La gauche a toujours milité contre la religion, et elle continue – mais comme elle s’incline devant le tapis de l’islam avec déférence, elle se rattrape avec les Chrétiens, parce qu’il n’y a aucun danger.
Un certain Apollonios de Tyane se cacherait derrière la figure du Messie, selon la thèse explosive d’un documentaire diffusé sur Amazon Prime.
S’il est un personnage qui fascine près de 2000 ans après sa mort, c’est bien Jésus de Nazareth, l’homme que les chrétiens vénèrent comme le fils de Dieu. Mais tous ne partagent pas cette vision. Un nouveau documentaire disponible sur Amazon Prime prétend que c’est Apollonios de Tyane, un philosophe et prédicateur grec, qui se cache derrière la figure de Jésus-Christ. Selon les auteurs de «Bible Conspiracies», le philosophe vivait au début du Ier siècle dans l’actuelle Turquie.
Mettant en avant une ressemblance physique troublante entre les deux hommes (en particulier des longs cheveux et une longue barbe), ils relèvent qu’Apollonios s’était taillé une belle notoriété avec ses sermons et des guérisons de malades. Entouré de disciples, à l’instar de Jésus, il menait une vie d’ascète, ayant renoncé au vin et aux femmes. «Il aurait ressuscité des morts et aurait parlé de choses hors de la portée de l’homme. Et, contrairement à Jésus, il existe des preuves démontrant qu’Apollonios a réellement existé», concluent les auteurs.
«Fake news» dénoncée
Alors, les premiers chrétiens auraient-il supprimé les détails des supposés miracles accomplis par Apollonios, car ils craignaient qu’il usurpe l’identité du Christ? Si les conspirationnistes et autres théoriciens du complot seront heureux de découvrir le documentaire proposé par Amazon, les croyants, eux, ont vite qualifié cette thèse de «moquerie» ou de «fake news». Pour eux, ces allégations ne reposent sur aucune preuve historique et ne sont étayées par aucun témoignage d’experts crédibles.
20minutes
Bon Dieu que de recherches imbéciles et inutiles dès lors qu’elles sont polluées par des arrières pensées peu avouables.
Concentrons nous sur le message du Christ, ce qui est quand même l’important.
Et à Jérusalem, à cette époque toute cette épopée de Yeshua de Nazareth relève de l’histoire juive et du terreau de cette religion, cette pensée, cette culture juive ! Surprenant, non ?
Maintenant, la part de l’influence grecque dans la vision du Christ, pour indéniable qu’elle soit, reste du domaine spéculatif et sans doute pour une bonne part de la subjectivité de chacun. Les Grecs par leur présence ont fait évoluer les idées dans tous le Moyen-Orient et favoriser l’évolution des religions.
Ces polémiques, comme celle sur le peuple juif “déicide”, sont fatigantes et idiotes.
A chacun de faire au mieux son analyse avec bienveillance et dans un esprit… chrétien !
Eh bien voilà, vous avez dit l’essentiel dans cette affaire et c’est bien ça qui compte. Votre dernière phrase est la meilleure conclusion qui soit.
Cela dit, il est amusant de voir à quel point les Chrétiens adorent discuter à propos des écritures et dans ce domaine à quel point ils se ressemblent aux Juifs.
Et dire que pendant des siècles les chrétiens ont massacré les Juifs les accusant d’avoir crucifié leur dieu juif alors qu’il était grec. Enfin grâce à Amazon les chrétiens vont enfin nous aimer…
D’un autre côté il était peut être palestinien musulman 🤔
Il ne s’agit pas que d’une question “d’amour” entre Juifs et Chrétiens. Et je regrette et condamne fortement le mal qui leur a été causé depuis leur arrivée il y a vingt siècles.
Jeune homme, j’ai appris par le catéchisme l’histoire de Jésus et Judas.
Puis, réfléchissant par moi-même, je me suis persuadé que la réponse est dans les textes, et que le nommé Jésus savait très bien à quoi s’attendre?
Et en fin de compte, il a envoyé lui-même Judas “accomplir sa mission”. Dés lors, il est contre toute logique d’en vouloir à un peuple pour un acte programmé. En veut-on à un peuple entier lors de chaque “Suicide”?
vous avez raison Tozko
je pense que tout le monde sait que Jesus etait juif et il est mort Juif
le christianisme est apparu apres sa mort crucifier par les romains a la place de barabas le truand athée sans attache sauf la cruauté
Pauvre gens! Ils ne savent pas de quoi ils se privent pour avoir l’air “smarth”.
“Apollonios et Jupiter sont sur une branche…” (la branche se rompt, qui est-ce qui reste? Jésus-Christ!)
Quoi d’étonnant pour la Gauche ?
Toute leur idéologie n’est que mythologie et histoires à dormir debout.
Tout de même, s’ils sont athées, ils pourraient respecter les croyances des autres…D’autant plus que Jésus n’est pas seulement un personnage de théologie, mais réellement une figure importante de l’Histoire avec un grand H.
L’existence d’Apollonios de Tyane est bien connue des exégètes. Dans son livre L’Homme qui devint Dieu – Les Source (1989), Gérard Messadié en fait une description détaillé montrant qu’Apollonios était un thaumaturge inspiré par le gnosticisme pythagoricien alors que Jésus était Juif et s’est limité aux milieux judaïques.
Y’a pas photo comme disent les Français.
Dans la Bible, Dieu a pris soin à ce qu’il n’y ait aucun détail physique, justement car le deuxième commandement écrit du doigt de Dieu est de ne faire aucune représentation de ce qui est céleste. Jésus a déclaré qu’il était d’en Haut. C’est une abomination devant Dieu que de faire un e représentation de Chist, quelle qu’elle soit.
Le simple fait d’avoir osé le faire dans l’Eglise l’a conduite dans toutes sortes de déviations. Aujourd’hui on arrive à n’importe quoi
les manuels de catéchèse pour enfants offrent des représentations de Jésus de grande qualité.
ils ont besoin de supports visuels pour comprendre le sens de la Parole.
il est bon d’évangéliser aussi le monde l’image.
Eh oui il est d’évangéliser aussi par l’image. Certains auraient-ils oublié de contempler les (très) nombreuses représentations que nous offrent les hauts et bas reliefs dans nos églises y compris les plus anciennes?
Zut! j’ai oublié le mot bon. Il est bon d’évangéliser… Scusi.
c’est exactement comme dans le coran, mais eux n’en font pas de représentations
Je suis bien d’accord avec vous , les mahometans l’ont bien compris
C’est toujours Dieu qui évangélise.
Avant l’imprimerie, les représentations des Evangiles et de la figure de Jésus-Christ ont puissamment aider à la continuer de l’Evangélisation large.
Votre position intransigeante me semble bien proche de celle des islamistes.
Certes madame. Luc 24 45 “alors il leur ouvrit l’esprit afin qu’ils comprennent les Écritures”.
Pour moi cela signifie qu’en plus de son cœur, il faut aussi faire appel à son intelligence pour saisir le sens des Écritures. Les Chrétiens ont ceci de commun avec les Juifs qu’ils peuvent (je dirais même doivent) discuter les textes. A travers les textes les croyants doivent parler avec Dieu et ne pas le considérer comme un être inaccessible. Et comme toujours se poser la question: qu’a-t’on voulu me dire?
