Publié par Dreuz Info le 23 février 2019

Belle description de la présidence Trump, magnifique compte rendu, par Sebastian Gorka, qui prend du recul pour insister sur les fondamentaux du plus grand président de notre temps.

“Quoi qu’il arrive dans les années à venir, écrit l’ancien directeur de la stratégie du président Trump, la politique américaine ne pourra jamais revenir à ce qu’elle était avant le 8 novembre 2016.”

Pourquoi, vous demandez-vous ? Parce qu’un homme d’affaires culotté du Queens a brisé les médias, brisé Washington D.C., et brisé l’ “élite” autoproclamée des deux côtes. Le pieu qu’il leur a enfoncé dans le cœur durera, peu importe qui habite au 1600 Pennsylvania Avenue.

• D’abord, ils se sont moqués de Donald Trump, le candidat. De son apparence, de son comportement, de ses discours outrés.

• Puis, quand il a nettoyé les 16 candidats républicains de l’establishment, ils ont paniqué.

• Le cartel criminel qu’est la machine Clinton a engagé un ancien officier de renseignement britannique – qui détestait Donald Trump l’homme – pour générer un “dossier” de recherche d’opposition farfelue et fallacieuse qui a été utilisé par le département de la Justice et le FBI de Barack Obama – complètement corrompus – pour obtenir sous de faux prétextes un mandat de surveillance afin d’espionner la campagne de son rival.

Mais ils ont échoué.

C’est à ce moment-là que l’intrigue du coup d’État a éclaté.

Je n’utilise pas ce mot à la légère. Cependant, étant donné qu’une autorité judiciaire de gauche, Alan Dershowitz, et le plus éminent historien et stratège conservateur, Victor Davis Hanson, ont utilisé le mot “coup” pour décrire les machinations du sous-procureur général Rod Rosenstein et de l’ancien directeur adjoint du FBI Andrew McCabe, ce choix de mot est délibéré et justifié.

Rosenstein et McCabe n’ont jamais été élus à un poste public, encore moins au Cabinet des États-Unis. Pourtant, de l’aveu même de McCabe, ils ont comploté pour utiliser le 25e amendement de notre Constitution afin de destituer le président dûment élu – un amendement qui a été conçu pour le cabinet du président, dans le scénario terrible que leur supérieur devienne incapable de remplir ses fonctions de commandant en chef.

Le 25e amendement est très clair.

La révocation du président est décidée par le vice-président et la majorité des membres de son cabinet.

Pas par un larbin du FBI dont la femme a reçu 700 000 $ du collecteur de fonds d’Hillary Clinton, Terry McAuliffe, pour se présenter comme Démocrate au Sénat de l’État de Virginie.

Et pas par le procureur général par intérim – un homme qui nommera son ami Robert Mueller comme conseiller spécial pour enquêter sur le président, le lendemain même de l’échec de Mueller dans son entrevue avec le président Trump dans l’espoir de récupérer son ancien emploi comme directeur du FBI.

C’est exactement ce à quoi ressemble un coup d’État – même si, heureusement, il s’agit d’un coup d’État raté.

Le fait est : Rosenstein, McCabe, Peter Strzok, Lisa Page et les autres bureaucrates corrompus ont échoué, et Donald Trump demeure président.

Non seulement cela, mais au-delà de toute attente rationnelle d’un calcul politique standard, et malgré le biais écrasant des médias – la couverture médiatique de Trump était estimée l’année dernière à 90 % négative – sa popularité est d’au moins 52 %, ce qui est nettement plus élevé que pour Obama au même moment lors de son premier mandat.

C’est la preuve que Donald J. Trump a changé l’Amérique d’une manière qu’aucun “expert” ne pourrait l’imaginer.

• Ils l’ont espionné et ont tenté de renverser sa campagne électorale pour l’élection à la plus haute fonction.

• Une fois installés à la Maison-Blanche, ils ont comploté pour l’éliminer.

• Et pendant tout ce temps, les médias et l’establishment dans son ensemble n’étaient soit pas de son côté, soit ils travaillaient activement contre lui.

Pourtant, il gagne, et plus que jamais.

Il suffit de regarder l’accord de vendredi et sa proclamation d’une situation d’urgence nationale à notre frontière sud pour s’en convaincre.

• La Présidente de la Chambre, Nancy Pelosi (D-Calif.), a déclaré publiquement qu’elle ne donnerait au président qu’un dollar pour le mur.

• Puis, après le shutdown du gouvernement et trois semaines de négociations, le président s’est finalement vu offrir 1,375 milliard de dollars par les Démocrates.

• Entre-temps, son chef de cabinet par intérim, Mick Mulvaney, a trouvé 6,6 milliards de dollars, y compris les biens confisqués par les cartels de la drogue, au ministère de la Justice.

• Ainsi, après avoir demandé 5,7 milliards de dollars pour construire le mur, se l’être fait refuser et ridiculiser, le président Trump s’en va avec 8 milliards de dollars pour tenir sa promesse de MAGA aux États-Unis.

• Nancy a promis 1 dollar, l’Amérique se retrouve avec 8 milliards de dollars.

Quand j’ai grandi au Royaume-Uni, il y avait une histoire célèbre qui est devenue une chanson populaire, puis un film. Ça concernait Charles Wells, “L’homme qui a cassé la banque à Monte-Carlo.” Wells entra dans le célèbre casino le 28 juillet 1891 avec 4 000 livres sterling et en sortit avec l’équivalent de 4 millions.

Depuis plus de 30 ans, l’Amérique est prise en otage par une élite politique, économique, médiatique et culturelle qui s’est trompée sur toutes les grandes questions que vous pouvez imaginer.

De l’aventurisme étranger aux politiques commerciales, de la souveraineté nationale à la mondialisation, de l’amour de la patrie à la haine des principes sur lesquels notre nation a été bâtie, un homme a brisé l’emprise d’une “élite” en faillite morale, et ce n’est même pas un homme politique.

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