
Tout le monde l’a maintenant compris : l’affaire Benalla n’est pas une affaire Benalla mais une affaire Macron. Une affaire de magouille et de corruption au sommet de l’Etat.
Source : Lesoir
Alexandre Benalla a passé la nuit en prison pour ne pas avoir respecté son contrôle judiciaire, dans l’enquête sur les violences du 1er mai 2018 à Paris.
La commission d’enquête du Sénat, qui a rendu ses conclusions mercredi 20 février, a demandé au bureau de la chambre haute de saisir la justice pour « faux témoignages », contre l’ancien conseiller de l’Elysée, qui avait été auditionné à deux reprises sous serment, ainsi que contre son ami Vincent Crase.
Dans une lettre adressée au président du Sénat Gérard Larcher, la commission pointe également des « dysfonctionnements majeurs » au sommet de l’État, et met en cause le témoignage de trois hauts responsables à l’Elysée, Patrick Strzoda, Alexis Kohler et le général Lionel Lavergne, les soupçonnant d’« omissions, incohérences » et « contradictions ».
« Tout témoignage mensonger devant une commission d’enquête parlementaire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende », rappellent dans leur lettre le président de la commission Philippe Bas et les deux corapporteurs, Jean-Pierre Sueur et Muriel Jourda.
Concernant M. Benalla, ancien chargé de mission à l’Elysée, ils estiment que « contrairement à ses affirmations, (il) assurait bien, dans les faits, une fonction de protection rapprochée du chef de l’État ». Ils épinglent aussi ses déclarations sous serment sur ses passeports diplomatiques.

D’autres mensonges
M. Benalla et Vincent Crase, ex-employé de LREM et ex-gendarme réserviste en fonction à la présidence de la République, sont aussi soupçonnés d’avoir menti sur le contrat de sécurité privé négocié avec un oligarque russe, Iskander Makhmudov.
Concernant Patrick Strzoda, directeur de cabinet d’Emmanuel Macron, Alexis Kohler, secrétaire général de l’Elysée, et le général Lionel Lavergne, chef du Groupe de Sécurité de la Présidence de la République (GSPR), la commission estime avoir « bénéficié d’utiles informations » de leur part mais elle a « également mis au jour dans leurs déclarations un certain nombre d’omissions, d’incohérences et de contradictions », est-il indiqué dans la lettre.
Ces trois hauts responsables « ont retenu une part significative de la vérité à la commission », notamment « sur le périmètre de la mission de sécurité exercée par Alexandre Benalla », juge la commission, qui demande au Bureau du Sénat « de saisir le ministère public », qui pourra « procéder aux investigations qu’il jugera opportunes ».
La commission d’enquête sénatoriale française pointe également une série de « dysfonctionnements majeurs au sein des services de l’État », qui ont pu « affecter » la sécurité du président français et « les intérêts » du pays.
Lisez et faite passé le plus possible, le sort de notre Pays en dépend, vous allez savoir pourquoi les violences au sein des GJ depuis plusieurs semaines, les frères musulmans avec la complicité d’une certaine gauche sont à la manœuvre. Et le pourquoi de l’affaire Benalla.
http://mohamedlouizi.eu/2018/12/29/gilets-jaunes-et-alexandre-benalla-lours-islamiste-est-sorti-de-ses-banlieues-les-preuves/#_ftnref233
Il n’était pas indispensable de l’installer comme chef des tas, pour comprendre que c’était “Honneurs- grande bouffe- voyages- fêtes et Champagne-caviar”
Il n’y avait qu’à voir sa tronche de jeune “lapineau”.
Toute cette affaire d’Alexandre Benalla, passe-droits, copinages, corruption, abus de biens sociaux, etc, au sommet de l’Etat, est-ce bien là – en dépit de la gravité des faits – l’essentiel, le plus affligeant !
Pour moi, pour aussi exemplaire que ce soit de la déliquescence de notre classe politique, l’essentiel est encore ailleurs.
Car je constate avec stupeur les pedigrees improbables qui circulent sous les ors de la République ! Nous lutons entre autre – paraît-il – contre la menace islamique et il semble que nos institutions n’ont aucune doctrine contre le noyautage.
Nous avions découvert le responsable de la sécurité présidentielle : Marouane Benallah, une petite frappe vénale échappée d’on ne sait où par le fait du Prince.
Mais on peu ont parlé de la suite : le compagnon de la responsable de la sécurité de Matignon, Chokri Wakrim, est également impliqué : il est l’homme qui est venu sortir le fameux coffre de Benalla, en toute impunité, avant la perquisition de son domicile !
