
Géographiquement oui, mais ce n’est plus la Marseille que nous avons aimé, celle à l’accent chantant, la Marseille des Fernandel, Andrex, Rellys, Charpin et même de Raimu, bien qu’il soit un « étranger » de Toulon, ou de Marcel Pagnol et ses « Marius, Fanny et César ».
La Marseille des chansons qui ensoleillaient la France : « Un petit cabanon pas plus grand qu’un mouchoir de poche », « Sur le plancher des vaches », Cane, Cane, Canebière », « Les pescadous », et j’en oublie.
J’ai collaboré un certain temps au quotidien « Le Méridional », cours d’Estienne d’Orves, dans les années 60/65.
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Ce ne sont plus que des souvenirs d’un passé qui s’estompent, le Mistral les a emportés, comme il a emporté mon ami Georges Nguyen Van Loc « dit Le Chinois ». Il m’expliquait pourquoi il regrettait l’époque des « Frères Guérini », des Zampa, des Francis le Belge, des Venturi, ces « caïds » avec lesquels on pouvait discuter, s’arranger, et je ne comprenais pas pourquoi.
Aujourd’hui je comprends.
Il n’y a aucun « arrangement » avec les voyous de la pègre dont le seul verbe qu’ils connaissent c’est la « Kalachnikov ».
Depuis quelques décennies les « étrangers » ne viennent pas de Toulon, de La Ciotat, de Cassis ou de Carry-le-Rouet, ils sont nés à Marseille mais viennent d’ailleurs, de l’autre côté de la mer, cette Méditerranée et son vieux port, leur drapeau est vert et blanc et ils n’ont pas chanté « La marseillaise ».
Ce sont eux qui imposent leur volonté, aidés par des personnalités à leur solde et leur maire, Jean-Claude Gaudin, n’est plus qu’un masque de carton pâte dans ce carnaval qui n’a même plus le droit de cité.
L’événement festif que devait être ce carnaval, ce 10 mars, ne leur convenait pas. Il se déroulait sur cette place Jean-Jaurès, la plus grande de la ville, qui depuis l’automne 2018 est livrée aux grands travaux qui devraient durer jusqu’en 2020 : plus de 13 millions d’euros, hors taxes, pour transformer, autour de son Arc de triomphe, cette place d’Aix, devenue un véritable dépotoir, une poubelle en plein vent livrée aux rats à quatre pattes.
Mais cela ne convient pas à la communauté qui l’occupe depuis plusieurs années, qui impose sa loi dans ce quartier, comme elle l’impose, par la force et par le sang, dans ces quartiers nord et périphériques que l’on ne reconnait plus.
Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.
Les affrontements n’ont pas tardé à éclater et les forces de l’ordre ont vite été débordées par la violence de quelques centaines de voyous : véhicules, scooters et poubelles incendiés, vitrines de magasins brisées, caméras de surveillance détruites, vols dans les boutiques, établissements bancaires vandalisés, jusqu’à 1 h du matin.
Bilan : 2 policiers blessés et 7 interpellations.
Depuis des mois les « anciens » du quartier, ceux qui n’ont pas pu partir faute de moyen, n’en peuvent plus : « Cela dure depuis des mois. Notre quartier est sous la coupe d’individus issus de la même communauté, radicalisés. Nous ne méritons pas ça. Nous vivons dans la peur. »
Marseille, une ville ensoleillée qui a l’apparence d’être heureuse le jour mais qui vit dans la peur, dès que la nuit tombe.
La ville a échappé aux marseillais et cela malgré tous les efforts et les milliards gaspillés pour la « relooker » et la rendre moderne, ouverte aux arts et à la culture.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
Ceci dit , je ne suis allé qu’une fois à Marseille ,en formation professionnelle , il y a 30ans ;la première chose que les responsables du stage nous ont dite « Evitez le bord de mer et ne sortez pas seul après 19 heures »
Finalement cela n a jamais vraiment changé. Lorsque j étais adolescente dans les années 70, mon père me disait déjà qu il fallait éviter certains quartiers et surtout ne rien mettre qui pourrait faire croire qu on est riches. Pas de bijoux ni d habits de marque. Je me demande comment tout cela va finir.
