Il est question, c’est jours-ci, que le président Macron adopte la définition de l’Alliance internationale du souvenir de l’Holocauste (IHRA), qui assimile l’antisionisme à l’antisémitisme.
S’il le fait, il se joindra aux treize autres pays qui ont déjà adopté cette définition, et il est important de signaler que dans ces pays, l’antisémitisme n’a pas baissé pour autant. Au Royaume-Uni, un des pays signataires, il a même explosé – comme en France – C’est dire que tout ceci est de la poudre aux yeux.
Et dans cette ambiance déjà bien malsaine, un ami attentif a porté à mon attention la définition du mot antisionisme par le Larousse.
A sa lecture, j’ai spontanément lancé : “ah les salauds”.
Voici (1) :
Antisionisme
Non masculin
Hostilité à l’existence ou à l’extension de l’État d’Israël.
Je vous laisse apprécier la perversion de l’expression et du non-dit.
Si vous êtes comme moi choqué, ne vous privez surtout pas de le leur faire savoir sur leur compte Twitter : @LAROUSSE_FR – surtout, faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais : restez poli.
Et pour leur faire un petit rappel historique tiré … du Larousse, voici ce qu’ils écrivaient à Palestine dans le Larousse de 1925 :
Voici le drapeau de la Palestine dans le Larousse 1939, histoire de bien insister sur l’inanité de leur définition :
Et toujours mieux, cette définition précise, politiquement suicidaire, tirée du Larousse de 1884 :
Palestine, contrée de la Turquie d’Asie, habitée autrefois par les Israélites, souvent désignée sous le nom de Terre sainte.
Ah ils ont fait du chemin, dans la désinformation, chez Larousse.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
C’est pas demain qu’ils sortiront de Labrousse.
EXCELLENT!
Avant avant, les éditions Larousse se trouvaient au sud de Paris (Porte d’Orléans)
Plus précisément au carrefour de “La Vache Noire”
Certains conducteurs de bus (tous blancs, a l’époque), très inspirés, annonçaient la station avec le jeu de mots laid de: “””” La Vache Noire et Larousse…””””
Désormais ils pourraient dire: “Larousse et les pâles estimes.”
“Hostilité à l’existence ou à l’extension de l’État d’Israël” ?
Par cette définition, ces messieurs du Larousse confirment qu’il n’y a pas l’épaisseur d’un cheveu entre l’antisionisme et l’antisémitisme.
sans parler de la Française Soumise…
Excusez ma remarque, je suis peut-être “simple d’esprit”, mais je ne vois pas en quoi il
serait faux de définir la Palestine comme” territoire primitivement habité par le peuple juif” , et “désigné généralement par l’appellation ” Terre sainte” (??)
De même ” Antisionisme” : il est bien exact que ce terme définit “l’oppositon à la création ou à l’extension de l’Etat d’Israël” (??)
Une subtilité m’a sans doute échappé …(?)
@ Marçu Gisèle
Effectivement, c’est très subtil… 🙂
L’antisioniste hait l’Etat hébreu.
L’antisémite hait les Juifs.
Selon l’antisioniste, contrairement aux autres nations, les Juifs n’auraient pas le droit à leur patrie.
Pour l’antisémite, contrairement aux autres nations, le Juif n’est pas égal en droits.
L’antisioniste veut éradiquer l’Etat d’Israël.
L’antisémite veut éradiquer les Juifs.
Dans la tête d’un antisioniste, les sionistes tuent des bébés, ont attaqué les Tours jumelles le 11 Septembre, contrôlent l’Amérique et toute l’Europe, les banques et l’ONU, fabriquent leurs matzots avec du sang de bébé musulman, ont créé Daesh, et Israël serait un Etat d’apartheid qui discriminerait les non-juifs.
Dans la tête d’un antisémite, les sionistes tuent des bébés, ont attaqué les Tours jumelles le 11 Septembre, contrôlent l’Amérique et toute l’Europe, les banques et l’ONU, fabriquent leurs matzots avec du sang de bébé musulman, ont créé Daesh, et Israël serait un Etat d’apartheid qui discriminerait les non-juifs.
Pour l’antisémite, le judaïsme serait une religion inventé et le peuple juif serait un peuple inventé.
