Depuis la présidence de Valérie Giscard d’Estaing, la France a fait des choix qui l’enferment aujourd’hui dans une dramatique voie sans issue, dans une impasse.
La construction de l’Union européenne s’est accompagnée par un surprenant phénomène : la dépense publique a explosé, et les prélèvements obligatoires (social + fiscal + taxes) ont doublé depuis 1970.
La dette brute est passée de 252 milliards d’euros en 1980, à 2 299,8 milliards. En quarante ans, la dette publique a été multipliée par 10. La dette continue de croître. Au deuxième trimestre 2018, elle a grossi de 5,2 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent. Elle augmente de 57 millions par jour ou de 2 407 428 euros par heure.
La dette publique atteint 99% du PIB.
En réalité, le PIB est le produit d’un véritable tour de prestidigitation comptable par lequel une partie de la dépense publique, la plus importante, est convertie en produit intérieur brut.
Comment s’opère ce miracle ? Comment transforme-t-on une dépense en produit ?
Comment la dépense publique devient du PIB
Et bien c’est très simple. Le salaire versé aux fonctionnaires est comptabilisé dans le PIB.
Plus vous créez d’emplois dans la fonction publique, plus vous augmentez le PIB.
C’est la recette miracle qu’ont trouvée nos gouvernants depuis 1980, pour masquer les conséquences catastrophiques de la construction européenne.
La construction européenne, la mondialisation ont eu pour effet de supprimer une part très importante du potentiel industriel du pays. Des millions d’emplois ont été perdus à la suite des fermetures d’usines, des délocalisations.
Pour compenser la destruction massive des emplois privés, des emplois productifs, la France a choisi de créer des millions d’emplois publics. Les différents gouvernements qui se sont succédé depuis les années 70, ont ainsi créé des millions de postes de fonctionnaires ou assimilés.
Au terme de ce processus hallucinant, la France compte ainsi 5, 6 millions d’emplois dans la fonction publique. Autant de demandeurs d’emploi.
L’Allemagne compte 3 millions d’emplois publics. Le taux de chômage est très faible.
Elle est peuplée de 80 millions d’habitants et son PIB s’élève à 3995 milliards d’euros en 2018.
La France compte 65 000 000 d’habitants et son PIB s’élève à 2282.8 milliards.
La France, moins peuplée, moins riche, compte proportionnellement, deux fois plus de fonctionnaires que son puissant voisin d’outre-Rhin.
En France, la masse salariale inscrite au budget de l’Etat s’élève en 2018 à 86.54 milliards d’euros.
Elle augmente dans le budget 2019 puisqu’elle passe à 88.32 milliards d’euros.
Pourquoi une augmentation de la masse salariale au lieu d’une baisse ?
Pour maintenir l’illusion de la croissance, d’une progression du PIB, que le chômage n’augmente pas, la France augmente sans cesse la masse salariale de la fonction publique. Pour calmer la grogne, elle augmente les dépenses sociales.
Pour alimenter cette machine infernale, le gouvernement ne peut qu’augmenter la dette, les impôts, les taxes. La limite du supportable est atteinte. La révolte des Gilets Jaunes l’atteste. La perte de confiance de la majorité des Français en ses dirigeants est alarmante. Qui s’en préoccupe ?
La quadrature du cercle
Si le gouvernement baissait la dépense publique en supprimant massivement des emplois de fonctionnaires, alors il diminuerait à due concurrence le PIB. Si le PIB baissait, tous les paramètres qui sont calculés à partir de lui changeraient. Par exemple, le montant de la dette exploserait et la France serait officiellement en récession. La fameuse notation chuterait. Les taux d’intérêt augmenteraient, elle ne pourrait plus régler le montant de l’intérêt de la dette, les dépenses sociales, etc.
Pourtant, il faudrait accepter le passage par une véritable cure. D’autres l’ont faite et ont obtenu d’excellents résultats.
En France, le courage n’est pas une vertu politique. Etre courageux et lucide, prendre des risques… n’est pas au nombre des vertus enseignées aux «élites». On lui préfère la démagogie, le copinage et les petites combines.
Pour maintenir l’illusion que le PIB progresse, que le chômage est stabilisé, la France s’endette toujours plus, prélève toujours davantage, décourageant l’initiative, détruisant le potentiel créatif des Français. A quoi bon se «défoncer» si le monstre-Etat s’empare de la plus grosse part de la richesse produite pour alimenter le tonneau des Danaïdes ?
