Publié par Sidney Touati le 23 mars 2019
La France en 2099

Ce que l’on appelle « Islam de France » n’est rien d’autre que le fruit d’un fantasme d’Etat. L’Etat français est confronté à de très graves problèmes générés par les dernières vagues migratoires issues de pays musulmans.

Les dirigeants n’ont aucune solution pour résoudre cette grave crise. Sans doute la plus grave, qui menace de tout détruire. Alors, nos dirigeants font un étrange rêve.

La volonté de l’exécutif de créer de toutes pièces une nouvelle branche de cette religion, qu’il qualifie d’Islam de France, est d’autant plus surprenante qu’elle émane d’un État qui normalement s’interdit de s’immiscer dans les croyances religieuses des citoyens, qui est leur affaire privée.

Le pouvoir, par une série de mesures bienveillantes, favorise l’expansion de la religion musulmane. Il encourage à la construction des mosquées et autres lieux culturels. Il favorise sa pratique dans les écoles.

Il l’aide à se structurer ; favorise son organisation. 

Il encourage la pratique religieuse, protège son déploiement dans l’espace public et sur les lieux de travail.

Il autorise le port de signes ostentatoires dans l’espace public.

Les grandes fêtes musulmanes sont saluées comme de véritables fêtes nationales.

Il combat l’hérésie qu’il qualifie de « radicalisme ».

Tous les discours officiels font l’apologie de cette religion, la qualifiant de religion d’amour et de paix, quelle que soit l’ampleur des crimes commis en son nom.

Les livres scolaires sont rédigés dans un sens apologétique.

L’Etat ordonne à ses tribunaux de réprimer sévèrement toute manifestation hostile à l’Islam, y compris la critique historique.

Journalistes, historiens, philosophes… tous ceux qui mettent en cause l’Islam sont sanctionnés.

Avec une constance étonnante, la politique conduite par les dirigeants de droite comme de gauche, est comparable en de nombreux points à celle suivie par l’Empereur Constantin après sa conversion au christianisme : permettre à la nouvelle religion de s’imposer progressivement et si possible, sans heurts.

Tout comme Constantin, les dirigeants français travaillent à installer l’Islam au cœur de la société et de l’Etat, même si la conséquence immédiate de cette politique se solde par la mise en cause de l’unité territoriale du pays et par une montée de la violence antisémite et antichrétienne.

La dégradation de nombreux services publics, au premier rang desquels, l’Education nationale, n’est plus à démontrer.

Des études sérieuses font état d’un véritable processus d’épuration ethnique dans les quartiers islamisés : plus de synagogues, plus d’Eglises ; impossible de porter une kippa, une mini jupe dans certaines rues sans mettre sa vie en danger…

L’Etat minimise, ferme les yeux sur ces graves violations de la légalité républicaine.

La comparaison avec Constantin s’arrête là. Ce grand Empereur avait choisi de mettre un terme à la persécution des chrétiens, de rétablir la paix et la prospérité. La nouvelle religion faisait souffler sur l’Empire un vent nouveau, celui de l’unité et d’une très haute spiritualité.

Incontestablement, le christianisme antique, non encore corrompu par le pouvoir, représentait un immense progrès, tant au point de vue moral que politique.

A l’inverse, la pré-conversion à l’Islam des élites françaises n’apporte que la division, la violence, la corruption, le déclin. La France ressemble de plus en plus à ses dernières colonies du Maghreb.

Dernier avatar de cette étrange dérive politico-religieuse du pouvoir, la gestion désastreuse de la crise dite des Gilets jaunes.

Le parti-pris pro-Islam est flagrant. 

Face aux émeutes des banlieues (2005-2007 et suivantes) le pouvoir préconisait la retenue, même lorsque les forces de l’ordre subissaient des tirs à balles réelles.

Face à la révolte des Gilets jaunes initialement soutenue par une majorité écrasante de Français, le pouvoir a opté pour le mépris et la violence.

Cette France qui exprime sa souffrance et son désespoir, est clairement désignée par le pouvoir comme l’ennemi de l’Etat, ainsi que l’atteste la mobilisation des forces armées à compter du samedi 23 mars 2019.Comme disait le général de Gaulle, l’armée n’est pas là pour donner le biberon. L’arme que porte chaque soldat est une arme de guerre destinée à tuer.

Que feront les militaires s’ils sont agressés ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

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