Pour faire simple je prends la comparaison avec le bébé qui pleure. Soit on pense qu’il a mal quelque part ou qu’il n’est pas content ou qu’il fait un caprice, soit on se demande ce qu’il veut nous dire car il n’a que ce moyen de s’exprimer.
Qu’a-t’on voulu nous dire dans les Écritures? Qu’y-a-t’il derrière les mots au premier degré? Si on reste scotché au texte ne risque-t’on pas de passer à côté d’une merveille? Un peu comme quand on visite un monument seul sans les explications d’un guide. Car un concept parfaitement légal, normal et moral dans un contexte peut très bien s’avérer inadmissible à tous les plans dans un autre. Ainsi une lecture à la lettre de la phrase des dix commandements “tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son esclave…” nous donne un Dieu qui admet l’esclavage. Il faut donc aller plus loin, raison pour laquelle on remplace aujourd’hui le mot par serviteur beaucoup plus politiquement correct…
Je rappelle que l’Eglise catholique a supprimé le deuxième commandement et dédoublé un autre pour en remettre 10.
Un article, (entre dix mille) qui compare les deux
http://pages.videotron.com/seldemer/catholique-com.html
Constantin ayant rétabli le culte aux idoles, il fallait “réformer” les dix commandements de Dieu. Quand cela a-t-il été officialiser ? On ne sait, cela remonte trop loin, et ce fut sans doute longtemps tenu secret face à un peuple qui n’a eu l’accès à la Bible qu’en 1950
Encyclique Qui Pluribus du pape Pie IX – 9 novembre 1846
»C’est encore le but que se proposent ces perfides sociétés bibliques, lesquelles, renouvelant les artifices odieux des anciens hérétiques, ne cessent de produire contre les règles si sages de l’Église, et de répandre parmi les fidèles les moins instruits les livres des Saintes Ecritures traduits en toute espèce de langues vulgaires, et souvent expliquées dans un sens pervers, consacrant à la distribution de ces milliers d’exemplaires des sommes incalculables, les répandant partout gratuitement, afin qu’après avoir rejeté la tradition, la doctrine des Pères et l’autorité de L’Église catholique, chacun interprète les oracles divins selon son jugement propre et particulier, et tombe ainsi dans l’abîme des plus effroyables erreurs. »
et c’est reparti!
@ Pat, merci…
Bel exemple d’infaillibilité papale…
Pauvre peuple qui pourrait être intoxiqué par les Saintes Ecritures!
Rien n’a vraiment changé…
Cela me rappelle un grand penseur juif qui parlait d’être comme les petits enfants pour entrer dans le Royaume des Cieux.
Je crois même que ce penseur juif est le seul réellement revêtu d’infaillibilité.
Qu’on se le dise!
encore un fantasme cathophobe: il n’y a aucune “infaillibilité papale” dans ce texte lié à une conjoncture qui n’engage pas les fondamentaux de la foi.
Cathophobe ?
Non mais avez vous lu les mots employés par PIE IX ?
C’est plutôt lui qui déteste les autres.
perso j’aime bien les félins.
accès à la bible en 1950?
joli fake news…
Demi vérité : la lecture de la Bible est libre, mais pourvu qu’elle soit accompagnée…
un accompagnement est toujours bénéfique, en tout cas des clés de lecture, ça évite certaines dérives…
@ Michelle d’Astier de la Vigerie
Chère Michelle,
Affirmer, comme vous le faites, que les catholiques romains n’ont eu accès à la Bible qu’en 1950 (!), démontre une ignorance extrêmement étonnante et inquiétante, pour vous et ceux qui participent à votre séminaire, de l’histoire de l’Eglise en général et de la Bible en particulier. Pour une conférencière protestante évangélique comme vous, cela pose sérieusement la question de votre compétence et de votre crédibilité.
Saint-Jérôme, docteur et Père de l’Eglise historique indivise, a traduit les Saintes Ecritures hébraïques et grecques en latin (version de la Vulgate) au tournant du 4ème et 5ème siècles (période de la fixation définitive du canon néotestamentaire dans l’Eglise latine occidentale) !
Savez-vous quelle langue parlait le peuple, quelle était la langue véhiculaire ou lingua franca de l’Empire romain ? Le latin ! Langue que les habitants de l’Empire romain connaissaient et parlaient ! Le peuple romain avait donc accès à la Bible, grâce à l’Eglise latine occidentale et la traduction de la Vulgate, dès le début du … 5ème siècle ! A ce détail près que, étant donné que l’imprimerie n’avait pas encore été inventée, l’accès à la Bible était considérablement plus réduit mais on très loin de l’année 1950, vous ne trouvez pas ?
Connaissez-vous la signification étymologique de vulgate ? Vérifiez vous-même et vous verrez que cela veut dire “qui a été rendue publique, accessible au public” et le terme vulgate, vient lui-même du latin vulgus, càd, la foule. Autrement dit, l’érudit catholique saint-Jérôme a traduit les écrits hébreux et grecs inspirés en langue “vulgaire”, véhiculaire de l’Empire romain, afin que les habitants de cet empire puisse avoir accès à la parole écrite de Dieu et la comprendre.
Dès lors, prétendre comme vous le faites, que l’Eglise historique n’a permis l’accès à la Bible aux chrétiens qu’en 1950 (!) relève d’une ignorance (ou d’une mauvaise foi, seul Dieu peut sonder votre cœur!) renversante !
Et puisque nous en sommes là, je vous livre mes derniers fils de discussion pour votre information et réaction le cas échéant :
Saviez-vous que les 3 sola’s, triptyque fondateur du protestantisme historique, ne sont mentionnés nulle part dans les écrits inspirés de la Nouvelle Alliance ?
Le canon biblique néotestamentaire parle de scriptura, de fide et de gratia, mais jamais, à aucun endroit, et dans une perspective sotériologique protestante, de sola scriptura, de sola fide ou de sola gratia.
Concrètement, la notion de sola fide a été formulée, ou plutôt inventée à la suite d’une falsification délibérée, de Martin Luther. Ce dernier, à la suite d’une expérience personnelle qui le marqua profondément, en avait déduit que, puisque le juste vivrait par la foi (Rom. 1,17), que cela ne pouvait vouloir dire, selon lui, que le chrétien ne pouvait être sauvé que par la foi et uniquement, seulement et exclusivement par cette dernière. Si vous vous donnez la peine de vérifier dans la traduction biblique de Luther, la Luther Bibel 1545, vous verrez que Luther, a ajouté à et donc falsifié le, texte original grec dans l’épître de saint Paul aux Romains. Il a ajouté l’adverbe allemand “seulement” (allein) afin de faire dire à la parole néotestamentaire écrite de Dieu ce que lui, Luther, voulait lui faire dire, càd, le contraire de ce que Dieu a en réalité voulu dire. Falsification aux effets dévastateurs pour l’unité du christianisme historique occidental.
C’est extrêmement important car les conséquences sont également et surtout dévastatrices pour les protestants et leurs descendants spirituels :
Puisqu’aucun des trois sola’s, fondement de la foi protestante, ne se trouve mentionné, abordé ou développé dans les écrits néotestamentaires, cela signifie que la foi protestante, qui est aussi la vôtre, est construite, est basée sur une fiction extra-biblique, inventée par un catholique rebelle.