Les responsables politiques ont choisi la logique de la faillite. Ils imposent une sorte d’Omerta. Il ne faut pas dire la vérité aux Français. Il faut continuer à faire comme le faisait la défunte URSS : maquiller les comptes publics, tricher, entretenir l’illusion.
Cette fuite en avant conduit le pays à la catastrophe. Chaque jour nous rapproche de la fin. Comme le disait Abraham Lincoln, on peut mentir, mais pas tout le temps à tout le monde. Viens un moment où la vérité éclate. Mais alors, elle a les effets dévastateurs d’une bombe.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Ho que c’est bien vu et bien expliqué !
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La nature est là, toujours, pour nous montrer l’exemple.
Une analogie naturaliste:
Conséquence directe d’un organisme parasité à l’excès: L’organisme meurt faute d’avoir assez de ressources pour faire survivre ses parties saines et productives.
Pourtant, quelques solutions (radicales) existent:
-Couper les organes trop touchés tant qu’il en est encore temps. (amputation; autotomie)
-Procéder a l’exérèse de la zone parasitée.
-Médication systémique
….
Tout cela est applicable a la fonction publique, mais pas sans douleur, et en la matière peu d’anesthésiques existent (hormis les propos lénifiants des journalopes)
Ce texte, brillant comme d’habitude, appelle toutefois une remarque :
Le calcul du PIB est, certe, une arnaque mais pour en sortir de nombreuses voies existent qu’on ne peut pas négliger, ca reste une arnaque, mais on en change les règles.
Considérons tout d’abord que ceux qui prêtent à la France ne sont pas des idiots et qu’en dehors du PIB, des garanties autres existent : le patrimoine, la possibilité de Chypriser les comptes bancaires etc…
Ensuite, le calcul du PIB lui-même n’est que le fruit d’un consensus, on peut par exemple considérer que les paiements des indemnités chômages et le montant des retraites entrent dans le calcul du PIB (il s’agit de maintenir dans le circuit économique des gens qui ne produisent pas de valeurs et les fonctionnaires, pour beaucoup, entrent dans cette définition).
Enfin, la banque centrale européenne peut financer la dette, ce qui coute moins cher que de constater la faillite d’un pays ayant un poids important dans l’union européenne.
Bien sur la solution la plus facile consiste à augmenter les impôts pour des raisons futiles (réchauffement climatique etc…) mais une fois la limite atteinte, ce qui est manifestement le cas, nous ne sommes pas encore totalement dans le mur.
Disons que la maison brûle, mais que les “élites” ne seront pas concernés avant de nombreuses années, et comme le disait si bien un de leur prédécesseur : “après moi le déluge”
“Si le gouvernement baissait la dépense publique en supprimant massivement des emplois de fonctionnaires, alors il diminuerait à due concurrence le PIB. Si le PIB baissait, tous les paramètres qui sont calculés à partir de lui changeraient. Par exemple, le montant de la dette exploserait et la France serait officiellement en récession. La fameuse notation chuterait. Les taux d’intérêt augmenteraient, elle ne pourrait plus régler le montant de l’intérêt de la dette, les dépenses sociales, etc.”
Ça, c’est un raisonnement typiquement socialiste : il ne tient aucunement compte du fait que le monde de l’économie, de l’entreprise, est un milieu dynamique, vivant – et pas un conglomérat de robots, de zombies, d’êtres dépourvus de vie, d’intelligence, incapables d’initiatives.
Si des fonctionnaires (inutiles hein, à savoir les doublons innombrables que l’on trouve dans le mille-feuilles administratif – pas les fonctionnaires indispensables comme les policiers et autres agents exerçant des missions régaliennes) étaient licenciés en grand nombre, cela ferait autant de salaires en moins à leur verser, donc autant d’impôts, taxes et cotisations en moins à verser à l’État de la part des entreprises ; donc la possibilité d’embaucher du personnel : au hasard, ceux licenciés de leurs postes de fonctionnaires inutiles. Ainsi, des gens ne servant qu’à plomber le pays deviendraient des travailleurs productifs, élevant réellement le PIB du pays donc son niveau de vie moyen. C’est ainsi que ça fonctionne toujours quand des dirigeants politiques courageux prennent les mesures adéquates.