Je peux en parler en connaissance de cause ! J’y ai fais mes études à partir de 1964 à la Pointe Rouge ( petit paradis ) , puis y ai travaillé sur le port à la Joliette ( plus pittoresque tu meurs ) et habité Bd Chave 5eme , puis en haut de la Canebière (1er ) à côté des Réformes …. J’en suis parti définitivement en 2004 … en 40 ans je suis passé du Paradis de Pagnol au bled et au tiers monde …! Il y aurait un livre à écrire , mais personne ne le croira !!! A pleurer de rage !!! Nos politiques ont détruit le plus beau pays et la plus belle ville au monde …………..!!!
Du temps où le rallye Paris-Dakar se courait encore entre Paris et Dakar, il y avait une boutade disant que la première étape africaine du Paris-Dakar était… Marseille.
Il y a 25 ans déjà, un ami descendant régulièrement à Marseille me disait qu’en arrivant dans la ville, il avait l’impression d’arriver au Maghreb.
Quand on a lu – et aimé- Marcel Pagnol, même sans être marseillais on comprend l’ampleur du désastre…
Mis à part qu’actuellement, sur tout le territoire, lorsqu’il n’y en a pas, on ne se croit plus en france.
Comme vous avez raison si Pagnol revenait il en pleurerait
Regardez ce qu’est devenue la casbah d’Alger et vous comprendrez pourquoi les immeubles s’effondrent à Marseille.
« Là où l’islam passe, la civilisation trépasse » – Attila
Là où l’Islam (et surtout ceux qui le pratiquent) s’installent, la terre la plus riche ne peut devenir soit qu’un désert, soit qu’un marécage putride. Dès que, sur une telle terre se réinstallent des non musulmans, elle cesse très rapidement:
D’être un désert , par exemple les kiboutz israeliens, construits sur des terres réputées (par les musulmans) incultes et qui les vendirent à prix d’or à l’Agence juive.
D’être un marécage putride, par exemple la plaine de la Mitidja.
Ceux qui pratiquent l’Islam étant, par cette pratique, dans l’INCPACITE de créer quoique ce soit, n’ont d’autre solution pour être et exister, que la conquête.
@ JP
L’islam pourrit tout et détruit l’humanité, ce n’est pas pour rien qu’il a pour emblème le croissant de Lune : astre mort, désertique, sans espoir, sans lumière, qui ne fait que refléter celle du soleil, sans vie, stérile, la désolation, la mort, à l’image de l’islam.
Je ne suis pas croyant, mais Jésus a dit » Je suis la lumière du monde. »
La citation n’est pas d’Attila, mais d’Ibn Khaldoun.
@ Nicolas Carras Attila ? Je me disais aussi…
Attila est né vers 395 …
Par contre on peut dire: « Partout ou Attila passe, l’herbe trépasse » …
Merci d’avoir fait des recherches, effectivement ce n’est pas Attila mais Attali.
Je place Ibn Khaldoun au dessus d’Attali …
» Voyez tous les pays que les Arabes ont conquis depuis les siècles les plus reculés : la civilisation en a disparu, ainsi que la population, le sol même paraît avoir changé de nature. »
Les Prolégomènes (1377) de Ibn Khaldoun
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Extrait de Les Prolégomènes troisième partie – page 311 et suite :
« Les Arabes ne peuvent établir leur domination que dans les pays de plaines.
