Rappelons d’abord ce qu’est la féodalité
Etymologie : du latin feudum, fief.
Un peu d’Histoire :
La féodalitéest une forme d’organisation de la société qui, en Europe, atteint son apogée au Moyen Âge. Elle est apparue du X au XV siècle après le démembrement de l’Empire carolingien, conséquence du déclin de l’autorité publiqueet d’une autorité centrale affaiblie.
Elle consiste en une sorte de confédération de principautés, de seigneuries, de fiefs, concédés à des seigneurs investis chacun d’un pouvoir souverainsur leurs propres domaines, mais inégaux en puissance, subordonnés entre eux, et ayant des devoirs et des droits réciproques.
Ces fiefs, qui constituent l’unité politique de base de cette époque, sont souvent en conflits les uns avec les autres et peuvent être suffisamment puissants pour contester l’autorité du roi
Le vassalest celui qui, ayant reçu du seigneur suzerainune propriététerritoriale nommée bénéficeou fiefainsi que sa protection, doit en contrepartie accomplir pour lui certaines obligations (militaire, financière, judiciaire…).
Au départ limité à l’aristocratie guerrière, ce type de relations, utilisé pour une protection plus efficace des domaines du roi, suzerain des suzerains, s’est étendu à l’ensemble de la société, jusqu’aux serfs, personnes attachées à la terre du seigneur, avec qui ils ont un rapport de vassaux à suzerain.
Par extension, le terme féodalité est utilisé pour qualifier le pouvoir considérable que peuvent détenir certaines classesde la société. Exemple : la féodalité financière, industrielle.
Il y a beaucoup de fiefs, en France : l’Élysée, bien sûr, l’Assemblée Nationale, le Sénat, les ministères, les instances régionales, les grandes institutions comme le Conseil Constitutionnel…
Autant de niches très prisées parce que nanties de sièges de pouvoir, très lucratifs, très honorifiques, pas toujours occupés par des gens compétents, et même rarement, car raflés par l’oligarchie, notamment énarchienne, toujours franc-maçonnique, passage quasiment obligé pour y avoir accès.
Ce sont des fiefs.
Il y a d’autres fiefs tenus par des syndicats, avec des avantages et des privilèges parfois effarants, arrachés, grèves après grèves, ou dans les coulisses politiques: EDF, GDF, SNCF, toutes les entrepises autrefois nationalisées et où l’État garde une forte emprise …
Le plus puissant des fiefs, celui qui règne sur les autres, c’est Bercy, avec ses 145.000 fonctionnaires dont beaucoup sont assermentés, (pour garder le silence, avant tout ! ), et grâce à l’énorme pactole issu des taxes et impôts prélevés aux Français, pactole qu’il gère dans une opacité absolue. Son compte-rendu remis à l’Assemblée nationale chaque année pour le vote du budget n’est que la jolie et vertueuse partie que Bercy veut bien montrer.
Tous les barons de ces fiefs se serrent les coudes : on ne met pas en péril une équipe qui gagne, non pour la prospérité du pays, mais pour conserver et accroître ses privilèges. Depuis l’élection de François Hollande avec la vague gauchiste qui s’est emparée de tous les fiefs, le féodalisme socialiste est devenu une sorte de monarchie absolue, dont le micro Macron est (je l’espère !) le dernier bénéficiaire avec un mandat dictatorial dont il avait hérité et qu’il élargit, entre autres par la terreur et l’utilisation abusive de la force publique
Ce féodalisme moderne n’est pas conféré à des aristos – cette élite à qui on accordait des fiefs parce qu’ils avaient mis leur vie au service de la France, quitte à en mourir. C’est une nouvelle féodalité. Elle n’est pas issue de la noblesse de cape et d’épée, ni de la noblesse terrienne, ni même de la noblesse de cour (à moins que l’on reconnaisse l’Elysée comme possédant une cour royale, qui peut octroyer, sans aucun contrôle, des avantages exorbitants à des gens surgis de nulle part. Des Benalla, par exemple).
Cette nouvelle caste féodale est sans aucune noblesse de cœur. Elle est cimentée par des alliances secrètes et obscures….. C’est celle de barons-rongeurs qui ne cessent de grignoter le fromage que Bercy leur donne à manger, et qui n’ont vraiment aucun souci des Français. Au contraire, ils veulent les exterminer, car ils ont une sale réputation, ces Français, celle de se mettre en colère quand on les tond jusqu’au sang. Et leur colère est dévastatrice quand elle se met en branle. Donc il faut les exterminer.