L’économie, c’est un peu comme un vélo : beaucoup de gens, spécialement en France, sont comme des enfants qui ont peur de monter sur le vélo : ils sont persuadés qu’ils tomberont, s’ils mettent les pieds sur les pédales, abandonnant ainsi la sécurité que donne le fait d’avoir les pieds sur le plancher des vaches. Mais un peu de courage, un peu de confiance, et l’expérience leur montrera que mettre les pieds sur les pédales et appuyer non seulement ne les conduira pas à chuter, mais leur permettra d’avancer !
Jacques Ady ,
Si vous touchez aux fonctionnaires grève générale
Il y a bien longtemps j’ai travaillé dans une CPAM crados ou les mecs a partir de 11H30 etaient bourrés au rhum et Pastaga je l’ai signalé au directeur qui m’a répondu si j’interdit l’alcool gréve genrale 70% du personel alors les gens ne toucheront pus de retraite ect …………
Je lui ai répondu il y a une autre méthode Bush et les grévistes feneiants il a réglé ça de main de maître , il m’a répondu nos ne sommes pas aux USA
Conclusion je suis parti ecoeuré qu’une poignée de soiffards tiennent la secu en France
“Si vous touchez aux fonctionnaires grève générale”
Je sais (tout comme je sais ce que vous dites aussi à propos des fonctionnaires plus occupés à se préparer un punch qu’à servir le public).
C’est la raison pour laquelle il faut informer, rappeler les vérités élémentaires, convaincre les Français.
Quand la plupart des Français seront convaincus que le SEUL moyen de faire fonctionner l’économie est de libérer les énergies, de déréguler, de travailler de façon productive, bref : de vraiment travailler ; alors la menace de grève générale ne marchera plus.
C’est vrai qu’il y a énormément de travail (sans jeu de mots) pour convaincre les Français. À la fois parce que les “avantages acquis” et autres “acquis sociaux”, c’est beaucoup plus facile à accorder qu’à retirer, la démagogie étant passée par là – et il est connu qu’il est plus difficile de convaincre quelqu’un qu’on lui a menti, que de mentir à cette personne – ; mais aussi parce que les Français d’une manière générale sont facilement envieux, et jaloux : on n’aime pas voir quelqu’un réussir, on croit toujours que sa réussite s’est faite au détriment des autres, des “petits” – ce qui est le plus souvent faux, évidemment. Donc on veut le rabaisser, l’écraser d’impôts, hyper-réglementer le monde de l’entreprise pour soit-disant protéger les travailleurs de la voracité des patrons ; et sur la base de ce mensonge, de cette jalousie, on obtient un système générateur de frustration autant que de chômage et de précarité.
Il y a beaucoup de travail… et ce n’est pas seulement un travail d’information, de rétablissement de la vérité ; mais aussi sur le plan moral : les gens doivent devenir plus généreux, plus altruistes, moins envieux, plus civiques aussi – bref, tout ce qui vient de leurs racines judéo-chrétiennes, trop souvent jeté à la poubelle.
En 2004, l’UE, c’était 80.000 pages d’acquis communautaire. Aujourd’hui, on en est à 150.000 pages, soit le double et ça continue. Plus personne ne s’y retrouve. Place à l’arbitraire. Après ça, on vient nous dire que nous ne sommes pas suffisamment encadrés. Les lois, les règles, les directives, les règlements et bien entendu les prélèvements de toutes sortes (taxes, lois sociales et autres redevances que l’on redoigt – redoigt dans le Q?) sont écrasantes. Le citoyen européen, même dans les anciens régimes, n’a jamais été autant écrasé dans sa liberté de disposer de ses biens et des fruits de son travail qu’aujourd’hui. Il n’y a pas de liberté sans liberté économique. Tout cela au nom de l’égalité des revenus (l’envie, ça rapporte aux “justiciers sociaux” autoproclamés mais qui sont incapable de définir la justice sociale) et du réchauffement climatique, alors que ni l’un ni l’autre n’existe et ne peuvent exister. A quoi cela sert-il sinon à spolier? De quelle société ultralibérale parlent-ils? Le libéralisme classique, c’est avant tout le pragmatisme. Imaginez la France sans le moindre capitalisme ou sans le moindre libéralisme. Seuls les pays à démocratie libérale et capitaliste plus ou moins bien appliquée (Etats-Unis, Nouvelle Zélande, Australie) réussissent. Les autres, là où le libéralisme est gravement entravé, soit ils vivotent (France, Walbanie, Italie, Russie), soit ils crèvent (Venezuela, Corée du Nord, Cuba, Nicaragua). Pourquoi est-ce si difficile à comprendre?
