
Il a fallu longtemps pour que la presse française se décide à parler de la situation réelle au Venezuela.
Elle le fait peu à peu, et encore, de manière très partielle. Et, bien sûr, le soutien que les États-Unis sous la présidence de Donald Trump apportent à l’opposition et à Juan Guaido, président de l’Assemblée nationale qui s’est proclamé président du pays voici peu, conformément à la Constitution du pays (que Maduro traite comme un chiffon de papier), s’est trouvé souvent dépeint sous un jour sombre.
Les propos les plus odieux ont circulé, jusque dans des journaux censés être de droite.
Les États-Unis auraient voulu et voudraient encore, ont dit certains (qui ignorent apparemment que les États-Unis sont aujourd’hui les premiers producteurs de pétrole au monde), “mettre la main” sur le pétrole vénézuélien.
Il y a là une “volonté impérialiste” flagrante, ont dit d’autres (qui se gardent bien de dire, sinon en passant, que Maduro bloque à la frontière l’aide humanitaire offerte par les Etats-Unis).
La détestation soigneusement cultivée qui accompagne en France tout ce que dit et fait le Président Trump fait le reste.
On peut comprendre l’embarras qui a été celui de tant de journalistes.
Hugo Chavez a été présenté en France pendant des années comme un authentique socialiste, dès lors digne de tous les éloges et superlatifs. Les articles vantant ses mérites ont été innombrables.
Nicolas Maduro été décrit comme son digne successeur et dépeint lui aussi sous le meilleur jour.
Toute la gauche française, voici quelques années à peine, couvrait de louanges le merveilleux “socialisme vénézuélien”.
Devoir reconnaître que le socialisme vénézuélien est un échec sordide, effroyable et criminel est difficile dans ces conditions.
C’est pourtant un fait : l’échec est là. Et il est sordide, effroyable, criminel.

Un pays disposant de ressources pétrolières immenses n’a plus même les moyens matériels de procéder à l’extraction et à l’exportation de son propre pétrole.
L’alimentation, qui devait pour l’essentiel être importée, est absente, et la faim règne.
Les commerces sont en faillite et leurs étals sont vides. Les produits non alimentaires sont eux-mêmes absents.
Pour l’essentiel, les véhicules ne circulent plus faute de carburant.
Un peu plus de trois millions de Vénézuéliens ont quitté le pays et demandé asile aux pays voisins (Colombie, Brésil), et l’exode ne cesse pas.
Ceux qui s’émeuvent de drames humanitaires survenant ailleurs sur la planète pourraient s’émouvoir, car c’est un réel drame humanitaire de très grande ampleur qui a lieu.
Ils s’émeuvent fort peu, voire pas du tout.
Il en est ainsi parce que le drame est un résultat du socialisme et montre de manière obscène ce qui arrive quand des idées délétères qui séduisent encore en France un électeur sur cinq (et qui reçoivent le soutien ou, pour le moins, la sympathie d’une grande majorité de journalistes) sont mises en œuvre.
Il en est ainsi, de fait, parce que la vie d’êtres humains leur importe moins que la survie du socialisme lui-même.
La détestation de ces gens ont de Trump les conduit à occulter que celui-ci réagit humainement à un drame humanitaire et répond à un appel à l’aide des pays de la région, qui discernent qu’ils ne peuvent faire face seuls au drame, et savent que celui-ci ne peut que s’amplifier démesurément si rien n’est fait.
Mais ce n’est pas seulement Trump que détestent ces gens.

Leur détestation s’est aussi déversée, ces derniers mois, sur Jair Bolsonaro, Président du Brésil, qu’ils ont qualifié de “fasciste” parce qu’il n’est pas socialiste et vient de remplacer Dilma Roussef qui, elle, était socialiste et qui, prenant la suite d’un autre socialiste, Lula da Silva, aujourd’hui en prison pour corruption, achevait d’entraîner son pays vers la ruine. (Jair Bolsonaro est en supplément ami des Etats-Unis et d’Israël, ce qui n’arrange rien aux yeux de ceux qui l’insultent)
Leur détestation de Trump leur fait omettre que les États-Unis sous Trump sont en croissance et en situation de plein-emploi et connaissent une prospérité sans précédent depuis les années Reagan.