Essayons de raisonner, sous forme de syllogisme, et de mener cette réflexion jusqu’à son terme logique. Cela donne, schématiquement et dans les grandes lignes :
Axiome fondamental du protestantisme historique : sola scriptura
Prémisse majeure :
Sola scriptura = tout ce qui est absent de, n’est pas mentionné, abordé ou développé dans, les écrits de la Nouvelle Alliance, est à rejeter car tradition, fabrication, invention de l’homme et non pas vérité venant de Dieu.
Prémisse mineure :
Sola scriptura = absent du canon néotestamentaire.
Sola fide = absent du canon néotestamentaire.
Sola gratia = absent du canon néotestamentaire.
Conclusion :
Sola scriptura, sola fide et sola gratia sont des concepts étrangers au canon néotestamentaire et ne font donc pas partie de la parole écrite de Dieu relative à la Nouvelle Alliance.
Vous savez que, dans un raisonnement syllogistique, si les deux prémisses – majeure et mineure – sont vraies, alors la conclusion, en logique formelle, est implacablement vraie.
Si ce raisonnement formel est vrai, alors cela ne peut signifier qu’une chose : la foi protestante historique, et celle de ses descendants spirituels, est basée sur un mensonge spirituel et intellectuel monumental.
La question que j’aimerais vous poser est la suivante :
Pouvez-vous me démontrer que, dans le raisonnement formel précité, la prémisse mineure est fausse ?
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Et le suivant :
Pour continuer sur la réflexion d’hier, je vous propose d’expliquer le problème du protestantisme sous la forme d’une équation ontologique simplifiée :
Christianisme historique (A) = Eglise (B) + Tradition (C) + Saintes Ecritures (D)
Eglise catholique romaine (l’Eglise historique d’occident) :
A = B + C + D
Cela signifie que, au sein de l’Eglise catholique romaine, l’Eglise historique d’occident, toutes les “variables” de l’équation ontologique, étaient et sont présentes, se complètent et forment un tout homogène, harmonieux et équilibré)
Voyons maintenant, voulez-vous, le rapport qu’entretien le protestantisme historique avec cette même équation ontologique :
Protestantisme historique et ses héritiers spirituels (évangéliques, baptistes, anabaptistes, méthodistes, luthériens, calvinistes, épiscopaliens, anglicans, pentecôtistes, charismatiques, adventistes, mormons, jéhovistes, néo-judaïsants et leurs innombrables dissidences de dissidences de dissidences, etc.) :
A = D’
Que constatons-nous ? Nous remarquons plusieurs choses, non seulement étonnantes mais vraiment étranges :
1) Il manque au protestantisme historique, les “variables” B et C.
2) La dernière variable D, est présente mais sous la forme D’ (ou D prime), donc seulement de manière amputée, mutilée, défigurée, altérée !
3) Il manque au protestantisme historique, schématiquement parlant, plus de 80% de la vérité chrétienne vraie (christianisme primitif et historique, authentique) : ontologique, théologique, historique, ecclésiologique, liturgique et sacramentelle !
4) L’équation de la vérité ontologique chrétienne est appauvrie, sursimplifiée amputée, hétérogène, déséquilibrée et vidée de sa substance existentielle, salvifique et donc erronée, fausse !
Résultat :
Plusieurs dizaines de milliers de communautés religieuses protestantes différentes (plus de 40.000 (!) mouvements différents, avec des enseignements souvent diamétralement différents, opposés et totalement contradictoires, mais tous proclamant détenir et enseigner la vérité !).
Voilà, concrètement, le fruit du chaos et de la cacophonie protestants : le fruit de l’erreur et de la division, basé sur le concept de “sola scriptura”. Chaque protestant devient ainsi, et malgré lui, un “pape” car le protestant “détermine” tout seul mais “guidé par le Saint-Esprit”, la signification du contenu de la parole écrite de Dieu.
Cela pose un problème colossal pour le protestantisme et ses héritiers spirituels précités : Lorsque nous considérons la loi ou principe de non-contradiction, sous ses aspects logique et/ou ontologique, l’Eglise historique occidentale catholique romaine et sa dissidence, le protestantisme historique, ne peuvent pas proclamer des vérités doctrinales diamétralement opposées et/ou contradictoires, et avoir tous les deux raison. C’est parfaitement et logiquement impossible ! Nous pouvons avoir tous les deux tort, être tous les deux dans l’erreur, cela appartient au domaine du possible, mais nous ne pouvons pas avoir tous les deux raison ! C’est totalement exclu ! Soit, tous les deux ont tort, se trompent, soit une des deux parties dit la vérité et l’autre enseigne l’erreur !
Vous n’avez pas pu, à ce jour, démontrer que la prémisse mineure, dans le raisonnement syllogistique précédent, était faux !
Dès lors, quelle assurance avez-vous, autre que votre intime conviction, vos sentiments, vos émotions, votre expérience personnelle subjective qui peut vous induire en erreur, que votre foi, issue du protestante historique, est vraiment vraie ? Le cas échéant, pouvez-vous démontrer votre point de vue de manière argumentée, circonstanciée, étayée par des faits/sources sérieux, vérifiables et orthodoxes (= conformes à la saine doctrine) ?
L’ancien séminariste que je suis n’avait droit qu’à des morceaux choisis de la Bible au séminaire en 1965 pour les moins de 18 ans§
Et encore accompagnés de nos maîtres, donc sous contrôle.
Ce n’est pas parce que Gutemberg l’a traduite qu’elle est devenue accessible et autorisée. Et il vivait à Mayence ce monsieur, pas dans nos pays latins..
Là ce serait bel et bien une fake news de faire croire que le peuple lisait comprenait le latin et avait une bible à la maison!
Oui, la confusion est entretenue entre Bible et missel.
@ Zacharie
Tous les catholiques désireux de lire et de comprendre la Bible peuvent le faire, sans la moindre contrainte. La lecture, l’étude et la méditation des Saintes Ecritures sont vivement encouragées.
Ce que les protestants oublient ou refusent de comprendre car cela irait à l’encontre de leurs intérêts personnels et/ou dénominationnels, c’est qu’il faut toujours contextualiser les écrits officiels de l’Eglise.
Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?
La lecture individuelle, personnelle, sans accompagnement d’un directeur/conseiller spirituel, était découragée (pas strictement interdite) pour des motifs évidents pour qui a des oreilles pour étendre et des yeux pour voir :
L’Eglise historique indivise (ce qui exclut le protestantisme, dissidence catholique du 16ème siècle), a été officiellement instituée, à Jérusalem, Judée, le jour de la Pentecôte et lors de la descente de l’Esprit-Saint sur les premiers disciples du Christ (Actes 2), sept semaines après la résurrection de Celui-ci,
Depuis sa fondation officielle, l’Eglise est assiégée, attaquée, menacée de toutes parts : de l’extérieur mais également et surtout de l’intérieur. Elle a dû lutter contre des courants philosophiques dualistes, gnostiques, des écoles de pensée théologiques hétérodoxes, des dissidences et des hérésies qui menaçaient et continuent de menacer, le dépôt de la foi transmis par les saints apôtres à l’Eglise. Il serait trop long ici d’établir une liste reprenant la plupart des hérésies qui ont vu le jour au sein de l’Eglise et qui ont constitué, et pour plusieurs, continuent de représenter une menace sérieuse pour l’intégrité des enseignements de l’Eglise historique. Aussi longtemps que l’Eglise sera sur Terre, elle sera attaquée, assiégée et menacée.