Merci Jacques Ady ! ,j’etais un peu déprimé après la lecture de cet article, mais votre réponse montre qu’il existe une solution .
Un autre moyen d’augmenter artificiellement le PIB est d’augmenter les prix HT par des moyens détournés. C’est ce que vient de faire la loi EGA (“Etats Généraux de l’Alimentation” – restriction de la liberté de manoeuvre des distributeurs) : tout bénèf’ pour l’Etat :
– les prix des produits augmentent, donc la valeur des échanges comptabilisées dans le PIB aussi
– la TVA collectée augmente elle aussi mécaniquement
Cette loi est donc l’équivalent d’une taxe supplémentaire sur de nombreux produits de consommation.
Et ce n’est pas fini ; sous l’impulsion des écologistes d’autres lois similaires sont en préparation.
La fuite en avant …
Je voudrai partager ce qui m’arrive. J’étais très étonnée d’avoir une taxe d’habitation à payer cette année, alors que mes revenus limités m’en dispensent depuis plus de 20 ans.
J’ai demandé des explications.
Réponse : vous avez hébergé chez vous une femme, elle était présente au 1er janvier 2018. Donc ses revenus (chômage) se sont rajoutés aux vôtres. C’est le mode de calcul.
Moi : Oui j’ai recueilli quelques mois une femme en fin de droit, qui n’avait plus de logement, et je lui ai bien donné un certificat d’hébergement pour qu’elle puisse retrouver du travail. Mais je n’ai reçu aucun compensation financière, je l’ai juste aidée à se remettre sur pied ! J’ai accueilli en même temps sa fille, qui n’avait même plus de quoi manger et nulle part où aller, et qui a pu retrouver un petit travail. Ensuite, elles sont partis car elles avaient de quoi se payer un logement.
Réponse: On n’y peut rien, c’est le mode de calcul: vos revenus s’additionnant aux revenus du chômage de cette dame, vous avez obligatoirement une TH… plusieurs centaines d’euros.
Quant à un minuscule revenu annexe: CSG, 15 %
Moralité. SURTOUT N’ACCUEILLEZ CHEZ VOUS PERSONNE QUI A BESOIN D’AIDE, NE LUI DONNEZ PAS UN CERTIFICAT D’HÉBERGEMENT POUR QU’ELLE PUISSE RETROUVER DU TRAVAIL. Au bout du compte, alors que cela vous a déjà coûté cher de l’accueillir, l’État va vous ponctionner davantage.
Et si vous êtes étranglé de toutes parts par le fisc, vous finirez par n’avoir pas d’autre solution,pour survivre, que de travailler au noir (Sauf que j’ai 77 ans et que je suis handicapée), ou vous réfugier dans une économie parallèle (mais on est contrôlé de partout) ou de fuir à l’étranger (encore faudrait-il en avoir les moyens)
ILS SONT FOUS, CES SOCIALISTES ! Ils ont quasiment écrabouillés les GJ avec les violences policières, les menaces, les arrestations arbitraires. Mais quand la France se révolte, elle se révolte. Les petites largesses démagogiques* de Macron ne vont rien y changer: il ne peut plus continuer à traiter les Français comme des veaux. Ceux-ci sont en passe de se transformer en taureaux furieux.
Vous êtes écoeuré par ce Mamouth qui écrase la France de charges et taxes ? Moi aussi …
* Fausses largesses. Quand il donne 2000 euros à un foyer à petit revenu pour l’inciter à acheter une nouvelle voiture, il en récupère 4 ou 5.000 en TVA (ou X.000), sans compter les malus possibles. Faire mettre les voitures diésel à la poubelle, c’est récolter beaucoup, beaucoup de TVA.
Bravo Michelle ,
Mais en France on taxe le bénévolat c’est vomitif.
Pire le gouvernement aide les startup Web Bien mais ils achètent la nourriture en fin de péremption des super marché et les revendent aux pauvres restau du coeur
Pas toute l’aide à la création de l’Emploi OUI mais l’aide a déplumer les plus pauvres sdf ….. c’est criminel
Mr Touati, si le système doit s’effondrer et cela est visible que l’on se “soviétise” ou “s’algerise” , quels seraient les différent scénarios crédibles du moins dans les grandes lignes économiques ? Merci pour votre article.