Ainsi deux nés musulmans, aux mœurs et comportements douteux, se retrouvent comme larrons en foire aux postes clefs de la République qui assurent la sécurité de notre exécutif : celle de la personne du président et celle du premier ministre et de leurs fonctions respectives qui couvrent bien sûr les secrets d’Etat.
Comment pareille légèreté est-elle possible et tolérée ? A quoi sert-il encore d’avoir des Services Spéciaux, des information classées “secret défense”, des agents secrets dont la vie peuvent être menacées si leur identité vient à être révélée ? Or on constate que les portes sont ainsi ouvertes à n’importe qui, laissé sans contrôle, et dont la seule garantie et le seul mérite est pour le responsable de la sécurité à l’Elysée, les bons sentiments de Dame Trogneux et pour l’infiltré de Matignon, ceux énamourés de la responsable de sécurité – la commissaire divisionnaire Marie-Elodie Poitout ?
Le QI de nos dirigeants a l’épaisseur du papier à cigarette.
Mais on a peu parlé de la suite : le compagnon…
Et bien sûr, la commission d’enquête qui a fait un travail remarquable, salué par tous, est déjà attaquée par la sorcière Belloubet, l’abruti Griveaux, et plus étonnant encore par E. Philippe qui monte lui aussi au créneau. Tous les “zéditorialistes” n’y voient qu’une guerre institutionnelle, alors qu’il s’agit une fois de plus de défendre “le soldat Benalla”, le chéri de Freluquet 1er. Le véritable scandale est là: un président de la raie publique qui se fait fourrer par son garde du corps.
Barakat
Exactement, ce sont des questions essentielles que je me suis posées, comme vous et bien d’autres.
Mais visiblement, dans les milieux dits autorisés, ça ne dérange personne.
J’ai été outrée de la façon dont Strzoda a envoyé promener Philippe Bas.
Sa réaction violente voulait dire : arrête de me faire chier, sénateur de mes deux !
Mariage pour tous
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Mais quand Macron prendra comme époux Benalla ??????????
J’espère que toute cette affaire “pétera” en pleine gueule de Macron ……………
Et qu’il partira par la porte de derrière ( ça il connait !) ………..
Le templier
C’est mon vœu le plus cher.
Par contre, vous avez un Eric Brunet qui clame sur RMC que cette affaire Benalla, ça commence à faire et qu’il n’aimerait pas “que cette histoire foute par terre le quinquennat de Macron”.
Que de paires de claques qui se perdent !
Tout ça c’est une sauce à l’harissa qui pue ! Le pire dans tout cela c’est encore le citoyen français qui paye …!
Il faut davantage de cocktails molotov dans les manifs parce il y en a marre de cette bouse gouvernementale ! Pour qui se prennent-ils ces trous d.c. incompétents, ont’ils oublié que c’est le peuple qui les nourrit !
La commission d’enquête du Sénat n’a que Benalla dans le collimateur ? Il serait donc le seul à avoir menti devant cette commission ? Et les autres, ministres, préfet, conseillers, général, enfin tous ceux qui ont déposé sous serment devant cette commission ….. ? Pas de parjure en ce qui les concerne ?
Qu’il crève au fond d’un trou sans fond et qu’il emmène avec lui le psychopathe de l’Elysėe !
J’entendais hier soir, à la radio, Edouard
Philippe se plaindre que la commission
d’enquête sénatoriale tournât au procès
“politique”.
Votre article, Gaïa Dreuz, relevé dans “Le
soir”, montre, par les citations incluses,
les admirables détours employés pour ne
pas parler de mensonges.
Il va falloir débloquer des moyens pour
la justice.
L’affaire Macron est en marche.
Il n’y a pas que BRUNET ce soir la CLIQUE “LCI” avec PILICHOWSKI (cousine à Hollande), devenue complètement hystérique et défendait “bec et ongles” Macron/Benalla + bien sur un “EM” (ils sont sur TOUS les plateaux + Raffy de l’Obs sans oublier le journaliste qui animait le débat…..Ils .étaient TOUS contre Esther BENBASSA de la commission du SENAT. Drôle de chaine quand on voit également la teigneuse CRESPO MARAT dès qu’elle interroge un POLITIQUE “LR”…..n’oublions pas non plus BFMV pas mieux
Un pouvoir issu du RIC qui ferait en sorte que les amoureux de l’islam ne puisse plus revenir en Europe en moins de 6 ans avec les techniques écologiques de leurs chouchous.