Publié par Rosaly le 23 mars 2019

Au cours des deux dernières années, la municipalité d’Älmhult, dans le sud de la Suède, a accueilli près de trois cents « enfants réfugiés non accompagnés ».

Une grande partie de ces « enfants » se sont retrouvés à l’école Haganäs, cette école où la municipalité, soucieuse du bien-être de ces « enfants » au système pileux bien développé, a eu la brillante idée de proposer des cours de « drague ». La formation fait partie de plusieurs autres activités, qui peuvent être essayées lors d’une journée de « bien-être ».

Apparemment, l’épidémie d’agressions sexuelles violentes qui frappe le pays ne semble point effleurer l’esprit embué de certains apôtres humanistes du multiculturalisme effréné. A se demander si leur amour démentiel envers quiconque n’est pas Suédois de souche n’est pas en train d’obscurcir totalement leur raison.

La municipalité, en fine psychologue et débordante de compassion envers ces « enfants » barbus, a justifié ce cours de « bien-être » sur sa page FB comme suit :

« Il est plus facile de faire face à sa scolarité si l’on se sent bien, d’où notre initiative de proposer à ces étudiants diverses activités bénéfiques pour la santé. Nous espérons ainsi les inspirer sur la façon d’améliorer leur santé. »

Sommes-nous bien au XXIe siècle dans un pays moderne, féministe, respectueux des droits de la femme ou dans un pays sous-développé, reléguant la femme au rôle d’esclave sexuelle pour le bien-être des « enfants-adultes » en provenance du Moyen-Orient et d’Afrique ?

Jusqu’à quel âge un « enfant réfugié » demeure-t-il enfant dans ce pays béni des dieux pour les migrants ?

Quel étrange pays que la Suède où la drague serait considérée comme un moyen de bien réussir sa scolarité, car elle apporterait le bien-être aux dragueurs africano-arabo-musulmans !

Ce cours ne serait-il pas un blanc-seing donné à ces « enfants adultes réfugiés » pour violer en toute légitimité les jeunes filles suédoises, si ces dernières cruelles et impitoyables refusaient de succomber à leur « invitation » ?

C’est la folie pure qui règne en maître dans cet Occident en perte de toutes ses valeurs.

Les réactions à cette initiative pour le moins délirante ne se firent pas attendre.

Une personne écrivit : « Quel exemple décadent pour les autres pays. »

Une autre souligna : » ce serait formidable si la population autochtone se sentait bien aussi ! »

D’autres se moquèrent de cette initiative et la qualifièrent de « paradis psychédélique des sorcières ».

Ou encore : « Vous organisez des cours de drague pour des “enfants barbus” qui sont en réalité des adultes originaires du Moyent-Orient et d’Afrique afin qu’ils puissent draguer nos enfants suédois. Beurk, beurk, beurk j’ai juste envie de vomir. »

La sexologue et journaliste indépendante, Katerian Janouch, farouche résistante à la folle politique migratoire du gouvernement suédois, posta le tweet suivant :

“Face à l’insécurité de nos filles et de nos femmes à l’échelle nationale et à la hausse de la violence sexuelle à leur égard, Almhult devrait plutôt investir dans l’éducation au respect des femmes et faire comprendre à ces gens que « non » signifie « non » au lieu de donner des leçons de drague. Il y a tellement d’imbéciles dans les municipalités. »

Dans le même temps, la municipalité et le Conseil régional suédois (SKL) se plaignaient du montant des compensations versées par l’Etat aux municipalités pour prendre soin des « enfants non accompagnés », car il ne couvre pas les frais réels, soit 100 millions d’Euros par an, financés par leurs soins. Par conséquent, elles priaient instamment le Gouvernement d’augmenter la compensation forfaitaire. Ces chers « petits » le méritent bien. Il faut songer à leur bien-être…

Pendant que la municipalité d’Almhult veille au bien — être de ses « enfants réfugiés », des parents suédois ont décidé de ne plus envoyer leurs filles à l’école, ces dernières ayant été boxées, frappées à coups de pied et traitées de « putes » par leurs gentils petits camarades migrants, l’avenir fabuleux de la Suède.

Les problèmes avec les migrants se sont récemment aggravés à l’école « Österledskolan » à l’extérieur de Hamstad dans le sud de la Suède.

Contactés par le journaliste suédois indépendant Joakim Lamotte, les parents ont déclaré qu’un groupe de migrants récemment arrivés en Suède harcèle leurs filles avec une violence inouïe. Ces nouvelles forces vives venues d’ailleurs ont conduit à la formation de clans.

« Les menaces et les violences sont quotidiennes à l’école. Ma fille, qui est en 4e année au collège est harcelée depuis la troisième. Elle a été traitée de “pute suédoise” et menacée plusieurs fois. »

« La situation à l’école est devenue incontrôlable la semaine dernière suite à plusieurs bagarres violentes. Et les parents ont décidé de garder leurs enfants à la maison à cause de l’insécurité. »

« Les armes et les drogues sont monnaie courante à l’école et les affrontements se poursuivent même après la fin des cours », explique un autre parent.

Les parents sont très critiques à l’égard de la direction de l’école et pensent que cette dernière ne prend pas les problèmes au sérieux.

“Actuellement, c’est l’anarchie à l’école et ils ont totalement perdu le contrôle. En même temps, la direction ne révèle pas ce qui se passe et accuse le racisme d’être responsable de ces événements violents. Il peut y avoir du racisme, mais ni moi, ni les autres parents ne voyons cela comme le problème », dit un parent.

« La raison de toute cette violence réside dans la différence de traitement accordé aux migrants et à leur non-intégration. Vendredi, deux jeunes filles ont été frappées à coups de pied par des migrants », a ajouté un autre parent.

D’après les conversations sur différents forums, les étudiants se disputeraient à cause du racisme, responsable de l’escalade du conflit entre les Suédois et les migrants.

« Je tiens à préciser que ni ma femme ni moi ne sommes racistes, mais nous voulons que les choses soient justes et l’école devrait être un lieu sûr pour notre fille, afin qu’elle puisse se concentrer sur ses études. Pour le moment, nous gardons notre fille à la maison, car la direction de l’école ne peut pas garantir sa sécurité. Et beaucoup d’autres parents agissent de même. Selon ma fille, environ 25 élèves n’osent plus aller à l’école, vu la situation actuelle. »

Joakim Lamotte contacta le directeur, Stefan Blessenius, afin qu’il puisse répondre aux critiques formulées à l’égard de la direction de l’école et tenter de savoir ce qu’il s’y passe. Mais le directeur refusa de prendre les appels du journaliste. Sans doute, par crainte d’être traité de raciste s’il parlait…

La Suède : fabuleux modèle d’intégration et de l’accueil généreux de migrants en provenance du tiers monde musulman, cité en exemple par tous les adeptes du divin multiculturalisme.

La Suède, pays où au nom du fabuleux humanisme de gauche, les Autorités sacrifient sans sourciller leurs propres enfants sur l’autel de la nouvelle religion : privilégier l’Autre, paré de toutes les vertus, par rapport aux nôtres, diabolisés à l’extrême.

Du jamais vu dans l’histoire de nos peuples.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

  • Voice of Europe «Swedish school introduces ‘pick up classes’ for ‘refugee children’»
  • «Swedish parents keep their daughters home from school after migrants kick, beat and call them “whores.”

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