Leur détestation de Bolsonaro leur fait occulter ce qu’était la situation du Brésil avant lui, et les raisons qui font que les Brésiliens se sont tournés vers lui.
Elle leur fait occulter ce qui fait que des millions de Vénézuéliens veulent aujourd’hui échapper à la misère et à l’oppression.
Préférer un dogme aux êtres humains est monstrueux. La gauche est monstrueuse.
Que des gens de droite se rallient parfois à la monstruosité de la gauche est affligeant, et révoltant.
Les dirigeants des pays européens, peu à peu, rejoignent le camp de la démocratie et de la liberté au Venezuela. Mieux vaut tard que jamais. Mais ils le font avec beaucoup trop de modération.
Nombre de journalistes français continuent, eux, à maquiller les faits. Une phrase publiée voici peu dans Le Nouvel Observateur est éloquente : Juan Guaido tente d’ “asphyxier économiquement le gouvernement du président Nicolas Maduro”. C’est donc Juan Guaido le responsable ! Et c’est le gouvernement Maduro qui risque d’être asphyxié économiquement ! Ce n’est pas la population du pays qui souffre de l’asphyxie économique provoquée par la gestion de Maduro. Non… L’article n’est pas signé. Le journaliste qui l’a écrit a dû avoir un moment de honte…

Donald Trump a prononcé lundi à Miami un superbe discours, humain, émouvant, noble, puissant, digne des plus grands discours de Ronald Reagan. Il y appelle l’armée vénézuélienne à pratiquer la désobéissance au nom de la dignité humaine et dit aux généraux du pays que le régime Maduro va tomber, que le peuple vénézuélien va retrouver la liberté et échapper à la misère et à l’oppression et qu’à ce moment les généraux qui seront restés du côté de ceux qui infligent misère et oppression n’auront nulle part où aller. Il y explique remarquablement pourquoi le socialisme conduit toujours à la destruction et à la tyrannie.
J’en parle ici, car je doute fort qu’un seul journal ou magazine français parlera de ce discours.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
bernie sanders va dire que c’est des fakes news … alexandria ocasio sanchez va dire que c’est des fakes news , melenchon va dire que c’est des fakes news … bref le socialisme est la culture économique de la pauvreté et de la faillite
Bonjour Mr Millière
Très bien dit. Bravo
Le socialisme est une doctrine du 19ème siècle qui a été essayée et a détruit toutes les économies des pays qui l’avaient adoptée. Ceci est un fait et non de la fiction.
L’URSS, les pays de l’Europe de l’Est, les pays africains, le Chili, et tant d’autres ont connu la misère lorsqu’ils étaient socialistes, et aujourd’hui un pays anciennement riche, le Venezuela afait faillite. Et puis beaucoup de conflits mondiaux ont été commis pour la cause du socialisme.
Ô combien de soldats sont tombés en Russie en 1917, en Europe pour la gloire du national-socialisme (nazisme), en Afrique durant les révolutions de décolonisation, en Indochine et en Corée. Le communisme n’est qu’une sorte de socialisme extrême mais fait partie du même dogme (ex : association Marchais + Mitterrand). En Israël les grands conflits de 1948, 1956, 1967 et 1973 ont eu lieu durant des gouvernements socialistes ( Ben Gourion, Levy Eshkol, Golda Meir) . Pourquoi? Il y a certainement une raison à cela. Peut-être que les socialistes, rêvant de chimères, d’amour et d’eau fraîche, projettent une image de faiblesse à ceux qui les guettent.
Enfin, heureusement que Donald John Trump est venu au monde le 14 Juin 1946, sa destinée était de nous sauver in extremis des griffes du monde des progressistes-démocrates-libéraux-socialistes, ces nouveaux abrutis de ce XXIème siècle
Amitiés
Chers Messieurs Millière et Cohen,
Ce qui m’afflige le plus, c’est que la France est un pays socialiste.
Et pour longtemps.
Que faire?