Pour l’antisioniste, l’État d’Israël serait un État inventé.
L’antisémite boycotte les produits, les services et les compagnies tenus par des Juifs.
L’antisioniste boycotte les produits, les services et les compagnies tenus par des israéliens.
L’antisémite de l’Allemagne des années 1930 interdisait les artistes, les athlètes et les écrivains juifs.
L’antisioniste d’aujourd’hui veut interdire les artistes, les athlètes et les écrivains juifs (sauf les écrivains juifs de gauche, comme par hasard).
L’antisémite nazi des années 1930 voulait que le Juif soit identifiable, et lui a donc imposé le port d’une étoile jaune.
L’antisioniste d’aujourd’hui veut que tous les produits provenant d’Israël soient clairement identifiables et identifiés.
Pour l’antisémite, l’holocauste serait un mythe destiné à attirer la sympathie pour Israël, et le seul vrai holocauste serait celui perpétré contre les “palestiniens”.
Pour l’antisioniste, l’holocauste serait un mythe destiné à attirer la sympathie pour Israël, et le seul vrai holocauste serait celui perpétré contre les “palestiniens”.
Pour l’antisémite, le Juif est une cible légitime.
Pour l’antisioniste, l’israélien est une cible légitime.
L’antisémite, ne conçoit pas qu’un Juif puisse se défendre.
L’antisioniste ne conçoit pas qu’un israélien puisse se défendre.
L’antisémite lit le Protocole des Sages de Sion et tous les bouquins des auteurs israéliens de gauche.
L’antisioniste lit le Protocole des Sages de Sion et tous les bouquins des auteurs israéliens de gauche.
L’antisémite nazi hurlait “Juif, retourne en Palestine !”
L’antisioniste hurle “Juif dégage de Palestine !”
Vous voyez…
L’antisionisme et l’antisémitisme ne sont vraiment pas comparables.
Enfin, presque… 🙂
EXCELLENT !
Rico
Je n’avais jamais été aussi en profondeur sur ces deux qualificatifs,
cela m’a aidé a décortiquer cet imbroglio et je t’en remercie.
Merci. 🙂 Et la liste est encore longue…
Je vais essayer de la mettre au propre.
Tout ceci est vrai mais imaginez que vous ne pouvez définir le terme en 1939 comment l’auriez-vous défini? sûrement pas par les mêmes termes qu’aujourd’hui! A l’époque on n’aurait même pas pu qualifier les faux palestiniens de génocidaires puisque le génocide n’avait pas encore eu lieu. A mon avis si on se place en 1939 ce n’est pas faux
@ Marçu Gisèle
C’est le “ou” de la définition de l’antisionisme qui pose problème d’après moi.
1ère partie de la phrase: opposition à l’existence d’Israël. Jusque-là tout va bien, c’est la définition, même.
2ème partie de la phrase: opposition à l’extension d’Israël. Cela suppose que l’extension se fait sur des territoires qui ne sont pas Israël, ce qui est faux. La notion d’extension est connotée négativement en géopolitique, elle renvoie à l’expansionisme guerrier. Beaucoup de gens en lisant cette définition se diront qu’il n’y a rien de mal à se réclamer de la deuxième partie de la phrase. Larousse introduit alors un biais subjectif favorable à la cause antisioniste.
Ainsi, assimiler Jérusalem capitale d’Israël et la Judee Samarie à des extensions de territoire, permet de poursuivre l’activisme d’incitation au terrorisme en toute impunité. C’est de la manipulation à l’état pur.
Pour les autres références, cela me paraît très juste, Larousse au 19ème et début 20ème s’inscrivait dans l’héritage juif et dans la filiation biblique. Mais aujourd’hui, le reniement de nos racines et la volonté de complaisance à l’égard de l’islam ont eu raison…de la raison !
Fleur de Lys
2ème partie de la phrase: opposition à l’extension d’Israël. Cela suppose que l’extension se fait sur des territoires qui ne sont pas Israël,
Il faut être vraiment vigilant lorsque l’on constate une telle erreur dans cette définition
MERCI
Je ne crois pas qu’il faille chercher la petite bête d’autant qu’on a déjà de grosses sur les bras. Le mot extension n’a pas une consonance politique mais explicative : l’agrume est un citron ou une orange etc. Il n’y a pas de politique.