« Le naturel farouche des Arabes en a fait une race de pillards et de brigands. Toutes les fois qu’ils peuvent enlever un butin sans courir un danger ou soutenir une lutte, ils n’hésitent pas à s’en emparer et à rentrer au plus vite dans la partie du désert où ils font paître leurs troupeaux. Jamais ils ne marchent contre un ennemi pour *270 le combattre ouvertement, à moins que le soin de leur propre défense ne les y oblige. Si, pendant leurs expéditions, ils rencontrent des emplacements fortifiés,des localités d’un abord difficile, ils s’en détournent pour rentrer dans le plat pays. Les tribus (berbères) se tiennent à l’abri d’insultes, sur leurs montagnes escarpées, et défient l’esprit dévastateur qui anime les Arabes. En effet ceux-ci n’oseraient pas les y attaquer ; ils auraient à gravir des collines abruptes, à s’engager dans des chemins presque impraticables et à s’exposer aux plus p.310 grands dangers. Il en est autrement dans les plaines ; s’il n’y a pas de troupes pour les garder, et si le gouvernement établi montre de la faiblesse, elles deviennent la proie des Arabes, la curée dont ils se repaissent. Ces nomades y renouvellent leurs incursions, et, comme ils peuvent en parcourir toute l’étendue très facilement, ils s’y livrent au pillage et aux actes de dévastation, jusqu’à ce que les habitants se résignent à les accepter pour maîtres. La possession de ces malheureuses contrées passe ensuite d’une tribu à une autre ; tout s’y désor-ganise, et la civilisation en disparaît tout à fait. Dieu seul a du pouvoir sur ses créatures.
Tout pays conquis par les Arabes est bientôt ruiné.
Les habitudes et les usages de la vie nomade ont fait des Arabes un peuple rude et farouche. La grossièreté des mœurs est devenue pour eux une seconde nature, un état dans lequel ils se complaisent, parce qu’il leur assure la liberté et l’indépendance. Une telle disposition s’oppose au progrès de la civilisation.
Se transporter de lieu en lieu, parcourir les déserts, voilà, depuis les temps les plus reculés, leur principale occupation. Autant la vie sédentaire est favorable au progrès de la civilisation,autant la vie nomade lui est contraire. Si les Arabes ont besoin de pierres pour servir d’appuis à leurs marmites, ils dégradent les bâtiments afin de se les procurer ; s’il leur faut du bois pour en faire des piquets ou des soutiens de tente, ils*271 détruisent les toits des maisons pour en avoir. Par la nature mêmede leur vie, ils sont hostiles à tout ce qui est édifice ; or, construire desédifices, c’est faire le premier pas dans la civilisation. Tels sont les Arabes nomades en général ; ajoutons que, par leur disposition naturelle, ils sont toujours prêts à enlever de force le bien d’autrui, à chercher les richesses les armes à la main 1et à piller sans mesure et sans retenue. Toutes les fois qu’ils jettent leurs regards sur un beau troupeau, sur un objet d’ameublement, sur un ustensile quelconque, ils l’enlèvent de force.
Si, par la conquête d’une province par la fondation d’une dynastie, ils se sont mis en état d’assouvir leur rapacité, ils méprisent tous les règlements qui servent à protéger les propriétés et les richesses des habitants. Sous leur domination, la ruine envahit tout. Ils imposent aux gens de métier et aux artisans des corvées pour lesquelles ils ne jugent pas convenable d’offrir une rétribution. Or l’exercice des arts et des métiers est la véritable source de richesses, ainsi que nous le démontrerons plus tard. Si les professions manuelles rencontrent des entraves et cessent d’être profitables, on perd l’espoir du gain et l’on renonce au travail ; l’ordre établi se dérange et la civilisation recule. Ajoutons que les Arabes négligent tous les soins du gouvernement ; ils ne cherchent pas à empêcher les crimes ; ils ne veillent pas à la sûreté publique ; leur unique souci c’est de tirer de leurs sujets de l’argent, soit par la violence, soit par des avanies. Pourvu qu’ils parviennent à ce but, nul autre souci ne les occupe. Régulariser l’administration de l’État, pourvoir au bien-être du peuple soumis, et contenir les malfaiteurs sont des occupations auxquelles ils ne pensent même pas. Se conformant à l’usage qui a toujours existé chez eux, ils remplacent les peines corporelles par des amendes, afin d’en tirer profit et d’accroître leurs revenus. Or de simples amendes ne suffisent pas pour empêcher les crimes