Malheureusement le dogme gauchiste sévit dans l’education la justice les médias, il conditionne des générations entières et perdure encore malgré son fiasco sans s’amender ou se remettre en question ! J’espere qu’on verra bientôt la fin de cette idéologie nefaste! Quant aux journalistes qui desinforment sciemment avec des mensonges, ils devraient être radiés comme les médecins fautifs!
Les Vénézuéliens ont voté à maintes reprises pour Chavez et Maduro. C’est un mauvais choix mais c’est leur choix démocratique. Le peuple Vénézuélien s’est sacrifié pour démontrer au reste du Monde que le socialisme est une catastrophe. Les Français peuvent les remercier, c’est sans doute grâce aux Vénézuéliens que la France évitera la présidence de Mélenchon.
Merci cher Guy d’avoir mentionné le calvaire des Vénézuéliens. Ca nous tient tres a coeur en Floride. C’était tout à fait approprié pour Trump de venir à Miami pour un discours, vu que tellement de Vénézuéliens ont trouvé refuge ici depuis plus de 30 ans. On en compterait beaucoup plus s’ils pouvaient, géographiquement marcher jusqu’à nos frontières américaines. Apparemment, la région au nord-ouest de Medellin et jusqu’en Amérique centrale est infranchissable. On nous dit qu’en moyenne chaque adulte venezuelien a perdu 11 kg en un an, et que le manque de médicaments cause de nombreux décès (sans parler des nombreux meurtres). Une amie vénézuélienne raconte que les gens font la queue toute la journée pour une petite ration de nourriture – qu’ils doivent répéter le lendemain. La faim et les queues préoccupent les gens toute la journée – ca les empeche de penser a autre chose.
Darn commies and darn socialists. Ils pourrissent la vie au monde.
Mr Millière,
Bon, comme d’habitude, vos exposés sont frappés au coin du bon sens. Je vous admire surtout par la passion et la patience que vous avez pour la France. Oui, c’est dur de voir le pays où l’on est né s’enfoncer petit à petit dans la fange gauchiste. Les Français se suicides, mais le savent-ils ? L’Agence Tass Française (nommée populairement AFP) déforme à plaisir leur façon de raisonner. Vous êtes parmi les derniers héros qui bataillent pour le vrai, celui qui a fait notre grandeur passée (hélas finie). God bless you et bon courage.
cher Guy
je pencherais que ce n’est pas un électeur sur cinq en France qui admire le socialisme mais 75% d’entre eux à travers les nombreux sondages en faveur du rétablissement de l’impôt sur la fortune. C’est pourquoi la France s’enfonce lentement mais sûrement dans la pauvreté à travers un arsenal législatif qui en a fait désormais l’enfer fiscal numéro un de la planète. Les journalistes français ne dénoncent que les paradis fiscaux. Tant que l’envie sera majoritaire dans ce pays, il n’y aura pas d’espoir pour un retour à la croissance et à la richesse.
Bien d’accord avec vous Bernard, j’allais écrire la même chose.
Pour info, j’ai présenté deux propositions sur le site de Priscilla Ludovski, une des leaders des Gilets Jaunes ( https://le-vrai-debat.fr/ ), dont l’une était la fin du monopole de la Sécurité sociale. Je l’ai fait juste par curiosité, pour voir les réactions : j’ai obtenu 8 votes négatifs, et deux votes positifs. Et les arguments avancés par trois contradicteurs ont été les mêmes que l’on entend continuellement dans les médias ou de la bouche des politiciens, spécialement de gauche comme Mélenchon.
Les propositions qui reçoivent le plus de votes positifs sont des propositions socialistes, vous pouvez le vérifier vous-même. C’est très impressionnant. Je savais que le mouvement des GJ avait été infiltré par la gauche, mais pas à ce point-là.
C’est très inquiétant pour la France.
Les gens, même parmi ceux qui veulent que la France retrouve sa souveraineté, même parmi ceux qui veulent stopper l’immigration et l’islamisation du pays, sont très fortement imprégnés de socialisme.
Bien à vous.
