Pour diriger le Canada, il ne sert à rien d’avoir des compétences, il suffit d’être le fils de son père. Il n’est pas nécessaire d’avoir la tête bien faite, il suffit de l’avoir bien coiffée. Il n’est pas important d’avoir des principes, il suffit de chevaucher les “vertus” à la mode.
Il n’est pas avisé d’être honnête et intègre, il suffit de savoir noyer le poisson. Il n’est pas utile de s’efforcer de convaincre, il suffit de dire des platitudes. Il n’est pas rentable de débattre avec les contradicteurs, il suffit de les trainer dans la boue. Il n’est pas de mise d’aimer son pays, il suffit d’aduler ceux qui le détestent.
Et je pourrais ajouter qu’il n’est pas nécessaire de faire du bon travail, il suffit d’avoir les médias de son bord. De leur sollicitude et de leur appui Trudeau fils n’a jamais manqué, ni pour se faire élire, ni pour dévier l’attention de ses bévues. De censeurs impitoyables à l’égard de Stephen Harper, les journalistes se sont mués en encenseurs du Justin, tant était grands leur parti-pris “progressiste” et la haine qu’ils vouent aux conservateurs. Copinage oblige, ils viennent de se faire graisser la patte de 600 millions de dollars, gracieuseté de Trudeau moins d’un an avant les élections. Un renvoi d’ascenseurs qui en appelle d’autres, il y a là de quoi grossir la dette fédérale et asperger la démocratie d’un parfum de corruption.
Gauchisme et mondialisme
Trudeau n’est pas juste incompétent, il excelle dans son incompétence, tout ce qu’il touche tourne mal. En un rien de temps il a presque démoli l’industrie pétrolière de la riche Alberta, il a inondé le pays de migrants illégaux, et a élevé l’islam politique sur un piédestal. Son allégeance semble partagée entre deux pôles: le gauchisme rose bonbon et le mondialisme dissolvant. Le premier sert les objectifs du second tout en lui servant de paravent. Trudeau pour le grand public c’est d’abord une image propre à séduire, il est la dorure qui fait passer la pilule. Sur la scène mondiale, il apparaît comme le champion des “vertus” dissolvantes, celles qui transforment la nation en un archipel de groupes identitaires, dont la raison d’être est de noyer la majorité nationale dans la cacophonie des revendications.
C’est grâce à cette trahison “vertueuse” qu’il s’est vanté il y a quelques mois d’être le Premier ministre du premier pays post-national. Intimidé par l’idéologie multiculturaliste et l’épée de Damoclès du racisme, le peuple canadien n’a pas réagi à cette volonté de faire table rase de son Histoire, de son identité et de sa culture. Face au mondialisme, le Canada baisse la tête et semble se résigner à la dilution homéopathique de son caractère national. Il s’est laissé hisser au rang de laboratoire mondial du multiculturalisme, où les expérimentations d’ingénierie ethno-sociale s’effectuent sans égard à leurs effets toxiques. Trudeau est sans doute le représentant le plus éminent du gaucho-mondialisme prôné par George Soros, dont il est également le disciple le plus fanatique.
Trudeau a tout misé sur l’image, celle du bon et beau garçon, sincère, presqu’ingénu, à l’esprit ouvert qui veut construire des ponts entre les nombreuses communautés ethnoculturelles que le multiculturalisme a créées. Ancien professeur de théâtre, il a mis à contribution son goût pour le déguisement; c’est ainsi qu’il s’est fait salafiste avec les musulmans salafistes, sikh avec les sikhs, hindou durant son voyage en Inde, où le ridicule de son accoutrement a indisposé ses hôtes et provoqué le fou rire de toute la planète.
Mais c’est l’image du féministe accompli que Trudeau a promue afin de séduire l’électorat féminin. Pour fixer pour de bon cette image, il a accordé la moitié des portefeuilles ministériels à des femmes, bien que celles-ci ne forment que le quart des députés de son parti. Faisant passer l’identité sexuelle avant le critère de compétence, il s’est octroyé le titre de champion toutes catégories de la cause féminine.