et pour réprimer les tentatives des malfaiteurs ; au contraire, elles encouragent les gens mal intentionnés, qui regardent une peine pécuniaire comme peu de chose, pourvu qu’ils accomplissent leurs projets criminels ; aussi les sujets d’une tribu arabe restent a peu près sans gouvernement, et un tel état de choses détruit également la population d’un pays et sa prospérité. Nous avons dit, vers le commencement de cette section, que le gouvernement monarchique convient d’une manière spéciale à la nature de l’espèce humaine ; sans lui, la société et même les individus n’ont qu’une existence bien précaire. Ajoutons encore que les nomades sont avides du pouvoir et qu’à peine en trouvera-t-on parmi eux un seul qui consentirait à remettre l’autorité entre les mains d’un autre ; un Arabe, exerçant un commandement ne le céderait ni à son père, ni à son frère, ni au chef de sa famille. S’il y consentait, ce serait à contre-cœur et par égard pour les convenances ; aussi trouve-t-on chez les Arabes beaucoup de chefs et de gens revêtus d’une certaine autorité. Tous ces personnages s’occupent, les uns après les autres, à pressurer la race conquise et à la tyranniser. Cela suffit pour ruiner la civilisation. Le khalife Abd-el-Mélek (Ibn Merouan) demanda un jour à un Arabe du désert en quel état il avait laissé El-Haddjadj, pensant qu’il entendrait l’éloge de cet officier, dont l’excellente administration avait maintenu la prospérité de la province qu’il gouvernait. Le Bédouin lui répondit en ces termes : « Quand je le quittai, il faisait du tort à lui seul»
Voyez tous les pays que les Arabes ont conquis depuis les siècles les plus reculés : la civilisation en a disparu, ainsi que la population ; le sol même paraît avoir changé de nature. Dans le Yémen, tous les centres de la population sont abandonnés, à l’exception de quelques grandes villes ; dans l’Irac arabe, il en est de même ; toutes les belles cultures dont les Perses l’avaient couvert ont cessé d’exister. De nos jours, la Syrie est ruinée ; l’Ifrîkiya et le Maghreb souffrent encore des dévastations commises par les Arabes. Au cinquième siècle de l’hégire, les Beni-Hilal et les Soleïm y firent irruption, et, pendant trois siècles et demi, ils ont continué à s’acharner sur ces pays; aussi la dévastation et la solitude y règnent encore. Avant cette invasion, toute la région qui s’étend depuis le pays des Noirs jusqu’à la Méditerranée était bien habitée : les traces d’une ancienne civilisation, les débris de monuments et d’édifices, les ruines de villes et de villages sont là pour l’attester. Dieu est héritier de la terre et de tout ce qu’elle porte ; il est le meilleur des héritiers. (Coran, sour. XXI, vers 89
Voyez, par exemple, la Perse : aussitôt que les musulmans se furent emparés d’El-Medaïn, capitale de cet empire, toute la puissance des Perses fut anéantie. Les provinces frontières étaient cependant restées au pouvoir de Yezdeguird ; mais cela ne lui servit de rien. Il en fut tout le contraire de la domination de l’empire grec en Syrie : lorsque les musulmans eurent enlevé ce pays aux Grecs, ceux-ci se retirèrent vers Constantinople, siège de leur empire ; aussi la perte de la Syrie ne leur nuisit pas. En effet, leur puissance se maintiendra jusqu’à ce que Dieu veuille en permettre la chute. Voyez aussi les Arabes dans les premiers temps de l’islamisme. Comme ils étaient très nombreux, ils s’emparèrent facilement des pays voisins : la Syrie, l’Irac et l’Égypte tombèrent promptement entre leurs mains. Alors ils portèrent leurs armes plus loin et envahirent le Sind, l’Abyssinie, l’Ifrîkiya et le Maghreb ; ensuite ils pénétrèrent en Espagne. S’étant fractionnés en bandes, afin d’occuper ces royaumes et de garder ces frontières étendues, ils finirent par perdre de leur force et se trouvèrent dans l’impossibilité de faire de nouvelles conquêtes ; aussi l’islamisme se trouva-t-il arrêté dans son progrès et n’alla pas plus loin. Parvenue à cette limite extrême, la domination musulmane commença un mouvement rétrograde qui doit continuer jusqu’à ce que Dieu permette la ruine de cet empire. Tel a été le sort des États qui se sont formés depuis (l’établissement de l’islamisme) ; qu’ils aient eu à leur disposition beaucoup de troupes ou peu, aussitôt qu’ils les eurent distribuées dans les provinces, ils ne purent plus effectuer des conquêtes. »
Pour résumer: arbopithèques.