Dans ce contexte d’agression et de menace permanentes (pour se convaincre de l’état de siège permanent dans lequel vit l’Eglise catholique romaine, voir aussi les réactions fanatiques, virulentes et blasphématoires de plusieurs protestants évangéliques et/ou néo-judaïsants qui interviennent sur ce fil de discussion, qui vomissent sur l’Eglise historique du Christ à longueur d’interventions), l’Eglise historique a invité ses enfants à la plus grande prudence, sagesse et discernement dans la lecture et l’étude de la parole de Dieu.
Pourquoi ?
D’une part, pour ne pas tomber dans le piège de la division sectaire dans lequel sont tombés les catholiques protestataires rebelles Luther, Zwingli et Calvin et, d’autres part, pour protéger les plus fragiles, les plus exposés aux errements des hommes aux discours vains et séducteurs, à une époque où une partie très importante de la population était analphabète, ne sachant ni lire ni écrire. Cette partie de la population, mais pas seulement, était très vulnérable aux enseignements frelatés d’hérésiarques qui se levaient pour tenter d’introduire l’erreur doctrinale dans l’Eglise. Afin d’éviter d’exposer inutilement et dangereusement ses fils et ses filles à l’erreur doctrinale, l’Eglise a eu une attitude de sagesse, de prudence et de discernement : la lecture de la Bible n’était pas formellement interdite mais il était plutôt déconseillé de la lire individuellement sans aucun accompagnement par une personne expérimentée, instituée par l’Eglise. La nuance est de taille, entre un des mythes fondateurs du protestantisme rebelle (= interdiction formelle faite aux catholiques de lire, d’étudier, de méditer la Bible !) et la réalité historique.
L’exemple de saint-Jérôme et de la Vulgate est, à ce titre, très instructif et une preuve irrécusable que, l’Eglise historique, ne nourrissait pas d’intentions secrètes malveillantes envers la Bible en voulant, supposément, interdire l’accès à celle-ci à ses enfants et au peuple. Si l’Eglise historique avait vraiment voulu interdire au peuple l’accès aux Saintes Ecritures, jamais elle n’aurait autorisé le moine érudit saint Jérôme à procéder à la traduction en latin, langue du peuple, au moins jusqu’au début du 6ème siècle, des écrits inspirés hébreux et grecs. Et c’est même tout le contraire ! Afin de permettre justement un accès facile, simple, efficace et utile à la Bible, l’Eglise permit, autorisa, la traduction de la Vulgate, traduction en latin, langue parlée et comprise par les habitants de l’Empire romain.
Il s’agit donc, non pas d’un effort délibéré de restreindre, de limiter et encore moins d’interdire l’accès à la Bible, mais au contraire, de répandre la parole écrite de Dieu, de la diffuser parmi le peuple dans la langue qu’il parlait et comprenait, bien après la chute de l’Empire romain occidental à la fin du 5ème siècle ! C’est donc foncièrement dénaturer (falsifier ?) la vérité historique, comme le fait Michelle d’Astier, que d’affirmer que les catholiques n’ont eu accès à la Bible qu’à partir de l’an 1950 !
Cela me rappelle le gourou fondateur d’un groupe, issu d’une dissidence protestante, qui affirmait de manière tout aussi grossièrement fausse, que le véritable évangile n’avait pas été prêché depuis l’an 50 jusqu’en 1950 (donc pendant 1900 longues années!) et que, grâce à ses efforts, sa prédication et son enseignement, le “véritable” évangile était enfin et à nouveau disponible, prêché et enseigné en Europe ! Voilà où nous conduisent les anathèmes protestants à l’égard de l’Eglise historique occidentale, l’Eglise catholique romaine !
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Arguments bibliques mentionnés par un intervenant en faveur des 3 sola’s du protestantisme historique :
SOLA SCRIPTURA
« Toute l’Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit formé et équipé pour toute œuvre bonne. » – 2 Timothée 3.16-17
SOLA FIDE
« En effet, nous estimons que l’homme est déclaré juste par la foi, indépendamment des œuvres de la loi. » – Romains 3.28
SOLA GRATIA
« En effet, c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter. » – Éphésiens 2.8-9
A-t-on vraiment répondu à la question posée et a-t-on pu démontrer que la prémisse mineure était fausse ? Voyons cela de plus près :
Prémisse mineure :
Sola scriptura = absent du canon néotestamentaire.
Sola fide = absent du canon néotestamentaire.
Sola gratia = absent du canon néotestamentaire.
Votre réponse :
2 Tim. 3,16-17 = scriptura
Rom. 3,28 = fide
Eph. 2,8-9 = gratia
Question : La question initiale et la prémisse mineure, portent-elles sur scriptura, fide et gratia ?
Réponse : Non ! La question et la prémisse mineure ne concernent pas scriptura, fide et gratia mais s-o-l-a scriptura, s-o-l-a fide et s-o-l-a gratia.
Autrement dit, c’est l’adjectif/l’adverbe restrictif “sola” qui manque cruellement et décisivement à votre démonstration. Etant donné que cet élément primordial de la prémisse mineure fait défaut dans votre explication, votre affirmation est invalidée.
2 Tim 3,16-17 : parle des Saintes Ecritures (= scriptura) mais pas, jamais de s-o-l-a scriptura ou les Saintes Ecritures seules/seulement ! Ce passage dit “Toute l’Ecriture …” et non pas “S-e-u-l-e-m-e-n-t (= sola) toute l’Ecriture …” ou “Toute l’Ecriture s-e-u-l-e-m-e-n-t (= sola) …”
Rom. 3,28 : Idem. Ce passage biblique parle de la foi (= fide), nulle part il est question de foi seule ou seulement (= s-o-l-a fide). Sauf dans la version biblique falsifiée de Luther le Faussaire. Ce dernier, dans sa traduction biblique frelatée de la Luther Bibel 1545, a ajouté “allein” au texte original grec pour faire “correspondre” la parole écrite de Dieu avec sa compréhension biaisée de Rom. 1,17.
Eph. 2,8-9 : Idem. Ce passage biblique parle de la grâce (= gratia), mais jamais de s-o-l-a gratia (s-e-u-l-e-m-e-n-t la grâce).
La nuance est d’une importance, vitale, existentielle pour la crédibilité et la survie du protestantisme.
Il est très parlant que, systématiquement, lorsque je pose cette question aux protestants, tous, sans exceptions, comprennent cette question de travers !
Je ne leur demande pas de me montrer un ou des passages bibliques néotestamentaires défendant les notions bibliques de scriptura, de fide et de gratia (ces notions ne posent pas le moindre souci aux catholiques!) mais de m’indiquer, dans le canon néotestamentaire, les passages qui abordent et/ou développent les notions qui correspondent aux trois s-o-l-a’s, fondement doctrinal du protestantisme historique, que sont s-o-l-a scriptura, s-o-l-a fide et s-o-l-a gratia.