Une première fissure devait cependant altérer cette image. Une vieille histoire d’attouchements à caractère sexuel a été déterrée, elle avait fait l’objet d’un article dans le journal local, là où l’évènement s’était produit; la victime était une journaliste qui a porté plainte, mais l’affaire a été classée sans suite. Pressé de questions Monsieur féminisme s’est excusé tout en niant sa responsabilité, selon lui la perception de la journaliste diffère de la sienne, lui n’a rien à se reprocher. Dans le climat électrisé des scandales sexuels hollywoodiens et du mouvement me too, le déterrement de cette histoire tombait mal, fort à propos les médias indulgents prirent le parti de passer l’éponge.
Le scandale SNC Lavalin
Mais c’était écrit dans le ciel qu’un jour notre Napoléon du féminisme allait rencontrer son Waterloo. Ironie du sort c’est une femme, féministe et autochtone de surcroît qui devait lui arracher le masque. L’affaire commence en septembre 2018, les élections générales sont dans un an, une multinationale du nom de SNC Lavalin, convaincue de corruption à grande échelle, est inculpée et doit subir prochainement son procès. Sa culpabilité ne soulève aucun doute, elle a d’ailleurs reconnu ses crimes, cependant elle pèse lourd dans l’économie de Montréal, étant considérée comme un fleuron dans le champ de l’ingénierie et des projets d’envergure. Sa condamnation éventuelle par la cour criminelle la prive pour dix ans du droit de signer des contrats avec le gouvernement. Des milliers d’emplois sont menacés à court terme, mais également les dons généreux que les employés de cette compagnie offrent au parti de Trudeau.
Il faut donc à tout prix empêcher le procès, mais l’indépendance totale du procureur de la poursuite rend l’exercice hasardeux. Fort à propos une disposition légale inédite, non débattue dans la Chambre des communes, et glissée furtivement dans le budget, permet à la ministre de la Justice de contraindre le procureur de la poursuite à suspendre les procédures, et à négocier avec la compagnie une entente hors cour, comprenant une amende de plusieurs millions de dollars. Cette entente sauve la compagnie d’une condamnation au criminel et lui permet de continuer d’opérer comme si de rien n’était. En d’autres termes, par cette disposition le gouvernement Trudeau met sur pied un système de justice parallèle et taillé sur mesure, pour les grosses entreprises délinquantes qu’il choisit selon son gré de mettre à l’abri de la justice.
Mais le scénario écrit par Trudeau et ses conseillers allait buter sur le refus de la ministre de la Justice à se plier au diktat du Premier ministre. Madame Jodi Wilson-Raybould n’est pas du genre à se laisser dicter sa conduite, autochtone et féministe, elle est avocate de profession et avant d’être élue député, a occupé la fonction de procureur de la couronne; elle connaît la loi et entend se conformer au code de déontologie de sa profession. Sans doute est-elle foncièrement en désaccord avec le système de justice parallèle que Trudeau veut instaurer en faveur de SNC-Lavalin. Elle a consulté le procureur de la poursuite sur le sujet et après mûre réflexion la demande de Trudeau a été refusée. Qu’à cela ne tienne, Trudeau et ses aides allaient mettre le siège sur la ministre de la Justice et la harceler durant plus de trois mois afin de la faire plier. Les demandes furent suivies de prières, les prières laissèrent la place aux pressions qui à leur tour furent suivies de menaces, rien n’y fit, finalement Trudeau excédé enclencha un remaniement ministériel et en profita pour démettre sa ministre de la justice, la remplaçant par un député mâle qui aussitôt se montra accommodant.
De ministre sénior Madame Wilson-Raybould s’est retrouvée au poste de ministre des anciens Combattants, purgatoire pour les uns, voie de garage pour les autres, cette rétrogradation exprimait symboliquement le désaveu à peine voilé du féministe en chef. Les tensions vécues au sein du caucus des ministres remontaient ainsi à la surface, tout le monde a compris que quelque chose se passait. Pendant que Madame Wilson-Raybould gardait le silence, Trudeau s’activait à noyer le poisson, son remaniement ministériel n’avait rien de quoi susciter des questionnements, tout allait bien dans le monde merveilleux de la politique.