Exact.
Il y a aussi tous ces chich kebab et tous ces commerces qui ouvrent la nuit et qui sont plutôt des couvertures et des repères de trafics en tous genres.
Aucun quartier n’est préservé.
Et vous ne parlez pas du nouvel Hôpital Européen où on vient se faire soigner ‘gratos’ depuis le Maghreb avec les cartes vital du cousin, de la cousine ou carrément falsifiées !!
Puisque les marseillais sont si malins, qu’ils ont « tout compris » et tout gobé surtout pourquoi ne votent-ils pas à droite enfin??? vous n’avez pas compris que démocratie et socialisme ne riment pas? que soumission rime avec socialisme? dans quelle langue voulez-vous discuter avec ces maghrébins? euuh…n’est pas une réponse! Il faut faire appel à l’armée, faire un max de morts et ensuite les foutre dehors et ça ils comprennent et vous verrez qu’ils vous remercieront en plus! mais ce n’est ni micron ni hollande qui fera le travail, l’un débat toute la journée de la longueur des asperges et l’autre bouffe toute la journée. Quand ils arrêtent c’est pour plancher sur de nouveaux impôts! Essayez Marine vous verrez que ça ira mieux.
@ Robert Davis
Dans le temps on qualifiait, non sans raison, le manche de pioche de dictionnaire franco-arabe…
J’ai habité Marseille en 85 et 85, dans la quartier de Belsunce. Un très be appartement ! Il appartenait à un médecin, tellement écoeuré de Marseille qu’il avait fui , et même arrêté d’être médecin.
J’avais déjà voyagé sur les cinq continents et j’allais continuer à le faire. Je m’étais retrouvée seule la nuit à Tokyo, New York, Dubaï…. (j’arrête:un peu partout). Le seul endroit où j’ai eu peur, c’était à Marseille. Ce qui avait été autrefois un très beau quartier bourgeois près de la gare Saint-Charles avait été investi par l’islam, la prostitution, la drogue.
La peur dans mes tripes, elle n’était pas sans cause. La nuit, c’était vraiment un coupe-gorge.
J’ai su par la suite que l’envahissement avançait dans toute la ville.
J’ai habité Alger durant sept ans de mon enfance. C’était une ville magnifique. J’allais au Lycée Fromentin (pour ceux qui connaissent), un palais d’où on dominait toute la ville, la mer, au milieu d’un jardin exotique soigné. C’était vraiment beau. Dès que les Français sont partis, tout a été saccagé.
Je suis retournée deux fois à Marseille, il y a un dizaine d’années. Et ce qui m’a sauté aux yeux, c’était la saleté, toute la ville était traitée comme un dépotoir. J’ai appris il y a une semaine par la télé que c’était effectivement un dépotoir à ciel ouvert.
Entretemps j’avais compris, via mes voyages dans le monde, que là où l’islam arrivait, il n’y avait pas que la violence et la perversité, il y avait aussi la saleté. Pourquoi ? Parce que c’est une religion sous contrôle satanique qui se complet à avilir l’homme, qui ne se respecte plus et qui n’a plus aucune fierté.
Ne confondons pas fierté et vanité aveugle et mauvaise ! L’homme dans l’Islam est d’une vanité puante, méchante, accablante. Mais il ne se respecte pas lui-même et sa seule « fierté », c’est d’écrabouiller les femmes et les faibles.
N’importe où dans le monde, là où l’islam s’installe, c’est la saleté. Même à Jérusalem, vous passez du quartier juif au quartier musulman, cela saute aux yeux.
En fait, plus un pays est judaïsé ou christianisé, plus c’est propre. Même en France, les villes les plus christianisées sont coquettes et belles. Vous passez côté suisse, c’est encore plus criant. Vous allez dans les cités, vous êtes épouvantés.