Quelques explications cependant sur Rom. 3,28 :
Ce passage nous dit que nous sommes justifiés par la foi, sans les œuvres de la loi.
Question : Ce passage vient-il corroborer l’enseignement du salut protestant sans les œuvres ? Non ! Pourquoi ? Parce que ce passage biblique ne parle pas de n’importe quelles œuvres/actions mais des “œuvres/actions de la loi”. Qu’est-ce que cela signifie ? Pour avoir la réponse, laissons le grand apôtre, saint Paul interpréter ses propres écrits ; laissons-le nous expliquer, nous enseigner la signification de ses propos ; laissons la Bible interpréter la Bible :
A cette fin jetons un coup d’œil afin d’étudier attentivement et de bien comprendre, de saisir, les propos de saint Paul dans son épître aux Galates 2,16 :
“Cependant, nous savons que ce n’est pas sur la base des œuvres de la loi que l’homme est déclaré juste, mais au moyen de la foi en Jésus-Christ. Ainsi, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ afin d’être déclarés justes sur la base de la foi en Christ et non des œuvres de la loi, puisque personne ne sera considéré comme juste sur la base des œuvres de la loi. (SG21 – traduction biblique protestante).
Un peu plus loin, dans la même épître, saint Paul nous dit : ” Moi Paul, je vous le dis: si vous vous faites circoncire, Christ ne vous servira à rien. 3 Et j’affirme encore une fois à tout homme qui se fait circoncire qu’il est tenu de mettre en pratique la loi tout entière. 4 Vous êtes séparés de Christ, vous tous qui cherchez à être considérés comme justes [ou justifiés, NDR] dans le cadre de la loi, vous êtes déchus de la grâce. 5 Nous, c’est de la foi et par l’Esprit que nous attendons la justice [ou justification, NDR] espérée. 6 En effet, en Jésus-Christ, ce qui a de l’importance, ce n’est ni la circoncision ni l’incirconcision, mais seulement la foi qui agit [ou œuvre, travaille, NDR] à travers l’amour. (SG21).
Nous pouvons constater que l’expression “les œuvres de la loi” a trait, en particulier, à l’œuvre vétérotestamentaire de la circoncision physique, et à la loi vétérotestamentaire, en général. Ce que le saint apôtre Paul veut nous enseigner, c’est que toutes nos œuvres, quelles qu’elle soient, ne peuvent pas, à elles seules, nous justifier, nous rendre justes, aux yeux de Dieu. C’est pour cette raison que, saint Paul nous invite, nous encourage, dans Phil. 2,12 : “Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à [oeuvrer à, NDR] votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent” (Seg).
Je cite, sciemment, la version Segond et non pas la plus récente, la Segond 21, dont les traducteurs, ayant identifié ici un piège sémantique potentiel, ont délibérément traduit ce passage (comme une autre traduction biblique protestante, celle du Semeur) de manière à occulter, à camoufler ou du moins à réduire, à minimiser, le volet, l’aspect ou la dynamique personnelle impliquée dans le salut du chrétien.
Nous pouvons également constater que, dans l’épître de saint Jacques 2,22 : “Tu vois que la foi agissait avec ses œuvres, et que par les œuvres la foi fut rendue parfaite.” (Seg). Plus loi, saint Jacques nous dit : “Vous voyez que l’homme est justifié par les œuvres, et non par la foi seulement.” (Seg).
Est-ce à dire que le grand et saint apôtre Paul contredit l’apôtre Jacques ? Impossible, Dieu, ne peut Se contredire car Il est la Vérité. Alors comment faut-il comprendre cette difficulté d’interprétation ? Saint Paul nous enseigne que, notre père dans la foi, Abraham, ne fut pas justifié par les œuvres de la loi vétérotestamentaire (Rom. 4) et l’apôtre saint Jacques nous enseigne que Abraham fut justifié par une œuvre qui représentait l’expression de sa foi en Dieu. Autrement dit, nous nous trouvons dans en présence de textes, non pas contradictoires, mais complémentaires, qui se complètent l’un l’autre.
L’Eglise historique enseigne le salut comme un processus, une marche (un pèlerinage avec Dieu) comme une synergie, une collaboration, une communion qui devrait être de plus en plus personnelle, intime, fusionnelle, sanctifiante entre Dieu et l’homme.
@resistant à la vérité .
Pourtant Paul dans Col 2,18 : “Ne vous laissez pas frustrer de la victoire par des gens qui se complaisent dans une « dévotion », dans un « culte des anges »; ils se plongent dans leurs visions, et leur intelligence charnelle les gonfle de chimères ” nous apprend à nous méfier de l’intelligence charnelle et nous incite à une autre logique dans Ep 4:23 : il vous faut être renouvelé par la transformation spirituelle de votre intelligence .
La raison humaine et l’intelligence charnelle sont les principaux obstacles à la Foi et au discernement.
Vos démonstrations artificielles et construites pour aboutir à votre propre conclusions ne relèvent pas d’une analyse systémique mais bien cartésienne. Esaïe clame “Car mes pensées ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies.” Is 55.8.
Et pour finir :
“Fie–toi au SEIGNEUR de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ton intelligence.” Pr 3,5
Les protestants, les évangéliques, les orthodoxes, ne sont pas vos ennemis, combattez plutôt l’ennemi de votre âme .
@ Villiet,
Col. 2,18 :
Ce passage biblique paulinien, compris correctement, nous met en garde contre une des hérésies païennes qui sévissait à l’époque et qui menaçait les chrétiens de l’église de Colosses. Cette menace, s’appelle le gnosticisme et les philosophes gnostiques qui enseignaient que la salut était accessible par le biais de connaissances particulières et mystérieuses, révélées par initiation (les loges maçonniques n’ont donc rien inventé !).
Vous confondez la raison, le rationnel, la rationalité avec le rationalisme et vous débitez, au passage, une contrevérité himalayesque, digne des héritiers spirituels de ladite réforme radicale zwinglienne.
“La raison, privée de l’apport de la Révélation, a pris des sentiers latéraux qui risquent de lui faire perdre de vue son but final. La foi, privée de la raison, a mis l’accent sur le sentiment et l’expérience, en courant le risque de ne plus être une proposition universelle. Il est illusoire de penser que la foi, face à une raison faible, puisse avoir une force plus grande; au contraire, elle tombe dans le grand danger d’être réduite à un mythe ou à une superstition. De la même manière, une raison qui n’a plus une foi adulte en face d’elle n’est pas incitée à s’intéresser à la nouveauté et à la radicalité de l’être.” (pape saint Jean-Paul II, lettre encyclique Fides et Ratio, 14 septembre 1998).
Vous illustrez parfaitement le danger contre lequel le pape saint JPII nous met en garde dans cet extrait de sa lettre encyclique : ” … La foi, privée de la raison, a mis l’accent sur le sentiment et l’expérience, en courant le risque de ne plus être une proposition universelle. Il est illusoire de penser que la foi, face à une raison faible, puisse avoir une force plus grande; au contraire, elle tombe dans le grand danger d’être réduite à un mythe ou à une superstition.” (Ibidem).
La raison est l’amie, la conseillère avisée de la foi afin de l’éclairer et de la guider vers une relation spirituelle plus épanouie, plus mature, avec Dieu.