Quelqu’un n’était sans doute pas du même avis, car peu après une fuite calculée a permis d’étaler en première page du journal The Globe and Mail, un aperçu de l’histoire sordide qui s’est déroulée en haut lieu. Du coup l’opposition en profita pour presser de questions le Premier ministre, ce dernier les balaya du revers de la main, minimisant le tout, il prit à témoin son ex-ministre de la justice, sachant qu’elle était tenue à garder le silence sur toute l’affaire. Trudeau ne fut nullement gêné d’affirmer que la présence de Madame Wilson-Raybould dans le cabinet des ministres était la preuve que tout allait bien.
Le lendemain, coup de théâtre, Mme Wilson-Raybould démissionnait avec fracas de son poste de ministre des anciens Combattants. En claquant la porte elle déclara qu’en tant que procureur et ex-ministre de la justice, elle n’avait pas le droit de révéler ce qui s’était passé, à moins d’obtenir pour ce faire l’autorisation de Trudeau. Sa démission fut aussitôt suivie par celle, non moins dramatique, de Gerald Butts premier conseiller au bureau du Premier ministre. On peut dès lors imaginer l’intensité des pressions que Trudeau a dû subir. Sous la pluie battante des accusations d’obstruction à la justice, il a finalement cédé et libéré Mme Wilson-Raybould de son devoir de réserve.
Nul ne pensait qu’un témoignage aussi accablant allait être porté. Devant le comité parlementaire de la justice, Mme Wilson-Raybould a déposé d’une voix calme, presque sans passion, elle raconta dans le détail ses échanges avec Trudeau et ses conseillers, le harcèlement systématique et les menaces dont elle a été l’objet, malgré ses mises en garde répétées contre ce type de manœuvres. Elle dévoila les raisons qui les motivaient, la préservation des emplois à Montréal n’était pas la seule, entrait en ligne la nécessité d’assurer la réélection de Trudeau dans sa circonscription montréalaise, mais également le lobbying ininterrompu de SNC-Lavalin au bureau du Premier ministre. Il ressort de son témoignage que Trudeau et ses aides ont franchi allègrement la ligne rouge qui sépare la requête légitime de la tentative d’obstruction de la justice.
Le témoignage de Mme Wilson-Raybould a eu l’effet d’une bombe. Soudain, le public découvrait dans le détail l’arbitraire et les abus de pouvoir dont l’angélique Trudeau est capable. Faire fi de la loi et de l’indépendance de la justice sont pour lui peu de choses, il ne s’appelle pas Trudeau pour rien et tout est permis aux parangons de vertu. L’important n’est pas de s’abstenir de transgresser la loi, l’important est de se maintenir au pouvoir, récompenser les amis et punir les opposants fussent-ils de son propre camp.
Mais une autre bombe allait éclater suite au témoignage de l’ex-ministre de la Justice. Sa collègue, présidente du Conseil du trésor Mme Jane Philpott, suivit ses pas et démissionna à son tour. Dans une lettre adressée à Trudeau, elle explique les raisons de sa démission: “Les principes en jeu sont ceux de l’indépendance et l’intégrité de notre système de justice. Il est fondamental que les règles du droit ne soient pas soumises à des pressions politiques ou à de l’ingérence. Malheureusement, je n’ai plus confiance dans la façon dont le gouvernement traite cette affaire et réagit aux enjeux soulevés.» Elle a aussi déclaré qu’en tant que ministre elle était tenue à la solidarité ministérielle et que dans les circonstances elle ne pouvait honnêtement défendre les actions du gouvernement.
Une tuile n’attendant pas l’autre, Trudeau et SNC-Lavalin viennent d’essuyer un troisième revers. La Cour fédérale ne remet pas en cause le refus du procureur à la poursuite de négocier une entente hors cour avec la firme d’ingénierie SNC-Lavalin. Cette décision constitue une caution à la fois légale et morale pour l’ex-ministre de la Justice. Elle constitue également un désaveu cinglant envers Trudeau et ses collaborateurs.
Trudeau est en fort mauvaise posture, grisé par le pouvoir et l’adulation des médias, il se réveille avec une gueule de bois à nulle autre pareille. Lui l’enfant chéri du gaucho-mondialisme doit, non seulement lutter pour sa survie politique, mais autant sinon plus pour ne pas être inculpé d’obstruction à la justice.