Il faut comprendre que les musulmans n’ont rien à faire dans l’Israël actuel et celui du futur qui sera le grand Israël.
Il est temps pour Israël de faire savoir qu’il n’accepte plus l’existence d’une quelconque menace d’ extinction par égorgement par une engeance volontairement dégénérée par les choix de sa culture halal. Car c’est le rêve de la plupart des musulmans d’égorger les juifs pour laisser la place aux gentils dénommés palestiniens, et plus ils en parlent et plus leurs colères meurtrières montent, parallèlement au sentiment d’impunité que leur donne la politique mondiale.
Faut être dégénéré pour avoir de la sympathie envers l’islam qui est une culture de meurtriers, de pédophiles, de voleurs, de brutes, de menteurs, de fainéants.
Comment peuvent-ils être différents, alors que dès l’âge de 5 ans on les oblige à égorger des agneaux. Le Coran a été écrit pour fabriquer des psychopates suicidaires et ces monstres enragés font peur.
Mais même pour aller vers le suicide ils doivent se droguer tellement ils ont peur de la douleur à cause du poids de la douleur morale qui est en eux par le truchement de l’égorgement des agneaux dès l’enfance, le baptême au sécateur, les ignobles infibulations et excisions, les violences sexuelles qu’ils subissent dès l’enfance par les proches.
Une culture de mort, au même titre de d’autres cultures inspirées par le fécalement léthal, mais tellement progressistes, écologistes, mondialistes, européennes à la mode macronmerkel, américaines à la mode clintonobama, africaines à la mode des sorciers, amazoniaques à la mode des tribus qui font accoucher les femmes en les suspendant les jambes écartés et la tête en bas.
” Car c’est le rêve de la plupart des musulmans d’égorger les juifs pour laisser la place aux gentils dénommés palestiniens”
Et, comme traditionnellement dans leur livre de Belzépute, lorsqu’ils auront fini de faire la seule chose qu’ils savent faire : “Piller, voler, violer”, ils diront encore que c’est la faute de ceux qu’ils ont égorgés s’ils sont encore et toujours malheureux, et ils chercheront le prochain territoire à détruire.
@ MARTIN
Vous dites:
l’Israël actuel et celui du futur qui sera le grand Israël.”
Le “grand Israël” est un pur mythe bidon issu du cerveau des mêmes abrutis qui avaient pondu le fake “Protocole des Sages de Sion” :
Si l’État d’Israël avait voulu conquérir ou annexer ses pays voisins (Liban, Syrie, Égypte et Jordanie), ça aurait été fait depuis longtemps, et sans grande difficulté. Mais ce n’est pas le cas.
Entre-temps, c’est bien le monde arabo-musulman qui a colonisé le tout Maghreb du Maroc à l’Égypte (soit 8000 km d’est en ouest), une partie de l’Afrique sub-saharienne, tout le Golfe Persique et d’autres contrées encore. Ce monde arabo-musulman a donc aujourd’hui 57 États sur 300 millions de km², et il n’entend pas s’arrêter là.
@ Rico : bien sûr en politique TOUT EST BIDON, les politicards ne sont pas à la recherche de la vérité mais de magouilles pour se faire élire. Dans cette affaire d’antisionisme il s’agit d’une part d’un rapport de force et d’autre part d’une analyse politique faite par une toute petite tête sans cervelle celle du gén.dégueule, antisémite, prétentieux, déçu de n’avoir pu “arbitrer” la politique d’Israel sur la base du “je suis grand, tu es petit tu me dois…obéissance” eh oui c’était un con et les gouvernants français trainent sa connerie depuis!
Mais c’est très bien, au contraire !
Selon cette définition, et si le gouvernement fait passer une loi assimilant antisionisme à antisémitisme, toute manifestation d’ “hostilité à l’extension d’Israël” sera désormais pénalement répréhensible.
Ben quoi, on peut toujours rêver, non ?
Absolumment mais les c. viennent nous dire qu’en Angleterre ça existe et ça n’a pas empêché l’antisémitisme. C’est comme si les gouvernants du Bengladesh venaient dire qu’en europe les vaccins n’ont pas empêché la malaria!