Pour l’avoir oublié, beaucoup d’évangéliques, de pentecôtistes et de charismatiques, ont déplacé le centre de gravité de leur vie spirituelle en mettant l’accent, de manière totalement déséquilibrée, sur les sentiments et sur les émotions, au détriment de la raison (raisonner, réfléchir, penser). Cela explique votre incapacité aiguë et chronique (la vôtre mais aussi celle de vos coreligionnaires) à construire une argumentation solide, structurée, circonstanciée, rationnelle. Je relève au passage que vous n’avez pas démontré que la prémisse mineure du raisonnement syllogistique précédemment proposé, pouvait être fausse ! Une des rares choses dans lesquelles excellent vos coreligionnaires, c’est la désobligeance épistolaire. Réaction émotionnelle et non pas rationnelle à des arguments détaillés et structurés, avancés par vos contradicteurs.
Vomir ou réfléchir, il faut choisir !
“Car vos pensées ne sont pas mes pensées, et mes voies ne sont pas vos voies, oracle de Yahvé.” (Is. 55,8).
Comme d’habitude, vous et vos coreligionnaires, vous omettez de placer ce passage biblique vétérotestamentaire dans son contexte. Ce passage du livre d’Isaïe n’a strictement rien à voir avec une quelconque dépréciation ou dénigrement de la raison et de l’esprit critique de l’homme ; Dieu souligne l’abîme infranchissable entre les voies et les pensées des hommes iniques et Ses voies, Ses pensées (v7). C’est un appel à la repentance car Dieu veut offrir le salut (v1) et conclure une alliance nouvelle et éternelle avec Son peuple (v3).
“Repose-toi sur Yahvé de tout ton cœur, ne t’appuie pas sur ton propre entendement.” (Prov. 3,5).
Vous opposez Dieu et raison, esprit critique, raisonnement. Vous construisez une dichotomie factice qui n’a pas lieu d’être. Dieu, et la raison qui éclaire la foi, sont complémentaires, et non pas opposés, contradictoires.
Je n’ai jamais écrit et affirmé que les Orthodoxes étaient mes ennemis, ni même les protestants, en tant que tels. Pour ces derniers, ce sont leurs erreurs, leurs hérésies et leurs blasphèmes abominables que je tente d’exposer et de combattre. Les Orthodoxes sont les frères séparés des catholiques romains ; séparés par un différend davantage d’ordre politique, culturel et linguistique que théologique.
@resistant à la vérité
“ce sont leurs erreurs, leurs hérésies et leurs blasphèmes abominables que je tente d’exposer et de combattre” en faisant des monologues et des soupes imbuvables ?
Je peux comprendre que vous me considériez comme un hérétique bon au bûcher à cause de ce que vous considérez être des erreurs mais pourquoi blasphème abominable ? On dirait un fanatique arriéré islamiste tel ceux qui ont condamnés à mort la chrétienne Asia Bibi au Pakistan.
C’était aussi l’accusation des inquisiteurs…
Vous vous trompez totalement de combat et surtout de cible et vous faîtes le jeu des christianophobes qui profanent les églises et les cimetières, qui enlèvent toute référence chrétienne dans les écoles et les lieux publics, qui produisent des films ou des tableaux iniques, et font passer des lois mortifères à l’encontre des valeurs judéo-chrétiennes.
Que vos yeux et votre intelligence puissent s’ouvrir à la réalité spirituelle que vit cette nation.
@ Résistant,
Vous n’avez toujours pas répondu concernant l'”impérieuse nécessité d’éradiquer” le protestantisme que vous évoquez dans votre commentaire du 3 février à 15:33. Comment voyez vous la chose ?
Je me permets de reprendre à mon compte la conclusion de Barakat dont vous retrouverez le texte intégral dans les commentaires: “A chacun de faire au mieux son analyse avec bienveillance et dans un esprit… chrétien !”
Cela me semble être le seul argument à retenir de tous ces commentaires, même ceux faits avec la meilleure bonne foi (c’est le cas de dire…)
On pourrait polémiquer des heures (et cela a déjà été fait) quant à l’accès des chrétiens à la Bible. Oui St Jérôme a traduit la Bible en latin parce que c’était la langue commune à son époque. La langue commune aux intellectuels, pas à la foule immense du petit peuple non éduqué. Ce petit peuple qui n’avait guère le loisir d’étudier comprenait certes le latin dans ses grandes lignes mais certainement pas au point de disserter dans cette langue. Et quand bien même certains auraient-ils pu le faire, encore eut-il fallu qu’ils disposassent d’un exemplaire de cette fameuse Vulgate à une époque où un livre coûtait une fortune. Si donc en théorie ils y avaient eu accès, il n’en reste pas moins qu’en pratique infiniment peu en disposaient. A tel point qu’il était nécessaire de graver les écritures dans la pierre ce qui nous laisse aujourd’hui les œuvres d’art qui ornent nos lieux de culte.
En outre quoi de gênant à reconnaître que l’Église jusqu’au XVIIe siècle et même plus préférait très très largement se réserver l’accès à la Bible par crainte de certaines interprétations? Il ne s’agit pas de juger les comportements du XVIIe avec la mentalité du XXIe, il s’agit simplement d’admettre le fait historique que la simple possession d’une Bible en français était punissable (parfois beaucoup). Est-ce là une façon de libérer l’accès à la Bible?
Les Chrétiens croient (au sens foi) qu’un rabbi juif nommé Jésus est le Messie et le fils de Dieu. C’est justement Jésus qui a dit à ses contemporains (et à nous-mêmes conséquemment puisque son message est universel et intemporel) que leur façon de comprendre les écritures était erronée et qu’ils en faussaient le sens. Alors oui je veux bien admettre sans difficulté qu’il n’y a pas qu’une seule bonne façon de lire la Bible, que l’on peut parfois en dévoyer les sens même sans mauvaises intentions mais était-ce une raison pour en limiter la lecture même sans le dire vraiment? Quand on entend certaines homélies aujourd’hui, on se dit parfois qu’il ne suffit manifestement pas d’être un homme d’église pour comprendre les textes.
Alors est-ce si difficile d’admettre qu’à l’aune de notre mentalité et de notre culture contemporaines l’église a commis des erreurs dans le passé? Qu’elle les a parfois commises en toute bonne foi et que dans le contexte de l’époque nous aurions peut-être réagi comme elle? Que reconnaître ses erreurs n’a jamais fait que grandir ceux qui le font d’autant plus que c’est précisément cette église qui demande de se repentir sincèrement.
Franchement toute votre argumentation était intéressante à lire cependant moi ce qui me plaît quand je participe à une messe c’est justement que la personne qui est à côté de moi ait éventuellement une autre approche et qu’on puisse en discuter (discuter est différent de disputer).
Quand on croit savoir, il faut savoir que l’on croit et pas croire que l’on sait.
Que de blablabla, dont chaque point pourrait être conversé et bien d’autres ici l’ont déjà fait; Oui, quel pathos… sans intérêt et franchement je baille à la troisième ligne.