Le ravalement de la façade
Le portrait au pastel est sérieusement amoché. Monsieur féminisme voit son masque arraché par deux féministes authentiques révoltées par ses abus de pouvoir. Trudeau le vertueux, Trudeau le féministe, Trudeau le donneur de leçons n’est pas seulement un faux monnayeur, il est lui-même de la fausse monnaie. Aux yeux des ministres démissionnaires, il est apparu pour ce qu’il est, un laquais du mondialisme qui croit avoir un droit inaliénable au pouvoir, et dont l’unique talent consiste à jeter de la poudre aux yeux.
Jodi Wilson-Raybould et Jane Philpott ont fini par s’ouvrir les yeux sur la réalité, non seulement de Trudeau, mais du parti libéral dont elles sont encore membres, peut-être pour pas longtemps, car ce parti avide de pouvoir ne recule devant rien pour s’en saisir et le conserver. C’est ce parti qui a placé Justin Trudeau à sa tête, afin de servir le mondialisme au détriment du Canada et du peuple canadien. Contrairement à Trudeau, Mme Wilson-Raybould qui est avocate et Mme Philpott qui est médecin ont à leur actif une formation et une expérience professionnelles de haut niveau, leur compétence est reconnue et leur éthique est sans reproche. En démissionnant, elles sacrifient et leur carrière politique et les avantages attachés au poste de ministre. Elles agissent ainsi non seulement par principe, mais également par respect pour elles-mêmes. Peut-être espèrent-elles que leur geste amènera le parti libéral à se questionner sur ses méthodes et son agenda, si tel est le cas elles font fausse route, mais mieux vaut se tromper avec la conscience tranquille qu’avoir raison en suivant le troupeau.
D’aucuns s’interrogent sur le sort de Trudeau. La campagne de damage control et celle qui consiste à dévier l’attention du public sont déjà lancées. La main sur le cœur, Trudeau et son conseiller Gérald Butts, nient tout, il ne s’est rien passé, à peine ont-ils fait part à l’ex-ministre de la Justice de leurs préoccupations concernant les éventuelles pertes d’emploi. Sans le dire explicitement ils laissent entendre que Mme Wilson-Raybould ment ou confabule. Pour le supposé féminisme et le respect des femmes, on repassera.
Mais Trudeau a-t-il vraiment une autre option que celle de tout nier ? Admettre avoir exercé des pressions inappropriées et proféré des menaces l’expose à des accusations criminelles d’obstruction à la justice. Mais il y a plus, une telle admission ne peut que l’amener à démissionner de sa fonction de Premier ministre. Dans les circonstances seuls les manœuvres de damage control, l’appui aveugle de ses partisans et sa bonne étoile ont des chances de le tirer d’affaire.
Mais quoiqu’il arrive, plus personne ne prendra la fausse monnaie pour de l’argent comptant.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.
Malheureusement, Trudeau a encore beaucoup d’appuis au Québec puisqu’il vient de modifier la loi afin de pouvoir accélérer le processus de distribution de nationalités à ses amis migrants rentrés illégalement. Pour ce qui est des emplois à perdre pour SNC-LAVALIN, je ne m’en fait pas pour eux, ils retrouveront rapidement un emploi dans d’autres firmes peut-être, si on est chanceux. Moins corrompues que Lavalin. Pourtant, ses appuis au Québec reste de l’ordre de 40%… 🤔 c’est à vomir. Ce pantin devrait pourrir en prison pour trahison! Avec le retour imminent des djiadistes, leurs femmes et enfants. Il a fort à parrier que le Canada sera bientôt le théâtre d’attentats sanglants et le seul responsable sera Trudeau et sa troupe. Vivement que nous ayons enfin à notre tête un PM digne de ce nom qui saura faire le ménage et déchoir de leur nationalité tous ceux qui feront un pas de travers. Il est malheureux de penser que beaucoup de sang devra être verser avant que l’ont en arrive là. J’ai honte d’être canadienne. D’ailleurs, je me présente toujours comme Québécoise, nationaliste/indépendantiste.