Le “fanatique sectaire” est d’accord avec cette relativisation,le PS a bien décroché et c’est tant mieux.Par contre,l’esprit socialiste peut encore perdurer longtemps tellement il a été pilonné longtemps dans les esprits.Sectaire,strangulateur de l’économie,christiannophobie et inscrit dans la lutte des classes basique,”les riches” contre “les pauvres”.
oui, c’est réel et, en plus, ne certaine morgue envers ces gens qui meurent de faim par la volonté d’une idéologie politique. Ls français mériteraient Maduro, et si Macron n’avait pas l’Europe et les US derrière lui, il y viendrait, par orgueil et par déformation énarchique de son esprit.
Les révolutions ne sont pas finies.
@ Nicolas Carras
Et quand on est républicain, on vote “Les Républicains” ? Mince, je n’avais pas compris !
Blague à part, vous vous doutez bien que le socialisme est d’abord, un état d’esprit qui vise à réclamer l’interventionisme de l’Etat bien au delà de sa sphère régalienne (or, s’il pouvait déjà se satisfaire de ce périmètre et agir efficacement en matière de justice, sécurité, frontières, ce serait tellement bien !). Et la droite française est malheureusement bien gangrennée par cet état d’esprit.
@ Nicolas Carras
Qu’il y ait une grande part d’ignorance et de conditionnement dans l’attrait pour l’etatisme ne fait aucun doute. J’ai moi même grandi dans une famille de gauche de la banlieue rouge, donc je comprends ce que vous écrivez.
Mais nous avons autour de nous des exemples de pays qui pratiquent des politiques libérales sur le plan économique (USA, Royaume-Uni, PBas..) qui sont à même de nous inspirer. Et pourtant, je n’entends pas beaucoup de Français vanter les mérites de ces pays (sauf ceux qui s’expatrient). Même en faillite, notre modèle économique reste bien souvent pour le Français moyen le meilleur des modèles.
C’est d’ailleurs peut-être pour cela qu’il cherche des boucs émissaires pour expliquer cette faillite au lieu de voir qu’il est l’artisan de son propre malheur par son attachement à un modèle économique vicié.
@ Nicolas Carras
D’abord, une remarque de méthodologie: vous ne pouvez pas comprendre les tendances de fond qui sont à l’oeuvre si vous n’acceptez pas la synthèse et l’abstraction.
En histoire, en sociologie, en politique, on catégorise. Il est d’ailleurs intéressant de constater que les catégories créées évoluent avec le temps et selon les regards, dans leur sémantique et dans leur contenu. Il n’y a rien de péjoratif.
Sur l’Amérique, je ne crois pas que manger un hamburger et voir un film de Clint Eastwood font du Français un adepte du libéralisme économique américain: sociétal peut-être, mais économique, c’est moins certain.
A quoi je vois que le Français moyen continue de plébisciter le socialisme et l’etatisme ? Par son vote.
Lorsque que Fillon a évoqué son projet de refonte de la sécurité sociale, de deremboursement de certains médicaments liés aux affections bénignes (rhume..) , souvenez vous de la levée de bouclier. L’important n’est pas de savoir si Fillon avait raison ou tort, c’est la refus du débat et la crispation qui le sont et qui sont éclairants.
De même, je me souviens avoir entendu parler d’Alain Madelin quand j’ai commencé à m’intéresser à la politique (il avait alors disparu du monde politique) : il était présenté comme un libéral, ses théories ont-elles convaincu les Français à l’époque ?
Je vous accorde qu’il reste possible que quelqu’un du talent et du charisme de Trump puisse effectivement emporter l’adhésion d’un maximum de Français. Ce ne sera pas simple, compte tenu du conditionnement et du formatage de la pensée en France, mais le niveau de décomposition est tel que cela reste envisageable.
Enfin, en ce qui concerne la tentation du bouc émissaire, je trouve en effet une propension plus grande en France à accuser l’autre (en ce moment, ce sont les “riches”) plutôt qu’à balayer devant sa porte. J’impute cela au poids de l’idéologie en France qui fait obstacle au pragmatisme. J’ai vécu de longs mois au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États unis pendant mes études et c’est mon ressenti, libre à chacun de le partager ou pas.
chavez gouvernait par référendums
maduro par la kalachnikov, les vénézuéliens votent avec leurs pieds!
il semblerait que de plus en plus des zélites françaises voudraient faire tirer à balles réelles sur les manifestants!