Je vais jute rependre le dernier &:
“Dès lors, quelle assurance avez-vous, autre que votre intime conviction, vos sentiments, vos émotions, votre expérience personnelle subjective qui peut vous induire en erreur, que votre foi, issue du protestante historique, est vraiment vraie ? Le cas échéant, pouvez-vous démontrer votre point de vue de manière argumentée, circonstanciée, étayée par des faits/sources sérieux, vérifiables et orthodoxes (= conformes à la saine doctrine) ?”
1 – ma foi n’est pas “issue du protestante historique,” mais d’une rencontre personnelle avec Jésus et ensuite d’une étude assidue de sa parole vivante. Et c’est la mise en pratique de cette parole qui en démontre la véracité, car Dieu n’est pas homme pour mentir et ce qu’Il dit s’accomplit toujours; Je l’éprouve tous les jours.
2 “Quant à Le cas échéant, pouvez-vous démontrer votre point de vue de manière argumentée, circonstanciée, étayée par des faits/sources sérieux, vérifiables et orthodoxes (= conformes à la saine doctrine) ?”. J’en ai écrit 16 livres, des milliers de pages, et même si je vivais 10.000 ans je ne ferai qu’effleurer la révélation !
Quelle question aberrante !
Justement, la foi n’est pas démontrable car c’est la révélation de Jésus-Christ, dieu venant au milieu des hommes …
J’ai un digest, pour vous !
Marc 16:16
Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Je vais vous en mettre un autres. Mais c’est si simple que vous risquez de mettre un siècle à comprendre
Matthieu 11:25
En ce temps-là, Jésus prit la parole, et dit : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants.
J’ai commencé à voir la lumière quand j’ai cessé de me prendre pour une lumière et que j’ai compris que je ne savais rien et que j’avais tout à apprendre. C’est ça, un coeur d’enfant. Bon, je viens de vous faire gagner 99 ans !
@Michelle d’Astier
Ta réponse à l’homme qui résiste est juste, claire, et conforme aux Ecritures!
Je l’aurais fait également mais pas aussi bien.
La foi est un don de Dieu, elle n’est pas à enfermer dans une religion , même dite chrétienne, et seules les Saintes Ecritures sont fiables éternellement, donc le guide par excellence avec la vie du St Esprit pour nous enseigner.
Les beaux parleurs sur les places sont dans la ligne de mire des Ecritures, ils ressemblent à ceux dont la bouche dit des choses orgueilleuses, ils flattent par intérêt.
Jude 1:16… ou aux fleurs qui sèchent…
Le quatrième commandement y est passé aussi.
En tout cas, voici ce que Jésus a dit de lui-même:
“La femme lui dit: Je sais que le Messie doit venir celui qu’on appelle Christ; quand il sera venu, il nous annoncera toutes choses. 26 Jésus lui dit: Je le suis, moi qui te parle.”
Jean 4: 25-26.
Il faut laisser les Ânes braires .
l’écurie n’est guère loin , ils finiront par revenir faute d’avoine.
Ou ça sera la grande précipitation dans le précipice.
@ Abbé Alain René & Pat. J’ai travaillé en 1993 pour les Sociétés Bibliques et depuis cette encyclique de Pie IX les choses ont considérablement évolué dans le bon sens (au sens propre et figuré). Aujourd’hui les sociétés bibliques sont devenues interconfessionnelles et catholiques et protestants y travaillent main dans la main. L’urgence consiste à traduire et diffuser la Bible pour la rendre accessible au plus grand nombre plutôt qu’entretenir vainement les blessures du passé. Et pour être juste, malgré ce que l’on peut reprocher aux catholiques, cette Eglise a clairement contribué à préserver les textes de la Bible au travers des siècles, ce qui n’est pas la moindre des choses. C’est vrai aussi que la Bible est restée longtemps inaccessible à la lecture des fidèles au sein de cette église et que son interprétation dépendait de l’enseignement de celle-ci. Mais, au fond, ce n’est pas tellement différent au sein des églises protestantes dans lesquelles vous êtes également tenus de respecter ses enseignements pas toujours dénués d’erreurs également. A choisir entre les deux, je préfère la liberté relative du protestantisme mais si je peux contribuer à intéresser des catholiques à lire la Bible, je préfère m’en réjouir. Et pour la Bible, comme pour n’importe quelle forme d’apprentissage, il est important d’être enseigné à son sujet, surtout au début et d’avoir un guide, exactement comme lorsque l’on apprend à conduire une voiture ou piloter un avion. Et bien sûr il y a de bons et de moins bons enseignants, de bonnes et de moins bonnes doctrines, nous sommes d’accord.
en tout cas la piété, chez les catholiques,
ou la dévotion au texte littéral, chez les protestants,
ne doivent jamais faire écran à la Parole…
Le pire arrive avec une BD Blasphématoire sur D.ieu et Jésus, éditée par DC Comics.
Sinon comment peut-on s’inquiéter d’une fake-news sur Jésus Christ et dire dans un autre post sur ce même site “Que Ses paroles dans les évangiles sont dignes du Coran” ?
Il faut oser tout de même !!!
@Gedeon
À force d’etre dans l’excès certaines plumes arrivent a dire n’importe quoi, tu le soulignes parfaitement!
J’en profite pour faire de la pub pour l’excellent livre suivi d’un film très bien fait: »L’enquête ».
On est si loin de certains posts débiles, on est dans une vraie enquête profonde, longue et assidue de la part d’un homme qui veut prouver à son épouse bien aimée qu’elle fait fausse route totalement en croyant au Christ Jésus !
La conclusion pour l’enquêteur est à la hauteur de son sujet!
@ Zacharie. Ce que vous dites me rappelle un livre que j’ai lu il y a longtemps par un certain Morisson. Au départ l’auteur s’était fixé comme objectif de prouver que la résurrection de Jésus était une vaste fumisterie inventée par les hommes. Son livre devait s’intituler “La résurrection, réalité ou mythe?”. Il s’est donc mis sérieusement au travail et, au fur et à mesure qu’il avançait dans ses recherches ardues, il est arrivé à la conviction du contraire et son livre s’intitule donc “La résurrection, mythe ou réalité.”. Dieu a de l’humour …
es is nicht azoy toyb vi yene vas vet nit hern
une phrase m’a étonné:
“à l’instar de Jésus, il menait une vie d’ascète, ayant renoncé au vin et aux femmes. ”
et Cana?
quant à marie magdeleine on peut imaginer … qu’il n’ait jamais été un dsk. mais c’est une opinion personnelle qui n’a aucune valeur, un épiphénomène par rapport au message délivré
” il menait une vie d’ascète”
Le concept d’ascétisme n’appartient pas au christianisme. Ce n’est pas un concept juif mais grec. C’est l’essor de l’ascétisme qui a permis l’idéalisation de la virginité perpétuelle…
Jean Baptiste vivant à l’écart, habillé de peaux d’animaux et mangeant des sauterelles au désert n’était donc pas un ascète?
Ça en fait un. D’autres noms ?
faites un quizz avec votre bible de chevet
Dans les familles juives pieuses, le premier enfant né (fille ou garçon) devait être nazir. Il l’était pour une période, plus ou moins longue, tant qu’il n’avait pas révoqué ce vœu. Si l’aîné refusait ou ne pouvait, le suivant prenait la relève et ainsi de suite. Ce vœu impliquait de nombreuses obligations : se vêtir de blanc, n’absorber ni vin, ni viande, ne pas porter de cuir, ne pas se couper les cheveux, rester vierge, ne pas commettre de violence en actes ou en paroles, servir au Temple etc. On peut supposer que Marie se trouvait dans cette période lorsque l’Ange vint lui parler.