Bravo pour votre commentaire. Justin, le clown, a réussi à endormir les rêveurs accrochés à l’image du personnage et non à la réalité.
c’est la faute de tout les Canadiens idiot qui ont voter pour lui car trudeau une journée marche pour la fierté Gay … le lendemain il fait un discours dans une mosquée radical de Toronto ou un imam souhaite sans ce cacher la mort des homosexuels …. durant 4 ans tout les parti politique avait négocier une loi pour lutter contre l’exploitation sexuel par des proxénètes … résultat trudeau arrive au pouvoir en 2015 et comme grand féministe il refuse de signer le document et ainsi le traffic d’être humain continue au Canada mais le plus honteux est le silence des mouvements féministe sans oublier bien sûr lorsque trudeau a passer ses vacances de Noel en famille sur l’Ile privé d’un milliardaire muzz ensuite trudeau a donner des centaines de millions a la fondation de ce milliardaire muzz bref trudeau est un trou de cul et les canadiens idiot de l’avoir mis au pouvoir
Pour Trudeau et les multiculturalistes il n’y a pas de contradiction entre participer au Gay pride et le lendemain faire un discours dans une mosquée salafiste dont l’imam appelle à tuer les homosexuels. Il s’agit dans les deux cas de deux groupes identitaires faisant partie et de la “mosaïque” canadienne, et de la clientèle électorale du parti libéral, au même titre que les féministes enragées et les écolo-fascistes. Les multiculturalistes gay n’ont d’ailleurs aucun problème avec cette situation qu’ils feignent d’ignorer, ils préfèrent cracher sur les conservateurs.
C’est le statut de minorité protégée, courtisée et adulée qui constitue le dénominateur commun entre les homosexuels gauchistes et les extrémistes musulmans. Trudeau est juste un opportuniste, il prêche la tolérance envers les groupes minoritaires, mais évite soigneusement de demander aux islamistes de tolérer les homosexuels. L’accusation d’homophobie est réservée aux canadiens, mâles, blancs et hétérosexuels, c’est l’un des rares privilèges que Trudeau leur accorde!
Vous avez écrit Trudeau et mes yeux ont lu Macron. Serait-ce la DMLA ?
https://www.mesopinions.com/petition/sante/monopole-big-pharma-sante/53115?valid=true
je vous rassure,Abou LEROUJ, vous n’etes pas atteint de DMLA
© Hélios d’Alexandrie
C’est le meilleur billet de ce que j’ai pu lire au sujet de cette saga, jamais RADIO- CANADA-RDI ni TVA-LCN ne s’avanceraient a faire un tel bilan, les journaleux étant gracement payés par le parti LIBÉRAL via le gouvernement.
J’ajouterai ceci; le PARTI LIBÉRAL du Canada avec ses apparatchiks en tête n’ont trouvé aucun candidat avec assez d’envergure, cela leur prenait un NOM, une devanture pensant que l’on pourrait probablement recréer la TRUDEAUMANIE des belles années du paternel Trudeau (Père) PET pour les intimes.
Les montréalais sont traumatisés par cette saga de SNC LAVALLIN on joue exclusivement sur le standard de cette entreprise supposé fleuron québécois, de belles grosses JOBS pleins d’ingénieurs et de techniciens spécialisés bien payées qui n’auraient qu’a appliquer dans d’autres entreprises, une déclaration de faillite et récupération de cet immense bâtiment a l’État en compensation pour les taxes et impôts impayés qui se chiffres par millions de $$$$$. De plus,
les partis politiques du québec tels celui de la CAQ, du Parti québécois et de québec solidaire sans parler du Bloc québécois au fédéral tous du bord de TRUDEAU, QUELLE FARCE, ca mérite d’être psychanalysé et pour finir cela se reglera probablement avec le pape de RADIO CANADA Guy A. Lepage a l’émission TOUT LE MONDE EN PARLE. Quel CURIEUX scénario du GANG DU PLATEAU de MONTRÉAL. J’ose faire une prédiction pour la prochaine élection en OCTOBRE
le québec contre tout le reste du Canada pour garder cet acteur de série B au pouvoir.
qui sont maintenant des supporteurs
@Helios
Tout est dit. Bravo
@Serge
Ça m’étonnerait que Trudeau et SNC-Lavallin s’en sortent. Il y a une enquête sur SNC-L. au niveau provincial et ils ne pourront pas dire que c’est un complot du ROC
@ Hélios d’Alexandrie :
On ne peut pas mieux dire. Ni être plus exhaustif et précis sur cette affaire.