La féodalité d’autrefois, pour se défendre, avait érigé des châteaux forts et des donjons pour se défendre contre les ennemis. Cela la défendait surtout des féaux. Le féal, c’est une personne qui est fidèle à une autorité supérieure, en particulier à son suzerain, à son souverain. C’est un serviteur, un sujet. Mais parfois, il se rebiffe, car lui aussi peut être tondu financièrement.
Le système féodal prenait aussi appui sur la vassalité.
Le vassal, c’est celui qui est dépendant d’un seigneur ou d’un souverain. Dans la féodalité d’aujourd’hui, on peut considérer comme vassaux tous les fonctionnaires, mais aussi les membres du parti majoritaire, surtout les élus, et bien sûr, tous les journalistes et faiseurs d’opinion dépendant financièrement du pouvoir, pour tout ou partie.
La vassalité descend en cascade sur tous les organismes dépendant des subsides de l’Etat: Ursaff, sécu, Pôle Emploi, entreprises subventionnées, ONG, Associations, syndicats, instances régionales…. surtout quand ces organismes disposent à leur tête de sièges lucratifs, mais éjectables, car dépendant d’une soumission absolue au pouvoir. Ne parlons pas des migrants entièrement dépendants de ces subsides pour survivre.
La gauche a excellé depuis des décennies à multiplier les fonctionnaires, notamment dans l’éducation nationale, dans la police et dans tous les corps constitués. Il faut y ajouter tous les subventionnés par les allocs, la sécu ou aides diverses. Ils font donc partie des vassaux dépendants de l’Etat. Patiemment, la gauche les a formatés dans la pensée unique. Le but ? Le pouvoir, toujours plus de pouvoir, toujours plus de moyens de conserver ce pouvoir.
Je cite (Toupie) : “À chaque recul de la souveraineté populaire, à chaque disparition de la République, correspond un retour en force, franc ou dissimulé, de la justice régalienne.”.
Donc une justice, elle aussi, soumise.
Notons que le mot « régalien », si souvent avancé, vient de « roi »: L’adjectif régalien qualifie ce qui appartient à la royauté, au roi, ce qui lui est propre, qui le concerne. Par extension, l’adjectif régalien désigne ce qui est attaché à la souveraineté, du ressort exclusif de l’État .
Sauf que l’État « républicain » n’est pas un homme responsable devant Dieu, comme l’était chaque roi. C’est un conglomérat d’individus, dont seuls quelques visages émergent : les élus du moment et parfois certains hauts fonctionnaires. Autrement, une flopée d’anonymes qui tirent les ficelles en coulisse, sans être jamais personnellement responsables de rien, ni sur leur biens propres, ni sur leur liberté. Ils peuvent prendre les décisions les plus catastrophiques, on passe l’éponge. Même la Cour des Comptes n’a pas le moindre pouvoir d’épingler les coupables.
Nous comprenons mieux pourquoi la souveraineté nationale, censée être celle d’une démocratie, est escamotée, amoindrie, voire anéantie, ce qui est la cas en France.
On l’a vu récemment. À la demande d’un RIC (Référendum d’initiative citoyenne) , l’Élysée a répondu par une proposition de RIP (Référendum d’initiative partagée), rapidement jeté aux oubliettes: Macron ne tient pas à se confronter au peuple, même avec des questions biaisées d’initiative gouvernementale)
Parlons maintenant de la troisième catégorie de personnes dans le système de Vassalité, le Tiers État. Lisons d’abord la définition de Wikipédia :
« En France, le tiers état désigne sous l’Ancien Régime, toute personne qui n’est pas membre des deux premiers ordres, le clergé et la noblesse, qu’elle appartienne aux communautés urbaines ou rurales, prospères ou pas, c’est-à-dire la très grande majorité de la population française, qui payait des taxes disproportionnées par rapport aux deux autres États, privilégiés en ressources et en droits. »
Les syndicats, ONG, Associations humanitaires ont aujourd’hui remplacé le clergé. Beaucoup sont intouchables. Beaucoup savent démontrer qu’ils sont indispensables, même s’ils ne dépendent pas d’une générosité publique spontanée, mais d’une solidarité forcée, et même si leur mode de fonctionnement a parfois été largement dévoyé (On se souvient de scandales sur certains détournements de fonds ou des méga salaires versés aux dirigeants, avec des avantages en nature très dispendieux).