Ce qui me choque c’est le mot “extension”.
Sinon, hostilité à l’existence de l’État d’Israël est la définition exacte, puisque les antisionistes veulent détruire Israël et, par la même occasion s’offrir le dessert de tuer tous ses habitants
Oui, ce qui est choquant à mes yeux est le mot “extension”.
Car il sous-entend qu’Israël a des projets d’extension : que c’est un État expansionniste, impérialiste.
Ce qui n’est absolument pas le cas : en effet, au plus, les sionistes actuels réclament l’application des accords de San Remo, validés par la SDN en 1922, à savoir le territoire allant de la mer au Jourdain (et encore, ils auraient pu réclamer la Jordanie, qui faisait partie de la “Palestine mandataire”).
Comme il est légitime de s’opposer à l’expansionnisme, le Larousse sous-entend qu’il est légitime d’être antisioniste.
Cet amalgame entre droit à l’existence (légitime) et extension (illégitime) est une vraie perversité.
Mais ce Larousse date de …1939!!! Israel n’était pas né, ni la guerre des 6 jours ni le dénommé charles dégueule ni rien du tout!
Comment ça, 1939 ?
La définition du mot ‘antisionisme’ dont nous parlons est celle figurant sur le site internet de Larousse, comme JPG l’indique et l’a recopié dans son article. C’est donc la définition actuelle.
Au fait, Monsieur Grunberg, vous avez oublié de mentionner les pièces palestiniennes avant 1948
voir
https://fr.numista.com/catalogue/palestine-1.html
Bonjour, Jean Patrick. Ces définitions ( vous
avez eu raison d’emporter vos vieux dico(s)!)
sont bien utiles. Qu’en ressort-il? Que ladite
“Palestine” a été estimée faire partie tantôt
de la Turquie (les Ottomans), tantôt de la
Syrie.
Autrement dit, l’on prenait en compte soit
l’appartenance politique du moment, soit
l’appartenance géographique.
Que les Israélites l’habitaient. Que
la dénomination Canaan, puis Judée attes-
tent l’histoire biblique. Qu’il y a donc une
vraie continuité entre l’Israel d’aujourd’hui
et l’ancien royaume d’Israël.
Je ne sais de quand date votre définition
de “l’antisionisme”, vue par Larousse; je
viens de vérifier dans le Larousse 1996 de
mon fils: toute sa classe ( CM 1) avait reçu
ce cadeau, de la Mairie du Xème. Le mot
antisionisme n’y figure pas.
Le concept d'”extension” de l’état d’Israel
revient, si l’on comprend bien, à refuser
que la Judée ( et Samarie) biblique fassent
partie d’Israël, pour former un état palesti-
nien dont il n’est fait nulle mention, par
exemple dans le Larousse 1925 que j’ai
sous les yeux également.
C’est évident: c’est comme si on cherchait des références au chasseur F-18! en 1925 ou 1939 qui est indiqué dans l’article! C’est un ANACHRONISME.
On peut discuter ,être outré mais… il s’agit pourtant de la définition de l’antisionisme que l’on ne peut nier..Si vous en voyez une autre ,merci de l ‘indiquer
lisez l’article de JPG publié le 21 février, il publie la définition internationalement dominante sur l’antisionisme : https://www.dreuz.info/2019/02/21/antisemitisme-netanyahou-sest-entretenu-avec-macron/
C’est pourtant exact mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Tout le côté antisémitisme, haine des juifs est occulté
Alors, pour respecter l’étymologie des mots qui nous permet d’en comprendre le sens sans ouvrir un dictionnaire il faut remplacer dans notre vocabulaire courant le mot “islamophobie” (peur de l’islam) utilisé essentiellement pour signifier “haine de l’islam et des musulmans”, par les termes “anti-coranique” ou “anti-islamique” ou “anti-ismaélisme”…
Mais le terme qu correspondrait le mieux à la réalité de l’islam, du coran et des musulmans devrait être étymologiquement “anti-connerie”.
Ceci soit dit en toute objectivité!