Que pareille affaire lui arrive à quelques mois des élections me fait espérer en Dieu. Au moins Il aura essayé!
Si Trudeau a vraiment fait allusion à sa circonscription électorale, à la campagne électoral ou à quelques intérêts personnels, c’est très vilain et extrêmement illégal. Il me semble l’avoir vu l’affirmer candidement aux informations.
Pour SNC-Lavalin, je ne m’explique pas qu’on puisse poursuivre “une entreprise” qui n’a aucune existence propre, sinon à travers et seulement à travers ceux qui la dirigent. Que les dirigeants paient les pots cassés, et tant pis pour la nomenklatura de profiteurs qui les protègent. Puis qu’on vire tout le staff ripou et qu’on les remplace par des Mormons!
@Alain Finie: une compagnie est une personne morale qui est légalement responsable.
Ses dirigeants sont désignés par le conseil d’administration qui est a aussi la charge de veiller qu’elle applique les lois. Personne ne me fera croire que les dirigeants ont caché au conseil d’administration que de la corruption a eu lieu en Lybie et au Québec
@ Frank :
Merci pour votre réponse ; mais alors que chacun prenne ses responsabilités et laisse l’entreprise en dehors de leurs turpitudes, non? La personne morale, c’est le conseil d’administration et ses membres? Ou bien la pyramide PDG/subalternes… Enfin, je ne suis pas très fort en droit des affaires.
Je suis un peu comme un vieux paysan qui ne comprend pas qu’une entreprise puisse commettre un crime. Pour moi c’est comme si un chauffard disait : “C’est la voiture qui a décidé de rouler à 160, il faut la mettre à la fourrière dix ans” !
Exactement, ce sont les dirigeants qu’il faut poursuivre et faire payer.
Excellente analyse du gaucho mondialiste Trudeau
J’en reviens pas de voir les journalistes des médias défiler a la rescousse de Trudeau
C’est pathétique de les voir faire des suggestions et donner des conseils a Trudeau sur ce qu’il devrait faire , sur ce qu’il devrait dire et raconter aux canadiens pour sans sortir sans égratignure..tout sauf de dire la vérité,aucun ne lui as fait la suggestion de démissionner ou de convoquer des élections
Aujourd’hui le cabinet de Trudeau réfute son hostilité envers sa députée Caesar-Chavannes
Mme Caesar-Chavannes a déclaré que M. Trudeau s’était fâché lorsqu’elle lui a annoncé, le 12 février, qu’elle ne sera pas candidate aux élections fédérales d’octobre dans la circonscription de Whitby, en Ontario.
Elle a raconté que M. Trudeau s’était écrié pendant la conversation et qu’elle avait répondu sur le même ton. La députée a ajouté que le premier ministre avait plus tard présenté des excuses.
Selon elle, M. Trudeau aurait fait preuve d’hostilité à son endroit lors d’une autre rencontre qui s’est déroulée une semaine plus tard à la Chambre des communes.
Regardez l’hypocrisie du gaucho mondialiste Trudeau ,comment il refuse de répondre et quel seras son angle d’attaque pour s’en sortir
À la question de savoir si l’affaire SNC-Lavalin nuira à ses chances de réélections, M. Trudeau a répondu en parlant de ses inquiétudes devant la montée des politiques semant la discorde comme « le populisme toxique » aux États-Unis, le mouvement des Gilets Jaunes en France ou « le gâchis complet » que représente le Brexit.
Les Trudeau ..Une famille forgée dans le roc de l’extrême gauche
Justin Trudeau est allé « à la bonne école ».
Le paternel, Pierre Elliott Trudeau, avait déroulé son tapis rouge dès 1952 lorsqu’il s’était rendu en Union soviétique pour discuter d’économie.