Se soviétise ? S’algérise ? Oui, il n’y a aucune illusion à se faire : ça arrive lentement mais sûrement. Je m’explique…
L’Europe, c’est la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf : Les pays (autrefois) riches qu’étaient l’Allemagne, la France, l’Angleterre, etc. avaient décidé d’intégrer en leur sein les pays pauvres de l’ex-bloc communiste (Pologne, Roumanie, Bulgarie, etc.) et leur a transféré pour cela des énormes subsides se chiffrant en milliards.
Ces pays ont relevé la tête et se sont occidentalisés pendant que ceux d’Europe de l’Ouest ont plongé et s’enfoncent dans des crises (chômage, dette, immigration, démantelage de toute l’agriculture…) qu’ils ont eux-mêmes créé. Le monde à l’envers voulu et organisé par l’UE de Bruxelles.
Tous ceux qui ont voyagé dans ces pays de l’Est savent que presque tout le monde y a un, voire deux, travail au black en plus de son job régulier, et il n’y a aucun moyen de s’en sortir autrement. Et à force d’étranglement de taxes et prélèvements en tous genres, les Français viendront tout aussi naturellement à ce système de travail au black.
Ensuite, on aura toujours des européistes radicaux cramés du cerveau (tels que Alain Juppé et tous ses clones depuis les années Giscard) qui viennent nous radoter encore et encore que quand ça va mal “il faut PLUS d’Europe”.
Sauf que l’Europe n’est pas la solution, c’est l’origine du problème.
Et ses peuples sont en train d’en crever.
J’ai clairement entendu qu’avec la dizaine de milliards alloués le 10 décembre, l’État a pourvu à l’augmentation du pouvoir d’achat.
Première nouvelle !
J’ai bien constaté une hausse, mais c’est celle de mon café, des croquettes de mes animaux, etc.
J’ai noté une diminution : mon paquet de pâtes ne contient plus que 400 g de produit.
On nous prend vraiment pour des bobets.
Les politiques ET les journaleux devraient s’informer avant de dire des âneries
Je résume mes réactions à la lecture de l’article de Mr Touati (arithmétiquement juste mais politiquement apocalyptique) et aux commentaires d'”Elie” et de”Jacques ADY”.
a) “Elie” : ” Il y a d’autres garanties : patrimoine, et chypriser les comptes bancaires”.
Je réfute l’idée de poursuivre les cessions :après celle d’entreprises à capital public partiel déjà réalisées, peut-être celle d’ADP ! déjà envisagée, pourquoi pas la vente de la Tour EFFEL !!?. Quant à la réquisition financière de l’en cours global des contrats d’Assurance Vie par exemple déjà envisagée du temps de Michel Sapin , comment croyez vous que ce type de solution soit acceptable en France ?
b) Jacques ADY : Je souscris pleinement à l’idée de privatiser les services publics non régaliens. Double avantage : diminuer la dépense publique, et alimenter le Trésor par les taxes et impôts versés par les nouveaux employeurs. Une condition cependant: que les appels d’offres soient réservés à des entreprises hexagonales …(commentaire inutile suite à toutes les analyses de la situation actuelle!) Merci .
Je viens de réagir, mais mon commentaire aurait-il déplu aux responsables de cette rubrique??
Très didactique comme d’habitude. En revanche, le passage sur le lien PIB /emplois publics et ses conséquences en cas de réduction drastique d’emplois publics m’a laissée perplexe. Merci à vous Jacques Ady pour vos explications très claires sur le sujet. Vous avez parfaitement raison, on oublie que la source essentielle de croissance du PIB c’est l’emploi productif !
Macron t’es trop con
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out ne serait pas si rose dans le merveilleux monde de Brigitte et Emmanuel Macron. Le couple a beau s’afficher très uni dans les médias, cela ne l’empêcherait pas d’avoir des désaccords profonds. Surtout ces derniers temps… En proie à plusieurs polémiques, le président de la République a vu sa cote de popularité chuter de façon vertigineuse ! Il y a encore quelques jours, Emmanuel Macron récoltait seulement 25% d’opinions favorables, selon un sondage YouGov. Une mauvaise passe pour le chef de l’Etat, qui a enchainé plus de trois mois de baisse consécutifs.