Le très triste exemple du Vénézuéla devrait (au même titre que celui de Cuba, ou même de la Corée du Nord, ou de l’ex-URSS…) faire prendre conscience à la frange importante de la droite française dite “patriote” qui est très imprégnée d’idées socialistes, que nos problèmes économiques graves – chômage de masse, paupérisation croissante de la population, endettement colossal… – ne viennent pas uniquement, loin s’en faut même, de l’immigration (clandestine ou non) et de l’islamisation du pays.
Une politique socialiste, où l’État se mêle de tout, fourre son nez partout, impose des prélèvements de toutes sortes, en particulier sur les créateurs de richesse et ceux qui sont désignés indistinctement à la vindicte populaire sous le vocable de “riches”, sous le prétexte de “justice sociale” et de “redistribution”, ne peut mener qu’à la catastrophe.
Et non seulement les premières victimes d’une politique socialiste sont les plus vulnérables, les moins bien formés, suivis de près par les classes moyennes ; mais c’est dans ce type de système que l’on observe les plus hauts niveaux de corruption des politiciens. Faut-il rappeler par exemple que la fille unique d’Hugo Chavez, María Gabriela Chávez, est la personne la plus riche du Vénézuéla : https://fr.express.live/la-fille-dhugo-chavez-est-la-personne-la-plus-riche-du-venezuela/
À l’heure où les Gilets Jaunes dénoncent, avec raison, la corruption du monde politique, et les avantages indécents que l’oligarchie en place s’octroie sur le dos de ceux qui font vivre le pays, il est à espérer que l’exemple du Vénézuéla servira de leçon. (certains me répondront, je sais : on peut rêver !)
Entièrement d’accord avec le texte et les commentaires. Je voudrai juste vous prévenir que le prochain pays en faillite socialiste est l’Afrique du sud. C’est très simple, ils sont en train de prendre la trajectoire de leur voisin le Zimbabwe. Ils ont décréter qu’ils voulaient faire une nouvelle réforme agraire sans indemnisations des propriétaires. Le premier et le seul je crois, à s’en émouvoir à été Donald Trump.
Aucune politique de gauche n’a jamais marcher, toutes les réformes agraire (soft , dure ou violente)ont été des échecs lamentables.
Gaspard tu as raison car la chasse aux blancs en afrique du sud
En lisant cette phrase: “Préférer un dogme aux êtres humains est monstrueux. La gauche est monstrueuse.”, j’ai été particulièrement frappée par sa profondeur. Notons que les gens ont la même attitude face à toute idéologie ou toute religion, particulièrement l’islam.
En fait, privés du vrai Dieu, ils se font un faux dieu: leur dogme. Une idole (du grec “eidolon”, c’est un reflet (valorisant !) de soi-même, une IDENTITÉ de rechange. On n’est plus monsieur ou madame X, personnage lambda au milieu de 7 milliard de personnes, on est musulman (par ex), dont adepte d’une religion censée faire de vous un juste et une candidat au paradis (réservé à peu). Est-on socialiste ? Dans l’esprit de beaucoup (c’est le résultat de décennies déclarant cela), nous voici nous sentant humaniste, généreux, tolérant, ouvert…
le socialiste sert l’HOMME-DIEU, censé être bon par nature. Le résultat est à la mesure du mensonge, épouvantable !
Avec simplement les yeux ouverts, on peut s’apercevoir que plus les pays sont chrétiens (ou juif, comme Israël), plus la prospérité est au RV, surtout les pays protestants et soutenant Israël. Trump est un homme extrêmement intelligent. Pourquoi ? Parce qu’il a trois fois plus de neurones que la moyenne ? Non ! Parce qu’il croit au Dieu Tout-Puissant et qu’il soutient Israël. Alors Dieu lui accorde la sagesse d’en Haut, mais aussi l’autorité et le soutien nécessaire pour prendre les bonnes décisions.
C’est pas compliqué !