À Moscou, il se fit remarquer auprès de la femme du chargé d’affaires américain en lui avouant qu’il était communiste et qu’il voulait profiter de son séjour dans la capitale russe pour critiquer les États-Unis et louanger l’Union soviétique.
En 1960, Trudeau accepta l’invitation du gouvernement chinois de se rendre en Chine.
Accompagné de son ami Jacques Hébert un autre admirateur du dicteur Castro , l’ex-premier ministre parcourut le pays pendant six semaines au cours d’une tournée parrainée par l’État.
C’était l’époque du Grand bond en avant, une politique économique mise sur pied par Mao qui provoqua une grande famine et des millions de morts.
Admiration et dictature pour Justin Trudeau
8 novembre 2013…Trudeau admire la «dictature» de la Chine
Le chef du Parti libéral, Justin Trudeau, s’est retrouvé dans de beaux draps, jeudi soir, à propos de commentaires qu’il a faits sur la Chine lors d’une activité de financement à laquelle était principalement conviée la gent féminine.
Une des participantes a demandé à M. Trudeau à quel pays, mis à part le Canada, vouait-il une admiration pour son administration.
«J’ai une certaine admiration pour la Chine, a répondu le chef libéral, parce que leur régime dictatorial de base leur permet de transformer leur économie en un clin d’oeil.
Alexandre Trudeau .un laudateur du castrisme
Dans une lettre ouverte qu’il avait signée en 2006 dans le Toronto Star, à l’occasion du 80e anniversaire de Fidel Castro…Alexandre Trudeau le frérot de Justin déclare toute son admiration et son amour pour le dictateur communiste marxiste Castro
Le mot est faible pour décrire la très grande admiration pour le dictateur communiste du fils cadet de Pierre Trudeau – lui-même, on s’en souvient, grand ami du dictateur cubain.
Extraits : « Fidel ne fait pas de politique. Il vit pour apprendre et pour mettre ses connaissances au service de la révolution, pour mener l’humanité vers la justice et un ordre social encore plus parfait
Son intellect est l’un des plus grands et des plus complets que l’on puisse trouver.
C’est un expert en tout. Combiné à un physique herculéen et un courage personnel extraordinaire, cet intellect monumental fait de Fidel un géant. Il a quelque chose de Superman
« Les Cubains restent très fiers de Castro, même ceux qui ne partagent pas sa vision. »
« Son leadership peut être parfois pesant. Les Cubains se plaignent à l’occasion, comme des adolescents se plaignent de leur père trop strict et exigeant.
Mais le Chef sait toujours ce qui est le meilleur pour vous. »
Le même Alexandre Trudeau qui, en 2016, a fait du lobbying pour empêcher le gouvernement canadien d’expulser Mohamed Harkat, un Algérien d’origine soupçonné d’avoir été un agent d’Al-Qaida.
Harkat, un ancien militant du Front islamique du salut algérien, a été emprisonné de 2002 à 2006 en vertu d’un « certificat de sécurité », sur des soupçons d’appartenir à la mouvance d’Al-Qaïda.
Cette procédure a aussi été appliquée à Adil Charkaoui, le gourou islamiste lié au collège de Maisonneuve. Ce dernier avait également reçu l’appui d’Alexandre Trudeau
C’est le copié collé de Macron ce cuistre. Aussi autiste que le cosplay éco+ de JFK quand c’est le moment de prendre ses responsabilités. Ils ne peuvent qu’être dans les petits papiers de Soros et du nouvel ordre mondial pour continuer leur cirque en se croyant intouchables et en les observant, ils en sont sûr et certains ils s’en sortiront. Mais le point commun le plus grave, c’est ce mépris pour la justice et ce non respect de la séparation des pouvoirs qui mènent la France à voir sa constitution caduque et c’est malheureusement le cas.
Je ne connais pas la constitution Canadienne, mais il doit y avoir un article du même tonneau, ce qui rendrait le gouvernement Trudeau illégal. Nouvelle constitution et nouvelles élections à la clé, peut être un moyen de se débarrasser définitivement de celui qui n’est en réalité qu’un “brushing”, je ne vois pas d’autres qualités ou qualificatifs.
Merci pour cette conversation très intéressante. Enfin! C’est rare c’est temps ci sur le net.