⋙ PHOTO Brigitte Macron s’offre la couverture d’un prestigieux magazine anglais
En cause, plusieurs affaires qui ont fait bondir les détracteurs d’Emmanuel Macron. Le cas d’Alexandre Benalla, d’abord. Proche collaborateur du président, celui-ci a été filmé en train de frapper un manifestant lors des mouvements sociaux du 1er mai dernier. Muni d’un brassard de police, le proche du chef de l’Etat a intrigué quant à son véritable rôle à l’Elysée. Le 2 octobre dernier, c’est ensuite Gérard Collomb qui a créé la stupeur. Pour la seconde fois de son mandat de ministre de l’Intérieur, l’homme de 71 ans a présenté sa démission à Emmanuel Macron. Un nouveau départ du gouvernement, qui intervient seulement deux semaines après ceux, déjà très médiatisés, de Nicolas Hulot et Laura Flessel. Sans compter sur le voyage officiel d’Emmanuel Macron aux Antilles, dont il est reparti avec un cliché pour le moins controversé… Et du côté de Brigitte Macron, cet enchaînement de polémiques ne passerait pas du tout.
Quand Emmanuel Macron se prend une « déculottée »
Très impliquée dans les choix de son président de mari, Brigitte Macron n’hésiterait pas à faire entendre sa voix lorsqu’elle en ressent le besoin. Selon le journaliste Jean-Michel Apathie, la First Lady française aurait ainsi remonté les bretelles de Gérard Collomb, lors d’un dîner avec Emmanuel Macron. Lui reprochant sa position vis-à-vis de l’affaire Benalla, Brigitte Macron l’aurait accusé de les avoir « abandonnés ». La suite, on la connaît : une démission de plus, et un départ à Lyon pour Gérard Collomb.
⋙ Hommage national à Charles Aznavour : Brigitte Macron très émue aux Invalides
Mais le désormais ex-ministre de l’Intérieur n’est pas le seul à avoir eu le droit à ses remontrances. Selon un membre du GSPR, Groupe de sécurité de la présidence de la République, cité par le journaliste Frédéric Helbert (ex-Europe 1 et BFM TV), Brigitte Macron aurait également flanqué une « déculottée » au président. Dans une rage folle en raison des multiples polémiques, elle aurait fait trembler les murs de l’Elysée… « Il faut arrêter les co******* maintenant ! », lui aurait-elle lancé, profitant d’un huis clos avec Emmanuel Macron. « Ça gueulait si fort derrière la porte qu’on a tout entendu » a rapporté un officier de sécurité. Ça gronde au Château…
Source :
https://www.voici.fr/news-people/actu-people/emmanuel-macron-corrige-ce-que-brigitte-lui-a-dit-dans-les-couloirs-de-lelysee-651343
Et pourquoi Macron est homo cela est Normal
La relation amoureuse professeur/élève met mal à l’aise pour différentes raisons : d’abord parce qu’elle est entourée d’un tabou car ce n’est moralement pas très correct. D’un point de vue légal, l’enseignant s’expose à des poursuites judiciaires si l’élève n’est pas majeur, car il peut avoir autorité sur lui. De par la hiérarchie qui est établie entre l’élève et l’enseignant, ce dernier peut le pousser à avoir des relations sexuelles contre son gré, ou en utilisant du chantage, en le manipulant. À l’adolescence, nous sommes encore influençables et il est parfois difficile de se prémunir face à ce genre de situation. L’abus n’est pas seulement physique, mais moral. On a déjà entendu des affaires de pédophilie avec un dépôt de plainte tardif. Souvent la victime n’ose pas en parler plutôt, ou alors elle se rend compte tardivement de la situation malsaine dans laquelle elle était tombée à cause des séquelles psychologiques que cela lui a laissé.
Sa place l’Asile psychiatrique ou on soigne
Mais Macron se sentant petit veut affirmer qu’il est un VRAI MEC UN DUR c’est le comportement normal d’un homosexuel refoulé
Poutine et D.T le savent et les pays Arabes aussi donc il est seul face à des grandes puissances qui le méprisent
Solution Le Sortie et le TPI==>Prison
Le PIB de l’Allemagne est de 3995 milliards de dollars, pas d’euros (15% de moins).
Lisez ceci : https://www.contrepoints.org/2018/10/10/327118-quest-ce-que-le-rsi-deux-catastrophes-trois-problemes-une-solution
Est-ce que je suis le seul à pas arriver à comprendre comment on peut compter le salaire des fonctionnaires dans le PIB?