La saleté physique vient de la saleté morale qui vient de la saleté spirituelle.
Bientôt, on ne pourra même plus faire la différence. L’islam avance partout dans notre territoire. Les détritus avec. Pour trouver du propre, il faudra aller à Jérusalem, dans les quartiers juifs !
Alors oui, j’ai connu une belle ville, Marseille, mais déjà dévorée par l’islam dans certains quartiers, donc par la saleté. Maintenant, c’est devenu une cité de droit islamique. Jean -Paul Gaudin, je l’ai connu quelques mois, puisque je travaillais au Conseil Régional PACA. Il est de droite, mais il n’a rien vu venir, ni surtout pu arrêter. Il faut dire que c’était déjà trop tard: les socialistes et leur amour immodéré des immigrés venaient d’arriver au pouvoir.
Mais la droite, auparavant, avait déjà été contaminée par Eurabia
Qui a laisse la situation se dégrader ?
Les politiques français de droite et de gauche, par « calcul » électoral.
dans les annees 60 Marseille faisait plaisir a voir meme si a l’epoque il y avait Deferre Guerini et compagnie qu’il y avait la prostitution ,la drogue , les jeux etc ….mais on n’avait pas encore l’impact de la premiere vague de migration du Magreb les politiques ne se sont pas méfies ou n’ont pas voulu voir bref aujourd’hui comme disait J M LE Pen Marseille est la capitale des Commores et je dirait du Magreb je peux dotant mieux en parle car je suis née a Marseille mais depuis j’ai « fuie «
Entre Février et Mai 1981, dans le 1er arrondissement près de la gare St Charles. ma voiture a été volée et mon appartement cambriolé.
J’étais pessimiste, alors j’ai quitté définitevement Marseille et la France en Juillet 1981.
Sans regrets.
Je suis desormais citoyen Américain.
Merci Monsieur Gomez pour votre article,
En arrivant à Marseille en juillet 1962 et malgré l’accueil de Gaston Defferre déplorable,nous nous sommes adaptés et j’ai vécu mes meilleurs années à Marseille.Je revois la canebière avec ses boutiques et ses brasseries ,le marché à l’ail et à noël le marché des santons.Je me souviens aussi des quartiers chauds qui n’avaient de chaud que le nom c’est qu’ils y avait quelques fois des règlements de compte mais rarement des bavures (victimes collatérales). Souvent il m’arrivait avec des copains d’aller au cours julien contre quelques sous décharger les camions de légumes pour le marché.La situation a changée quand le gouvernement a décidé de donner des visas aux maghrébins dans les années 80 si vous rajoutez à cela notre cher président qui continue à parasiter le France,le « visionnaire » inventeur de l’avion renifleur qui a réussit à changer le monde la 1ere regroupement familiale on voit le résultat et accueilli l’ Ayatollah Khomeini propage le terrorisme dans le monde.Je pense que les politiques doivent rendre compte de leurs actes…
Aujourd’hui je reviens de temps en temps à Marseille pour des causes familiales et je suis effrayé de voir que certains quartiers qui étaient vivants à partir de 19 heures il n’y a plus un chat (ex:St just )et je parles pas de la canebière qui devient le marché des voleurs qui liquident leurs butins et le trafic en tout genre cigarettes et drogues.Cordialement à vous Mr gomez que je lisais sur le Méridional….
le trio d’humoriste les inconnus dans les années 1990 disait déjà quelle est la première ville arabe traversée par le Paris Dakar? réponse Marseille et aussi la différence entre la migration et l’immigration la migration c’est les oiseaux qui volent et l’immigration c’est les arabes qui volent
marseille, mais aussi grenoble, toulouse, paris lille etc.
la racaille s’installe avec la bénédiction des zélites
Evidemment que les rats ont quatre pattes. Est-ce que tu n’aurais-tu pas voulu dire: DEUX?
la racaille est même a BREST !!!!!!!!!!!!! LORIENT/VANNES/NANTES ///etc……….stop le retour au BLED sera terrible et OUI !!!!!!