Mais le « Tiers État » moderne, lui, à cause de la féodalité socialiste, est revenu à son statut d’antan. Il est composé de ceux qui produisent, de ceux qui travaillent dur, de ceux qui créent, de ceux, en bref, qui alimentent la maison France. Ils sont chaque jour davantage ponctionnés par le système féodal qui vit à ses dépends, qui le parasite, et qui trouve toujours de nouveaux prétextes (on peut citer le « réchauffement climatique ») pour le ponctionner encore plus. Et comme ce Tiers État murmure, on veut le faire disparaître et le remplacer par la population d’esclaves dont on a facilité l’invasion, donc qui vous est redevable et qui est maintenu dans la crainte de l’expulsion. Le système féodal part du principe que cette population à forte natalité, après avoir été d’un poids financier écrasant (écrasant uniquement pour le Tiers État contraint de financer), deviendra un jour rentable pour nourrir féaux et vassaux, et tout l’appareil étatique.
J‘ai à annoncer aux Français une bien mauvaise nouvelle pour ceux qui n’ont pas encore compris. LA DÉMOCRATIE N’EXISTE PLUS EN FRANCE, ET CE, DEPUIS LONTEMPS : DE PROFUNDIS. C’est juste un trompe-l’œil qui vous est présenté par cette féodalité socialiste qui se rit de vos gesticulations. Vos votes sont orientés par la désinformation systématique et la promotion programmée d’hommes désignés par avance, comme le fut Macron, vassal dépendant financièrement du féodalisme (oligarchie) qui l’a mis en place (lui, c’est un vasssal grassement payé). Le clan socialiste vous méprise. Il a décidé de penser pour vous, via médias et émissions TV. Tout est truqué, et, de fait, vous êtes rayé d’un véritable droit de vote ! Vous ne pouvez refuser les hommes du sérail qu’on vous propose. Vous pouvez voter blanc ou ne pas voter, pour protester, cela ne compte même pas. C’est ainsi qu’un Macron a pu passer avec 18 % des voix, et le sérail de s’exclamer qu’il est passé à la majorité des voix.
Pauvre France, déchiquetée, lacérée, par une bande de loups affamés de pouvoir, de sièges d’honneur et d’émoluments iniques !
Désespérant, non ?
Je ne suis pas désespérée. Il y a longtemps que je proclame, ici ou ailleurs, que Dieu va renverser les plans de ces malfaisants qui vous pillent. Pourquoi ? Parce qu’il est écrit:
Ps 33:8 Que toute la terre craigne l’Éternel ! Que tous les habitants du monde tremblent devant lui! 9 Car il dit, et la chose arrive; Il ordonne, et elle existe.10 L’Éternel renverse les desseins des nations, Il anéantit les projets des peuples; 11 Les desseins de l’Éternel subsistent à toujours, Et les projets de son cœur, de génération en génération. 12 Heureuse la nation dont l’Éternel est le Dieu ! Heureux le peuple qu’il choisit pour son héritage !
J’ai la certitude que Dieu a mis sa main sur la France, une nation qu’Il chérit car elle s’est donnée à Lui à travers ses rois (Clovis, Charles VII, Louis XVI…), et que Dieu n’oublie jamais une alliance. Peu importe qu’elle soit millénaire ou séculaire. Le temps, pour Lui, n’existe pas: c’est Lui qui l’a créé !
C’est l’heure où Il va nettoyer son aire, car la puanteur de l’iniquité de la France est montée jusqu’à ses narines.
Accrochez vos ceintures, ça risque de secouer très fort !
Oui c’est la réalité toute nue!
Excellente comparaison avec la féodalité actualisée Ve République.
Mais, inutile de terminer sur des extraits de la Bible pour présager sans trop risquer de se tromper, que le mouvement des Gilets-Jaunes, qui a résisté à l’hiver sans se tarir, risque de prendre une ampleur prévisible au printemps avec les élections européennes du 26 mai (Mai 19?).