La Bible nous donne des exemples d’hommes, qui ont été consacrés nazir dés leur naissance ou, ont fait des vœux de naziréat. Ils ont tous un point commun : la stérilité de leur mère (Gn 30,22 ; Jg 13,3 ; I Sam 1:20, Lc 1 :7…) !
Mais d’autres personnages bibliques, tel Joseph, étaient nazir sans être spécifiquement appelé naziréen.
Le mot naziréen (hébreu nâzîr, de la racine nâzar =séparer) se trouve 63 fois dans l’A.T. Il désigne celui qui se sépare des autres en se consacrant par un voeu temporaire ou perpétuel. Il est aussi utilisé pour prince (Gn 49:26 ; Dt 33:16 ; Lam 4:7), (nézer = couronne) tant la consécration distingue des autres hommes (Ex 29 :6 ; Ps 132 :18 ; II Roi 11 :12 ; Lv 21:12). Chez les anciens Hébreux, les voeux se présentent sous la forme d’un libre contrat entre l’homme et Dieu (ex. Abraham, Jacob, etc.). Plus tard, ils sont réglementés, et les nazirs deviennent ceux qui se lient à Dieu par un voeu spécial sous la forme d’une abstinence volontaire pour une période ou pour la vie. L’abstinence concernait trois domaines : l’être intérieur, l’apparence extérieure et la pureté. (Am 2:11, Jg 13:5-7 ; 16:17 ; No 6).
Le naziréen, sans sortir de la société environnante, se mettait complètement au service de Dieu pour accomplir sa mission, soit comme prophète (Samuel), soit comme guerrier (Samson) au moyen des dispositions particulières que le Seigneur lui accordait. La consécration totale exigeait un don total. L’engagement du naziréen le privait des fêtes où vin et liqueurs coulaient avec largesse. Sa vie ne lui appartenait plus : détente, repos et festivités étaient repoussés à l’expiration de son engagement. La consécration du naziréen n’a pas pour but de comprimer la vie naturelle, comme chez les ascètes, mais au contraire, de la développer dans toute sa richesse pour la consacrer au service de Dieu.
Primitivement le naziréat était perpétuel; mais peu à peu il devient temporaire. Le Talmud en fixait la durée à trente jours. On trouve, dans No 6:1,21, la réglementation du naziréat temporaire.
Il y avait aussi les esséniens qui n’avaient rien à voir non plus avec les ascètes grecs, puis plus tard, l’immense mouvement des ermites du désert : des milliers d’hommes et de femmes qui vivaient seuls dans des grottes qu’on peut encore voir prés de Jericho (la montagne de la tentation) ou près de Béthléem (mar saba) ou en Egypte dans le Sinaï .
@ Pat. Personnellement je lutte contre une tendance épicurienne… Enfin, quand je dis que je lutte, tout est relatif. A votre santé!
lisez sur Dreuz mon article sur Marie de Magdala, qui n’est pas du tout celle que l’on croit…
Et dire que pendant des siècles les chrétiens ont massacré les Juifs les accusant d’avoir crucifié leur dieu juif alors qu’il était grec. Enfin grâce à Amazon les chrétiens vont enfin nous aimer…
D’un autre côté il était peut être palestinien musulman 🤔
les écrits dits apocryphes ont tenté de déjudaïser Jésus pour l’extraire de sa tradition hébraïque et en faire un demi-dieu grec, à la mesure des fantasmes humains, mais cela n’a pas fonctionné, heureusement l’Eglise avait déjà un magistère qui refoulait les atteintes infondées.
Il est humain de chercher à personnaliser ses acquis pour mieux s’en approprier. Y mettre son grain de sel personnel valorisant, pour ensuite, éventuellement, l’exhiber fièrement.
Quand on investit dans un véhicule automobile absolument identique à des milliers d’autres, beaucoup s’empresseront de le personnaliser pour qu’il leur ressemble, qu’il soit plus beau, plus puissant, plus confortables… que les autres, ici des jantes en magnésium, là des pompons dans le pare-brise, ailleurs un carburateur turbo… : on peut y voir un sain orgueil, un processus naturel d’appropriation, une nécessité fondamentale de se distinguer… ou un vice de comportement quand on tombe dans le tuning ou qu’on s’imagine ensuite avoir la meilleure voiture au monde pour grimper aux arbres. Beaucoup d’autres ne s’en soucieront pas estimant qu’un véhicule coûte déjà bien assez cher.
Mais peu importe les modifications qu’on apporte à son véhicule, il faut respecter le code de la route, la signalisation routière, et suivre le sens de la circulation (sous réserve qu’elle ne mène pas manifestement à un précipice bien entendu), et faire preuve de civisme et de prudence… Dans cette perspective, on peut dire que les contraventions sont le fruit du péché et les accidents responsables, celui de la distraction.
J’ai depuis longtemps compris qu’aucun chrétien ne perçoit TOUTES les Écriture de la même manière et que tenter de les accorder sur des points de détails est satanique.
La Bible, ce véhicule de la Parole, a un sens et le seul point de raccord universel que je trouve entre tous les chrétiens, ce sont les paroles de Jésus de Nazareth qui en sont sans ambiguïté, l’origine, le destin et l’accomplissement.
Être Chrétien, est un perpétuel travail d’humilité de l’élève devant le maître. “L’élève n’est pas plus grand que le Maître”. “Qui est ma mère, qui sont mes frères… (mes sœurs, mon prochain…)? Ce sont ceux qui font la volonté de mon père”!!! N’est-ce pas suffisant pour s’entendre chrétiennement.
S’attacher à l’Esprit et non à la Lettre des Écritures est un signe de maturité spirituelle. Sans éclairage spirituel, la Bible est un coran auquel on peut faire dire tout et son contraire.
Mais le Dieu de d’Abraham sollicite incessamment l’intelligence de ses sujets pour y jeter un abondant éclairage.
“Que la lumière soit ; et la lumière fut”. C’est ce que je nous souhaite à tous et le plus vite possible car les Ténèbres gagnent du terrain. N’y participons pas en exacerbant nos différences comme des trophées d’orgueil.
P.S. : Je suis catholique (après avoir explorer différents cultes schismatiques) parce que j’y trouve des célébrations et un enseignement sobres, sacrés, et sous haute surveillance doctrinale béant sur la Lumière. Et foin des scandales temporels qui n’y changent rien et prouvent que l’Église est humaine.
Même si je n’y partage pas tout, dans mon petit véhicule personnalisé.
Quand on lit certains commentaires nous comprenons mieux pourquoi Satan a aussi comme nom “le diviseur”.
Il y a beaucoup de collabos en France et oui à la fin de la guerre mondiale les collabos étaient pendus bref ………….Un jour quand les Vrais Français vont se réveiller et quand ils seront ou pouvoir les Collabos seront pendus mais je rêve
Etre Juif est aujourd’hui moins “tendance” que jamais. Alors on ressort le cher vieil Apollonios des fonds de tiroirs. Il est bien plus présentable qu’un Juif, non?