D’ailleurs beaucoup d’antisémites se proclament maintenant “anti-judaïque”, moins chargé historiquement, plus “propre” …
Je propose un équivalent à antisioniste pour l’islam : Anti-baboucholâtre.
“Non, non, je ne suis pas islamophobe, je suis antibaboucholâtre !”
Dans l’édition du “Larousse” de 62, la définition de Palestine est tout à fait semblable à celle de 1925 !
Pas de trace en tout cas d’un “peuple p@alestinien” et c’est normal car ce “peuple” n’a jamais existé !
Erratum :
Mais le terme génériquequi correspondrait le mieux à la réalité de l’islam, du coran et des musulmans devrait être étymologiquement « anti-connerie* ».
Ceci soit dit en toute objectivité!
* connerie : Imbécilité, absurdité. V. Bêtise. Action, parole inepte. (réf. Petit Robert)
Sur ce coup, je suis comme Marçu Gisèle, je ne comprends pas la réaction de Jean-Patrick Grumberg à cette définition qui a – me semble-t-il – le mérite de dire l’essentiel en peu de mot.
Une définition ne doit pas être “subtile”, mais elle doit dire clairement et synthétiquement ce qu’il en est.
Jusqu’à présent, les antisionistes que je croisent (et que je combat sur de nombreux sites et dans mon quotidien) tiennent pour illégitime la création de l’état d’Israël et remettent en question son existence même, comme nation du peuple Juif. Bref, ils veulent sa perte.
Je rappelle à tous hasard pour ceux que je pourrais à mon corps défendant choquer que je suis un farouche défenseur d’Israël et que j’applaudi à la création de cet état par les Juifs.
J’espère donc avoir de la part de quelqu’un ici, un éclairage précis et l’énoncé de ce que devrait donc être la définition correcte.
Je suis désolé si mon ignorance peut toucher une sensibilité bien compréhensible sur ce sujet !
Je remercie par avance celui qui voudra m’éclairer.
Toutefois, pour les polémiques inutiles et des définitions analytiques (de plus de deux lignes), s’abstenir.
Les antisionistes accusent Israël d’expan- sionisme.
Anti-sionistes, antisémites … je les ai toujours mis dans le même sac.
Les uns cachent leur haine du peuple juif derrière le mythe palestinien, les autres derrière leur foi en cette idéologie totalitaire maquillée en religion qu’est l’islam, d’autres encore derrière le négationnisme, mais ils en reviennent toujours au même point :
– vous ne pouvez pas vivre parmi nous en tant que Juifs,
– vous ne pouvez pas vivre parmi nous en tant que Juifs assimilés ou convertis,
– vous ne pouvez pas vivre chez vous en Israël,
– vous ne pouvez pas vivre du tout,
– et la cerise sur le gâteau : vous n’existez pas en tant que peuple.
Toujours le même rejet du Peuple Elu.
Ce qui ne change strictement rien au fait que les Juifs sont enfin de retour en Israël, en leur terre Promise. C’est comme ça et pas autrement. Si on passait à autre chose ?
” C’est comme ça et pas autrement. “
Exactement ! Le mot de la fin !
Et pour l’éternité !
On résumerait mieux la situation des antisémites/antisionistes par:les ratés ont besoin de se croire supérieurs à quelqu’un et donc pourquoi pas le juif qui traditionnellement ne peut pas se défendre? Leur problème car ils en ont un de plus, c’est que les Juifs maintenant peuvent se défendre. Donc maintenant les ratés ne sont plus que des…ratés.
RICO , et FLEUR DE LYS
Je découvre vos réponses sincères dont je vous remercie, et, malgré mes gros sabots je crois nécessaire de faire le point sur la “subtilité” plutôt d’ordre sémantique: une définition “juste” est celle qui correspond à la signification généralement admise d’un terme (c’est factuel, et non normatif donc non pour autant justifié ni comparable à un autre terme). Les polémiques se déclenchent en un deuxième temps, a fortiori si la définition en porte le germe …Dire que la St Barthélémy fut un massacre est juste, mais pas pour autant justifié!.. Ceci dit, bravo pour vos démonstrations auxquelles je souscris, et shabbat shalom à tous dans l’amour et la défense d’Israël
Gisèle Marçu (dite “Tova”)