Pourtant, allez démontrer cela à un socialiste. Il va vous haïr parce que vous touchez à SON dieu, son idole, le socialisme. En fait, c’est à sa propre identité que vous touchez …
Quand on se convertit à Christ, notre identité sur terre, on s’en f… Nous devenons citoyens du ciel avec une merveilleuse identité “enfant de Dieu” (Jean 1), et des missions à accomplir sur terre où nous sommes “ambassadeurs de Christ”. (2 Corinthiens 5:20).
Aucun titre sur terre n’est aussi élevé, et toutes les cartes de visites à rallonge paraissent dérisoires.
Quand je rencontre des chrétiens socialistes ou anti-Israël, je sais que j’ai affaire à des chrétiens de noms, pas à des chrétiens nés de nouveau (Jean 3). (Idem d’ailleurs avec tout ceux qui se parent de titres ronflants dans la chrétienté: cela prouve juste qu’ils sont encore citoyens de la terre, non du ciel, et ce, dans toutes les dénominations).
Mon identité ? Michelle, enfant de Dieu, en passe de recevoir un nom nouveau quand je serai là-haut:
Apocalypse 2:17
Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises : A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n’est celui qui le reçoit.
Ce qui ne m’empêche pas d’être, sur terre, française aimant la France, en rogne contre ceux qui détruisent la France. Cela commence par les socialistes…
Je n’aime pas la France, je la pleure.
Sinon, votre analyse est très juste, chère Michelle.
Nous sommes obligés de constater que le socialisme a encore beaucoup d’adeptes en Françe. C’est sans aucun doute la conséquence de 60 année de propagande ou tout les milieux ont été infiltrés. Tout ce qui passe à la télévision est réalisé en vérifié par des instances socialistes, tout le cinéma français est totalement infiltré, 90% de l’éducation nationale, la justice et son mur des cons etc…
J’ai constaté qu’avec le mouvement gilets jaunes (dont forcément beaucoup sont de gauche) les gens commencent a comprendre a quel point on leur ment. A quel point on les manipules. Ils ont enfin compris que ceux qui détiennent le pouvoir ne défendent en aucun cas leurs intérêts.
C’est un début vers une chute de la grande propagande, tôt ou tard une majorité verra enfin la réalité telle qu’elle est.
Et à ce moment là, il seront bien difficile a berner.
D’ailleurs, ceux qui sont au Pouvoir ont souvent pris l’étiquette socialiste parce que c’était “porteur”. Discutez avec eux, sans leur masque public de socialiste-bien-sous-tout-rapport, vous verrez bien peu d’idéalisme, d’altruisme et de générosité vraie (pas touche à mon portefeuille personnel !). Ils sont juste ambitieux, égocentriques, et franchement ils s’en foutent de l’idéologie socialiste !
Une anecdote. Ce devait être vers l’année 70. Très amie alors avec Edgar Faure (alors Président de l’Assemblée nationale”, je me vois proposer par lui d’aller me présenter à la députation dans une ville tartempion de France, sous l’étiquette… communiste. J’aurai son soutien.
Choquée (parce qu’il le savait très bien !), je lui fais remarquer que je suis une farouche gaulliste.
Je me souviendrai toujours de sa réponse.
– Mais, ma chère Michelle, z’a (Il zézayait pas mal, pour ceux qui s’en souviennent !) n’a aucune importanze ! C’est juste pour prendre 2 ou 3% à untel qui ze prézente, afin qu’on fazze pazzer notre candidat !
J’aurais bien aimé lui rendre ce service, mais l’étiquette communiste m’aurait collé à vie à la peau. J’ai préféré me retirer de cette compétition !
OUF !
MERCI à Monsieur Millière d’avoir particulièrement bien démontré la tare originelle et les effets délétères de la politique dite “socialiste”.
Merci également à tous les commentateurs ci-dessus d’avoir exprimé les désillusions des peuples assujettis à ces régimes politiques.
Le constat est général et le consensus unanime.
MAIS, dans un simple souci de réalisme , et pour qu’effectivement le drame actuel du Vénézuela puisse apporter des leçons transposables, il me semble utile de souligner que la brusque et brutale chûte des prix de l’or noir (95% des recettes d’un pays qui n’a pas d’autre ressource…) constitue une explication irréfutable de la catastrophe !
