcher prise, on les tient à la gorge.
@ Nicolas Carras :
Si je disais illisible, c’est à propos de la disposition des commentaires en cascade…
Sur le fond :
1. le problème culturel, y compris aujourd’hui aux USA (des jeunes qui pensent socialiste), je suis bien d’accord,
2. cela étant dit, l’économie est très importante : elle peut entraîner des troubles graves, l’Histoire et l’actualité sont là pour nous le rappeler.
Il est à mes yeux très clair que la dette est un problème. Je n’arrive pas à trouver le moindre cas où la dette ne soit pas un problème. Même si on raisonnait comme pour une entreprise, avec un bilan annuel donc une mise en rapport des actifs avec le passif, cela resterait un problème. L’intérêt de la dette, il faut bien le payer ! (enfin, les générations suivantes, ce qui ajoute de l’immoralité à l’irresponsabilité de gestion)
Stopper les déficits est une première étape très importante, cruciale même. Comment Trump va-t-il s’y prendre ?
Pour le remboursement de la dette, on pourra voir après, certes.
Le problème est dans les mentalités, c’est clair puisque c’est ce qui explique les actes ; mais il est aussi très concrètement économique.
J’aimerai qu’un jour Guy Millière, par exemple, nous donne son point de vue sur cette question.