C’est pour ça que la clique féodale totalitaire définie dans votre article “fesse dans l’tas” tant et plus (au point d’avoir à s’expliquer devant l’ONU) pour désamorcer la rage “prolétarienne” qui va lever la poussière des pavés de Mai 68… surtout s’ils troquent leur gilets jaunes pour des gilets noirs, question de se fondre avec la police…
Une grande manifestation, interdite par le pouvoir, aura quand même lieu et l’Europe, exsangue de sa bonasserie va s’enflammer peut-être le temps de grand ménage de printemps, peut-être plus durablement.
La Grande Question : Qu’en sortira-t-il cette fois-ci?
Les Français vont-ils se mettre à porter le fez et à faire des prières de rue? Ce serait l’actualisation de ce qu’a donné Mai 68 : des toutous matés, dociles, gauchisés, égocentrés, infantilisés, dépendants des “générosités” de l’État dont ils sont les bailleurs de fonds en s’imaginant que c’est gratuit… grâce aux médias trop grassement subventionnés pour être honnêtes.
Maudit pétrole! Grâce à toi nous avons fait un bond civilisationnel ; à cause de toi, nous sommes en train de perdre notre âme!
Je suis d’accord, sauf sur la dernière ligne: “Maudit pétrole! Grâce à toi nous avons fait un bond civilisationnel ; à cause de toi, nous sommes en train de perdre notre âme!”
Israël, sans pétrole, a fait un bien plus grand bond “civilisationnel”, et elle en a fait profiter le monde entier.
Et si nous perdons notre âme, c’est que nous avons voulu le beurre et l’argent du beurre… sans Dieu
La Démocratie c’est une Agora où le Peuple de la Cité peut d’abord entendre un débat contradictoire entre des orateurs libres, puis prendre part au vote. Nous sommes passé de la Cité antique à la Nation, et de la Démocratie directe (aux rares endroit où elle a existé) au système représentatif parlementaire.
Tant que la Presse que lisait le Peuple était pluraliste (preuve de sa Liberté) nous pouvions nous considérer en Démocratie. Depuis une vingtaine d’années la Presse a perdu des ressources propres : annonces immobilières et carrières et emplois passés sur Internet. Moins de ressources disponibles pour produire sa propre information, rend celle-ci moins attractive, et le lectorat se réduit. Les chaines TV et radios ont capté ce lectorat désabonné, mais elles sont loin de garantir un pluralisme comparable : toutes ces chaines doivent demander un agrément à une instance, le CSA, nommée par les dirigeants de l’Etat !
L’année de la Presse macroniste (2016-2017) a démontré la partialité de la Presse d’Etat, et de celles des industriels, fournisseurs de l’Etat.
L’Agora étant réservée aux partisans et avocats du pouvoir, ne reste qu’un système électif, centralisé, plébiscitaire : la présidentielle. très insuffisant pour
Adhésion totale à cette analyse.
Un seul point: vous faites le contresens classique mais grave sur le mot “absolu”
Dans monarchie absolue, absolue vient du participe passé latin ansolvere, qui signifie détacher, rendre libre.
La Monarchie Absolue, mise au point par Louis XIII et XIV, see voulait indépendante des puissants de ce monde. Donc au service des peuples.
Rien d’une dictature ou d’une tyrannie.
Merci pour cette précision d’importance !!!
Car nous avons bien perdu notre souveraineté avec ces tenants d’une Europe sans patries, et ses oukases imposés à tous ceux qui ont adhéré (y compris contre leur gré, comme la France). Il n’est qu’à voir le rouleau compresseur contre le Brexit, pauvre Térésa May !
@ Yorel
La monarchie absolue se voulait “indépendante des puissants de ce monde” : oui, mais précisons qui sont les puissants du moment, la noblesse (dont les princes de sang, cf la trahison du Grand Condé) et les parlements. L’absolutisme de Louis XIV est une réponse à la Fronde et à sa fuite, enfant.
Ajoutons que la noblesse ne sera vraiment jamais domestiquée, elle se fera de plus en plus acheter sa loyauté (on est loin de l’esprit chevaleresque de la féodalité et du code de l’honneur décrits par Chrétien de Troyes), au point de participer aux libelles contre Marie Antoinette et à la desacralisation de la personne royale (même si Louis XVI, par son attitude débonnaire, a aussi contribué à cette dévalorisation).
Le but de cet article est-il de montrer que notre système actuel est un simulacre des rites de la féodalité dont il oublie le sens (servir) et la finalité (la grandeur) ? Dans ce cas, pourquoi pas…
Je dis cela parce que le système féodal coïncide avec l’essor d’une magnifique civilisation, européenne et chrétienne: code de chevalerie, bâtisseurs de cathédrales, essor de l’économie marchande, codification du mariage par l’église, unification du droit, développement des universités… Rien de tel aujourd’hui où nous sombrons dans le déclin.