Conclusion primaire pour l’Economie d’un Etat (comme un particulier décide de ne pas mettre “tous des oeufs dans le même panier”) il faut veiller à DIVERSIFIER les sources de ses revenus en instituant un mix optimal original selon les atouts du pays.
Bien sûr une équipe gouvernementale avertie des problèmes macro économiques est préférable à une clique d’idéologues avant tout soucieux de leurs propres interêts.!..
Je suis évidemment d’accord avec votre analyse, cher Guy Millière, mais ce qui me gène, c’est l’ingérence américaine.
Les ingérences n’ont jamais marché.
Quelle est votre analyse là dessus?
Chers Messieurs Millière et Cohen,
Ce qui m’afflige le plus, c’est que la France est un pays socialiste.
Et pour longtemps.
Que faire?
Bonjour Yorel
Si l’on est gouverné par des socialistes dans un pays traditionnellement démocratique , exemple la France ente les 2 conflits mondiaux et la France après 1945 et on est plutôt partisan d’un système basé sur une économie de libre marché, de réduction d’impôts à tous les échelons et d’encouragement aux entrepreneurs d’idées commerciales bénéficiant la nation et le particulier, et bien on mange de la vache enragée socialiste pour quelques années jusqu’aux prochaines élections. Entretemps pour survivre il faut être très prudent dans les dépenses domestiques et envisager dans le cas extrême une émigration vers un pays traditionnellement non socialiste si c’est possible.
Si le glas a déjà sonné pour la France qui est ruinée dans son capital humain, monétaire et pouvoir d’achat il y aura tôt ou tard une contre révolution anti socialiste. Pas parce que je le prédis mais parce que c’est dans les gênes millénaires des peuplades qui ont construit la France. La France est entourée de pays latins, germaniques et mixtes de tous les côtés. Elle se trouve à un carrefour que l’on nomme hexagone en plein milieu de courants politiques et autres diverses qui l’ont toujours influencée. La France n’a jamais été statique, ce n’est pas dans son caractère. Les Français aiment débattre et après l’épuisement des débats intellectuels ils passent à l’action. C’est une question de temps. On ne peut blâmer que les électeurs français pour le gouvernement qu’ils ont. Les faux messies peuvent prêcher toute la journée mais ceux qui les écoutent doivent assumer tout le blâme.
Patience, les gouvernements sont comme des marées. Des fois le drapeau est noir mais les marées sont changeantes. Un jour le drapeau signalera une belle mer d’azur . Ce jour- là on boira le champagne ici à Dreuz info.
Quand il s’agit de soutenir le mouvement #MeToo, la gauche radicale n’a, à juste titre d’ailleurs, aucun problème. Mais pour reconnaître les exactions commises contre des femmes par des régimes révolutionnaires de l’Amérique latine ou leurs dirigeants, dans ce cas, alors, c’est silence radio.
Jamais un mot, de cette gauche, pour dénoncer le tabassage fait périodiquement par les troupes de choc du régime castriste,contre les « Dames en Blanc », dont le seul délit est de demander la libération des prisonniers politiques à Cuba. Pas un mot, non plus, pour rejoindre les mouvements féministes et répudier le chef de la révolution sandiniste, Daniel Ortega, le patriarche de la gauche radicale au Nicaragua, accusé par Zoilamérica sa fille adoptive, de viols répétés. Pas un mot, non plus, pour compatir avec Lilian Tintori, épouse du prisonnier politique vénézuélien Leopoldo Lopez (aujourd’hui en résidence surveillée), fouillée dans ses parties les plus intimes, juste pour l’humilier, un jour où elle rendait visite à son mari en prison. Pas un mot, enfin, pour montrer ne serait-ce qu’un soupçon d’écœurement à l’égard des dénonciations du sergent Harry Solano Vargas aujourd’hui exilé en Colombie qui accuse les sbires du régime de Maduro d’avoir torturé et violé plusieurs femmes membres de sa famille, y compris sa mère, afin de le punir pour sa prise de position en faveur du président en charge du Venezuela, Juan Guaidó.
https://www.contrepoints.org/2019/02/23/337798-la-decheance-de-la-gauche-radicale