L’oligarchie socialiste me semble ainsi davantage calquée sur les principes de l’Etat centralisé et autoritaire des 17/18ème siècles, conséquence de la monarchie absolue (ce que vous évoquez en fin d’article avec la notion de tiers-etat) que sur la féodalité qui, à ce moment là est terminée, la société est alors figée, elle n’a plus rien avoir avec la société féodale mutualiste et le pouvoir est absolutiste.
On est bien d’accord, c’est une féodalité (qui implique des seigneurs et des esclaves: serfs, vassaux, etc), SANS LA MOINDRE CHEVALERIE, SANS AUCUN CODE D’HONNEUR, SANS LA MOINDRE NOBLESSE, ET SURTOUT SANS AUCUNE INTÉGRITÉ.
Oui, une parodie monstrueuse, car les Seigneurs avaient pour première mission de protéger la population (ils ont évidemment commis bien des abus), pas de l’exterminer !
Pour que le mal socialiste œuvre avec tant d’impunité et ait la réputation d’être le bien c’est que ses membres sont inspirés, et protégés par le mal tant qu’ils ont les bonnes notes diaboliques, et qu’ils font donc dans l’allégeance lèche babouche volontaire, ostensible et efficace. De temps en temps certains arrêtent volontairement ou involontairement de faire le mal et dans la foulée leur maitre à qui ils se sont vendus par déshumanisation volontaire leur donne un accident de parcours, ils avalent leur bulletin de naissance, ils partent les pieds devant, ils s’en vont avant l’heure, ils quittent le monde et ils vont en enfer.
Quand aux autres ils espèrent qu’en persévérant dans le mal ils monteront dans la hiérarchie, pour devenir des collabos en enfer et éviter les bobos et les momos, c’est leur seul espoir. Y a pas plus cons qu’eux.
J’ai bien peur que prochainement, il n’y ait pas assez de place à peindre sur les parois des grottes, pour tous les prétendus “artistes”.
De toute façon il faut bien se rendre compte que la France actuelle est foutue. La majorité du budget est utilisé à du clientélisme par les politiciens de tout bord. L’Etat a déjà rogné sur toutes les dépenses régaliennes (routes justice sécurité etc) Et si il décide de diminuer “les droits acquis” (RSA APL , chômage etc) ce sera la révolution , les banlieues se révolteront. Donc tout est coincé et on ne pourra en sortir que par une révolution. La situation est comparable à celle de 1789 par bien des aspects
Article instructif ,en parallèle avec notre époque .
Comme dirait Jacouille la fripoulle :
OKKKKKAYY !
Excellent article qui n’est même pas désabusé, c’est bien la réalité qui a débuté avec le gén. de gaulle à la petite tête et cervelle inexistente et qui se pérpétue avec le socialisme. Bien sûr c’est facile de s’emparer du pouvoir par le mensonge et avec l’aide des merdias, la majorité” étant des veaux seule parole vraie que de gaulle ait jamais prononcé. Comment convaincre les crétins que la gauche n’apporte pas la démocratie? On se demande même si ces crétins ne veulent pas de cette démocrature croyant y avoir…intérêt! La stupidité est sans limites.
Ce joli descriptif d’une féodalité qui s’invente des moyens de protection (“châteaux et donjons”) est illustré de nos jours par les monuments: Union Européenne , Cour de justice de l’Union, Conseil européen, Conseil des Ministres de l’Union européenne avec le “COREPER” (Comité des représentants permanents) ce pont levis pour rejeter les assauts destinés au Conseil des Ministres.., le Parlement européen et sa Commission dont le bras armé la Cour de justice de l’Union dissuade des jacqueries éventuelles…et, pour compléter la métaphore, la nouvelle noblesse de cour, constituée par l’armée de hauts fonctionnaires grassement entretenus au sein de cette nouvelle structure de type féodal.
Rassurons nous cependant, car le tiers état actuel , à défaut de baïonnettes , possède l’arme des réseaux sociaux susceptibles de soutenir le peuple dans la rue..et.. le résultat des élections du 26 mai pourrait être “révolutionnaire” ! (?)
Merci MAV pour votre étude très suggestive.